Une ballade légère

Meneldir arrivait de la Cité Blanche d'un trot léger observant la moisson qui tirait à sa fin et avec elle l'été s'en allait lui aussi.Le ciel dégagé la soleil (les elfes disent la soleil petite fantaisie) était à son zénith quand Meneldir atteint le port de Minas Tirith Harlong.Meneldir apperçut les navirres où les matelots déchargaient une quantité plus que gigantesque de blé et d'orge venus du sud.
Meneldir ne rentra pas dans le port mais préféra longer la rive de l'Anduin vers le sud en comtemplant de l'autre coté la belle Ithilien principauté des intendants de Gondor héritiers de Faramir et d'Eowin dame de Rohan.
Le voyageur ne rencontra que peut de passants.La plupart profitant de la fraicheur de leurs maisons.
Il rencontra un voyageur qui l'accosta d'un air hautain :
Est il possible que votre monture vienne de mon pays car il ressemble à mon pays absent dans l'ombre mais fier dans la lumière.
Meneldir s'étonna de telle parole et répondit après un court moment de refléxion:
En effet si votre pays est le désert ce cheval vient de votre pays.Il s'appele Nimdalf et galoppe fièrement dans les plaines qu'il ne connait que peu.
Vous m'en voyez réjoui pour lui car dans mon pays nous aimons la verdure et la beauté.
Excusez mon impacience mais une question me tracasse avait vous des nouvelles du Harad car la guerre y est et nul au Gondor ne sait ce qu'il se passe vraiment.
Je m'en étonne grandement étant donné la bataille qui se prépare on dit que les armées du Dimbar , Gondor et Harondor s'affrontent mais nul ne peut prévoir ce qu'il va se passer.
J'espère vivement que le grand général Méakil va gagner car il pense aux habitants du désert.
Et bien je tiens à vous remercier pour cette nouvelle et je vous demande une faveur: Serait il possible que dès que vous aurait des nouvelles de la bataille vous m'envoyez un message au Gondor en la cité blanche dstiné au professeur Meneldir.On m'a dit que vous avez dans votre pays des aigles très intelligents.
Ce sera avec plaisir que j'accomplirait cette tache pour vous vous semblez bon envers mon peuple
Voici un cadeau dit il en détacha une bourse de sa toge.
Puis Meneldir s'en fut vers la Lebennin au grand galot où il rencontrades mis à lui puis il remonta le lendemain dans le nord dans la capitale.
Il avait l'espoir d'y trouver un message mais rien puis il se coucha et se dit en lui
Comment pourrait il avoir des nouvelles d'ici peu le voyage et long de Gondor au Harad?Demain peut etre.