Secte aux amulettes [Enquête]

Il y a encore quelques jours, cet endroit etait rempli des corps et de sang.
Maintenant, tous les corps des bandits ont disparus. Quelqu'un ne voulait laisser aucune trace...
Forlong regarda un peu dans le coin mais ne trouva rien de special.

Ou devrons nous chercher a present?

Soudain, Forlong vit par la fenetre un homme vetu d'une cape noire et une capuche. Lorsque celui ci traversait la rue, un citoyen le buscula sans faire expres. Pendant un court moment, Forlong vit le visage du misterieux personnage; des yeux injectes de sang, un crane rase... Il reconnut un des bandits qu'il avait affrontes l'autre jour...
Forlong sortit discretement de l'auberge et suivit l'individu, qui semblait marcher vers un endroit de la ville precis...

En prennant l'amulette de Hobasien, il lui dit:
-Je reconnais ce bandit. C'est un de ceux qui ont echape lors du combat.
Il semblait diriger les autres. Peut etre il nous menera jusqu'a la secte.

Meneldir était à peine rentré dans la cité qu'il croisa Hobasian et Forlong qui se tenaient courbés comme pour passer inaperçu à travers la foule peu dense d'ailleurs.
Il se rapprocha des batiments et avança lui aussi d'un pas furtif.
Il les suivit de loin car il ne savait que faire d'autre.
S'il les appprochait de trop près il allait attirer tout les regards avec son armada de la Moria.

Forlong se retourna, et vit de loin la silhouette de Meneldir lourdement arme.
Il souria; En cas de combat le professeur sera sans doute utile.

Meneldir l'avait vu d'un coup il traversa la rue et dégainant son épée d'un geste furtif il se saisit de l'amulette gisant sur le sol. Puis se replaça loin dérriere ses amis.Il avait reperé un homme à l'air sombre encapuchoné qui filait droit.

Forlong observait l'homme. Soudain celui ci sorta une petite bouteille de sa poche et se versa le contenu dans la gorge. Ses yeux prirent une lueur rouge
Il se retourna et lanca par terre une boule en verre (un fumigene); la rue se remplit de fumee. Forlong se lanca en avant et traversa la fumee en poussant les citoyens desorientes. Il courut pendant longtemps derriere le bandit. Soudain l'homme chauve, qui avait une bonne dizaine de metres d'avance sur Forlong, rentra dans un batiment. Forlong regarda autour de lui et s'apercut avec terreur que il n'etait plus sur une des rues principales mais dans une ruelle obscure. Des tous les cotes il voyait des hommes chauves armes, aucun citoyen normal. En ne voyant aucun moyen de s'enfuir, il sorta son epee et prit une position de combat.

Balthazar les avait suivis, bien sûr.
Il se faisait discret autant qu'il pouvait, néanmoins, il signala sa présence aux autres.

Meneldir n'avait rien pus faire que foncer et courrut le plus rapidement que son armada lui permettait et entra dans une ruelle mais personne et s'avança un peu et emprunta une autre ruelle où il vit de dos plusieurs hommes chauves de dos.
Le peu qu'il put voir fut les yeux de Forlong rempli d'un courroux indescriptible à travers les silhouettes des fanatiques.
Il s'avança et aperçut que Balthazar le suivait de près et lui fit signe de dégainer son épée.Seuls trois soldats se tenait de ce coté mais un grand nombre affluait du coté de Forlong.
Meneldir s'avança et dégaina à la fois dague et épée il transperça le ventre de son ennemi grâce à sa lame et planta de toutes ses forces sa dague dans le coup d'un second adversaire.
Il ne restait qu'un soldat mais Balthazar était prêt à combattre

Le premier bandit s'approcha de Forlong avec la claire intention de l'assommer avec sa massue. Un moment plus tard, il tomba par terre avec la dague de Forlong dans le coeur; ils ne le prendront pas vivant. Soudain il vit des hommes charger sur les bandits. Il reconnut Meneldir et Hobasian, ainsi que Balthazar.

Balthazar réagit immédiatement et dégaina.
Il vit le professeur avec peu de soutien et, se souvenant que c'était la première personne qu'il avait rencontré dans la Cité, il alla dans cette direction.
Mieux équippé, il se baissa pour éviter un coup et riposta immédiatement, arrachant la tête de l'attaquant.

Après tout, s'ils étaient dingues, pas de quartiers.

Et il continua vers un autre.

Forlong etait tellement entoure d'ennemis que il avait difficile a utiliser son epee. Heuresement lors de sa jeunesse il avait appris a se battre sans armes. Il donna un coup de pied dans le genou du bandit le plus proche et lui cassa le nez avec le dos de la main.

Et soudain, on entendit un cri. Le Roy arrivait avec des troupes.

Au fond de la petite ruelle, il y avait une porte ouverte de laquelle sortaient des hommes chauves.

Plusieurs fonçaient rapidemment sur eux, avec violence. La salle derrière la porte était étrange, et il semblait y avoir des symboles au murs. Touchaient-ils au but ?

//Demain arrivée de Méphi' + développement du scénar'...en attendant, il y a du chauve à tuer^^Pas de freestyle à propos de la porte please;) //

Le roi arriva mais Meneldir s'était retrouvé isolé avec Balthazar.Il vut que Forlong était aux prises avec de nombreux ennemis.Il se jeta dans la foulée planta sa dague dans le premier venue puis combattit à l'épée.Mais un puissant ennemi claqua l'épée de Menedir sur le sol.Le professeur réagit instantanément et attrapa la nuque de son adversaire qu'il cassa d'un geste sec.
Il attrapa sa hache dans son dos et balança sa hache de tout coté en se rapprochant de Forlong.

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Malgré sa jambe blessé et son bras, Hobasian se jeta dans la mélée auprès de Forlong.

"Pour la cité blanche !!!"

Puis il pensa

"Tant pis si j'y laisse ma peau, mon fils viendra me voir à Rath Dinen !!"

Il trancha une tête, fit tournée la vieille épée qu'il avait récupéré lors du précédent combat à l'auberge. Mit en avant le bouclier, lui aussi récupéré à l'auberge. Un des drogués lui assena un coup de massue sur le bouclier, Hobasian donna donc un coup d'épée par en dessous dans la jambe du brigand. Le brigand été à genoux par terre. Hobnasian lui trancha la gorge.

"Il était évident que nous ne serions pas passé inaperçu, nous n'avons pas le crâne rasé ni les yeux révulsés"

L'arivee du Roy equilibra un peu les forces. Les combattants se separerent en petits groupes, le combat etait acharne. En voyant la porte ouverte, Forlong cria:
-Nettoyons ce nid de rats!

Balthazar maugréa...Meneldir n'avait plus besoin d'aide. Mais maintenant, c'était Forlong qui en demandait.
Balthazar regarda la porte. Il était intrigué.

Il se précipita là où les combats étaient les plus intenses et bouscula violemment un drogué.Celui-ci tomba mais essaya de se relever immédaitement. Balthazar lui décocha un coup de pied dans la face mais rien n'y fit. Quand il lui enfonça son épée dans l'épaule, l'autre continua. Finalement, il sortit un poignard et lui trancha la gorge.