Sinistre Repaire

Les hommes était convaincus que seul la fureur et la haine pouvait donner à Balak la force de tenir tête à ses assaillants. Pourtant, il n'en était rien. Toute pensée mauvaise avait disparu. Il n'était plus agressif,c'est tout son être qui incarnait cette attitude, malgré le calme implacable que l'on pouvait lire sur son visage.

L'Instant...

Balak plongea plus profondément encore dans cet océan de sensibilités. Il entendit distinctement les lames commencés à sortir de leur fourreaux, les pieds de ses adversaires se placer dans une position offensive. Ils n'avaient rien de commun avec ceux de tout à l'heure. Mais Balak n'eut pas besoin de le penser, car instinctivement il le devinait. L'Instant...l'instinct...la pensée...la définition de l'état de grâce était de plus en plus claire : Balak conservait les pensée humaine et leur analyse, mais oubliait momentanément toute civilité, comme la parole, ou les sentiments, comme la pitié, la haine, la compassion, pour céder à des instincts guerriers remontant au début de la vie.

Il avait calculé en une fraction de seconde l'emplacement le plus approprié pour placer son coup, avec le moins de mouvements possibles pour éviter tout angle mort, pendant que les deux hommes devant lui sortaient leurs épées. On entendit un son de métal et de chaires broyées. Les bras droits de ses deux opposants restèrent quelques instants au dessus du sol, séparés de leur corps. Déconcentré quelques instants par la surpise de cette perte, l'un se cabra, et laissa donc une faille dans sa garde. Il n'en fallait pas plus au mercenaire pour lui faire quitter ce monde. Renaissance vola ainsi une nouvelle vie, avant de partir buter contre la lame que le second garde avait sorti de la main gauche. Aucune douleur ne semblait l'affecter.

Le grand homme au crâne chauve, ou plutôt décoré de cicatrices, était furieux. Certains pensaient même voir de la bave s'écouler de ses gencives, alors qu'il serrait les dents dans une expression démente.
Néanmoins, à première vue, il ne paraissait pas armé mais vu son état, s'il avait encore eu sa main droite, il se serait volontiers jeté corps et âme dans la mêllée.
Enfin, corps et âme est une mauvaise expression. Car il ne restait plus grand chose d'entier dans son corps, quand à son âme, il devait l'avoir perdu dans ses aventures passées, car cela faisait un grand temps qu'il n'avait plus d'humanité.

A l'abris derrière ses gardes, il gesticulait comme un possédé, harranguant ses hommes et proférant de terribles insultes à l'encontre des autres.

"Battez-vous...Ils n'ont pas d'armure...Massacrez-les, ils sont perdus !"

Ses yeux brillaient d'une lueur démente, pourtant le rire de Balthazar s'étouffa quand il vit ce que Balak avait fait de sa protection rapprochée.
Néanmoins, il avait l'avantage d'avoir quatre gardes. Aussi, au moment même où Renaissance entrechoquait la lame de son second acolyte, les deux autres brandissaient leurs lances et tentèrent conjointement de frapper Balak le mercenaire.


Alors qu'Eaoden se battait, un soldat même de la Cité le bouscula par derrière. C'était là le désavantage d'un tel combat si serré. Car aussitôt un homme lui toucha la jambe ainsi il fut déséquilibré et tomba sur le sol. Le masque blanc s'apprêtait à l'achever. L'espion devrait donc compter sur son agilité.


Plus loin, deux hommes en armures dévisagèrent Alira sur sa poutre. Aussitôt, ils tinrent leurs lances comme des javelots et s'apprêtèrent à les lancer pour harponner la voleuse.

Milindë acquiesca aux paroles d'Eleriol. Elle commença a examiner la blessure. Celle-ci était profonde et saignait abondamment. Aussi elle murmura encore une fois quelques mots en elfique afin de faire commencer la cicatrisation de la plaie. Elle necessiterait surement un passage chez els guérisseurs, mai cela suffirait pour l'instant, à conditions que l'Elfe en fasse moins qu'a l'accoutumée.

"Cette blessure ne vous fera plus souffrir, pour l'instant du moins ... Vous pourrez combattre, mais evitez de trop en faire, elle risquerait de se déchirer un peu plus, provoquant un écoulement trop important de sang qui vous terrasserait."

Milindë jetta un coup d'oeil à ce qui se passsait. C'était un vrai cafarnaum... Elle vit que Balthazar semblait a demi fou ...

Hobasian de son côté était calemement resté dans l'ombre dès l'arrivée de Balthazar. Il se rappelait du combat, des blessures de sa brulure. Il était prêt à le faire payer. Il saisit lentement un couteau dont la lame avait été recouverte d'une des potions fulgurantes d'Elessarion. Le poison s'insinuerai rapidement dans les veines de l'homme au crâne chauve, il provoquerait un afaiblissement de celui-ci. Cela permettrait de le tuer ou de le capturer plus facilement. Puis il revint à la réalité, pour faire tous cela, il fallait s'appliquer. Il se concentra donc et visa. Il remarqua que la jambe de Balthzar n'était pas protégée outre mesure. C'est donc cette partie qu'il visa. Il tint fermement son couteau, et visualisa sa trajectoire. Ses traits étaient tirés, il attendait le bon moment. celui-ci se présenta. Il détendit son bras et le couteau partit se ficher en droite ligne dans la jambe du sois disant revenant.

De mon côté, je m'étais jeté dans la mélée sans attendre. Depuis l'ordre de l'Intendant je tailladais gorgeset autresmembres de violents coûts. J'entendis quelqu'un dire que c'était un fantôme. Je lui répondis que ce n'était qu'un monstre qui devait mourir ce soir.

Le Capitaine avait perdu connaissance, s'affaissant de tout son poids contre le vieux mur de la salle. Le coup de bec-de-corbin lui avait enfoncé le côté de son casque et la housse de protection à l'intérieur lui pressait le crâne. Un mince filet de sang glissait à présent sur sa joue et rejoignait son menton pour perler sur son armure.

Sa tête bourdonnait, il avait l'impression qu'un Troll lui écrasait le crâne avec ses pieds. Péniblement, il parvient à défaire la sangle qui maintenait son casque. Il souffla ... Il devait reprendre sa respiration, rester concentré ... Les sons de la bataille lui parvenait, étouffé, en un formidable chaos ... Les yeux toujours fermés, il réussit enfin à ôter son casque.

Un sentiment de délivrance l'envahit ... Il reprit rapidement sa respiration et ouvrit les yeux ... Un éclair éblouissant lui frappa l'esprit, puis un flou épais de formes et de couleurs ... Tout était vague, comme ralentit ... Sa tête tourna à nouveau et il se pencha pour vomir sur le côté. Il cracha tant qu'il put puis se redressa. Les formes devinrent plus net, les mouvements plus rapide. Il aperçu des personnages, des soldats noirs ... Il clignait des yeux très souvent pour s'habituer à la pièce.
Un grand guerrier avec une puissante hache .... La jeune sombre Elfe ... Il arrivait à retrouver ses compagnons ... Mais il vit avec rage et tristesse que deux de ses Soldats avaient été tués.

Son mal de tête fondait maintenant comme neige au soleil, laissant place à la rage et au sentiment de vengeance. Il devait se relever, retourner au combat ...

-" Me revoilà, je ne suis pas mort ! "

(Hors RolePlay : Oui, bah on fais comme on peux hein ...)

Soustrayant un instant son attention de ses affontements personnels, l'intendant remarqua le poignard du père de Mithrandir qui vola en direction du sinistre Balthazar. Il retint son souffle un instant. Rien ne venait interrompre le vol du coutelas. Si bien que celui-ci déchira le bas de la robe de ce maudit personnage...Avant de rebondire sur la lourde armure qui se révèla être cachée sous les vêtments du Revenant.
Néanmoins, ce dernier ressentit le choc et chercha des yeux le responsable de tout cela, l'air de plus en plus furieux à mesure que chaque minute passait...


Radamanthe quand à lui, fut ramené au moment présent quand il dut la vie à un simple réflexe, s'étant abaissé alors qu'une lourde hache avait cherché à atteindre sa tête.
Reculant de deux pas, il jura qu'il faudrait peut-être qu'il reprenne l'habitude de se battre avec un casque. Pour peu qu'il sorte vivant dans l'enfer de cette nuit...
Ne laissant pas à l'autre le temps de réagir, il passa à l'assaut. Mais cet autre, justement, ayant prévu le coup, esquiva.
Si bien que le coup de hache de l'Intendant n'atteignit pas l'autre comme il voulu et que son arme rebondit presque sur l'armure. Néanmoins, l'autre, sonné, lâcha son arme et ne put réagir qu'en frappant la tête de Radamanthe avec son propre casque.
Ce triomphe fut court, un des poignard de l'Intendant mit un terme à la vie de l'autre.

Pourtant, alors qu'il se ressaisisait, Radamanthe pouvait voir que son ex-adversaire ne l'avait pas manqué. Il dut essuyé des traces de sang abondantes avec sa manche, et son nez le tirailait terriblement. Peut-être était-il cassé.

Citation :

Alors qu'Eaoden se battait, un soldat même de la Cité le bouscula par derrière. C'était là le désavantage d'un tel combat si serré. Car aussitôt un homme lui toucha la jambe ainsi il fut déséquilibré et tomba sur le sol. Le masque blanc s'apprêtait à l'achever. L'espion devrait donc compter sur son agilité.

Plus loin, un des masques blancs entendit le cri du capitaine Eurygon. Profitant qu'il le trouvait encore un peu sonné, il le chargea, lance en avant, en disant, d'un ton ironique plein de cruauté :
-Vraiment ? Ca ne saurait tarder...

Eleriol regarda la blessure qui se refermait peu à peu. Malgré son âge avancé et toutes les épreuves qu'il avait parcouru, la magie l'avait toujours impressionné. Lorsque la plaie eut disparue pour laisser place à de la peau légèrement rougie, l'elfe releva la tête et remarcia Milindë :

Merci. J'avoue que j'aurais eu un certain mal à être obligé de rester là, assis, à contempler les événements sans pouvoir agir. Je suivrais vos conseils.

Et à son tour il reporta son attention au combat qu'il examina stoïquement. Sa première pensée fut d'aider le mercenaire qui était seul face à cinq ennemis, dont cet homme défiguré. Mais Eleriol avait l'impression que c'était son combat, un duel. Cependant un duel oppose deux personnes, et non plus.

Délaissant l'appui qu'était le mur, Eleriol sortit à nouveau son épée du fourreau et d'approcha à pas sûr du combat dans lequel était engagé Balak. Alors qu'une lance fusait tel un dard et déjouait la garde de Renaissance, une autre lame vint la dévier. L'agresseur, stupéfait, regarda derrière son masque l'homme, ou plutôt l'elfe, qui venait de parer son coup. Dépité, il dégagea sa pique et la brandit en direction d'Eleriol. Celui-ci avait déjà eu affaire avec ce genre d'ennemi lors de l'attaque sous l'Arbre Blanc. L'ancien ranger inspira, puis expira. Juste lorsqu'il eu fini cette action, la lance fusa à nouveau. Il évita l'attaque en utlisant sa lame et fit décrire une courbe à son épée visant le bras droit de son adversaire. Mais la lance était déjà revenue.

S'ensuivit un court duel duquel personne ne réussit à prendre l'avantage. Finalement, les deux adversaire s'écartèrent et se jaugèrent du regard. Personne n'osait attaquer. Mais, perdant patience, l'homme masqué lança un coup rageur dans la direction de l'elfe. Alors que la pointe de la lame avait parcouru la moitié de la distance qui la séparait de sa cible, Eleriol contre-attaqua. Il glissa sous le manche de la pique et réussi à marquer une profonde estafilade entre les deux pièces d'armures protégeant la jambe. Le blessé, pris de court, ne put que voir venir le coup qui le visait sous le menton. Mais contrairement à ce qu'on aurait pu s'attendre, l'elfe ne frappa pas du tranchant de sa lame mais du plat. Ainsi, la tête du malfrat partit brusquement en arrière et la colonne vertébrale se brisa d'un coup sec. L'homme masqué était mort sur le coup.

Le Caiptaine prenait conscience de l'anarchie qui flottait dans la vaste salle ... Les premiers gueux qui leurs avaient barré la route étaient tous morts, ou enfuis, c'étais maintenant d'étranges guerriers aux visages couvert d'un blanc masque. Ils portaient tous une imposante armure sombre, de solide facture et bien entretenue. Leurs armes semblaient fort bien aiguisée et bien forgées ...

*Enfin ! De solides gaillards pour le combat !*

Il se releva, le mal de tête disparaissait lentement ( 6 au D10, sa passe encore ..) pour laisser place à cet étrange sentiment. Encore chancellant, il s'aidait du mur pour se tenir debout. Des fourmillements lui parcouraient les jambes et le bas du torse, comme si des milliers de fines aiguilles le piquait légèrement ... Une odeur infect lui brûlait la gorge, il recracha encore, essayant de faire sortir cet infâme goût de sa bouche.
Secouant la tête, il chercha son bouclier et le vit à quelques pas de lui ... Sous le corps de l'un des premiers ennemis. Il saisit la garde de son épée et tenta de s'en approcher.

Instinct ... Danger ...

Il tourna juste à temps la tête pour voir un de ses guerrier au blanc visage courir vers lui en pointant une lance effilée. Mué par un réflexe qu'il pensait oublié, il sauta à terre. Chutant lourdement sur le dos, il grimaça, sa tête résonnait encore. Le guerrier sombre fut surpris et détourna sa lance juste avant qu'elle ne frappe le mur. Parvenant au niveau du Capitaine, il en profita pour lui assèner un violent coup de botte dans les côtes. Il recula rapidement d'un pas et releva son arme de ses deux mains pour l'enfoncer dans le corps du Capitaine. Mais celui-ci avait sortit sa dague et l'enfonça rageusement juste au niveau de l'articulation de la chausse de son adversaire. La lame écarta une lanière de cuir et déchira la botte qu'il portait. A peine deux centimètres s'enfoncèrent dans la chair de l'homme, tranchant un tendon.
Il m'insulta et hurla de douleur en sautant en arrière, manquant de chuter à cause d'une chaise défoncée. Ma dague était restée dans ma main, laissant briller le sang sur sa pointe, sans même la nettoyer je la rangeais à ma ceinture ... Roulant péniblement sur le côté en me tenant le ventre, je me rapprochais de mon bouclier repoussant le corps du pauvre homme qui était mort dessus.

*Allez, laisse moi donc sauver ma vie, si toi tu as laisser filer la tienne !*

Le coup de pieds du guerrier sombre lui avait coupé le souffle, mais il avait eu sa revanche en lui ayant planté sa dague. Profitant du fait que son ennemis hurlait encore, le Capitaine fixa son bouclier et empoigna plus fermement son épée.

-" Alors ! " Hurla-t-il " J'attend ! Viens donc me tuer ! "

Il n'entendit pas la réponse de son ennemis mais il savait que même blessé au pied, le guerrier restait dangereux. En effet, il devait hurler de douleur dans son intérieur, mais se releva et ses yeux semblaient briller de haine ... Il empoigna de nouveau sa lance et la pointa en ma direction, prêt à se défendre avec rage.
Profitant de son immoblitée réduite, je pouvais rester à la distance, le jugeant du regard ... Il voulait en découdre, se venger ...
Criant avec force, je chargeais, parant la pointe de sa lance avec mon bouclier. Mon épée s'abattant de taille sur le côté de son torse. Il bascula encore mais ne tomba point. Il lâcha sa lance et dégaina une courte dague et son épée. Il frappa avec une extrême rapiditée, avant même que je puisse rabattre mon bouclier. Sa dague ripa sur mon armure mais la pointe accrocha une fine couture et s'enfonça à peine entre les écailles. La pointe ne fit que piquer ma peau et resta bloqué ... De son épée, il frappa plus violemment mon bras en déchirant ma tunique. Une longue coupure se dessina sous le tissus, impreignant les tissus de mon propre sang ...

La fureur m'envahit lorsque la douleur s'insinuait dans mon corps ... Hurlant de haine, je frappais avec force de mon bouclier pour le faire chuter, cette fois-ci il tomba à la renverse et lâcha sa dague. Je sautais sur lui et enfonçais mon épée à travers l'oeil droit de son masque ...
Un craquement macabre se fit entendre, et je l'entendis déglutir ... Je voyais son autre oeil s'agiter avant de me fixer longuement, intensément. Comme s'il voulait me raconter sa vie, son histoire. Puis il s'embua de larmes ... De larmes et de sang ... Sa vie l'avait quittée.

Je retirais d'un coup sec mon épée avant de m'écrouler à ses côtés ... Essayant de reprendre mon souffle ..

(Hors Role-Play : Non, franchement j'ai eu de la chance ... Rada', ça colle ou c'est impossible que j'en bute un ?)
Edit Rada' : Pourquoi serait-il impossible que tu en tues un ? Ton perso a -t-il vraiment pedru toutes ses capacités durant ton absence ?^^
( Huhu, Nan, mais je sais pas s'ils ne sont pas un peu louches dans leurs armures et si, vue mon état, je pouvais me défendre .. )

Gredris, qu'un page était aller réveiller sur l'ordre de messire Murdock, arrivait dans la salle ou régnait un chaos terrifiant. En voyant les corps gisant, mutilé jusqu'au os, et les membre ensanglanté sur le sol de pierre, le jeune cavalier s'arrêta net. Etant son premier vrai combat, Gredris était bien tenté de prendre la fuite en voyant les flot de sang, mais il se rappela se que disait le maître d'arme ("C'est lui ou toi, tout ce qu'il perdra, c'est ce que tu gardera!"), il se ressaisit, leva son épée et fonça tête baissé dans un groupe de guerrier masqué, au milieu du-quelle combattait déjà un soldat de Gondor. Dans son élan, Gredris oublia sa garde et, en percutant les hors-la-loi, il sentit une douleur glacé entre les côtes. Ne sachant que faire, il donna des coups d’estoc a tout vas, faisant bien attention à ne pas toucher un guerrier de son camp.
Voyant que son arme fendait l’aire au lieu de la chaire , le cavalier se retira du combat tant bien que mal. La, il remarqua que sous son plastron, coulait un liquide tiède : son sang. Gredris faillit s’évanouire en se rappellent sa douleur mais resta éveillé, au prix de grand effort. Il déchira la manche de sa chemise, la nouât autour de se côte de façon à faire un pansement et arrêter l’hémorragie. Ses efforts payèrent, puisque le sang cessait de couler, mais la douleur foudroyante était toujours présente.
Alors, il pensa à haute voix « l’adrénaline stoppera les maux » et retourna au combats, mais cette fois animée par la rage et plus par la peur.
« Autant qu’il crève avec moi » s’écria t’il en faisant tournoyer sa lame au dessus de sa tête avent de l’abattre sur un bras tendu devant lui. Celui ci ce sépara du corps et son propriétaire, la main valide couvrant son moignon, se jeta a genoux, cherchant apparemment un moyen de prendre son bras sans lâcher sa plaie sanguinolente .

( Hors Role Play ! Alors là, c'est pas de ma faute ! On m'force à poster ! Promis, après je re-coupe internet ! )

Le Capitaine venait de rouler sur le dos, pour quitter du regard cet oeil ensanglanté, ce regard de mort ... Il tentait de masser ses muscles douloureux en étirant ses bras. Sa blessure au bras était peu profonde, mais déchirait tout son avant-bras, à partir de son poignet. Son sang avait collé la tunique à la peau et le tirait douloureusement lorsqu'il serrait fermement son épée. Il reprennait sa respiration rapidement, ses poumons étaient en feux ... Chaques inspiration lui glaçait la gorge ... Chaque expiration lui brulait jusqu'à ses gencives ... Son sang avait coagulé, formant une sorte de peau craquelée sur sa joue droite ...

Il venait juste de se remettre à genoux et balayait la salle rapidement ... De nombreux combats engagaient plusieurs ennemis contre un seul de nos vallants soldats ... Mais la vaillance ne suffisait plus contre la folie de ces êtres, et la terreur que semblait inspirer l'être au centre de la salle bloquait tout nos hommes ... Le Capitaine venait de voir son prochain combat, un jeune soldat de la Citée qui affrontait trois sombres soldat avec bravoure ... Quand il aperçu un détail étrange ... Deux guerriers au masque blanc portaient leurs lances ... au plafond.

*Mais ? Ils nettoient les toiles d'araignées ou quoi ?*

Quand soudainnement il vit leur cible, la jeune et fine Elfe sombre ... Qui semblait ne pas avoir vue ses deux bourreaux ... Le Capitaine se releva et puisa dans ses ressources pour charger les ennemis ... Sans plus réflêchir il sauta sur une table renversée et fit un magnifique bond sur les deux soldats, bouclier tendu ... Le premier amortit sa chute et le suivit dans son roulée pour faucher les jambes du second ...

-" Harh ! Attention ! Là haut ! "

L'Elfe noir était désormais en sûretée, mais quand à lui, il risquait fort bien d'y laiser quelques morceaux de lui même dans ces âpre combat ...

//Désolé Eaoden mais ton rp correspondait pas au mien, j'ai dut donc mena...demander à Eurygon de bien vouloir me porter secours au péril de sa vie ^^//

Alira tourna brusquement la tête pour voir ce qui se passait et vit le capitaine de la garde qui venait apparament de lui sauver la vie. Elle sauta pour l'aider, tranchant la gorge d'un des hommes alors qu'il était à terre. Ce n'était pas très chevalresque de sa part... Oh et puis elle était une voleuse au départ ! Son autre assaillant semblait s'être évanouit sous le choc.

"Merci."

Elle ne parla pas plus, ce n'était pas le moment. Se retournant l'elfe noire para les coups d'un nouvel attaquant. Protégeant ainsi son sauveur qui était encore à terre.

[Alira, t'es méchante, quand t'a demandé que je te protège, j'ai oublié que j'étais à terre, une lance sur le ventre ^_^ Je n’arrive pas à supprimer mon ancien message, Radaaaaaaaa?]

Je disais donc: L'espion était en mauvaise posture. En voulant faire le sauveteur, il avait perdu son agilité, car elle demandait beaucoup de place. Il était à terre, à un cheveu de se faire tuer. Il se réveilla et roula sur le coté, dans les jambes d'un ennemi.

*Argh, ca va être difficile!* pensa-t-il.

Il réfléchit, cherchant une autre solution. Il en trouva une, simple et efficace. Il avait, par chance, gardé un poignard, et avait perdu l'autre. Il attaqua les jambes de son adversaire et il se retrouva devant une armure. Il eut un éclair, si ils avaient une armure, leur mouvements étaient lents... Toujours à terre, il prit ses mollet à deux mains et les tordis, de sorte qu'il fut lui aussi à terre. Par chance, il avait le poignard avec la rune "Le courroux de Balin", il lui asséna un coup magnifique à la poitrine, perçant l'armure et cassant la cotte de mailles. Après cette tâche, il vit son deuxième poignard non loin et alla le chercher, se remettante debout.

Hrp //: je suis absent pour quelques jours, je reviens bientôt. Balak est blessé et se mettra de côté (pas très glorieux...). Désolé pour ce message éclair hrp mais je suis en retard^^je laisse les commandes de mon personnage au staff si ils jugent avoir besoin de le faire intervenir.. à bientôt. //Hrp

Murdok était aller chercher du renfort, il mis du temps avant de revenir avec Morgoth, et 3 hommes encapuchonnés, Morgoth sortit son épée qui refléta la lumiere même la plus faible autours de lui les 3 hommes eux sortit pour l'un un marteau de guerre à deux main (MAUL), pour le second une falchion, plus exactement celle de Morgoth, et pour le dernier une hache double finement cisellé, à deux main.
L'elfe noir commenca en percant l'armure d'un des mauvais hommes a l'épaule, celui ci hurla en ripostant avec force, mais qui fut ésquiver par Morgoth, relancant un coup latéral ouvrant l'armure en deux et son porteur avec.
Il s'écroula les yeux grand ouvert, des filets de sang déscendants de sous son masque.

L'un des hommes de Morgoth s'était retrouvé en mauvaise posture, entre trois guerrier qui lui enlevèrent la vie, le décapitant les genoux à terre.
Morgoth fut sa hache tombé au sol, et son corps avec un bruit mat.
Morgoth serra les dents, et se retourna les visage crispé de colère, il fonca avec les deux autres et ensembles abbatirent les hommes en armures.

Morgoth eu à peine le temps de se retourné qu'un des guerriers le frappa avec sa masse sur le casque avec une force hahurissante dans un cri de rage.

Morgoth fit un vol plané sur quelques metres avant de retombé avec un crissement de metal sur le sol en pierre, les yeux fermé...

La moue de Balthazar se fit assassine. Décidemment, ses gardes ne semblaient pas assez menaçants pour qu'on le laisse tranquille. Eh bien tant pis, ils l'auraient voulu. Il ne comptait pas commencer à défouler directement, mais ils l'y obligeaient...Ils le regretteraient.
Le Revenant claqua des doigts, avec une grimace de douleur. Certaines parties de son corps ne se remettraient sans doute jamais de ses exploits précédents. De cette façon, il capta l'attention de deux gardes au masque blanc qui étaient non loins. Ceux-ci se retournèrent et accourirent vers leur maître comme de petits chiens serviles, se mettant presque au garde-à-vous malgré les combats qui les entouraient..

"Eliminez-les ! Je ne veux plus en entendre parler !" dit-il en désignant de son long index squelettiques l'elfe Eleriol et le mercenaire Balak qui combattaient les deux derniers membres de sa garde personnelle.

Au moment même où ils entèrent dans l'affrontement, ils résussirent à se faire assez imposants pour envoyer le mercenaire rageur valdinguer au sol. Ils restèrent néanmoins deux en face de lui, ne sachant pas si cette chute avait brisé son élan destructeur.
Autour de l'elfe, les deux combattants conptaient bien profiter de leur avantage numérique, aussi ils synchonisèrent leur attaque. Le premier attaqua le visage de l'elfe avec sa lance, l'autre feinta dans la même direction, avec la ferme intention de porter son vrai coup autre-part.

Satisfait que ses acolytes, ou plutôt ses pantins, comme il les considérait, s'occuppent de ceux qui semblaient fort enclins à atteindre à sa vie, le Revenant sortit de son fourreau un sabre sombre à l'air particulièrement tranchant. Il avait beau le tenir de la main gauche, Balthazar avait prouvé ses qualités d'ambidextre il y a longtemps déjà.
Le premier milicien dans son passage le remarqua vite, succombant sans rien avoir compris à ce qui lui était arrivé.


Eaoden connut certainement le désanchantement quand il remarqua que les armures étaient trop épaisses pour être percées par des mouvements furtifs. Il lui faudrait viser particulièrement bien. Celui qui se trouvait devant lui se tenait crispé (une faiblesse dans un tel combat) mais laissait très peu d'ouvertures, mis-à-part son cou...Or il avait un garde haute.

Alors que Morgoth venait à peine d'entrer dans le combat qu'il dût déjà avoir une vision d'horreur en ouvrant les yeux. Un masque blanc à la lance effilée semblait le considérer comme un cible de choix...

Quand au capitaine Eurygon, il aurait intérêt à se relever...En effet, un homme arriva dans la salle, lâchant...des chiens de chasse. Or, s'ils n'étaient guère qu'une demi douzaine, il y avait une terrible pression dans leurs machoires... Et on ne peut pas dire qu'il est judicieux de se retrouver à terre dans ces cas, même s'il n'était pas encore pris pour cible...

Radamanthe ne pu réprimer un frisson à la vue de ces bêtes qui venaient d’apparaître. Même à ses yeux si accoutumés aux horreurs, ces créatures avaient quelques de profondément inquiétant. Même s’il avait déjà croisé des wargs, monstres autrement plus volumineux, il savait que leur nature même était profondément mauvaise. Or, ces mâtins avaient été dressés avec une haine profonde, dans le seul but de chasser de l’homme. Et rien, si ce n’est un ordre de leur maître, ne pourrait les soustraire à ce but.

C’est au moment précis où ces pensées lui vinrent à l’esprit qu’un coup de gourdin s’abattit sur sa main, le tirant de ses pensées de la façon la plus brusque qui soit. Aussitôt, il lâcha sa hache qui tomba sur le sol, accompagnée de la note claire du mithril sur les carrelages de la pièce. De même, la douleur fut si vive qu’il chuta à genoux et saisit son membre meurtri dans son autre poing, omettant de chercher la provenance de cette attaque. Il se maudit pour n’avoir pas emporté de gantelet et jura de remédier à cette fâcheuse habitude qui le tenait depuis qu’il était devenu intendant.
Néanmoins, quelques grincements de dent passés et après qu’il se fut relâché lui-même, il tourna la tête aux alentours pour discerner l’auteur de ce premier coup. Il ne pu l’identifier avec certitude mais repéra évidemment l’origine du second. Une lame la frappa au moment même à la poitrine.

Or il avait tout de même revêtu sa cotte de mithril, et celle-ci dévia le coup. Radamanthe esquissa un rictus malsain en remarquant la surprise de son agresseur. Il profita de ce répit pour tourner la tête et repérer son arme, à un pas de lui. Cependant, il analysa la situation et décréta qu’il ne pourrait jamais la lever à temps avant de se faire intercepter. Aussi son regard passa sur les jambes revêtues de fer du masque blanc. Il décela un interstice dans la continuité des plaques, vers le pied et enfonça son poignard dans cette ouverture providentielle sur le champ. Dès que le cri de l’autre parvint à ses oreilles, il saisit sa hache et en frappa le genou de l’agresseur. Tandis que celui-ci chancelait, il se releva et saisit sa hache à deux mains, encore que cela lui fut douloureux et il acheva son ennemi d’un coup mortel, de haut en bas.

Un goût envahit alors sa bouche. Il constata de sa descente brutale vers le sol avait rouvert sa plaie au visage, qui ne s’était d’ailleurs peut-être jamais arrêtée de saigner. Son propre sang lui coulait sur les lèvres…
Il l’essuya d’un revers d’un manche et reporta son attention sur le combat. Il devait d’ailleurs ajouter à sa liste de bonnes résolutions d’arrêter de se laisser autant distraire. Pour peu qu’il en sorte vivant, bien sûr.
Mais il vit bien que la situation restait grave malgré les remarquables faits d’armes de certains.

« Tenez-bon ! Ils faiblissent et nous ne faillirons pas ! »

C’était un mensonge. Les terribles hommes masqués ne faiblissaient pas, même si leur nombre diminuait. Mais il y avait déjà suffisamment de morts dans les citoyens de Minas Tirith. Cela devait cesser.

Morgoth avait réoivert les yeux a temps, la lance se planta dans un morceau sans dalle grace a son ésquive.
L'elfe noir lanca un coup de pied au visage du "Masque-Blanc" faisant partir l'ornement du visage et celui ci s'écrsasa au sol a cause de la force de la frappe, du sang coulait par terre.

Morgoth se releva, et vis l'elfe au cheveux blanc en detresse, il chargea l un "Masque-Blanc", le décapitant par hasard de frappe.
Un des hommes de Morgoth subit le même sort, sa tête tomba à quelques mètre de l'elfe noir.
La colère de celui ci fut sans bornes et lui redonnait la même aura sombre qu'auparavant. Tel un Nazgùl.
Morogth abbatis un deuxieme "Masque-Blanc", en lui coupa un bras puis en l'empalant sur sa brillante lame.

Dédain aperçu Alira, il fut pris d'un pincement au coeur quand l'un des homme la toucha, cette fois ci la haine était complète.
Morgoth Hurla en chargeant le "Masque-Blanc" qui avait bléssé l'elfe Noire...

(Je veut laisser l'honneur de resoudre ce combat au MJ, en sachant que j'ai un Integral Mithril sur moi (casque, armure et arme)

Balak se releva rapidement, prêt à faire face à un nouvel adversaire. C'est là qu'il se rendit compte que l'Instant avait disparu. Le mercenaire pesta, mais lorsqu'il regarda plus attentivement la scène de combat, il découvrit la faiblesse de sa technique.

Lorsque je suis ainsi, je fais abstraction de pensées complexes...et je reconnais à peine les alliées des ennemis! Bon sang! Je dois les aider!

Il y avait de nombreuses personnes qu'ils ne connaissaient pas. Avec la jeune dame au poignards, le petit agile et le grand à l'armure scintillante, Balak se dit que cette équipe meurtrière était fort singulière. Mais c'est la nouvelle venue qui capta son attention. Enfin surtout celui qui l'accompagnait.

Intéressant...

Mais son analyse fut de courte durée. Une sensation de malaise avait rendu le corps du guerrier si lourd, qu'il parvint à parer le coup portée par un-bras, le garde de Balthazar estropié.

Cette sensation...

Du coin de l'oeil il aperçut un combattant, apparement animé par une haine féroce. mais ce n'était pas de lui que provenait l'aura écoeurante... En voyant cet être, celui qui dégageait une telle fureur, les souvenirs occupèrent quelques instants l'esprit de l'ancienne ombre. Un visage, dément, lui revenait distinctement.

Arkanhos...

Mais le coup d'épée lancé par le même assaillant fit revenir Balak à la réalité.

Toi, mon gars...

Le combat était bien plus laborieux, l'état de grâce ayant quitté le mercenaire, et l'homme faisait preuve d'une précision redoutable.

Si son maître est aussi fort que lui avec le même bras coupé, je n'aurais aucune chance de le vaincre...

Au prix d'une blessure à l'épaule, Balak parvint à enfoncer Renaisance dans la faille de l'armure adverse dans un craquement de chaires, d'os et de métal.

Tsss...quel chianlit...

Murdock se battait depuis quelques temps contre un adversaire beaucoup plus prudent que son précédesseur. Avoir vu la manière dont ce dernier avait été tué devait surement avoir réduit son ardeur.

Tournant autour et esquisant des coups d'estoc et de taille, les deux adversaires se jaugeait et les coups ne portèrent pas. Cependant, Murdock se rendit rapidement compte qu'il devait en finir au plus vite avec cet adversaire car ces camarades commençaient à donner quelques signes de fatigues. Deux des gardes de la citadelle avaient déjà trouvés la morts de la part de ces lames maudites.

A cet instant, son adversaire, obnubilé par le bouclier de Murdock, commis l'erreur que Murdock attendait. Son adversaire lança un coup de taille qui glissa le long de son bouclier, comme s'il voulait repoussé son arme défensive.

La lame grissa sur le bouclier et toucha l'épaule de Murdock qui y reçu une belle estafilade. Faisant fi de la douleur qui venait de son épaule, Murdock profita de l'ouverte pour faire un coup d'estoc qui trouva par chance une faille dans l'armure de son adversaire, se figeant dans son ventre.

Son adversaire s'écroule alors au sol, agonissant les tripes commençant à se vider de leur place originelle. Il n'avait plus que quelques instants à vivre.

Sachant que la position de ses hommes n'étaient pas tenables, Murdock devait trouver une solution. C'est alors qu'il constate que le combat l'avait amené juste au dessus d'une des trappes par lesquelles étaient venus ces adversaires talentueux.

Aussitôt, une idée germa en lui. Et si l'entrepôt n'était que la partie visible du repaire ennemi.

"Garde de la citadelle avec moi"

Aussitôt, ces camarades continuant de combattre se replient progressivement vers lui. Lorsque ceci se trouvèrent assez près de lui, il ouvert en utilisant tout la force dont il était capable. La trappe s'ouvre et il descend dans ce qui semble être un réseau souterrain.

"Suivez moi."

Le temps que ces camarades descendent, Murdock surveille les endroits pour éviter la moindre surprise. Lorsque la trappe se referme, Murdock constate malheureusement qu'un autre garde de la citadelle avait laissé sa vie sur la place.

"Maudit soit ces ennemis. Nous les vengerons. Richard, allume la torche que tu prend toujours avec toi."

Ce dernier allume immédiatement la torce, permettant ainsi d'éclairer l'endroit.