Devant le Mal en personne.....pourtant un ami à sauver...

"Vous avez raison Silindë, les Valar ne nous regardent plus... Les Valar ne se soucient plus de nous sur leur création. Cependant, ils n'ont pas totallement laissé tombé ces Terres, ils s'en sont séparés, il y a longtemps, longtemps pour moi, pas pour certains. Mais n'allez pas trop les blamer, je connait votre douleur et il y a quelques années j'ai tenu les mêmes propos, a tord... Vous savez où elle est partie... Mais els Elfes, après leur séjour chez Mandos ne reprennent-ils pas vie dans le corps de leurs enfants ? Ne desespéré pas, et si vous ne vous battez pas pour les Valar, battez vous pour ce qui est encore bon dans ce monde... Voila le seul conseil que je peut prodiguer dans la tristesse et la récente horreur...Votre mère vous a sauvée comme votre frère avant elle et ce pour vous protéger contre Le Mal..."

Je me détournais alors et revis dans ma tête les flammes au Pélargir, les Flammes dans toutes les maisons, les flammes dans ma maison. Les orcs courant et galopant des torches à la main prononçant d'horrible mots que je ne comprenais pas... Puis l'orc qui avait enflammé ma maison. Je revis Hobasian sortirent portant deux corps, puis fou de colère sortire son épée et se battre comme un forcené... Après cet evenement il n'avait plus été le même... jamais plus...

Je me rendis alors compte que je m'étais assi sur le sol, me tenant la tête dans les mains... Mon passage par la mort m'avait peut-être otez beaucoup de craintes, mais il ne m'avait pas oté ces souvenirs affruex réveillé par Melkor... Milindë s'approcha de moi, me regarda dans les yeux... et je devinais que sa vie n'avait aps été non plus un logn fleuve tranquille... je l'aimais mais ne pouvait m'empêcher de me demander qu'avait été sa vie... et aussi qui elle était...

Je me levais alors de nouveau.

"Allons-y l'attaque est imminente, que tous ceux qui amèneront les blessés et les morts dans la cité se préparent, nous partons."

/Melodramatisons ensemble^^//

Les Valar... C'était un concept auquel il n'était pas familié. Lui, il n'avait vécu de nombreux siècles ni voyagé par delà la mer. Cela le concernait à peine. S'ils ne gardaient plus sur eux un oeil vigilant, peu importe il savait qu'il faudrait se battre quand même. et que c'était leur bataille, eux, hommes, elfes, tous ceux coupés des Terres Immortelles.

Il se tourna vers le Magicien et vers tous ceux qui étaient sur le départ, ceux qui partaient la Cité, et ceux qui ne reviendraient plus.

"Puisse votre voyage se dérouler sans aucun désagrément, Mithrandir. Nous avons payé un assez lourd tribut pour retarder la domination de l'ombre. Nous devrions nous revoir bientôt."

Puis il se détourna et, sans un regard pour le convoi qui s'ébranlait, il écouta le rapport des sentinelles qui signalaient que des hommes commençaient à se tordre par terre dans le camp Haradrim.

"Sonnez la charge..."

L'armée se mit en marche à son tour, dans le sens opposé du convoi des blessés. Il était maintenant temps de réclamer le prix du sang qui avait coulé pour vaincre Amouth.

"Encerclons-les !"

Les disciples d'Amouth étaient déjà agonisant, il n'y en avait pas plus de la moitié qui tenait encore debout. Le combattant promettait d'être rapide et très certainement sanglant.
Les prmeiers rangs d'assaillants se heurtèrent à une résistance faible, malade et cernée par la peur.

Morgoth lui aussi descendit vers le camp, le corps de sa mère appuyé sur son épaule, tenu par un bras, peu pratique mais il faudrai surement se battre. La pluie commencait à tomber, et l'on entendait les cris de douleurs des haradrims du camps. Morgoth avait peur d'une chose et une seul...Mais il ne le laisser pas voir éxplicitement.
Il sortit la flashion khandienne de son fourreau, et tua quelques hommes au sol, il n'avait aucune pitier, plus maintenant.
Il lanca un regard de pitié à Alira, qui semblait le détéster. Lui l'aimait, c'était clair dans son ésprit, et il sentait que son frêre aussi par la même occasion, mais cela était peut être dus au fait qu'il était dans le même corps, se sentiment faisait bondir le coeur de l'elfe noir à chaque fois qu'il voyait sa congénère.
Un Haradrim même endolorit est toujours un haradrim dangeureux, et Morgoth l'avait un peu oublier, mais son armure fit protection comme il le fallait, et l'épée de l'un d'eux se brisa sur elle, en envoyant un morceau de métal frôler le cuir chevelue de l'Avari... Les yeux grand ouvert il regarda son flanc et vis qu'il n'avait pas remit son heaume! Son crâne saignait à l'arriere! Il se retourna et decapita l'homme rouler en boule au sol de douleur.

**Un coup plus haut aurai suffit à m'oter la vie! je ne doit pas laisser tomber, ils m'on sauvé, ne pas mourir, je ne doit pas laisser tomber**

Mais le morceau de métal avait trancher plus qu'il n'aurai fallu et l'elfe eu des moment de vide, moments dangeureux en bataille, même si cette bataille était gagner.

-Alira!!!!

Un cri de panique...
Il eu peur une deuxieme fois! Sa falshion devenait lourde, pourtant il avait l'habitude de porter des armes à deux main d'une seul des siennes.
Mais cette fois ci un petit coup était affaiblissant...pourquoi?
Il vit l'elfe noire, il rappela....allait elle venir? Il ne savait pas!
Mais il se rendit compte d'une chose...les haradrims...ils utilisent du poison...Il dit d'une voix faible...

-Oh non....pas ça!

Il rengea son épée et se tint l'arriere de la tête pour empécher le sang de couler....

Gebir déposa le corps inanimé sur un charriot qui partait pour la capitale.

Au début, il voulait partir tout de suite, ne se préoccupant guère du combat.
Mais sur l'injonction d'Ajax, il compris que son geste avait quelque chose de lâche.
Il se prépara pour une charge tel qu'il en avait l'habitude.
La lance fut nettoyé et Gebir récupéra un étendard du Gondor qu'il plaça en dessous de celui de Dol Amroth.

Il pria de survivre une fois de plus et se mit à part avec son cheval dans le but de l'apaiser en attente d'un combat et d'une chevauché qui durerait ensuite plusieurs jours sans guère d'interruption.

Soudain, la charge.
Il souffla dans son cor et s'élança sur le flanc suivis par une poignée de cavaliers dont les deux chevaliers de Brethil.

Quel combat?
Il frappait dans des ennemis de dos et nul n'opossait de véritable opposition.
Quelle gloire?
Aucune.
Il planta sa lance dans un dos ennemi et mit pied à terre pour achever un haradhrim gravement blessé.
Que faire d'autre?Rien.

A ceux qui s'occupent des blessés et du retour vers MT, c'est par là....

-Alira!!!!

Cette voix elle la connaissait trop bien, et l'intonation de supplique l'effrayait. Tournant la tête, du haut de la colline qui séparait le combat du convoit, son coeur rata un bâtement en voyant Silindë tomber et des haradrims avancer vers lui pour l'achever. Se demandant à qui elle en voulait le plus entre le haradrim ou Silindë ; Alira fit faire demi-tour au cheval qu'elle avait emprunté et dévala la colline dans leur direction, dagues au clair, elle passerait sa colère sur les hardrims qui passeraient par là.

Le cheval fonça et écrasa le premier hardrims alors que l'autre reculait déjà un peu chancelant à cause du poison, l'elfe noire bondit sur le deuxième qui remit de sa surprise entama le combat avec elle jusqu'à ce qu'il s'effondre plus apr lui même que par l'elfe noire.

Sifflant son cheval elle s'agnouilla près de l'elfe noir, le forçant à lacher sa tête pour qu'elle regarde la plaie.

_Une seul mot et je te jure que je t'achève.

La blessure n'était pas très profonde mais les lames haradrims étaient le plus souvent empoisonnées, elle pria les Valars pour que la lame ai déjà plusieurs fois servi pour que les effets du poison soient atténués. Déchirant un bout de tissu de sa cape elle l'enroula autour de la tête de Silindë, elle ne poura faire plus ici, il fallait qu'ils rejoignent le convoi au plus vite pour atteindre Minas Tirith.

_Il te faudra grimper derrière moi pour nous écarter du combat.

La colère qu'elle avait s'était rapidement muée en inquiétude, son regard s'adoucissant alors qu'elle posait une main sur son visage tout en lui parlant.

_Oh Silindë, pourquoi faut-il toujours que tu te mette dans des situations dangeureuses. Ne crois-tu pas que j'ai eu assez peur comme ça en te voyant au seuil de la mort...

Ses yeux de nuit étaient brillants de larmes alors qu'elle détournait le regard.

Morgoth avait du mal à voir se qu'il se passait, il vit seulement un cavalier, une femme, car trop svelte pour etre une brute humaine, mais combattante aguérie...Alira!
Il voulu levait la main, mais son bras ne voulait pas bouger, il sentit remonter en lui un spasme de douleur, et faillit rendre, mais se retint.

**Pas de faiblesse, je ne doit pas abbandonné!!!**

Il n'arriva pas à entendre distinctement les mots de l'elfe noir, mais il entendit son ton changer d'un instant à l'autre.
Ses bras ne le supportèrent bientôt plus, mais sa congénère le mis sur le cheval, il réussi à prendre prise au ventre de la jeune elfe, qui eu un petit rictus de douleur, car quand les doigts lui accrochèrent les côtes le metal précieux pèrça la peau...Il ne l'avait pas voulus mais si il e l'aait pas fait il serait tomber du cheval en route.

Loin derriere eux le camps était, et loin derrière eux le mal était.
Il me semble que personne encore ne s'était rendu compte d se qu'il s'était passer cette semaine là. Le plus grand mal du monde venait à être terrassé...pourtant l'ombre était toujurs là, mais bien moins grande....bien moins grandes!!!!!

Le combat n'en était pas un. Malgré le manque d'expérience de l'armée de Gondor, il n'y avait presque aucune résistence. Aucune réssitence crédible, doit-on dire, car même agonisants, ils se battaient. h, ils ne rendraient pas les armes, ça non, j'amais, la vie que les Gondoriens leur prennaient semblait dédiée totalement à Amouth.
De toute façon, on ne pouvait être sûr qu'ils auraient été épargnés s'ils avaient rendus les armes, car ils étaient là une menace que Gondor ne pouvait tolérer.
Mieux valait les éliminer maintenant que devoir le faire lorsqu'ils seraient réorganisés. Et tant pis pour l'honneur, se disait l'Intendant. La gloire... Quel concept ridicule... Si on se bat, c'est pour survivre et par nécessité. Celui qui se bat pour la gloire, obtiendra plus sûrement une mort précoce plutôt que la renommée, de toute façon.

"Allez soldats, je pense que ça y est... Ne croyez pas que tout sera toujours aussi facile, vous dont c'est la première bataille."

Ils commençaient déjà à dresser des bûchers pour brûler les cadavres. Il n'y avait pas d'y avoir le moindre Haradrim encore vivant quand surgit le semi-troll.
Il boitait et c'est sans doute pour ça qu'il n'a pas pu suivre ses congénères.

Mais blessé ou pas, il faisait la taille de deux hommes et brandissait une large massue.
Néanmois, vu leur nombre, il ne semblait pas difficile d'éliminer ce dernier gêneur.

Quatre cavaliers se préparaient à partir vers Minas Tirith et rattraper les blessés plus lents quand un semi troll de belle taille se présenta dans le camp semant l'effroi dans les rangs des novices gondoréens.

Tous quatre tournèrent la bride et chargèrent ,insistant les soldats à grand cris à s'armer :

" Saisissez vos lances, restez hors de portée de ses coups."

Les soldats se précipitèrent de tout côté brandissant de longues lances faisant reculés le troll.
Acculés à une paroi rocheuse, il balança sa massue de tout coté et les soldats enfonçaient au fur et à mesure leurs lances dans son corps mou.

Gebir prit une nouvelle fois sa lance et se précipita avec élan vers la bête.
La lance perça le troll au niveau de son cou et celui ci s'affal sur les rochers et en écrasant un bon nombre.

Radamanthe hocha nonchalemment de la tête. Il s'approcha de Gebir et de ses acolytes d'un pas détendu, l'air staisfait.

"Très bien, voilà qui clôt les hostilités, je crois... Merci de l'aide apportée par ceux qui restèrent fidèles au prince légitime de Dol Amroth... Les armées de Gondor ont trop été solicitées que pour permettre de punir les traîtres et les félons..."

Il secoua la tête d'un air résigné et désolé avant de s'écarter et de se placer bien en vue, afin de transmettre des ordres.

"Que les blessés soient installés sur des chariots, ainsi que les morts de la Cité. Pour ce qui est des Suderons, qu'on dresse de larges bûchers afin de ne pas laisser leurs corps à la merci de tous les charognards, et afin que l'Imlad Morgul, qui est déjà asez sinistre ainsi, ne devienne pas un foyer d'épidémie."

Tandis qu'il supervisait l'orgnanisation des chariots, il pouvait voir le travail avancer, bien que celui-ci ne soit pas vraiment agréable.
Après un certain temps, les charettes emprovisées étaient prêtes à partir, tirées par des chevaux fourbus qui eux aussi mériteraient bien d'être de retour dans le Cité Blanche, comme les hommes.
Des grands tas de bois furent allumés alors qu'ils se mettait en route, et déjà s'élevait une fumée noire qu'il fallait mieux éviter.

Le voyage se passerait bien, espérait t-on, même si personne ne voyait ce qui aurait pu leur arriver. Pourtant, il étaiti ndéniable qu'une partie de l'armée haradrim avait disparu pendant qu'ils étaient dans les souterrains...

[Libre à vous d'accéler le voyage.]

A l'interieur des cavernes, la où eu lieu un massacre, et la disparition du Maitre du Mal, les cadavres jonchaient le sol. Mais un se releva, difficilement, un bras arracher par un coup, des morceaux d'armures en moins...Un corps massif, mi-Orque, Mi-Araignée...
Pour la première fois il pensa par lui même, il ne savait qu'à peine parler, mais les choses affluaient rapidement en son sein.
Il comprit qu'il était fort, mais jeune. Il chercha alors les autres. mais vit qu'ils était mort.
Il trouva au sol un globe, noir... quand il le toucha la globe sintilla de noir à l'interieur.
La créature souria, et partit des cavernes avec un grognement pour aller à Cirith-Ungol...

Erco rentrait à minas Tirith fatigué et lasse de cette quete qui avait bien fallit le tuer. Il partait au galot pour rejoindre de groupe qui était déjà sur la route de Minas tirith, il les aura rejoind dans un temps court, vu qu'il était à cheval et que le groupe des blessé avençait assez lentement. Erco avait toujours Arka, son renard, i avençait l'aire aussi fatigué, mais il courait à coté du cheval d'erco joyeusement.