Brouillard en mer

Côte de Dol Amroth. Le brouillard recouvre la mer de ses lambeaux ne nuages grisonnants. On y voit pas à vinght mètres. C'est à peine si on devine que la mer est agitée par les clapotis qui retentissent, et l'écume qui se brise contre les rochers abrupts du litoral.
Le vent murmure sinistrement en s'engouffrant dans les failles des falaises que la côte Gondorienne, en contraste avec les cris, tout aussi inquiétants, des cormorans et autres volatiles marins qui tournoient dans le ciel embrumé.

Les patrouilles envoyées par le Prince, par peur des événements récents du sud, eh bien, font leur travail, c'est à dire qu'elles patrouillent.
Wamba, jeune homme tout juste enrôlé sous la bannière su cygne, peste contre ses ordres. Obligé de rester dehors avec ce temps de chien, alors que franchement, qui pourrait avoir envie d'attaquer ce coin-ci sépcialement, alors qu'il étaut juste en face de la ville elle-même. C'était du suicide.

Pourtant, les corsaires d'Umbar n'avaient jamais tenu compte du sentiment d'invinciblité qui régnait dans le nord. La faiblesse était humaine, ils le savait. Et la peur venait avec.
Aussi décidèrent-ils de commencer par là.

Sur la plage, trois bateaux s'échouèrent. La brume leur donnait l'air de fantômes du passé, pourtant, ils étaient bien réels. Les sabres qu'ils portaient l'étaient aussi.

Wamba mourrut dans les premiers.

Cette provocation délibérée fut suivit d'une fuite par les bateaux, remis en eau par des marins habiles, qui restaient à distance prêt à effectur d'autres raids, pour éliminer les patrouilles, puis continuer par les villages.
Ou pourquoi ne pas piller tout de suite, après tout ?

Cinq autres bateaux avaient empruntés le cours de l'Anduin.

Soudain un cris retentis sur l'arrière des navires pirate alors qu'ils s'aprété a rembarqué les troupes débarqué.:

"Voiles à l'arrière!!!"





Le capitaine regardait les navires pirates. Trois navires de guerres surarmer, contre cinq vaisseaux de patrouille. On ne donnerai pas chère de la flotte de Dol Amroth. En tout cas il ferait de leur mieux. Espérons que le Prince Berund savait se qu'il faisait...





« Damnation, pesta Harska. Mettez voiles vers le large. Nous allons devoir abandonner les troupe de pillage. Donnez leur ordre de nous attendre. Nous revenons dans une heure. Si nous restons au mouillage, ces navires pourront nous battre. Pas en pleine mer, ce sera le massacre de la flotte de Dol Amroth. »





Berund se tenais en haut de la colline. Il savait parfaitement les manœuvres des navires adverse. En tant qu'ancien capitaine de la flotte, il avait vu juste. Il craignait que l'ennemi ne soit trop puissant des la première attaque. Car si tel était le cas, la stratégie tombait à l'eau...





Les navires pirates attaquèrent l'adversaire, et après le premier assaut ou tout les patrouilleur restèrent en état de combat, Harska ordonna a ses troupe de couper les petits navires de la baie situé non lion de la... Grave erreur.

Des que les navire pirate se retrouvèrent entre les patrouilleur et la cote, une flèche enflammé.

Les pirates étaient pris au piège.





Adonne, capitaine de la flotte des havre gris attendait ce signal. A ce moment la, il passa en vu des pirates, qui se trouvèrent pris entre deux flotte. La première, qu'il venait de combattre, composait de cinq patrouilleur du Gondor, et la seconde, composé d'une demis-douzaine de navire elfique. trop tard pour s'en sortir. Ils étaient perdu...


Le soucis étaient maintenant les pillards qui était resté au sol, beaucoup plus nombreux qu'il ne l'avait crus... Une belle bataille.





Son épée écrasa un crane. Un demis tour, et Mort bleu pris encore une vie. Puis le prince se baissa, évitant un coup d'escot, et l'épée noire vola... Tuant sa cible. Il suivait son instinct, comme lui avait appris cet être mystérieux en haut de la cour de la fontaine. Son épée vola une encore une fois. Et les corps adverse s'empilait a ses pieds...





Le capitaine elfe ordonna la mise a feu des batteries... Les abordage allaient avoir lieux.





Harald combattait au coté de son seigneur. Un adversaire en moins... Les chevaliers l'entourait.

Il jeta un regard à Berund, et il vit son seigneur en train d'achever un ennemi...





Harska frappait, tuant elfe sur elfe. Il ne pouvait y croire. On ne l'avait pas prévenu de ce revers de situation. Il avait était trahis. Mais il partirait avec les honneurs...

Le combat était engageait et la cavalerie attaquait les pillards qui se défendait avec une rage hors du commun.Devant le poids des armes des pillards on reconnaissait leurs sabres mais les armes les plus destructrices était les javelots que les pillards envoyaient au hasard à travers la bataille.
Gebir était parti droit les l'énnemi en suivant son Prince et hop une lance dans un ennemi et dégaina son épée d'un geste.P'endant ce temps son cheval lancé à vive allure avait privé de la vie un pillards sur le sol.
Ouh il a dû les sentir les sabôts férrés sur sa tête.Le combat repartait et déjà la bataille tournait à l'avantage des pillards si cela continué il allait être exterminé.On n'allait pas pouvoir se epliez en toute sécurité.L'énnemi était e surnombre et entourait la bataille et utilisait des lances de guerre qui était meurtrière pour les cavaliers.

Et ce fut la raison pour laquelle Berund ordonna au chevalier de se mettre a terre.

Soudain un des jeune chevalier de son entourage lui dit:

"Monseigneur, nous nous sommes trop avancé, replions nous, ou non mourrons..."

Pour ces parole, il se prit un coup de bouclier dans la nuque. Le comte Harald s'indigna, mais lorsque Berund tourna son visage menaçant vers lui, il se tu.

Quand le jeune chevalier du nom de Ulban eut fini de vomir, Berund le prit par le coup et lui dit:

"Aucun chevalier de Dol Amroth ne fuit. Ce mot n'a aucune signification chez moi. Sauf pour les orcs. Et dorénavant, plus aucun chevalier digne de ce nom n'imaginera la possibilité de penser qu'il puisse fuir. CEla n'arrivera plus.

-Mais mon seigneur, l'ancien Prince...

-Est mort, le coupa Berund. Dorénavant je suis le prince, et l'on m'obéira...

-Bien. Je vous demande pardon mon prince...

-Et je vous le refuse. Vous passerez en conseil de guerre pour vos paroles...





Harald frappait maintenant au hasard. Le sang maculait son armure, et l'amer goût de la fatigue s'emparait de sa bouche... Il tua un autre ennemi, et regarda autour de lui. Ils avaient disparu.

"Ou sont-ils?

-Dans le village. Ordonnez l'attaque des ruines enflammées...

-Bien monseigneur..."

Gebir combattait à mort et avait déjà évité plusieurs piques mais tenait le coup.Le combat était rude de tout coté.Gebir aperçut quelle chose qu'il détestait : un étendart et tous se rallier autour de celui-ci.Gebir fonça droit vers celui-ci en tuant un ennemi au passage puis il piqua la hampe avant d'écraser son épée dans le crâne du porte-drapeau.
Ge bir eut peur en voyant un pique droit sur lui cette fois-ci il ne put éviter la lance.Elle transperça le cheval qui se retrouva par terre projetant son cavalier dos sur le sol.
Arghhh
Un ennemi l'avait repéré sur le sol.Gebir était à présent un ennemi facile.Une hache s'écrasa sur lui.Gebir se protéga de son bouclier et d'un coup il s'empara de son poignard qu'il enfonça dans le lard de son adversaire.
Il se releva et s'empara d'une épée sur le sol.Maintenant il devait comprendre qu'il devait à la fois se protéger des coups des pillards mais aussi de certains cavaliers.

Berund frappa. Rien ne le retenait. Le village était en cendre autour de lui, et les pillard étaient prisonnier ou mort... Il se pencha sur le corps d'un chevalier inconscient. Celui-ci avait besoin d'eau.




"Je veux savoir ce qui vous ai arrivé. Les pillards ne vous ont pas tué alors que vous étiez à leur merci.

-Je n'en sait rien Monseigneur.

-De quelles maison êtes vous? Celle du Duc Athan? Si c'est le cas, je vous souhaite de nous montrer plus de franchise, car les deux Ducs de la citée ne sont pas en bon termes, ni avec moi, ni avec le Roy...

-Je sers effectivement le seigneur Athan, et j'ai été envoyer ici, alors que mon maître et à Dol Amroth. Mais ma loyauté va d'abord envers mon Prince.

-Harald, donnez des ordres pour que cette homme soit soigné, et qu'il vienne me conter sa bataille d'ici une heure. Nous partirons juste après cela...

-Pour la cité?

-Vous, oui, avec Ulban. Moi j'irai vers Minas Tirith, pour essayer de faire venir plus de force pour nous soutenir..."





"Voici comment c'est passé la bataille prince Berund.

J'ai chargé sur l'aile droite, en logeant la plage. La cavalerie adverse s'est porté a notre encontre. La, sur ordre du Marquis Ordonnions de Ringlo, nous avons adopté la formation du fer de lance. Nous avons percuter l'ennemi. Le combat durait depuis quelques minutes, quand soudain une pique eut raison de mon cheval. J'était esseulé. Mais je remarquais un peu plus loin un chevalier de la maison du comte Harald, du nom de Gebir je crois. Nous avons combattue ensemble... Mais l'ennemi était de plus en plus nombreux autour de nous, alors nous sommes entré dans une maison en flammes..."

Gebir se tenait droit face au combat et combattait d'une fureur démessuré sans comprendre ce qu'il convenait de faire.
Il se trouvait en plein champs avec rien pour se protéger contre les cavaliers.
Il se jeta a droite pour esquiver une masse qui siffla près de son oreille et lui écorchant son bras.Gebir riposta d'un puissant coup d'épée décrochant le plaston en acier de son adversaire.Un petit coup de bouclier pour contrer le fléau et CLAC une tête de plus de tranchée.A présent il ne restait plus qu'à Gebir de parvenir à se mettre à l'abri soudain un ordre:
-Dans le village. Ordonnez l'attaque des ruines enflammées...
Gebir observa les ruines l'endroit revé pour se mettre à l'abri.Profitant de la charge de chevaliers il suivit de son allure ceux ci pour parvenir dans le village.Là régnait un combat accharné on pouvait voir les chevaliers dépassé par trois voire quatre fois leurs nombres par les pillards tous armés de lances.Gebir eut une vision d'horreur, un de ses amis venait de coupêr la tête.
A l'attaque Gebir fonça du mieux qu'il put étant donné son armure lourde et contraingnante inadapté au combat à pied.Hé hop un coup d'épée dans le dos.Quel coup de lâche mais bon ils faut bien se défendre.
Ils n'y avait pas seulement des chevaliers de Dol Amroth au service du Prince mais aussi certains du duc Athan.
Gebir se trouvait en plein coeur de la bataille et était à pied.
Il contourna un puissant contingent de soldats qui massacrait tout sur leur passage.
Il arriva près du moulin ce moulin était sa seule chance de survie.
Gebir attrapa une lance planté dans le corps d'un pillard pour la renvoyer sur un ennemi en face.Celle ci passa à quelques centimétres de son ennemi qui venait de l'esquiver avec une facilité déconcertante.
Son ennemi avait évité une lance mais pas la deuxiéme envoyée par un cavalier dans son dos.
Ouhh.Un cavalier venait de se précipiter et s'était fait enbocher par une lance.
Gebir s'empressa de lui porter secours en tuant un ennemi au dessus de lui.
Pour mon prince
Il avait foncé tel une fléche dans l'air avant de le tuer.
Il s'empressa de le transporter à l'abri enfin un abri plus convenable que le champ de bataille.

"Et je frappais, dos a dos avec cet homme. Nos adversaires étaient de plus en plus nombreux. Soudain, l'Amiral de la flotte de Dol Amroth, puissent il être béni, sonna de sa corne, et nous regardâmes vers la mer:

Le navire amiral ennemi sombrait...




Amolanne, capitaine elfe des havre gris se tenait sur droit sur son navire. Il venait de voir le navire amiral adverse couler "L’Herbe de Lorien"… Son cœur se déchira quand il vit ses frère l’appeler à l’aide, mais rien à faire, l’ennemi était trop présent pour qu’il sauve les soldats de la noyade.

Il ordonna à son second de se rendre face au navire adverse avec le soutien de "L’Esprit des Mers", et pendant ce temps, les quatre autres nefs allaient s’attaquer au ses deux navires adversaires…

"Donnez ordre aux archer et artilleur d’ouvrire le feu.
-Bien Monseigneur…"

Les tirs fusèrent. Quand les marin d’Umbar se prirent un sac de toile , qui quand il éclata, renversa de l’au sur le pont, il éclatèrent de rire. Leurs tirs furent plus meurtrier, décimant une douzaine d’archets de la tour arrière de "L’Esprit des Mers". Mais leurs rire se transforma en cris de terreur, quand Harska ordonna de nettoyer le pont avec de l’eau immédiatement : il avaient compris que c’était un produit inflammable…

Mais trop tard. La flèche enflammée toucha le pont, suivi de nombreuses autres. Le navire commença à s’enflammer…

"Prêt pour l’abordage ?
-Oui capitaine.
-Alors donnez moi mon heaume et mon bouclier. "

L’écuyer fourni à Amolanne ce qui lui avait été demandé.

L’elfe mit son casque en récitant une prière, d’où seul le mot "elen" ressortit : Il se confiait à son étoile…


**********


Il assomma un pirate avec son bouclier… Rien ne pouvait le retenir… Un autre avec l’épée.

Soudain, un adversaire se présenta devant lui…

"La mort est chose étonnante : elle vous rattrape sans vous prévenir…"

Il attaqua, puis, sans prévenir, s’enfuit.

Un marin à coté s’étonna de le voir partir et parla, dans sa langue, dont l’elfe connaissaient quelques mots, en appelant le CAPITAINE…

Alors Amolanne s’élança. Il dévala les escalier menant a la cave, tua un pirate armée d’une hache, et se retrouva face à face avec son ennemi…


" Il es trop tard pour gagner cette bataille. Rendez-vous et nous vous offrirons tous les honneurs qui vous sont dut.
-Jamais, cela serait trop simple. Il me suffirait de poser mon épée et de ne plus regarder la situation en face. Abandonner mes hommes… Mais j’ai une surprise pour vous… Voyer vous, avant de partir pour la Comté, Sarumane a, à l’époque, laissé de joli pot rempli de poudre… Et vous voyez, j’y met le feu… On se retrouve chez Mandos ? "

Alamonne s’élança au moment ou Harska m’était feu a la corde reliant les pots de poudre entre eux…

"Moins de une minute…"

Le capitaine immortel partit vers la porte, mais deux pirates se rapprochèrent. Ils levèrent leur hache. L’elfe fut plus rapide. Son épée pris leur vie…

Arrivé sur le pont, il ordonna à son second d’éloigner le navire. Celui-ci s’exécuta, et la blanche nef s’éloigna…

Pendant ce moment, Amolanne ordonna à ses troupes de sauter dans l’eau… Leur armure, légère comme de la laine les porteraient.

Ainsi fut dit, ainsi fut fait, et les elfes se retrouvèrent sur la rive du village enflammé quand le feu et l’eau terminèrent de détruire le navire de Harska…

Les autres navires adverses subissaient le même sort… L’eau les prenaient pour toujours…

Les elfes rejoignirent le village, ou l’ennemi, totalement désorienté compris qu’il avait perdu la bataille. Ils étaient en sous nombre…

Les armes furent posé, sauf dans un ou deux endroit où les combats continués…

« Et la bataille se termina alors que j’était inconscient. Je ne peut donner d’autre explication à cette bataille. Mes ennemi auraient put m’achever mais ils ne l’on pas fait… Je ne peut rien dire de plus…

-Merci Chevalier. Retournez parmi les hommes de votre maison. »


Quand il fut partit, Berund se tourna vers Harald :

« Partez immédiatement pour Dol Amroth. Je craint le pire. Relevé Athan de ses fonctions. Et faite donner des ordres pour qu’il parte avec ses chevaliers et ceux de Ringlo vers Minas Tirith.

-Bien mon seigneur.

-Que le Duc Lenglir tienne l’Anfalas. Depuis Dol Amroth je m’occuperez du Belfalas et de la cote Nord du fleuve. Envoyer des émissaires au Harondor pour les prévenir : qu’ils se préparent si ils le peuvent à aller aider Pelargir…

-Entendu. Que dois je faire du chevalier Ulban ? Doit-il m’accompagner ?

-Oui. Mettez le à la tête d’un navire, et qu’il se rachète à nos yeux… Réunissez aussi les groupement de messager. J’ai des nouvelles a faire porter a tout les seigneurs des fiefs sur la tenu de fiefs… »





« Messieurs. Voilà les ordres à transmettre oralement au seigneurs du Gondor :

«Moi, Berund, fils de Berunda, Prince de Dol Amroth, met le fiefs de Dol Amroth en état de menace maritime. Je vous invite, si vous le pouvait à fair de même. »

A ces mots, les conseiller du prince émirent des murmurent d’étonnement :

A peine arrivait, il mettez déjà les fiefs dans un états d’alerte constant.


*La conscription n’allaient plus peser seulement sur les hommes jeune et vigoureux, dans les alentour de la cité du Cygne, mais partout dans les royaume du Gondor, peut être même dans la cité blanche si une seul menace était visible depuis la cour de la Fontaine.

« De plus je demande a ce que toutes les population soit reculé, sous protection militaire, à une journée de marche de la cote. Les patrouilles doivent être incessante, et la nourriture rationné. Personne ne dois plus pouvoir menacer la vie de la population de Dol Amroth, ni ne dois pouvoir créer une famine dans mon royaumes…

Je tiens aussi a ce que chaque les navires marchands de Pelargir soient reconvertirent dans les plus bref délai. Le Commodore Adonne bloquera le fleuve du mieux qu’il puisse en etre capable. Durant ce temps, nous devront détruire tous les reste de la flotte, avant de porter la guerre en Umbar…





« Monseigneur, des chevaliers en face de nous… Ils ont l’air d’être nombreux et armée. Je craint que nous ne devions faire demi-tour, dit un chevalier le lendemain alors qu’il chevauché vers Dol Amrot pour retrouver Harald et avoir quelques vivre pour tenir le Belfalas…

-Nous ferons front devant l’adversaire, si s’en est un…





Les cavaliers avaient leur épée sortit, quand une voix avec l’accent du Nord se fit entendre :

« Monseigneur, Elen sila lùmenni, omentielvo, une étoile brille sur l'heure de notre rencontre. »

A ces mots Berund se jeta de son cheval et s’avança : Devant lui se trouvait ses chevaliers de Brethil… Mais derrière eux, les corps d’Ulban et Harald, blessés par de nombreux traits…

"Que c'est il passé? Où sont les autres?"

« Je n'ai que peu de temps a vous accorder. On m'a dit qu'un mage se situé dans mes terres, je voulais le rencontrer. Je sais aussi que vous êtes aveugle comme moi. J'espère que vous resterez en Gondor a mes coté pour quelques temps. En effet, les évènements sont assez problématique. Mons sénéchal vient d'être blessé. Je voudrait que vous le preniez en charge et l'amené vers Minas Tirith, ou les maisons de guérisons pourront le sauvé. Mais auparavant, je veut l'interroger. Préparez lui donc quelques potion pour lui permettre de tenir... »





Berund entra dans la tente où se tenais Harald. Couché sur un lit de fortune, quelques chevaliers s’y connaissant en médecine s’occupaient de lui. Quand le mage lui eut administré une potion, le comte leva la tête et parla en ces termes, qui ne purent être entendu que par Berund :

« Monseigneur. Je suis allé a Dol Amroth, et le Duc m’accueilli. Il nous a fait honneur, et a reçu avec grande humilité vos ordres. Mais quand la nuit fut tombé, et que le chevalier Ulban se coucha dans la prison, un geôlier me poussa et m’enferma avec le prisonnier. Nous réussîmes a nous évader, et nous entrâmes dans le palais. La nous réussîmes à trouver des armes et nous fîmes de notre mieux pour rejoindre la salle du trône, ou se trouvé le duc Athan, mais aussi le Duc Lenglir.

Nous les entendîmes parler. Athan voulait vous faire mettre a mort, et récupérer le pouvoir, puis marcher sur la cité blanche. Lenglir était contre. Il perdit la vie des mains du Duc Athan.

Les chevaliers de Lenglir commencèrent le combat. Les miens se mirent à leur cotés, et nous réussîmes à quitter la cité dans l’obscurité. Le second de Lenglir ramène ses troupes. Mais Athan a détourné la conscription à son profil. Je craint que nous n’ayons pas assez d’homme. Allez vers Dol Amroth… Et reprenez votre ville monseigneur… »

Un chevalier se présenta devant la tente du sénechal qui avait été bléssé dans la bataille et avait un état si grave que celui ci devait être mené dans la Cité Blanche pour aller dans les célébres Maisons de Guérison.

Un garde s'interpossa devant le nouveau venu.

Halte nul ne passe hormis le mage et vous ne semblez point être un capitaine ni messager.

Non mais c'est cet homme que je cherche et j'espère le trouver et pouvoir lui parler de vive voix.Pouvez vous m'indiquer où celui ci est?

Il est parti s'occuper de son cheval là bas.

Le garde pointa de son épée ,qu'il avait dégainait à l'approche du chevalier, un coin sombre d'où on pouvait entendre un hennisement.

Le chevalier s'approcha du coin et déclara d'une manière solanelle:

Je suis Gebir chevalier du Prince qui m'a mandé pour vous escorter vous et le sénéchal à Minas Tirith.Je me tiens à votre disposition dès à présent.

Tanarith leva la tête vers le nouveau venu, puis ouvrit ses yeux laissant apparaître les orbites vides. Il prit une profonde inspiration et lui dit:

-J'espère que votre courage est aussi grand que la place que vous occupez noble chevalier du Prince, et que votre hongre est rapide car il nous faudra faire vite: l'homme est en piteux état! Allez vite vous préparez au départ si ce n'est déjà fait, ensuite vous m'aiderez à attacher le sénéchal sur mon cheval, à moins que le votre ne soit plus robuste auquel cas c'est vous qui prendrez Harald. Nous partons dès que possible et nous ne nous arréterons que très peu car si nous voulons que le sénéchal vive nous devons vite atteindre ces Maisons de Guérisons!

Dans la tente le sénéchal délirait toujours...

//hrp: voyage dans la rubrique "Les terres sauvages" rdv là bas Gebir //



Après 3 jours un messager arriva près de Berund de la part du mage, voilà ce que disait le message:

"Berund et moi-même sommes arrivés aux maisons de guérisons, je pense que votre homme est hors de danger... Cependant les soins là-bas sont honéreux et je ne puis me permettre de payer moi-même pour la guérison de votre sénéchal!
Ainsi je me permet de vous demander d'envoyer un coursier pour payer les soins.

J'ai été très heureux de vous servir mon seigneur, si vous avez encore besoin d'aide n'hésitez pas à me faire mander.

Tanarith ou Ambremage, comme vous voulez..."