L'apres bataille...[Aux maisons de Guérison]

Morgoth poussa les portes de la maison et y entra, les soigneurs le virent et le prirent en chargent tout de suite, certains regardaient le lit où Dédain était morts quelques mois plus tôt avec éttonement.
Un réssucité...
Ils le soignèrent,et bandèrent sa machoire ,brisé, l'empéchant de parlé, car elles lui serraient la tête.
Les bandes passaient derriere sa tête mais Morgoth passa ses cheveux par dessus pour les voir le moins possible. De toute facon il reprendrait les combats même bléssé.
Les soigneurs s'occupèrent facilement de sa jambe dont la blessure était superficielle. La fleches sur le coté laisserait des marque a vie, les poumons était touché, mais la magie put soigner cela. La marque rèsterait tout de même.

Morgoth sortit donc a peine une heures plus tard, alors que les médecins et soigneurs ne voulurent pas, mais son épée fut plus convaincante...

Eleriol franchit les derniers mètres appuyé sur sa lame. Il poussa la porte d'un geste hésitant, puis entra. Le sang coulait toujours. L'elfe lève le regard, puis se laisse tomber sur le sol, trop lasse pour continuer. Il s'endort.

A son réveil, il était allongé sur un lit moelleux sous des draps blancs. Combien de temps sétait-il écoulé? Impossible à déterminer. Les fenêtres étaient cachées par des rideaux blancs eux aussi. L'elfe tenta de se redresser, et a son grand étonnement il n'eut presque aucun mal à ce faire. Il regarda sa blessure et constata avec satisfaction que sur le nouveau pansement n'apparaissait aucune tâche de sang. Un guérisseur qui s'était apperçu de son réveil vint le voir.

Vous voilà revenu. Votre survie était presque assurée mais nous ne savions pas à quel prix. En fait il est bien minime : vous sentirez peut-être lors de certains efforts un piquotement plus ou moins fort au niveau de la cicatrice, mais rien de plus. Vous resterez cependant quelque temps ici pour reprendre des forces. Vous n'êtes pas encore en état pour sortir et vivre normalement.

Le ton était doux mais sans appel. Le guérisseur fit un bref salut de la tête et s'en alla vers un autre blessé. Eleriol se réenfonça sous ses draps en apréciant leur chaleur. Il était bien.

NB : Ceci est le sujet pour les blessés, pas besoin d'en créer un nouveau pour chacun de vous
J'édite le titre pour raisons pratiques
Rada'

Un haradrim couvert de sng rentra en fracassant la porte.Il était couvert de petite cicatrice minime.Il s'approcha d'un lit,regarda le patient,et s'apercut qu'il était mort de ses blessure.Il attrapa le cadavre,ouvrit la fenetre et jeta le mort dehors.Il prit sa place dans le lit et s'endormit.

A son réveil,il avait des bandages de la tete au pieds.Un soigneur mécontent s'approcha.

-Eyh,vous avez rien a faire ici.Vos blessure ne sont que minimes,un pansement par ci,un pensement par la et basta!Vous etes au coin urgence!
-Ca va,tais toi le nabot.

Il se leva pesament et fixa l'infirmier dans les yeux.L'homme soutint un moment son regard,puis baissa la tete.

-C'est bon...Partez maintenant...
-C'est mieux comme ca...

Le pillard s'éloigna.

-Au fait,l'autre a fait une fugue et c'est gamellé par la fernetre...Allez voir au cas où...

Il sortit en entandant le cri de stupeur de l'infirmier découvrant un cadavre das les plantes vertes.

Eleriol ouvrit à nouveau les yeux. La lumière, bien que faible, l'éblouit un moment. Mais rapidement elle devint agréable. L'elfe se leva lentement, repoussant avec légèreté les draps. Les gérisseurs ne l'empêchèrent pas de marcher. Eleriol marchait doucement mais sans tituber. Sa blessure n'était plus qu'un léger picotement comme l'avait prédi le médecin auparavant. L'elfe se dirigea vers les jardins et se repu du silence environant. Quelques mésanges chantaient, le vent était doux, le paysage magnifique, le clapoti de l'eau dans la fontaine agréqble... Tout était beau et agréable. Eleriol ferma les yeux, heureux. Mais à présent il devait se rendre utile. Il fit demi-tour et sans un mot sortit de la maison de guérison. Sa blessure lui ocasionait un boitement très léger, mais rien d'autre. Il alla vers les blessés étendus par terre et aidez les autres soigneurs en donnant à boire, en pansant, ou simplement en parlant.

Un huissier apparu à la maison de guérisson, apportant les récompenses pour les participants. Silka Sorge, la maître d'escrime qui se tenait au chevet d'un des miliciens blessé, recu elle aussi une petite bourse.
Elle se força un sourire qui apparu d'avantage comme une grimaçe... Au fond, elle aurait préférer voir l'argent partir ailleurs.

"... L'argent ne guérris pas. "

Elle posa sa main sur le front de milicien, à peine conscient et souffrant d'une fière qui aurait surement raison de lui si les guérriseurs n'agissaient pas vite... Ils étaient pressés par la soudaine charge de travail, mais il y avait assez de personnel pour s'occuper de tout le monde... Après tout, ils n'étaient pas nombreux à avoir participer au raid.
D'ailleurs, peine cette pensée éfleura l'esprit de la bretteuse qu'un médecin apparu et la fit prendre congée.

" Merci madame, mais votre présence n'est pas nécéssaire. Allez prendre du repos ! "

Elle hocha affirmativement la tête en guise de réponse... Son attention distraite par les agissements des huissiers. Ces derneirs cherchaient des gens, énnonçaient leurs noms dans les maisons afin de récompenser les mourrants... Quelle pathétique scène.
Elle fut d'ailleurs surprise d'entendre que les mercenaires aux goulards gris qu'on appellaient les Griffes d'Ammoth reçurent une si importante prime. Curieuse, elle vérifia le contenu de sa bourse et découvrit qu'en plus de l'or, elle venait de gagner une demi-pierre.

" Encore ? "

Elle l'observa étrangement, l'air peu convaincue. Un des patients soupira d'un air reveur en voyant la pierre étinceller. Du coin de l'oeil, Silka aperçu cette personne et le questionna :

" Vous vous y connaissez en joalerie ? "

" Mais madame, c'est une pierre très rare ! De très grande valeur pour la collection... Il y a aussi un homme, un marchand du nom d'Asthrabal qui vit à Lossanarch qui échange celles ci contre des trésors ! "

" Ah ? "

La bretteuse scrutta avec d'avantage d'attention la sculpture de l'objet. Elle haussa les épaules, peu convaincue.

" S'ils peuvent servir... Autant que je me renseigne... "

Elle salua l'homme et lui souhaita un bon rétablissement avant de quitter l'endroit.

L'air dans la maison de guérison était vicié, et nombre de malades imploraientla mort de venir les prendre rapidement. Les cris et les agonies des mourants s'entendaient dans toute la rue qui surplombait la cité blanche. Combien de temps encore avant qu'un soigneur experimenté reprenne le contrôle de la maison de guérison?

Un homme expire au fond de son lit, quand une silouhette apparaît à l'embrasure de la porte. Ses habits immaculés signalent son apartenance au corps guérisseur de la cité. Cependant, de nombreuses armes attestent de sa fonction guèrierre.
Il passe silencieusement dans les rangs de lits, ou les malades attendent leur fin certaine. Soudain, comme animé par une force imperceptible, l'homme prend la parole, en désignant le mort.

"Sortez-moi cet homme d'ici, et ammenez le au charnier. Il me faut de la solerette pour celui-ci. Ou sont ces fichus plantes?"

Le nouveau venu fouille partout dans la maison, comme s'il en connaissait les moindres recoins.

"Je pars quelques années et on trouve le moyen de tout me chambouler chez moi!"

Il s'arrete de rouspéter, puis regarde tout le monde autour de lui. seul un sourire peut se percevoir sous sa lourde capuche blanche.

Haruka est de retour.

L'homme s'approcha à côté d'Haruka , puis il se posta devant lui , l'air grave il inspectait son collègue.

-Moi , c'est Kéliaran celui qui a pris ta place. Le vieux sage souria et lui serra la main.
-J'veux bien te rendre ta place , j'me fait trop vieux pour ce métier...Si t'as besoin d'aide , n'hésite pas a me retrouver à la Taverne , je crois que je vais demander une chambre à l'année...Il souria encore une fois et attendit la réponse de son interlocuteur.

"Oh! et bien bonsoir cher vieillard, si vos capacités sont proportionelles avec votre age, je ne vois pas pourquoi vous stopperiez vos activitées! Pour vous dire vrai, j'ai moi aussi à présent trouvé de nouvelles activitées pendant mon départ. Les gens de mon pays natal m'ont appris quelques...trucs utiles.
De plus, si tu tiens à arrêter, je ne vois pas pourquoi tu déménagerait! cette maison est à présent plus la tienne que la mienne!"

L'érange homme sort alors de la maison, en levant la main. On peut apercevoir un sourire s'échapper de l'étrange capuchon qui lui cache le visage.

"Nous nous reverrons ,c'est moi qui paye le coup à boire."

Kéliaran fit mine de réfléchir un instant.

-J'avais peur de laisser les Maisons a un incapable mais tu m'as l'air qualifié...Où se trouve ton pays ?

Soudain il changea tout au tout quand il lui a proposé un verre , il s'offusqua avec un grand sourrire :

-Pourquoi donc un verre ?! Un tonneau pardis ! Pour moi , la bière est le meilleur des médicaments. Il partit dans un rire étrange , presque mélodieux.

Nirco arrive dans sur son poney a toutes vitesse. Il entra dans la maison de guérison a toute vitesseen claquant la porte.Il vit une grande femme blonde et lui demanda d'un ton affolé

Madame madame ou puis-je aider?

Au même moment que nirco posa la question il vit tout les cadavre empiler dans un coin il trouva sa répugna. La salle était très grande, il y avait au moins 70 a 100 lit. Sur chaque lit il y avais un homme blesser. Plusieur avec seulement été coupé mais il y en avait quand meme un certain nombre avec des blessure plus serieuse.

la dame lui répondit: Premièrement commencer par vous calmé jeune hobbit. Ensuite vous irez poser des bandage sur la section du bas a droite.
Nirco se calma tranquillement et aller jouer son role dans la guerre guérir des blessé. Il posa des bandage a quelque personne qu'il avait déja croiser dans les ruelle. Son travaille était très stressant ,car il arrivait de plus en plus de blessé. Il pensait que d'ici une heure la salle allait être pleine. Il essaya quand même de paraitre sympathique envers les blesser en leur parlant de tout et de rien,mais en fait il savait bien que plusieur d'entre eux n'allait pas passer la nuit.

En regardant autour de lui , Nirco vis un tas de personne rassembler pres d'un lit, Il se dit pour commencer que s'était des amis du blesser mais après une ou deux minutes Nirco compris que s'était sa famille.Il entendit l'homme coucher lui poser une question et répondit.

Ahh cher Monsieur vous dormez depuis presque une journée. Attender je vais vous examiner... Vous m'avez l'air stable, vos blessure ne saigne plus. Je vais changer vos bandage sur le champ.

Nirco sortit un un rouleau de soie de sa trousse et le posa autour du ventre de l'homme. Nirco se dit que cet homme avais été bien chanceux de survivre,car il était dans les pirent blesser qu'il avait examiné.

Nirco demanda a l'homme:Quelle est votre nom cher humain?

Ses blessures devaient être plus grave qu'il ne le pensait vu comment le hobbit fit de son mieux pour que Van ne puisse les voir. Sa mère eut l'air inquiète et son père fier comme un paon de son fils qui avait tuer à lui seul le double de ce qu'avait tuer les deux beaux fils réunis! Sans compter qu'il avait tuer plusieurs géants et un chef de guerre et sauvé un elfe noir en chargeant seul la masse de sudérons. Tout cela, c'était Garn qui l'avait raconté, peut-être était-ce vrai pour ce qu'il sagissait des géants et du chef de guerre mais Van ne se souvenait pas avoir tuer tant d'homme que ça... Curieusement cela ne le dérangeait pas plus que ça, il avait été obligé et tuer ne l'avait pas effrayé. Le hobbit qui le soigna lui demanda ensuite son nom. Le vrai? Il ne le donnerait pas, Van n'était Van que pour ses proches.

-On me connait comme Del dans les rues de la Cité Blanche et je vous remercie de prendre soin de moi. Mais je pense que je vais vite retourner chez moi, ce n'est pas dans un lit que je gagnerais ma vie.

Van tenta alors de se lever un et un affreux vertige accompagné de joyeuse lumière l'obligèrent à retomber lourdement sur le lit.

*Et flûte! Comment j'vais faire moi si j'sais même plus tenir debout?*

hj: Ce que je mets entre * c'est des pensées et ce que je mets après un - c'est des paroles =) Je m'étais trompé dans mon post d'avant alors j'ai édité =)

Forlong reprit conscience lorsque le chevalier du Roy le frappa sur le visage.
La bataille etait apparemment finie.
Le Seigneur de Dol Amroth avait une longue blessure sur le torse, et une autre sur le bras, mais il tenait toujours dans une main la banniere haradrime.
Il remercia le chevalier, puis accompagne de ses amis, se dirigea vers l'infirmerie, ou, apparemment se trouvait l'Intendant.

Les guerrisseurs avaient enormement de travail des centaines des blesses attendaient leur tour. Finalement, ce fit le tour de Forlong.
Son torse et son bras gauche furent entoures de bandages.
Il se dirigea ensuite vers l'Intendant Radamanthe, qui etait occupe avec quelques generaux.
Il s'agenouilla, avec une legere grimace de douleur, et dit:
-Je suis Forlong, Seigneur de Dol Amroth.
J'ai des nouvelles importantes concernant la cite du Cygne et ses alentours.
Je suis sur que le Gondor a ete informe de la mort du Prince Berund.
Cette mort n'etait pas pour tout le monde une raison pour pleurer...
Une grande partie du Senat est prete a choisir un nouveau Prince, qui n'hesitera pas a se separer du Gondor et s'allier aux Haradrims et aux Elfes Noirs.
J'ai voyage jusqu'a mon fief dans le Belfalas, avec un groupe des amis.
Nous y avons rencontre un usurpateur et un traitre, qui maltretait les villageois a l'aide d'une armee de sbires et avait plusieurs amis au Senat.
Avec l'aide de mes amis, des villageois, et d'un groupe de chevaliers escortant le defunt Prince Berund jusqu'a la Cite Blanche, nous avons libere le chateau des mains du traitre, et l'avons emprisonnes.
Le prisonnier se trouve ici, j'espere qu'il subira un jugement.
Il faut aussi s'occuper du corps du Prince Berund... En attendant des temps meilleurs et un enterrement dans la Cite du Cygne, je pense qu'il est digne d'etre depose dans les Maisons de la Mort aupres des Rois du Gondor.

Deux hommes portant le foulard gris caractéristique des Griffes d'Ammoth entrèrent dans les maisons de guérison avec un camarade qu'ils transportait sur leurs épaules.

Sans attendre la moindre autorisation de la part du personnelle, ils continuèrent leur chemin jusqu'au bout de la grande pièce, le plus proche des réserves de matériel.

Certains soldats reconnaissant les personnages et les voyant faires furent outrés de pareille égoisme et impétinence. Car en effet, le camarade qu'ils transportaient avaient une jambe sévèrement amochée et ils allèrent se servir, en feignant d'etre du personnel, le matériel pour une amputation d'urgence.

- Tien bon Blason ! Fit l'un, tandis que l'autre se s'apprétait à amputé.

La Griffe "patiente" émit un térriblement gémissement. Mais nul ne l'entendit, car tant d'autres souffraient et criaient en même temps.

- Pardon Blason, on avait pas l'choix...

- Attendez les gars... Quesque vous faites ? Vous n'allez pas me lancer là ?!

- Les officiers vieux... Veulent pas qu'on soigne à la batisse...

- Faites pas les cons les gars, personne va s'occuper d'moi ici !

- On reviendra, foi d'Ammoth. Prends soin de toi même en attendant, t'as reçu l'entrainement.

Sans plus attendre, les deux Griffes quittèrent l'endroit, abandonnant là leur compagnon. Il râla silencieusement tandis qu'il cherchait à se mettre dans une meilleure position contre le mur.

Radamanthe était entré dans la place d'un pas traînant dans la salle. En vérité, il n'avait guère besoin de soins car il n'avait guère combattu. Il avait d'ailleurs poussé un profond soupir, car il savait qu'il n'était qu'un homme de simple lignée, et la fatigue commençait à le marquer. Il se mettait à redouter les affrontements.
Il regardait simplement.

Mais Forlong vint le trouver.

"C'est une nouvelle bien funeste alors que le Gondor est menacé par ces hommes du Sud. J'espère que ces traîtres et lâches n'auront pas l'audace de réfuter une décision du Roy en ce qui concerne la Cité du Cygne, sans quoi il faudra prendre les armes et éradiquer les apostats, ce qui ne ferait que nous affaiblir par les temps qui courent."

Il resta immobile et silencieux un moment, comme perdu dans ses pensées. Il n'avait jamais eu l'occasion de rencontrer le Prince Berund, mais il avait vu plusieurs fois ses chevaliers se battre et mourrir pour l'Arbre Blanc et il était loyal et fidèle.

"Alors sans doute a t-il sa place à Rath Dinnen...Je bous remercie de votre aide, au nom de toute la Cité..."

Il n'ajouta rien. En fait, ce qui le préoccuppait le plus était de savoir s'il y avait ici quiconque qui puisse lui donner quelqu'information sur ce qui avait pousé les ennemis à changer d'attitude de telle manière.

Gebir ouvrit les yeux sur un long couloir, allongé sur un lit de fortune, là où de nombreux souffrants dormaient ou ruminaient alors que des guérisseurs et hommes de savoir venaient et allaient entre leurs patients.
Gebir regarda autour de lui et découvrit ses armes et armures, deux dagues, son armure, ses gants de mailles, sa lance, des jambières et son haubert. Il ne manquait qu’une chose

Après une demi-heure qui semblât si courte, une voix retentit du côté de l’extérieur à deux mètres de lui. Une tête quelque peu familère apparut.

Alors tu es réveillé chevalier ? Ce n’est pas trop tôt. Tu as pris un sale coup. Dit Mandorallen d’une voix sans émotions.

Et chevalier de Brethil t’aurai pas vu mon épée. Elle n’est pas avec le reste de mes armes.

On s’en doutait que tu voudrais l’avoir tout de suite.

Mon code m’y oblige et je tiens à Aglarest. Gebir avait parlé de son épée comme un être vivant.

On a pensé avec les autres chevaliers que laisser un si belle épée ici aurait été dangereux. C’est une bonne lame.

Tu l’as dit. Alors elle est où ?

Mandorallen détacha une ceinture derrière son dos et Gebir remarqua le fourreau.

Je te remercie. Et comment vont les autres ?

L’un de nous a prit un mauvais coup d’épée en protégeant le prince mais il s’en sortira bien. Il dort encore et dans trois jours il pourra repartir. Et puis Forlong s’est pris une belle entaille sur le torse mais tu le connais mieux que moi. Il ne s’arrête pas il s’occupe de Berund il semblerait que le prince repose à Rath Dinen. Et puis il y a eu des choses étranges. Des hommes ont fui rapidement pendant la bataille c’était si étrange. Et le grand mage de la cité Mithredir je crois qu’il s’appelait est mort, son père et sa future épouse.

Bon, je dois bouger.

Si tu veux, si tu nous cherche nous sommes à l’auberge du vieux patron dans la journée et le soir nous partirons à l’orée de la fôret pour installer notre campement. Nous n’aimons pas dormir entouré de tous ces hommes à l’air sombre. Furian, ton écuyer t’attend à l’auberge avec nous.

Comme vous voudrez.

Gebir se leva et enfila son armure, ceignit sa ceinture, ramassa son bouclier et prit son casque qu’il n’essaya même pas de l’enfiler. Il était broyait.
Un passage à la forge semblait nécessaire.

Gebir sortit du bâtiment et fut ébloui par le soleil de midi. Sa lance à la main, la seconde sur le pommeau de son épée, il s’avançait à pas prudents dans la cité blanche

On avait monté l'elfe aux maisons de guérisons quand la bataille avait été finie, et là on lui avait prodigué le reste des soins que le messager de Rustor n'avait pu lui donner. Lorsque tout ce qui pouvait être fait pour le moment fut accompli, Sombre-chêne s'approcha de l'Intendant et lui dit d'une voix faible :

Intendant, avant tout je vous félicite pour cette victoire que nous avons pu décrocher grâce à votre tactique, bien que la bravoure des hommes du Gondor ait fait le reste. Vous vouliez que ceux qui aurait trouvé une raison au changement subit d'attitude des haradrims vienne vous en informer. Pour ma part, je n'ai vu que ce que vous avez aussi du voir : ils se sont massés autour de quelqu'un et ont été défaits pas l'intervention d'un inconnu.

L'elfe reprit son souffle un instant, puis continua :

Puis-je tout fois vous proposer d'aller vérifier la cellule de Blathazar? Evidemment, aucun Haradrim ne semble avoir réussi à pénétrer à l'interieur des murs et je suis peut-être supertitieux, mais je pense qu'il serait sage de vérifier. Ce n'est qu'un conseil toutefois. une dernière chose : le général Rustor me rappelle à lui, et je vais partir le plus tôt que me permet mon état actuel. Sachez que ce fut un plaisir de combattre pour vous.

Sombre-chêne tourna la tête vers le messager et lui fit signe de venir d'un signe vague de la main, puis lu murmura quelques paroles. l'autre aquieça, puis sortit de la pièce.

Silence a écrit:

Deux hommes portant le foulard gris caractéristique des Griffes d'Ammoth entrèrent dans les maisons de guérison avec un camarade qu'ils transportait sur leurs épaules.

Sans attendre la moindre autorisation de la part du personnelle, ils continuèrent leur chemin jusqu'au bout de la grande pièce, le plus proche des réserves de matériel.

Certains soldats reconnaissant les personnages et les voyant faires furent outrés de pareille égoisme et impétinence. Car en effet, le camarade qu'ils transportaient avaient une jambe sévèrement amochée et ils allèrent se servir, en feignant d'etre du personnel, le matériel pour une amputation d'urgence.

- Tien bon Blason ! Fit l'un, tandis que l'autre se s'apprétait à amputé.

La Griffe "patiente" émit un térriblement gémissement. Mais nul ne l'entendit, car tant d'autres souffraient et criaient en même temps.

- Pardon Blason, on avait pas l'choix...

- Attendez les gars... Quesque vous faites ? Vous n'allez pas me lancer là ?!

- Les officiers vieux... Veulent pas qu'on soigne à la batisse...

- Faites pas les cons les gars, personne va s'occuper d'moi ici !

- On reviendra, foi d'Ammoth. Prends soin de toi même en attendant, t'as reçu l'entrainement.

Sans plus attendre, les deux Griffes quittèrent l'endroit, abandonnant là leur compagnon. Il râla silencieusement tandis qu'il cherchait à se mettre dans une meilleure position contre le mur.

hj: Cette façon de rentrer en contact avec les griffes en vaut un autre =)

Van était enfin remit de sa bataille. Il avait enfin eut la fin de l'histoire, en fait au moment où il allait suivre les hommes qu'ils voulaient rencontrer un haradrim lui avait bondit dessus par derrière l'assomant avant de se faire empaler par un gondorien. Le noir dans la mémoire de Van était encore bien là mais cette version des faits était la même pour tous, cela devait sûrement être la vérité. Alors que Van s'apprêtait à sortir de l'infirmerie des hommes au foulards gris amenèrent un troisième individu au même foulard. Il y eut comme un déclic dans sa tête et il se souvint que ceux qu'il voulait suivre avait le même foulard sur eux. Ils déposèrent l'homme contre un mur et partirent tandis que l'autre braillait.
Del décida de saisir sa chance et s'approcha du plaignant:

-Excusez-moi monsieur, je ne voudrais pas vous manquer de respect mais pourriez-vous vous taire? Certains blessés dorment ou essayent de le faire et vos cris risquent fortement de compromettre leur chance de réussite. Laissez moi vous soignez votre jambe.

Van se dirigea vers une porte qu'il ouvrit et prit tout le nécessair e pour soigner son "patient". Sa mère lui avait appris à faire des bandages et à nettoyer une plaie, cela suffirait sûrement pour ce que l'homme avait. Il sortit de la salle et s'amena avec tout son équipement devant le blessé.

-Serrez ça dans vos dents.

Le troubadour enfonça une boule de chiffon dans la bouche de son lésé et commença à déchirer les tissus pour pouvoir constater les dégats. Rien de trop trop grave, il appliqua des beaumes et un peu d'herbes après avoir nettoyer la plaie à l'eau chaude. Ensuite il mit les bandages et bientôt son bonhomme avait une jolie jambe bandée et une voix casser à force d'avoir crié dans son chiffon, qu'il lui sortit de la bouche ensuite.

-Vous voulez un lit?

hrp//Fallait bien trouver un truc pour accélrer le process hein ^^//hrp


Blason était partagé encore l'envie d'insulter le nouveau venu ou de l'étrangler. Il fut prit de court et, confus, se tut tandis que l'autre se montrait plus soudainement sympathique. Il observa faire l'étranger, sans un mot, accéptant cette bénévole. Après tout, c'était ses premiers instants avec une jambe en moins, il allait devoir réapprendre à vivre. Peut être même que sa "famille" allait l'abandonner ici et ne jamais le récupérer... Ils en étaient capables.
Blason arrivait à vivre avec sa douleur, c'était plus par "besoin d'expression" qu'il râlait. Quand Van lui demanda un lit, la Griffe lui cracha le bout d'chiffon au torse. Là il explosa, débitant tout ce qu'il retenait depuis le début de la scène.

- Nan mais ca va bien les manières ? Si j'ai envie j'insulter tout Arda, personne m'arrétera ! T'es pas ma mère le bleu ! T'es bien sympa mais si j'veux aller ailleurs, j'y irais moi même ! Prends moi encore pour une cruche et je te donnerais les moyens de te servir de tes deux jambes, avant que je te rabaisse à mon propre état !

Une dague double tranchant apparu dans la main gauche de Blason. Il ne semblait pas sur le point de s'en servir, c'était plus pour souligner l'argument.

Eosfel entra dans les maisons de Guerisons.
Un lieu qui sentait la mort et la pourriture.

L'homme dont la tunique blanche était a présent marron de boue et de terre , sa cotte de maille était en partie dechirée en partant de l'épaule.
Il n'avait pas de grosses blessures , néanmoins il était venu pour un patient particulier.

-Ah , te voila...Heureux que tu ailles bien. Dit le baron quand il fut arrivé devant Forlong. Alors ? Content d'être sauvé par un bouseux ? Reprit-il en faisant un clin d'oeil gauche.

Il dégaina sa lame , passant son doigts sur le fil émoussé d'avoir autant tuer... Puis il quitta le chevalier , pessant entre les différents lits afin de voir comment allez ses Cavaliers à lui.

Dans le fond de la salle , deux guerrisseurs étaient affairés sur une silhouette sombre.
Une gerbe de sang gicla , eclaboussant le mur. Puis une main devint raide , et molle. Lachant son trésor...Un magnifique drapeau sur lequel était cousu l'îcone d'une montagne immaculée.

L'Intendant faillit sursauter quand l'ambassadeur Sombre-Chêne vint lui parler à nouveau. Radamanthe ne pu s'empêcher de penser que les elfes, en particulier leur ambassadeur, apportaient beaucoup à la Cité Blanche, par le passé et maintenant aussi. Dans sa tête, il formula l'espoir que cela continuerait ainsi, bien qu'il aurait bien voulu en savoir plus sur les arrangements qu'avait pris le Roy Méphisto avec les Nobles Gens dont le seul chef restant était le général Gelmiron.
Il fronça les sourcils en entendant ce qu'avait à dire l'elfe. Mais avant d'ajouter quoi que ce soit à propos de la scène dont il avait été témoin, et qui l'intéressait fortement, il appella un messager d'un geste de la main et s'intéressa à la deuxième préocupation de l'elfe.

"Vous avez raison, autant être prudent..."

Le coursier fut envoyé vers les cachots.

Ensuite Radamanthe s'intéressa à ce sauvetage et lui fit répéter la chose à mesure que son cerveau bouillait de penser, jusqu'à en devenir agaçant. Il déclara finalement :

"J'ai du mal à saisir ce que cela peut signifier... Si ces inconnus ont défait un ennemi des Haradrims, pourquoi ne sont-ils pas venus vers la Cité ? Peu importe, je ne vois pas ce que cela peut changer et je ne vois aucune moyen de le voir pour le moment."

Il s'arrêta un moment. Il était dommage que Sombre-Chêne parte déjà aussi vite.

"Je vous remercie infiniment d'avoir oeuvré pour nous..."

A ce moment il fut interrompu par le messager qui revenait, essouflé. Il essuya les gouttes de sueur sur son front, poussa un soupire et affirma que Balthazar était toujours là, mais qu'il avait été fort agité. il était au courant de l'attaque et trempait sûrement là-dedans.

Radamathe fronça les sourcils. il remarqua le vieux Gilgamesh qui avait laissé de côté ses habits verts pour arborer un jaune criard de très mauvais goût.
Il paraissait anxieux.