Un éventuel retour à Minas Tirith stoppé...

Le mage errant et son jeune apprenti rôdeur, Aloïr continuait leur chevauchée vers Minas Tirith. Au bout du deuxième jour ils arrivèrent en face des Vieilles Bâtisses d'Isengard... La nature s'était emparé d'elle.

-Tu vois Aloïr, on raconte que le mage blanc, Saroumane qui vivait ici, a perri de la main des Ents et sa cité fut détruite... Cela nous rappelle que la Nature a toujours raison, quoi que nous fassions, elle nous rattrape.

Aloïr frémit... Il flatta l'encolure de son étalon, Alpeshim, et ils continuèrent la route.

Ils parvinrent à la trouée du Rohan, là ils rencontrèrent un groupe de paysan rassemblait autour de quelque tentes de peau. Ils avaient l'air hagard et parraissaient meurtris.

-Que s'est-il passer? N'aviez-vous pas un village.

Une femme se leva et prit la parole.

-Nous avons été contraint de fuir. Notre village se trouve trop près de la terrible qui doit avoir lieu entre des elfes, des nains des rohirrims et des ourouk-Haï...

-Des Ourouk-Haï dites-vous?

Tanarith prit Aloïr à part...

-Aloïr, c'est là que les Gobellins de la forêt se dirigent.

-Oui, Ambremage. Allons à la rencontre de ces armées, nous devons les prévenir pour les Gobellins, la villageoise n'a pas l'air au courant...

Ils partirent après s'être assurés que les paysans ne manqueraient de rien.