L'arrivé d'un vieil ami...

La journée s'ammorçait bien pour Horgeon. Il avait passer cette dernière journée à fêter leur victoire en Isengard. La fatigue se faisait paraître sur son visage ridé. Il avait revêtu sa plus belle armure, celle en mithril évidement. Les portes est et ouest étaient solidement gardées. Une autre escapade d'elfe pour enlever le souverain ne se reprodura plus. Les runes étaient refaitent, les portes, plus lourde, et la garde, plus féroce.

Horgeon attendait, devant l'immensité du Caradhras. Il attendait Nabz le ranger... La journée prométtait... En attendant, la charette ce dernier était lente, très lente. Il avait apporter tout ses meubles, avait-il dit dans sa dernière lettre. L'humain allait habiter en moria un bon momment. Les nains en auraient besoin.

Sombre-chêne avait voulu faire quelques pas avec Eleriol pour parler de tout ce temps qui les avait séparé. L'émotion était forte. Leurs pas les conduirent jusqu'aux portes de la Moria. Ils n'étaient pas peu content de respirer à nouveau l'air frais. L'herbe fraiche était un contact agréable comparée à la pierre dur et froide. Le sourires étaient sur les visages des deux elfes. Alors qu'ils se taisaient pour observer une periode de silence et pour remettre de l'ordre dans toutes ces pensées qui avaient envahies leur esprit en si peu de temps, Nabz arriva. Sombre-chêne intrigué par la présence de cette homme, vint à sa rencontre:

Bonjour à vous et bienvenue si je puis me permettre de vous la souhaiter! Qui êtes-vous? Vous êtes appremment de grands amis, le général et vous, mais je n'ai pas eu l'occasion de vous rencontrer. Je suis Sombre-chêne, rodeur elfe ici pour aider le peuple nain.

C'était une grande joie de rencontrer cet humain! Bien que les nains soient forts symapthiques, sa compagnie serait la bienvenue.

Ainsi c'atait une personne importante. Nabz ne serait pas de trop. Sombre-chêne espérait que ce caporal serait plus raisonable que certains nains et n'avait la même détermination qu'eux à exterminer les ennemis. Il voulut le lui demander, mais se ravisa au drenier moment. Horgeon était juqte à côté, la question devait donc être intelligemment posée. Après un instant d'hésitation, le ranger dit:

Si l'occasion se présente, seriez-vous indulgent envers votre opposant? Dans la limite du possible bien sûr.

Il espérait avoir bien parler.

Sombre-chêne fut rassuré. C'était la réponse qu'il voulait entendre. Il dit:

Voyez-vous, ces elfes que nous combattons semblent être manipulés par un être inconnu et sans doute puissant. Lors du dernier combat, j'ai mis toutes mes ressources à assayer de convaincre certains elfes que le combat qu'ils menaient était désespéré. Je vous pose cette questions pour savoir si vous ferez de même si besoin est. Je comprend la colère des nains face à l'affront qui leur a été fait, mais je tente de limiter les morts. Défendrez-vous ma cause?

Sombre-chêne l'espérait. Une voie de plus serait sans doute convaincante. De plus que le caporal ranger avait derrière lui des années d'expérience, tandis que Sombre-chêne, même s'il était plus vieux que Nabz, avait une expérience de la vie réduite. Effectivement, il n'avait que peu quitté la Forêt Noire avant de partir. Il espérait qua par ses paroles, il n'offenserais pas le général et ne mettrait pas dans une position embarassante Nabz. Dans ce soucis, il dit:

Mai/bs je respecterai votre choix de ne pas assayer de sauver quelques elfes, car je n'ai ici aucune autorité.

//sombre-chêne est vite en affaire^^//

Horgeon fut surpris par l'arrivé de l'elfe. C'était supposé être secret! Malheureusement, aucun nain ne croyait ne pas pouvoir être entendu par les grandes orreils elfe. Dès que le ranger eu fini de l'interogé, Horgeon éleva le bras pour le mettre le plus près de l'épaule du ranger. Il récita quelque mot et les invitèrent à rentrés. Plusieurs nains regardaient l'elfe et l'humain dans les mines. Ils ne se posèrent pas trop de question puisqu'ils étaient surveillé pas le général.

-Ha, tu verras, ça l,air sombre au premier coup, mais nous sommes en jours de deuils... Sinon, habituellement, nous éclairons avec des lampes. Nous allons tout mêttre à la caserne. Qu'est-ce que tu en dis?

Nabz n'avait pas répondu. Sombre-chêne ne lui en voulait pas. Il était vrai que le ranger avait pris l'humain au dépourvu. Il s'était un peu précipité. Pour un homme de parole, ce n'était pas une bonne chose. Il devait en prendre compte pour les fois suivantes où ses capcitées de parleur seraoent mises à l'épreuve. A la question du caporal, le ranger voulut répondre, mais laissa sa bouche fermée. La question ne lui avait pas été posée. Encore une fois il avait été sur le point de prendre l'initiative. Il ne devait pas oublier quelle était sa place. Alors qu'il crispait les mâchoires de peur de dire d'autres idioties, quelqu'un lui tapa discrètement sur son épaule. Il se retourna at vit Eleriol. Ce dernier dit:

Sombre-chêne, je ne suis plus à ma place ici. Ces affaires ne me concèrenent plus. De plus, j'ai peur de retomber dans... Tu me comprends. Je veux me faire pardonner. Mais comment?

Si tu restes, tu pourrais nous fournir des inforantions, mais je respecte ton choix. Mais tu pourrais me rendre un service... Lors de mon séjour à Minas Tirith, j'ai vaguement entendu parler d'un marchand se nommant Asthrabal. Sa boutique se trouve dans le Lossarnach. Il vend des choses... très rares, et très chères. Voici des pierres et 3500£. Vois ce qui pourrais m'interreser. Mais ne veux-tu pas encore rester quelques jours?

Non. J'aimerais rester, mais c'est trop dangeureux pour moi et pour vous.

Comme tu voudras. Je te confie Niphredil, ma jument. Elle est docile, rapide et endurante.

Après une dernière accolade, les deux elfes se séparèrent. Les retrouvailles avaient été courtes... Sombre-chêne se retourna et ratrappa Nabz et Horgeon qui avaient pris de l'avance.

Sombre-chêne regarda evc étonnement Derïn. Apparemment, Nabz était connu chez les nains. Le ranger repensa à la question qu'il avait posée au caporal. L'embarassement de ce dernier se comprenait mieux encore. Si l'humain était haut dans l'estime des nains, il aurait évidemment du mal à choisir entre l'indulgence et la mort. Le ranger recula, laissant Nabz et Derïn se retrourver. S'il avait eu sa cape, il aurait rabattu sa capuche sur sa tête. Il se glissa dans l'ombre et attendit le moment propice pour refaire son apparition dans la discussion. Il en profité pour réfléchir quelques temps sur la situation. Quel pouvait bien être le plan de l'ennemi? Où étaient ses hommes? Comptait-il faire une autre action d'éclat? Une idée s'insinua dans l'esprit de l'elfe. Un danger... Il l'avait déjà évoqué, mais sans se rendre compte de la véracité de celui-ci. Bien sûr il espérait avoir faux. Et si cet être agissait sur un autre plan que les attaques, les enlèvements. S'il savait quelque chose que les nains ignoraient. Tout cela aurait un effet... Bien sûr le peuple des montagnes était robuste mais jusqu'à quel point? Et s'ils avaient trop confiance en eux? Sombre-chêne eut un léger frisson. Peut-être était-ce lui qui devanait fou, voyait le danger tout autour de lui. Mais ne valait-il pas mieux être prudent que de se croire invincible? Il dirait son hypothèse plus tard... Bien sur les nains le contrediraient, mais peut-être que Nabz...

//ce ne serait pas plutôt la SCNF? Tu cas, y'a juste Derïn pour sortir ça!//

Ha!... La discution continuait de plus belle. Les belles retrouvailles, les éclats de rire... Tout semblait près à finir devant une bonne choppe. Le pacifiste semblait troublé, presque géné... Mais... Où était-il? Baf étrange, pourtant, l'on sentait sa présence. Le temps passait, le cheval de Nabz avait été tranporté vers les écuries de Khazad-Dûm au pied du Zirak-zigil, et ils était arrivé à destination.

Une majestueuse habitation se dressa devant eux. Deux statues de Nain I pointaient leurs haches sur eux, comme si ils les accusaient. Ces statues avait été construites au deuxième âge, lorsque les orcs commençaient à être un peu trop insistant. La bâtisse était, comment dire... très... restaurée. Les orcs c'étaient un peu trop plu à l'habité lors de leur invasion. Elle faisait trois étage et était construite avec
Horgeon présenta, avec joie, la bâtisse.
-Seconde demeure de Nain I, de la lignée de Durin l'immortel. Tu habiteras le deuxième étage. Je vais t'y ammener.
Ils montèrent le escalier de loin trop petit pour un humain.
-Bon, il faudra régler ce problème... Maintenant admire!!!

Ils étaient dans une grande salle, délimité par quelque mur, faisant le forme d'un demi hexagone. La salle était certe vide, mais les fenêtres était face à un puit de lumière. Vous comprendrez pourquoi Horgeon avait choisi cet maison.

Sombre-chêne, toujours dans l'obscurité contempla la pièce. Elle était plus spacieuse que sa chambre. Enfin, il n'avait pas à se plaindre. Il ne devait pas. Il devait s'adapter. Il mit fin à ses réflexions. Il pensa à révéler ses criantes, mais se retint. Le moment n'était pas propice. Il était aux retrouvailles et à la joie. Plus tard, il parlerai. Il srotit de l'ombre et s'avança vers Nabz et le nains. Il dit:

Il est vrai que cet demeure est belle. Vos talents de construction sont inébranalbles, comme vos oeuvres. Les changements opérés pas les orques sont invisibles. Magnifique travail.

Oui, c'était ça, s'adapter. Si le sujet avait été abordé maintenant, il aurait été acceuilli avec septisme. Pour plus tard. Il attendrait le moment propice. Ne pas se précipiter...

Sombre-chêne se sentait un peu comme étrangé. Mais il ne pouvait partir comme cela, même s'il pensait que cela serait bénéfique aux nains et au ranger. Il dit donc aux trois amis:

Y a-t-il quelque chose que je puisse faire? Je me ferais un plaisir de vous aider.

C'était vrai. De plus, il devait réfléchir à toutes ces idées qui traversaient son esprit. Mais peut-être, comme il l'avait pensé beaucoup de fois, deveniat-il fou, cherchant le mal là où le bien régnait? Il ne savait pas. Il attendit la réponse, impassible.