La caserne d'Annùminas

Le batiment à l'interieur était terne :
Gris et blanc cassé, mais cette fois ci l'on pouvait se croire dans un musée, des armure était exposée de cà et de là, des armes aussi, aisin que des Blason de famille guerrieres de nobles lignées.

Ils arrivèrent dnas une salle ou plusieurs gardes étaient là, affutant leurs armes, polissants leurs armures, et nettoyant leurs vètements.

-Bonjours à tous!!!

Lanca la femme, les deux soldats eurent un haut le coeur quand la jeune femme pris la paroles sans permission devant le Major de baraquement, mais ce dernier se retourna et souria d'une façon joyeuse et douce à le jeune femme, bien qu'en faisant un salut militaire destiné au plus hauts gradés que soit.

Elle continua :

-Donnez donc des armes neuves si ils en veulent et 500 Pièce d'or pour le travaille qu'ils viennent de faire!!! Il est quadn même déjà au moins 6h30...et ils doivent commencer à fatigué, donnez leur aussi un lits....qu'ils doivent déjà avoir...

Elle se retourna vers eux et souria comme on sourie à un enfant qui vient de faire une bonne action.

Puis elle s'approcha du major et l'embrassa sous les huées humoristique des soldats présents qui se firent r'abattre leurs clapets par le major.

Ardenath et le second conduisirent Faestel à la caserne. La nuit était bien avancée, et le soleil allait se lever. Ils mourraient de fatigue, mais Ardenath décida de ne rien montrer. Quand ils arrivèrent à la caserne, d'autres soldats étaient levés. La relève était là. Ardenath sourit : il allait enfin pouvoir dormir ! Ardenath reconnut plusieurs trophées de guerre, et des armes étaient accrochés au mur. Deux lances encadraient la porte de bois, et les murs gris-blanc étaient parsemés de bouclier ornés de symbole. Faestel, à leur grande surprise, parla d'une voix haute et claire, ne dédaignant pas avoir un respect pour leur capitaine.

"Capitaine, nous avons arrêté des garçons qui volaient, avança Ardenath. Plusieurs d'entre eux ce sont enfuis, mais nous en avons fait prisonniers quelques-uns. Je suppose que vous le savez, car mon second a amené ici même les prisonniers."

Faestel le relaya et parla. Les mots qu'elle offrit au capitaine donna de bonnes nouvelles aux soldats d'Arnor. Ardenath récupéra une bourse de 500 pièces d'or lancée par le capitaine et allait se diriger vers la sortie. Puis Faestel embrassa leur supérieur ! Tout s'expliquait... Ardenat fut surpris, mais n'en laissa rien paraître. Il sortit de la caserne pour aller chez lui.

"Quels secrets cache-t-elle encore ?" marmonna-t-il pour lui...

Il ne dormirait pas longtemps. Ardenath n'avait pas besoin de beaucoup d'heures de sommeil... Il se demanda que ferait-il de cet argent... Le salaire arrivait bientôt, Ardenath s'entraînerait encore au combat. Le soleil levant offrait une aube rouge. La rosée du matin humidifiait la route, et le vent frais du matin raviva le peu de flammes de vie en lui. Il avait sommeil... Les nuages viraient au rose, la lune blanche se couchait devant l'astre solaire... La vie s'animait à Annùminas. Les marchands ouvraient déjà leur boutique, tandis que le forgeron allumait déjà un feu pour sa forge. Ses pas le conduirent devant chez lui et Ardenath ouvrit la porte. Il lâcha ses armes sur la table, défit son armure et tomba de sommeil sur son lit...

Du donjon qui servait de résidence à l'administrateur de la caserne, un homme sortit en courant. Dans sa main gauche, il tenait serré un pigeon qui se débattait furieusement pour se libérer, mais son gardien ne semblait pas disposé à le laisser revenir dans le pigeonnier. En fait, il l'avait complètement oublié malgré les serres qui lui déchiraient sa manche. La cause de cette inattention était un papier froissé qu'il tenait entre son index et son pouce. L'homme relisait sans cesse le parchemin comme s'il ne pouvait croire ce qu'il y lisait. Un des nombreux vétérans qui habitaient dans la caserne s'approcha de lui, le regard qoucieux et lui dit :

-Que t'arrives-t-il Trimnir? La foudre t'aurait-elle frappé pour que te cheveux soient ainsi ébouriffés?

L'interessé regarda son interlocuteur tout sourire et lui répondit après avoir repris son souffle :

-Presque. Ce pigeon arrive de Minas Tirith : la Cité Blanche nous annonce l'arrivée de trois hommes : un mage, un nouveau capitaine ainsi qu'un lieutenant. Cela signe peut-être la fin de nos ennuis. Nos relations avec le Sud vont se reformer, tu vas voir, l'Arnor va connaître un nouvel âge d'or.

Le soldat haussa les sourcils sceptique. De tout sa carrière, ce n'était pas la première fois qu'on leur annonçait des changements, mais c'était toujours l'occasion d'espérer.

Ohtar et Cilyàrë était sortit de la maison du guerisseur, la soleil montrait à peine ses rayons réconfortant...pas pour tout le monde, Cilyàrë plissa les yeux en grimacant :

-Mhhhh, je n'aime pas cette chose ronde et jaune...qui réchauffe! Je la supporte mais je ne l'aime pas!

Ils arrivèrent à la caserne. Cilyàrë entra en second suivant Ohtar.
Ils se retrouvèrent alors devant le Major et Faestel, cette derniere dit :

-Alors qui êtes vous étranger? Etait-ce vous sur le Grand loup du nord?

HRP//Ohtar répond à la place de Cilyàrë, fait comme si il allait commancer et coupe lui la parole...//HRP

Ohtar Celebrin ne trouva pas la remarque de Cilyàrë concernant le soleil de très bonne augure mais poursuivit sa route.

« Voici Anar que le commun appelle Soleil, placé par les Valar pour effrayer les créatures de Motgoth... »

Puis, dans la caserne :

« Un l… »

Couppant la parole e l'étranger, le Dùnadan prit la parole:

« Bonjour Major, et bonjour à vous madame. Je me nomme Ohtar Celebrin fils d’Arathar d’Emyn Uial et voici Cilyàrë.
Je l’ai trouvé blessé sur les plaines au nord de la cité et je vous l’amène afin qu’il soit présenté.
Il semblerait qu’il ait perdu le sens de lui-même et son nom est presque aussi jeune que le jour qui se lève. »

Marquant une courte pose pour observer Cilyàrë il poursuivit.

« Je l’ai trouvé cette nuit et il portait une longue épée mais n’a pas pris part au combat qui y a eu lieux. Avez-vous eu des nouvelle d’une elfe et une sang mêlée que j’ai laissé derrière moi ? »

Le major répondit :

-Non je n'ai pas de nouvelle, vous savez les gens entre quasiment comme il veulent temps qu'ils ne sont pa suspects...
Alors comme ca vous ne savez plus rien? Vous étes donc amnésique!
Vous souvenez vous d'ou vous viennent toutes ces cicatrices sur votre visage?

-Non, il ne s'en souvient pas, la fleche était de moi! On ne laisse pas passer l'ennemi...orques de Morgoth!

Faestel avait couper le major, et les derniers mots firent sursauter tout le monde, certains soldats sortirent même les armes, mais elle leva la main en disant :

-L'on a plus rien à craindre de lui en se moment, si il est amnésique il est comme un elfe perdu....

Elle avait un demi-sourire étrange, comme si elle était au courant depuis le début!

Ohtar Celebrin n’était pas vraiment satisfait de la façon dont parlait l’elfe, elle ne disait manifestement pas tout ce qu’elle savait et, de surcroît, elle ne les avait pas assisté durant la nuit si c’était bien elle qui avait tué le warg...

Comme l’autre n’avait pas daigné se présenter il s’adressa au major :

« J’ai appris de bien sombres nouvelles par les gardes en faction aux portes, pouvez vous me confirmer le triste évènement ? »

Le major ne répondit pas mais Faestel le fit :
-Oui...et cet orque vient de la bas...Mais, il ne sait plus rien donc je ne le tuerai pas!

Mais le major lui avait les yeux équarquillés, les tempes battantes...l'oeil mauvais...il sortit son épée et chargea l'orque avant que quelqu'un et pu faire quelque chose, mais l'orque etait bien plus habile qu'un homme, et se défendant sans arme et comme il le put, il prisa le Major et lui brisa les vertebre au sol, la major avait fait un saut perilleux sans le vouloir a cause de l'orque....se retrouvant le dos sur un banc.
Les soldats pèstèrent...mais Faestel les coupa, elle resta de marbre, une larme coulait sur son visage...et elle dit :

-Normal, je l'avait prevu...je l'aimais...pour cela je te demanderai une seul chose...même si tu récupère ta mémoire, tu devra être loyal envers les Hommes, les Elfes et les Nains....

Cilyäre ne sut pas quoi dire, il resta pétrifier à genoux au sol, pendant quelques secondes puis dit :

-D'accord....j'imagine que sa aurait été la mort si non?
-Oui...

Une voix forte retentit. Cet homme était de ceux qui pouvait d'un seul regard calmé une salle remplie de soldat. Son regard était sombre et son vêtement taché par la pluie.

- Que se passe t'il ici?

Les soldats baissèrent les yeux.

-Capitaine Lunidel...

L'homme ne put retenir sa colère.

- La ville est laissée deux semaine sans roi et déjà le chaos règne! Le Roi arrivera sous peu ! Je tiens à ce qu'il recoivent meilleur acceuil!

Le rodeur se demandait quand même ce que faisais cet orque...

Ohtar Celebrin était resté immobile, l’avalanche de violence qui s’était abattu l’avait toucher en plein.
Il n’appréciait en aucune façon les tueries gratuites et ne supportait pas la présence de ceux qui y participaient.

Il regarda l’elfe dans les yeux

« Je vous laisse le soin d’annoncer la chose à la famille du Major puisque vous le dites aimé. Quant à celui que vous vous évertuez à appeler orc et qui se nomme désormais Cilyäre, je vous en laisse la garde. »

Son murmure portait tout le froid que pouvais receler l’hiver des montagnes au nord du lac Evendim et se propagea comme un souffle glacé dans la pièce.

Puis se tournant vers le rôdeur qui venait d’intervenir, sa voie s’adoucit :

« Monsieur, je me nomme Ohtar Celebrin fils d’Arathar d’Emyn Uial daignerez-vous m’informer du sort de mon souverain? Ainsi pourrais-je me présenter au lit de son dernier repos si il y à lieu et, lorsque le porteur de la couronne du nord sera en ville, lui présenter les respect de la maison des contes des Montagnes du Crépuscule. »

Lunidel n'aimait pas les petits bourgeois mais celui là paraissait d'une autre trempe.

- Comtes Celebrin... Notre défunt Roi repose en son palais.. Tar-Aldarion quant à lui se trouve à Bree et devrait sans doute arrivé d'ici quelque jours...

Lunidel fixa le corps du Major... Tout allait mal.

Ohtar Celebrin fut un instant surprit de se voir décerner le titre de comte qui revenait à son frère aîné jusqu'à ce que soit connu le sort de son père, mais il n’en fit pourtant pas la remarque :

*Ne suis-je pas ici le représentant légitime du compte d’Emyn Uial ?
Alors comportons nous comme tel.*

D’un air sombre il dit :

« Soit, c’est une triste nouvelle qui endeuillera les miens depuis les plus jeunes jusqu'aux plus âgés.
Je vais prestement en informer mon frère à Gobel Uial mais je doute qu’il puisse se distraire de ses fonctions avant longtemps… »

Après un bref instant :

« Je suppose que feu le roi repose dans la crypte du palais ?
Si c’est le cas je désir m’y rendre immédiatement. »

Faestel interpella Ohtar avec un ton de sarcasme et piquant :

-Je ne suis pas une elfe comme vous le pensez dùnadan, je suis une...humaine...de Numénor!
Et cet "Orque", je n'en ferait rien aprés tout il est aussi apte que nous tous de savoir se qu'il a à faire...Et vous feriez mieux de me parler sur un autre ton!! Je crois que vous ne savez pas à qui vous avez à faire!!
Moi par contre j'ai autre chose à faire!!

Elle se tourna vers le capitaine :
-Capitaine. L'annonce du roi est terrible et celle du retour de son fils de bonne augure, le chaos est installé partout en Arnor, et je craint que se mal ne fasse revenir des "spectres du passé"...

Sur ce elle ordonna à trois soldat de mettre le corps du major sur son lit et d'appeler le Croque-Mort.

Elle quitta la salle...

Cilyàrë s'était relever, il regardait ses mains puis les gens autours de lui...il ne savait que dire...

-Je ne suis plus un orque! Je ne voulait pas le tuer...

Il s'enfuit de la salle en courant...

Un sergent lacha à des soldats :
-Trouvez le et rammener le...il faut lui parlé!!! Sa compte aussi pour vous Dùnadan!!! Aprés tout c'est vous qui l'avez ammené!!

« Je vous ai confié le nouvellement nommé Cilyàrë.

Que vous le laissiez partir ou tuer, vivre libre ou mourir enfermé ne me regarde en rien.

Je suis ici représentant de mon père et mon seul devoir ici est de me rendre auprès du seigneur de ces lieux qu’il soit en vie ou non. »

Ohtar Celebrin ne comptait pas se laisser diriger par une membre de la milice, de la garde ou de quelque faction que se fut. Il est noble Dùnadan d’Arnor et ne recevrait d’ordre que de son roi !

« Je vais donc poursuivre jusqu’au palais si quelqu’un me chercherais. »

Il sorti d’un pas calme et se dirigea par les rues vers le centre de la citée.



[HRPG : je ne sais ce qu’est en vérité Faestel et je suis intéressé par une sorte de fiche perso si il en existe une mais vu la façon dont tu la joue elle est bien plus proche des elfes que des dùnedain (course très rapide, vision parfaite dans le noir et âge très ancien….).
Alors comme tu n’en disais jamais rien de précis à son sujet, j’ai considéré qu’elle était de race elfique.
Il en va de même pour Cilyàrë pour lequel nous n’avions auccune information durant tout le temps de son secours… Il n’est même pas dit si c’est ton personnage principal ou si il s’agit juste d’un PNJ comme Faestel… ce qui n'aide pas pour s'y retrouver.

Alors si à l’avenir tu pouvais préciser ce genre de choses cela nnous simplifierait la vie.
Merci.]

Ardenath entra dans la caserne, exténué. Après être entré en ville, il s'était directement dirigé vers la caserne d'Annùminas. Toujours en armure, il inspecta les lieux. Rien n'avait changé, tout était comme le soldat s'en souvenait. Rien ne pouvait apercevoir le moindre changement... son absence d'activité n'avait pas dû beaucoup marqué les autres soldats. Un bruit de pas le fit se retourner. Par pur réflexe, son bouclier en avant le protéger tandis que sa la lance pouvait embrocher quiconque aurait l'audace ou la malchance de s'approcher. Ardenath se détendit en voyant que ce n'était rien d'autre qu'un autre soldat.

"Ardenath ! s'écria-t-il. Content de te voir, tu n'étais pas beaucoup présent. Mais toi, tu n'as pas l'air content de me voir, vu la façon dont tu allais me frapper !"

Le soldat s'appelait Thénéril. Du même âge qu'Ardenath, une chevelure blonde qui lui descendait jusqu'aux épaules, les cheveux emmêlés. Il portait une épée et un bouclier, mais peu d'armure. Toutefois, ses talents au combat était remarquable.

"Quand on a continuellement les bandits aux trousses, on finit par acquérir certains réflexes...protecteur, rétorqua Ardenath. Que s'est-il passé ici ? Je ne suis au courant de rien !"

Thénéril eut un petit sourire.

"C'est normal, tu n'étais pas là pendant des semaines !"

Le soldat conta tout à Ardenath qui fut surpris par les évènements.

"Je ne suis pas au courant de tout, avoua Thénéril quand il eut fini, mais tu en connais l'essentiel, et je pense que c'est suffisant pour que tu puisses reprendre une vie normale, une vie de soldat !"

"Sans doute, répondit Ardenath, mais j'ai d'autres projets pour moi."

Et sur ces mots, il sortit de la caserne.