Evasion

Le vieux Borgond sortit de l'auberge où il était allé boire deux chopes, peut-être trois. Sa pause étant terminée, l'homme devait relever le jeune soldat qui veillait dans les geôles. Il sifflotait en marchand, s'imaginant que tout allait bien. Le Soleil se coucha derrière les grandes murailles de la Cité, et une pluie commença à le tremper. Le vieux ne remarqua rien et continua son chemin sans broncher.

Il arriva finallement aux portes des cachots. Enlevant son manteau détrempé, il attrapa la poignée et ouvrit lentement la porte. Il déposa ensuite sa sacoche sur une table et se laisse glissa contre le dossier d'une chaise.

"Hé oh, le jeune ! Tu peux rentrer chez toi, j'prends le relais."

Il avait dit ça d'une voix railleuse, mais l'autre ne répondit pas. S'inquiétant de l'état du jeune gardien, et s'imaginant que ce dernier dormait profondément, il traversa les cellules et découvrit un corps gisant au milieu du couloir. C'était le jeune soldat. S'avançant, Borgond découvrit qu'il n'était qu'inconscient. C'est alors qu'un vif courant d'air pénétra dans la pièce.

Horrifié, le vieux constata malgré lui qu'une des cellules était vide, sa porte à moité défoncée. "Hé merde, faut vite que j'appelle un officier !"

Il eu à peine fait cinq mètres, que quelque chose lui attrapa le pied, Borgond vacilla et s'étala de tout son poids sur le sol. Il sentit son nez craquer puis tomba à son tour ans l'inconsciene. Un prisonnier venait de s'échapper, et personne n'était encore au courant.

Après mettre remis de cette fain d'année, je décidé d'aller mettre une brassé de parchemins au archive......Enfin aux oubliettes.....J'avancaidans les archive se trouve dans les profondeurs du chateau, a la recherche de l'ancienne salle de torture, généreusement mis à ma disposition par notre bon Roy......(tu parle, se taper les 600 marche à descendre, traversé les cuisines, passer dasn les casernements des gardes prisonniers et j'en passe....) Le chemin étant long, j'avais pris pour habitude de passer par les cachots, le trajet n'était guère plus reluisant, mais plus direct, et j'en profitait pour discuté avec les gardes, ce qui les changeaient un peu des injures des prisonniers...

arrivant devant la lourde portes des cachots, je constatai que cette dernière était grande ouvert, très inhabituel....

Et ben si un officier voit ça y en à un qui va entendre parler du royaume...

je n'eu le temps d'entrer avant qu'un ombre énorme ne me bouscule, m'expédiant contre le mur dans une volé de parchemins.

Arrg
Le choc fut rude, j'entendis seulement un crisement lorsque "l'ombre" ce retourna pour contaté que je n'étais plus une menace (enfin si on peu dire...), des cliquetis se firent entendrent lorsqu'elle parite, on aurait dis des griffes martelant les pierres sous ses pas....

grogui, je m'évonoui....