Les épreuves... Joutes

Les inscriptions sont ok pour tous ceux sui veulent... Postez ici un RP, travailler le, et samedi:

Forlong entra dans la tente dans laquelle se trouvaient des hommes et un arsenal. Il se choisit une armure legere, couvrant l poitrine et les epaules. Il prit un lance legere du Rohan, et un bouclier rond en bois renforce de acier.
Il recut un cheval de Dol Amroth, une grande bete puissante pas tres rapide mais pouvant porter des grands poids et adaptee au combat. Cependant il refusa de choisir une autre epee que son fidele Lunerill du Arnor. Ainsi il sortit
de la tente, tete decouverte, ses longs cheveux blancs tombant sur ses epaules. Il monta a cheval et prit sa lance en main. Puis il dit d'une voix forte:
-Qui m'afrontera au combat?

Les juges se concertèrent puis, un d'eux s'avença vers gauvin et lui dit
- C'est vous qui affronterez ce mercenaire, courage
-Merci
Gauvin s'avença vers Forlong et lui dit :
-Bonjour Forlong, comment vas-tu, c'est moi qui t'affronterez à la joute.
Un écuyer s'avença vers Gauvin et lui donna son cheval, Gauvin prit son armure l'enfila, monta sur son cheval et on lui donna une lance, il fit avencer son cheval vers le lieu de joute et cria
- Et Forlong que le meilleur gagne !
Il regarda les juges pour voir quand il pourrait commencer !

Le Prince se tenais dans la tribune...

Les deux chevaliers allaient charger... Il en avait vu de nombreux, et encore des nombreux. Le Prince décida de se retirer, quand soudain, un chevalier lui glissa un mot a l'oreille.

Est-ce possible...

Oui, le Prince Aleth, du Gondor, était venu à Dol Amroth. Il y avait plusieurs raison à cela: la guérisseuse lui avait conseillé l'air de la mer, le Roy avait tenu à envoyer à Berund une marque de confiance, Aleth désirai parler avec le deuxième Prince du Gondor...

Les joutes s'interrompirent. Le Prince s'avança vers le Prince. Tous les regardaient.

Maintes bon mots furent échangés entre les deux seigneurs du Gondor. Puis, quand le Prince se fut reposé de son voyage, il vint s'asseoir au coté de Berund, et regarda avec attention la fleur du Gondor s'affronter...

Le mercenaire sourit lorsqu'il vit Gauvin. Il le salua et dit:
-Alors Gauvin, montrons aux seigneurs de Dol Amroth que nous savons nous battre!
Les deux hommes dirigerent leurs chevaux vers les deux cotes du terrain:un grand rectangle de terre couvert d'herbe. Les lances etaient pas eguisees, afin d'eviter les accidents, mais les epees etaient tranchantes, les deux hommes devaient faire attention de ne pas se blesser trop grievement. Lorsque le Prince fit un signe de la main, les deux adversaires chargerent.
Le jeune chevalier du Gondor etait moins experimente au combat a l'epee que Forlong, mais avait passe toute sa jeunesse a s'entrainer au combat a la lance. C'est pour ca que lorsque les hommes se rencontrerent, la lance du mercenaire glissa sur le bouclier de Gauvin, tandis que celle du chevalier toucha la poitrine du mercenaire, qui s'ecroula par terre. Mais il se releva immediatement, l'armure qu'il portait absorba la puissance du coup. Il souria et fit un clin d'oeil au jeune chevalier. Puis il sortit Lunerill, son epee brilliante dans une main, et le bouclier dans l'autre. Il dit:
-Alors, Gauvin, tu preferes te combattre a pied ou a cheval?

Forlong para le coup de l'epee de Gauvin avec Lunerill, mais il ne s'attendait pas au coup du bouclier. Il bloqua partiellement le coup avec son bouclier rond , mais le metal de celui de Gauvin le frappa douleuresement a l'epaule.
Forlong reprit la position de combat. Son adversaire etait habitue a utiliser son bouclier, mais il utilisait son epee seulement pour l'attaque, et pas pour parer les coups. Forlong frappa sur la lame du jeune chevalier, afin de l'obliger a se defendre. Gauvin para le coup du mercenaire, mais il dut faire un pas en arriere. Forlong mit son bouclier au niveua de son ventre, et frappa avec Lunerill du haut. Le jeune chevalier dut mettre son bouclier au dessus de sa tete, et a ce moment il donna un coup de pied dans le genou de Gauvin. Celui ci se baissa de douleur et recula en arriere.

HRP/Juste une chose: à la base je suis sensé noter un Rp... Non une série. Alors si vous voulez bien avoir l'obligeance de me dire lequel je choisi, ou alors de refaire une joute...//HRP



Soudain, alors que le combat allait bon train, une dame s’évanouie dans les gradins, faisant tomber sur le fils du Roy Mephisto son chapeau. L'arrêt du combat fut immédiatement sonné, et les chevaliers séparés.


Maître Gauvain, son cheval perché,
Tenait dans sa main une lance.
Maître arbitre, par le combat attiré,
Lui tint à peu près ce langage :
« Et Bonjour, Monsieur du Gauvain.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre armure,
Se rapporte à votre force,
Vous êtes le Phénix des chevaliers de ce champs. »
A ces mots, le soldat ne se sent pas de joie ;
Et pour montrer sa belle force,
Il lance son cheval au galop, et percute son adversaire.

Tout, du moins, ce furent les paroles donné au seigneur Gauvain avant que la deuxième charge ne commence...

Les mêmes furent données au seigneur Forlong.


Ces paroles étaient les textes traditionnel qui précédaient la joute des Prince, dit aux chevaliers des joutes précédentes.

Le public se réjouie… Les Princes allaient se battre aujourd’hui…

HRP/ Donc un Rp sur la charge l’un contre l’autre. Aussi long que vous voulez. Vous ne pouvez donner le résultat de votre coup !!! Merci.//HRP

HRP J'adore cette tradition, le combat des Princes est precede par un extrait du "Corbeau et du Renard"... :P une vraie tradition de chevaliers. HRP

Lorsque les combattants furent separes, ils se remirent sur leurs chevaux et leurs positions. Les adversaires se regarderent, ils ne portaient pas de heaumes, leurs cheveux tombient sur leurs epaules. Le temps etait parfait pour le combat; il ne pleuvait pas, mais le soleil etait cache derriere quelques nuages blancs sur un ciel bleu. Une legere brise provenait de la mer, rafraichissant les adversaires et le public. Le terrain etait un grand rectangle d'herbe, les combattants n'etaient pas separes de poteaux comme c'est souvent le cas, car le combat allait probablement continuer a pied. L'armure que portait le mercenaire etait tres bien forgee; solide mais assez legere. Malgre qu'elle soit mons confortable que sa veste en cuir, elle ne genait pas trop ses mouvements. Il tenait Lunerill dans un fourreau lui donne par les valets du Prince attache a sa ceinture, u lieu de la position habituelle sur le dos. Le cheval de Forlong etait grand et puissant, de couleur noire avec des yeux brilliants. Il portait une armure sur son torse, qui servait a le proteger contre un eventuel coup de lance de l'adversaire.
Cet etalon etait pas tres pratique pour les longues distances, mais il pouvait developper une vitesse impressionnante lors d'un tournoi. La selle du cheval etait fort differente de celle d'un voyageur, elle etait adaptee a proteger le ventre du combattant et a le maintenir en sur le cheval lors d'un coup. La lance du mercenaire, faite de bois dur, etait pas aiguisee, vu que ce n'etait pas un combat mort. Le bouclier rond de Forlong etait fait en bois, mais les bords et le milieu etaient couverts d'acier. Ce bouclier, se trouvant dans l'arsenal enorme de Dol Amroth, portait les signes du Arnor: une epee bleue et un loup gris entoures de sept etoiles.
Forlong, se rappellant du coup de Gauvin lors de la premiere charge, changea la position de ses armes. Il mit son bouclier dans la main droite, au niveau de la poitrine, legerement penche pour qu'il puisse neutraliser la force du coup ennemi et que la lance de l'adversaire puisse glisser dessus. Dans sa main gauche, il mit sa lance. Il decida de viser au debut la poitrine de Gauvin, et au dernier moment changer de direction du coup. Le signe de la main du Prince Berund reveilla le mercenaire de ses pensees; il appuya legerent sur les cotes de sa monture avec ses bottes en cuir, le cheval, excite par le combat qu'il pressentait, se mit en route, et accelerait de plus en plus. Les adversaires s'approchaient l'un de l'autre, au moment ou plus que quelques metres separaient les deux hommes, Forlong changea la position de sa lance, visant maintenant dans la lance ennemie, afin de la devier. Les spectateurs retenirent leurs souffles...

Gauvin avait vu Forlong changé son bouclier et son épée de main, celui-ci avait compris ce que Gauvin essayait de faire.
Gauvin lui pris son bouclier dans la main gauche et sa lance dans la main droite, il n'aimait pas quand tous les regards étaient concentré sur deux personne dans ce cas ci ,lui et Forlong.
Gauvin et Forlong avait déjà souvent combattu ensemble, avait presque périt ensemble, mais Gauvin voulait se montrer à la hauteur du mercenaire et le seul moyen de monter à sa hauteur était de se battre avec lui , Gauvin ne voulait pas blessé Forlong, car il était pour lui comme un frère, mais il voulait gagner cette joute, il n'avait pas vu que le jeune prince de Minas-Tirith, quand il regarda dans les tribunnes, il le vit, encore une raison de plus pour prouver sa vaillance.
Son père Mephahisto était depuis bien longtemps sur le trone et il ne faisait aucun doute que le prince.
Gauvin remarqua aussi que le prince de Dol Amronth était là , celà devait lui faire bizzarre de voir les deux personnes qui avait espionner le duc, et qui s'était emprisoné pour des informations, le prince donna le signe du départ, Gauvin hurla
-Que le meilleur gagne !
Puis il épérronna son cheval, celui-ci se cabra puis se mit à trotter, puis à galoper, Gauvin tenait sa lance comme on lui avait appris, il devait soit faire tomber forlong de cheval ou bien viser la tête pour gagner et surtout casser une lance sur lui, telle était les moyens de gagner une joute, les cavaliers se rapprochèrent ...