Espionnage d'Uruk-Haï

Sombre-chêne et les rangers chevauchaient depuis plusieurs heures, le caporal en tête. ils se dirigeaient à bride battue vers L'Eastfold, lieu de campement présumé des Uruk-Haï. Les rochers et les villages se succédaient. Lorsqu'ils croisaient les derniers paysans qui avaient mis du temps à accepter de se séparer de leur maisons, les éclaireurs pouvaient voir dans leurs yeux la peur. Peut-être la vue d'elfes les réconfortait? Sombre-chêne l'espérait. Mais il ne savait si ce réconfort était justifié. Alors qu'il pensait au destin du Rohan, il sentit un paquet derrière lui. Il se retourna prudemment pour voir les extrémitées d'un arc noir soigneusement enroulé dans un tissu de velours. Se pouvait-il que ce soit...? Il ne pouvait vérifier maintenant. Une tâche l'attendait.

Jolane sur son destrier du Rohan vint se positionner près du nouveau caporal. Il se permit de prendre la parole.

Caporal, caporal!
Je me suis permit de me joindre à vous j'espère seulement que mes capacités de rôdeur seront à la hauteur par rapport aux savoir de ces elfs qui nous suivent. Mais leurs présence est plus réconfortante que n'importe quelle autre présence malgré la guerre qui approche. Quelle tactique allons nous employer, allons nous les attaquer ou seulement localiser leurs positions?

Le caporal semblait plus concentré sur la stratégie à employer qu'a répondre à un jeune homme. Il tourna finalement la tête vers Jolane.

Sombre-chêne répondit au rodeur:

Nous n'avons pas reçu comme mission d'éliminer les Uruk-Haï ou d'affaiblir leurs forces. Notre seule tâche sera de receuillir le plus de renseignements possibles. Bien sûr, il sera peut-être nécessaire de sortir les armes, mais seulement pour se défendre. Je ne pense pas que des actions d'éclat soient très judicieuses. Donc soyez le plus dicret possible.

Ils arrivèrent enfin en vue du campement Uruk. Il eut été impossible de dénombrer les guerriers ennemis tellement leur nombre était grand. Sombre-chêne décendit de sa monture et s'approcha le dos courbé. Il avisa un rocher et se cacha derrière, ne faisant apparaître que ses yeux. Il aprcoura lentement le paysage du regard le paysage. Tout à l'Est brillait le Glambir //je ne suis pas sûr le l'orthographe// et au Sud les Montagnes Blanches. L'elfe reconnaissait l'endroit, il y était déjà passé. Ainsi, l'armée formait une sorte de quart de cercle délimité par les obstacles naturels cités plus-haut. Même si cela empêchait toute fuite, les Uruk-Haï évaitaient ainsi tout encerclement. Le caporal se retourna et regarda ses compagnons et leur intima de se mettre à l'abri de tout regard. Il put voir une lueur de doute dans les yeux du dénommé Olryx. Sombre-chêne ne pouvait savoir à quoi il était du, mais espérait que ce n'était pas à cause de la présence du rodeur. C'était à cause de sentiments comme ceux-là que l'amitié avait du mal à revenir entre elfes et nains.

Sombre-chêne tenta de se rapprocher et courut vers un autre rocher pour s'y dissimuler. Ce positionement n'était pas tellement utile, car l'armée était si grande et éttendue que s'approcher de quelques mètres ne changeait pas grand chose à l'affaire. Le caporal put entendre des hurlements de Wargs (tu acceptes Firion? car dans les livres c'est seulement les orques qui les monte.) et les grincements de machines de sièges. Le tout formait une masse compacte qu'une charge de cavalerie aurait du mal à percer. Des piques se hérissaient vers le ciel. C'est à ce moment qu'une chose frappa le ranger : on ne voyait aucune tente. Etait-ce simplement du à cause d'une vision cachée ou les uruks n'avaient dressé aucun camp? Il resta là encore quelques instants, puis revint auprès de ses compagnons.

Sombre-chêne remonta en selle sous le regard étonné d'un des rangers. Le caporal le vit et dit:

Rassurez-vous, nous ne repartons pas tout de suite. Nous allons faire le tour du camp. Je vous le répète, si un ennemi s'approche, cachez-vous. S'ils nous voient et que nous les éliminons, nous risquerions d'attirer l'attention. Cela en soi n'est pas le plus grave car nous pourrions partir sur nos montures, mais les Uruks auraient eu ainsi vent de nos espionnages et pourraient en déduire une attaque prochaine. Mais maintenant formons deux groupes : je pars avec cinq rangers vers les montagnes, dit-il en désignan Olryx et le rodeur, les autres partez par la plaine. Nous nous rejoindrons à la rivière. Allez, et faites attention. //regardaez la carte pour mieux vous situer : nous somme à l'est de l'Eastfold. La rivière dont je parle est le Glambir//

C'est ainsi qu'ils se séparèrent. Le caporal murmura quelques paroles elfiques à Niphredil pour l'encourager dans la montée des contreforts des Montagnes Blanches. Mais l'ascension pour contourner le camp devait se faire assez haut pour profiter du couvert des rochers. Arrivés à une hauteur assez raisonnable pour pouvoir observé et ne pas être observé, ils s'arrêtèrent. Mais à une cinquantaine de mètre d'eux se tenaient deux Uruk-Hai qui s'approchaient des rangers à pas lents, effectuant leur ronde de agrde sans conviction apparente. ils n'avaient pas encore vu le petit groupe.

Les deux Uruk-Haï se rapprochaient, armés de lourd boucliers et d'une large cuirasse. Jolane lui décida de prendre son arc et d'encocher une flèche et visa la gorge de l'un des monstre. L'arc bandé, il attendis l'ordre du caporal pour tirer. Mais ce dernier ne semblait pas vouloir se battre si près du camp.

Quelques arbres les dissimulaient mais ils seraient vite visible aux yeux des Uruk. Jolane remarqua un elf prêt également à se battre, il portait une épée et un poignard dans ses mains.
Nous voulions tous plus ou moins se débarrasser d'un maximum d'ennemis avant la grande bataille qui se préparait en Rohan.

Sombre-chêne fit un signe de la main à Olryx visant à ce qu'il se calme. Se caher, malgré le relief et les rochers, n'était pas facile. En effet, leurs montures accompagnaient les rangers. Le caporal appliqua sa main sur les narines de Niphredil et tenta de se mettre face au vent, mais il était trop tard. Déjà les Uruk-Haï étaient proches. Heureusement, ils semblaient plongés dans une conversation et ne faisaient que peu attention à ce qui les entourait.

A ton avis, dit l'un, il vont rester dans leur trou ces dresseurs de chevaux?

Je sais pas. Il parait qu'ils auraient envoyé des éclaireurs. Sûrement pour voir notre puissance! Ces lâches n'ont aucune chance. j'espère qu'ils vont se terrer à nouveau dans leur forterresse. Cette fois il n'auront pas de renforts.

On m'a dit que des elfes étaient arrivés...

Des elfes. T'as peur d'eux? Tu m'fais bien rire! En tout cas j'en ai merre d'attendre ici. Certains sont montés pour voir si il y avait un passage par lequel on pourrait "s'enfuir". Tu parles... Mais bon les ordres c'est le ordres et...

Tais-toi! Regarde...

Et celui qui venait de parler montra une chose que les elfes et l'humain ne purent voire. A ce moment arrivèrent du Sud (des montagnes) dix autres Uruk-Haï. Eux aussi virent ce que montrait le premier et regardèrent alentour en reniflant bruyament. L'un d'eux dit:

Je les sens... Mais où sont-ils?

En entendant ces paroles, Sombre-chêne s'assombrit. Ils auraient très bien pu s'enfuir à cheval, mais la nuovelle que des espions rodaient dans les parages se confirmerait alors. Mais le combat était à un contre deux... Malheureusement, il semblait désormais inévitable. Il dit aux autres tout bas:

Venez, nous allons mener ce combat à un endroit plus "discret". Nous n'avons désormais d'autre chois de nous mettre à découvert. Mais reculons pour nous écarter de cette endroit qui semble être assez fréquenté. Faisons mine d'abord de fuir.

Ce qu'ils firent. Les Uruks les poursuivirent sur une centaine de mètres, puis s'arrêtèrent. Les six compagnons en firent autant. S'ensuivit un bref échange de regards, puis les douze ennemis chargèrent les éclaireurs qui les attendirent de pieds ferme. Le choc allait se faire dans quelques instants...

Les Uruk-Haï chargeaient en hurlant, Sombre chêne avait bien choisis le lieu du combat puisque les cris et les bruits de la bataille ne pouvait s'entendre du camps de ennemis, des arbres et un talus empêchaient les sons d'y accéder.

Quelques flèches partirent des rang des elfs et abattirent deux Uruk, à présent les ennemis n'étaient plus que dix.
Il était trop tard pour tirer d'autres flèches, tout le monde dégaina son épée ou son arme de prédilection. Jolane s'empara de Gleal, son épée rohirrim et se protégea derriere son bouclier pour l'impacte.

Il fut violent, en effet les Uruk-Haï sont puissant et fort contrairement aux orques maigrelets. Jolane après avoir combattu contre un monstre, l'égorgea d'un coup sec et précis, il vit un instant Olryx tuer un Uruk à l'aide de son poignard.
Le combat continua avec acharnement...

Olryx et le rodeur se battait bien. Même très bien. Mais tous n'avaient pas leur dextérité et leur force. Ainsi une ranger elfe mourut, et un autre fut blessé au bras. il était désormais dans l'incapacité de se battre. Mais trois Uruk-Haï moururent sous les coups précis des elfes restant. Sombre-chêne, quant à lui, se défendait avec force. Ses dagues trnchèrent la gorge d'un Uruk-Haï. Un autre ennemi se précipitait vers le caporal qui s'écarta pour laisser trébucher son adversaire. L'elfe l'achevad'une de ses lames. Il fit ce geste non sans gêne. Même si c'était un Uruk-Haï ou un orque, Sombre-chêne n'aimait pas l'idée de tuer ainsi un adversaire. Mais il n'avait pas le choix. Derrière lui il entendit un cris : un autre ranger venit de succomber. Il ne restait plus que deux ennemis. Le rodeur et le ranger auraient tôt fait de l'éliminer. Le caporal se mit sur un promontoire pour observer les alentours à l'abri d'un buisson. Les hurlements uruks avaient attirés l'attention de quelque-uns de leur "amis", mais ces-derniers ne bougèrent pas. Le ranger se pinça les lèvres. Avait-il fait le bon choix en choisissant le combat. Il ne pouvait le dire. Mais il avait appris plusieurs choses : les Uruk-Haï cherchaient un endroit pour éventuellement s'échapper à travers les montagnes. Il fallait trouver ce passage. Mais la vitesse était de mise à présent : qui savait si d'autres ennemis n'allaient pas arriver?

Il restait deux Uruk,Olryx et Jolane échangèrent un regard à la signification simple,chacun en tue un.Olryx voulait faire duré le combat.Il rangea son épée et prit son poignard à une main.L'Uruk en profita pour pour attaquer Olryx s'avança au dernier momentpassant au niveau des mains de l'Uruk.D'un geste circulaire il trancha les deux mains au niveau des poignets.Olryx enfonça son poignard dans le jambe de l'Uruk pour le forçait de se mettre à genou.L'épée d'Olryx décrivit un arc de cercle avec au milieu la tête de l'Uruk.Le tête de son ennemi tomba à terre puis son corps s'effondra.Le semi-elfe essuya ses armes et les rangea.Il s'approcha de son caporal.

"Caporal comment allons-nous faire pour dissimuler le combat,nous pourrions emmener les corps plus loin et nous débarassé,il faudrait récupéré les flèches également mais pour les traces de sang je n'ai pas d'idée."

Le caporal considéra queqlues secondes Olryx, puis dit:

Dissimuler le combat? Ce la risque d'âtre difficile. Nous n'avons que peu de temps nous ne pouvons nous préoccuper de cela. Mais peut-être aurons nous de la chance.

En effet, Sombre-chêne avait omis un fait et s'éattonnait de l'avoir fait. l'armée qui était en face d'eux était indénombrable. Un grondement puissant s'en élevait, et les cris d'une dixaine d'Uruks sauraient-ils être plus puissants que ceux de leur congénères? Certains avaient certes levés la tête, mais le caporal espérait que leur curiosité allait se dissiper. L'elfe fit part de ses pensées au ranger, puis se tourna vers le rodeur qui venait de terrasser son adversaire (désolé si je prend un tout petit peu l'initiative, tu pourras dire comment tu l'a tué dans ton prochain post). Les pertes avaient été importantes proportionnellement au groupe de départ: deux morts et un blessé. Le caporal dit à ce dernier:

Vas, rejoins les autres. Dis leur notre mésaventure. Nous montons pour trouver le chemin par lequel les Uruk-Haï comptent s'échapper.

L'elfe obtempéra. Sombre-chêne regarda avec tristesse les deux corps des rangers. Il avait de la peine à les laisser ici sans sépulture. Mais il devait s'yrésoudre. Il les mit sous un arbres, les mains jointes et tenta de les dissimuler avec qulques feuillages. Il se leva, murmura quelques paroles elfiques, puis commença la montée. Il dit à olryx et Jolane:

Soyez attentifs à tout ce que vous voyez. Si vous trouvez quelque chose d'utile, dites-le moi.

//Comme je vais être absent, est-ce que un autre anim ou quelqu'un du satff peut prendre la relève? Merci d'avance//

Apres une petite demi-heure de recherches, ils trouverent ce qu ils cherchqient : a l´abri d´un col serpentqit un chemin d´une dixaine de metres de large aui s´enfoncait dqns lq montagne. Il devait ressotrir a quelques dixaines de kilometres. C´etait surement ce passage qu´allaient emprunter lesUruks en cas de besoin. Il etait certes etroit mais offrqit une possibilite de fuite. Ces informqtions interrsesseraient surement les superieurs du caporal elfique. Sombre-chene tourna la tete a la recherche d´un nidice qui lui permettrait de retrouver ce lieu, puis fit demi-tour.

La descente fut plus ardue que la montee : les pierres se derobqient sous les sqbots des chevaux. Les cavaliers faisaient tout leur possible pour retenir leur montures et ne pas se fqire remarquer. Au loin ils purent voir les qutres elfes aui les attendaient. Les rqngers se dirigerent vers eux en se dissimulant dqns le relief.

//Je suis sur un clavier allemand...//

Les deux groupes se rejoignirent enfin. Sombre-chene put voir la tristesse sur le visage des cinq rangers qui etaient passes par la plaine. Les deux elfes morts leurs etaient des etres chers et leur perte leur etait difficile. Ils firent cependant en sorte de contenir leur sentiments. La guerre n´epargne que rarement les soldats belligerants. Le caporal prit finalement la parole:

Les troupes elfiques se trouvent aux chutes de Rauros. Il me semble me souvenir que notre general allait s´y rendre. Nous allons donc aller de ce cote, rapporter ce aue nous avons vu et attendre les ordres. En route maintenant!

C´est ainsi qu´ils partirent, laissant derriere eux la menace Uruk. Quelques heures plus tard, le camp elfique etait en vue.

le camp, si l´on pouvait l´appeler ainsi, Uruk se présentait à nouveau à Sombre-chene. Il semblait imopssible de dire combien étaient les ennemis. Après quelques secondes d´observations, le caporal dit aux trois rangers:

Nous avons trouvé une passe dans les montagnes là-haut. Nos objectifs sont de tirer le plus de renseignements possibles sur cette passe, la position des Wargs et des machines de siège. Mais si vous arrivez à décler d´autres renseignements, faites m´en part. Maintenant rapprochons-nous. Et rappelez-vous : la discrétion est de mise!

//C´est pas très long mais c´est pour que vous puissiez poster. J´ai pas trop le temps. Une dernière chose : évitons les combats. Merci d´avance//

Olryx aquiesa.Il laissa son cheval un peu à l'écart et descendit.Il quitta le groupe.Le vent soufflait faisant voler les cheveux gris-bleu du semi-elfe.L'odeur de pourriture que dégageait le camp était une infection.Mais une telle odeur provenait d'un nombre phénoménale d'ennemie ce qui réjouissait Olryx(il est pas un peu fou?).Son poignard caché dans sa cape il parcouru rapidement un certaine distance jusqu'à arrivé à un point ou il pouvait voir la passe.


HRP:Désolé j'ai pas pu faire plus long.

Sombre-chene vit Olryx s´écarter. Il fit mine de le rappeler mas se ravisa : Ils obtiendraient plus rapidement ce qu´ils désiraient s´il se séparaient et seraient moins visibles. Il dit donc à Erkhil:

Allez avec Olryx et explorez cette passe. Quant à vous Hataldir, vous viendrez avec moi. Nous nous retrouvons ici dans deux heures, moins si nécessaire. Si au bout de ce laps de temps un des groupes est absent, l´autre part pour Edoras sans attendre. Allez!

Le caporal déscendit de Niphredil et contourna le camp par le Nord suivi de près par Hatadir tandis que les deux autres rangers partaient vers le Sud. Au bout de quelques minutes de marche silencieuse, Sombre-chene dit à son compagnon:

Mettez tous vos sens en alerte. Chaque détail peut etre utile, ne l´oubliez pas. Allons vers cet escarpement, nous pourrons y voir sans etre vu.

Une fois arrivé, Sombre-chene scruta le camp des yeux. Il entendit à nouveau les hurlements des Wargs. Le doute n´etait plus permis sur leur présence.

//Hataldir tu peux décrire si tu veux. Si une idée te vient à l´esprit, n´hésite pas! Idem pour Olryx et Erkhil : vous pouvez improviser opur la description de la passe, dans la limite du raisonnable bien sur...//

Erkhîl descendit prestement de son cheval, et en quelques foulés rejoignit Olryx. Ensemble, ils s'avancèrent, progressant par "bond", profitant de l'escarpement et des moindres recoins du terrain. Ils ne souhaitaient ni l'un ni l'autre être découvert par des sentinelles ou un éclaireur resté en arrière. Les parois de la passe s'élevaient à plus d'une centaine de pieds. Du camp orque situé au fond de la passe s'élevait les cris gutturaux des orques.

<< Seul un fou remettrait la direction d'une armée entre les mains d'un orque. >> Pensa Erkhîl. Il ajouta mentalement qu'une armée aussi indisciplinée ne pourrait jamais triompher d'une puissance bien organisée.
S'étant avancé encore de plusieurs dizaines de mètres, il n'avançait maintenant qu'avec la plus grande circonspection. Sa nuque se hérissa lorsque une boule de poil tigrée s'arrêta entre ses jambes. Il aurait voulu avoir le temps de s'emporter contre khialei, mais la mission de reconnaissance passait avant tout. Maudissant intérieurement son fichu chat, il continua à s’avancer restant toujours à couvert et prêt à aider Olryx en cas de besoin .
Ayant franchi un point légèrement surélevé, il eu un léger aperçu des troupes ennemis, qui tel un grand nuage sombre s’étendait jusqu’aux rives scintillantes du Glambir…

Se camouflant derrière un rocher, Khialei contre son flanc, et il regarda autour de lui. La passe était assez étroite, juste assez pour qu’une trentaine de cavaliers puissent passer de front. Cependant bien d’avantage de fantassin serait à même de passer, les parois n’étant pas trop inclinée. Il remarqua cependant que partout s’étendait de gros rocher, et très peu de végétation. Sans des arbres pour maintenir les sols, ceux ci devaient être extrêmement fragile. Dans son Esprit une idée commença à germer et un fin sourire cruel naquit sur son visage. Il caressa rapidement Khialei qui ronronna de contentement, lorsque Olryx s’approcha furtivement de lui, une main était posée sur le pommeau de son épée, et ses yeux luisaient de contentement...

Le "camp" n'était qu'une masse fourmiliante. Les reflets des armures jettaient mille feux sans cesse mouvants. Le bruit était également imoprtant : cris, hurlements, roulements... Tous cela se mélait pour former une cacophonie presque insoutenable. Sombre-chêne tenta premièrement de repérer ce qu'il cherchait avec ses yeux mais ne savait où poser son regard. Il ferma donc ses paupières, expira et se concentra sur tous les bruits. Il tenta d'isoler dans son esprits les hurlements des Wargs et fair abstraction des autres sons. C'était une tâche ardue, et le caporal eut besoin de plusieurs minutes pour réussir. Il réouvrit ses yeux et regarda au Sud. A la limite Sud-Ouest du camp y avait-il un mouvement de formes sombres. Les Wargs. Sombre-chêne n'avait encore jamais eu l'occasion de voir une de ces créatures et ne les connaissaient que par les écrits, mais cela lui suffisait pour avoir une idée de leur force et de leur monstruosité. Après un instant de silence, le ranger partit vers un autre promontoire pour déceler l'emplacement des machines de sièges.

faisant attention ou il mettait les pieds, Hataldir continuais d'avancer et suivant Sombre-chêne, il scruta chaque coins et recoins de ce qu'il l'entourait, apres une ou deux minutes de marche, Sombre-chêne s'arreta, Hataldir arriva a sa hauteur et vis le camp uruk, il n'avait jamais vu un tel rasemblement, il n'avait non plus jamais vu d'uruk-Hai, des orcs oui, mais jamais d'uruk-Hai, on lui en avait beaucoup parler, mais les rumeurs etaient bien loin de la réalité. Hataldir identifia le camp avec grande attention, il y avait ici et là beaucoup de chamailleries entre eux, mais a chaque fois, un uruk plus grand et plus laid que les autres rétablissais l'ordre, si on povait appeler ca comme ca... il posa une question en toute discretion a Sombre-Chêne:

"j'ai toujour entendu que les uruk avait un tres bon flaire, comment cela fait-il qui ne nous sentent pas?"

il observait les uruk en train d'abattre des arbre dans la construction de divers armes et autres engins de toutes sortes.ils avancaient a une viteese folles, vu leur nombre ce n'etait pas compliquer.

Sombre-chêne resta muet un moment, réfléchissant un moment à la question du ranger. C'était en effet un problème qu'il n'avait pas envisagé, et pris de panique, regarda autour de lui de peur de voir arriver des Uruks. Mais aucun danger n'était visible. Après un instant de réflexion, il dit :

C'est en effet un risque qu'il nous faut courir. Cependant je crois que ce danger est minimisé par l'imoprtance de leur propre armée. Leur nombre empêche leur flair d'être efficace. Des centaines d'effluves doivent se croiser. Il est vrai que l'on pourrais dire qu'ils s'y sont habitués, et par conséquent que ce n'est pas un problème. Mais qu'est-ce que l'odeur de quatre elfes séparés face à celle de tous ces Uruks? De plus, je crois que l'on peut compter sur leur confiance : je ne pense pas qu'ils s'attendent à être espionnés, et mêmes s'y ils le savent, ont-ils vraiment peur de quatre misérables éclaireurs. Mais vous avez raison, nous nous devons d'être prudents. Mais présent, dites-moi si vous pouvez discerner l'emplacement de leurs machines de sièges. Je n'y parviens pas.

Le caporal attendit patiemment la réponse d'Hataldir, tout en observant l'armée.

Un bruit énorme s'éleva de la masse.A l'opposé du camp par rapport aux wargs se trouvaient un tas de bois duquel semblaient émergée peu à peu ce qui devait s'apparenter à des machines de guerre.Ayant perdu l'usage du fer et de l'industrie en même temps que leur leader, les Uruk devaient se contenter de machines moins précises et plus rudimentaires...
Partant du coin des machines un rocher marqué d'une croix rouge vint s'écraser à quelques metres des deux rangers dans une gerbe de poussière et de cailloux...Visiblement ils cherchaient à viser la passe.Mais leur tir était beaucoup trop imprécis et si qui que ce soit s'était trouvé dans la passe, il aurait éviter sans difficulté le tir.
Déjà partant du camp une paire d'uruk venaient voir ou était arrivé le projectile pour voir si il fallait oui ou non rectifier le tir...

[ils arrivent dans 10 minutes]

Hataldir acquiesça l'explication de Sombre-Chêne et commença a scruter le camp plus attentivement, du sud au nord de l'est a l'ouest il essayait de trouver ce qui pourrait correspondre a des machines de guerre, mais il ne voyait rien, si ce n'est toujours le fait qu'ils abattaient d'innombrable arbres, ce qui était fort louche, il regarda Sombre-Chêne et dit:

"peut-être ont-ils un autre emplacement, n'y aurait-il pas des grottes, des crevasses dans lesquels ils pourraient faire leurs machines en toute tranquillité? C'est fort probable qu'avec le nombre il se doutait d'être découvert, et qu'il était préférable de faire ca hors des regards indiscret, car la plus part des arbres qu'ils coupent, il n'y en a même pas le quart qui est utiliser dans ce camps, le reste, il est entreposer, ou bien utiliser ailleurs, bien-sur, je parle d'orcs et d'uruk, ils ne peuvent peut-être pas être aussi tordu que ça, mais on ne sais jamais"

alor, il recommenca a scruté le camp, dans l'espoir de trouver quelque chose qu'il n'avait pas vu avant.

//Juste pour que l'on se représente bien le cadre, je compléterais éventuellement par la suite//



Sombre-chêne tourna vivement la tête lorsque le fracas se fit entendre. Il suivit ensuite des yeux le projectile qui vint s'écraser au niveau de la passe. Il ne savait pas où étaient précisément Olryx et Erkhil, et de ce fait espérait que rien ne leur était arrivé. Ils étaient à l'opposé du caporal et toute aide semblait impossible. Des mouvements se firent voir et l'elfe aperçut un petit groupe d'Uruks se diriger vers le passage. Sombre-chêne retint son souffle, ne savant comment allaient réagir ses deux compagnons s'ils le pouvaient encore. Ayant écouté Hataldir, il dit:

Il est vrai qu'il auraient pu agir ainsi. A part la machine qui vient de tirer, je n'en vois pas. Mais elles sont peut-être tout simplement cachées par la masse ou protégées par des baches. Quant à ce dernier tir, je ne sais comment réagir. Testent-ils seulement leur engin ou veulent-ils le laisser là en prévention d'une chose? Je ne sais pas.

Après un autre moment de réflexion, le caporal reprit :

En fait, je ne pense pas que les machines soient regroupées dans une fausse ou autre. En fait il est plus probable qu'elles ne soient pas du tout regroupées. Ainsi placées elles perdraient leur efficacité en cas d'attaque. En plus, les uruks semblent en construire de nouvelles, et ce un peu partout dans le camp. C'est là mon opinion que je me suis construis en manque de preuves, mais je me tompe peut-être.

Sombre-chêne regarda à nouveau l'engin qui venait de tirer. Il avait l'impression que quelques chose lui échappait mais ne savait pas quoi.