Terreur Mercenaire
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| Jeu 23 Nov 2006 - 17:30 | | Yrian entra dans la vieille bâtisse en passant il aperçu les miliciens le regarder. Comme d’habitude la bâtisse paraissait vide, et lorsque l’on entrait il n’y avait personne pour nous accueillir si noble soit-on. Il passa rapidement dans le hall. Il rencontra Venin : – Où tu étais toi encore, heureusement que l’oiseau de serre peu de retrouver où que tu te trouves, dit Venin – A Venin, je me doutais que c’était toi, répondit Yrian plein d’insinuation sur son ton sarcastique, c’était pour quoi ta lettre au juste ? – Pour que tu reviennes et pour t’apprendre que lorsque l’on est une griffe on reste avec la griffe, et tu pourrais me répondre quand je te cause ! – A oui, je suis allé aidé des paysans je pensais que le roi me payerai mais non je n’ai reçu qu la fourrure de l’ours que j’ai tué ! - sa n’a donc servi à rien …
Yrian ne préféra pas continuer, connaissant le caractère de venin.
Il serait logique que tu aies rencontré le cavalier à la sortie de l'auberge. Rada' |
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Silence Citoyen
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~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim -: 42 ans -:
| Jeu 7 Déc 2006 - 22:35 | | Les griffes présentaient les choses, et par leur réseau, se tenaient habilement au courant des haut et des bas de la cîté mais surtout -avant tout!- de leurs membres. Silence, en sa condition d'officier avait une surveillance privilégié de ce côter là. Son urgent départ au Palais et l'apparition soudaine d'Haradrims dans la cîté, couplé par le récit de Serres mit toute la ligue au travail, telle une ruche à l'organisation naturelle, instinctive. Seul le petit nouveau ne semblait rien comprendre à tout cela. Les choses se faissaient. Point. Il n'y avait rien à dire, chacun était assez sage et entrainé pour savoir ce qu'il devait faire. Peu être étais ce là la lacune principale d'Yrian, le manque d'entrainement ? Ou une insertion encore incomplète à la ligue ? Il était encore une trop nouvelle recrue pour espérer des bouleversements... Les preuves, il lui fallait faire ses preuves. Et du temps, sans mourrir si possible... C'était cela l'état d'esprit.
Des charettes venaient et partaient. Les mercenaires ramenaient des bagages ou en vidaient de la batîsse telle des abeilles transportant leur précieux polen. Il y avait bien là quelques unes prèt à piqués... C'était en quelque sorte devenu leur quartier, étant eux même bien trop habiles pour être truqués parles misérables brigands habitant Minas tirith avant leur venu, mais ils ne relachaient jamais leur garde. Mieux vallait être trop vigilant que mort.
- Hep, recrue, tu fais la statue ? Rend toi utile, porte un quelques bagages sur les charettes !
Yrian ne les connaissaient pas encore tous. Il y avait bien les figures régulières de la batîsse ou les chefs de quartiers, mais il n'arrivait pas encore à ce faire aux têtes de la pietaille. Combien était ils dans cette ligue en fin de compte ? Alors que tout se plannifiait, entrer dans l'ordre, la masse de monde s'intensifiait elle aussi. Ils étaient désormais une bonne cinquantaine devant la batîsse, sans compter les absents et ceux à l'intérieur. C'était étonnant de voir comment ils arrivaient à se fondre dans la foule...
Un autre bonhomme s'approcha d'Yrian et lui donna un bon gros pain riche en qualitée. En le suivant du regard, il pu remarquer qu'il en distribua à tout le monde. Personne ne se fit prier pour mordre dedant. C'était pour prendre quelques précieuses forces... Comme si tout le monde était sur le... Départ. |
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