Miria

Prénom: Miria
Aucun nom connu à ce jour…^^

Physique et Mental :

Miria est une jeune humaine, d’origine Rohirrim, aux yeux d’argents et aux cheveux blonds, coupés courts, ce qui en ces temps lointains est un manque de féminité. Elles est également reconnaissables par son armures typées blanche ou gris acier et sa longue lame marquée de son symbole,. Concernant ses talents, ceux de Miria diffèrent de beaucoup ce ceux de simples humains. Elles est plus forte, rapide, a de meilleurs réflexes que les meilleurs hommes. Elle se fatigue peu et n'a pas besoin de manger beaucoup. Elle est également en mesure de guérir vite, car elle est solide que les autres. Froide avec les personnes auxquelles elle ne fait aucune confiance, distante avec celle qu’elle ne connaît pas, et à peine souriante avec celle qu’elle tient en estime. Fière, orgueilleuse, elle recherche la perfection et est faite pour diriger. Autoritaire, individualiste, directive, Miria n’est pas véritablement souples, enfin de caractère bien sûr .

Histoire :

Née il y a vingt-trois années de cela dans une famille pauvre, Miria n’a pas toujours eu la vie facile. Au début encore, elle a eu de la chance, car sa famille était aimante et soudée. Sa mère, Meiyan, qui avait déjà eu trois fils, beaucoup plus vieux que Miria et qui faisait déjà leur apprentissage chez les Rohirrims, était tellement heureuse d’avoir une fille qu’elle la gâta les premières années de sa vie. Miria était toujours mieux habillées que ses camarades, elle recevait une éducation scolaire et sa mère, alors qu’elle n’avait que 6 ans lui apprenait déjà à être une bonne maîtresse de maison, ce qui attisait la jalousie de nombreuses jeunes filles moins douées que Miria dans ce domaine, bien que cela était égal pour cette dernière, tans qu’elle avait sa famille. Les années passèrent et La quantité d’argent que la famille possédait diminuait en même temps que Miria grandissait. Ils n’eurent bientôt plus qu’une table et trois chaises pour manger, après avoir tout vendu. Le père eut une idée, marier sa fille, qui n’avait alors que treize ans, à un homme qui avait perdu sa précédente femme, emportée par une épidémie et qui en recherchait une autre, plus jeune. Malgré le désaccord farouche de sa mère, Miria accepta sans sourciller et partit se marier avec pour seul trousseau qu’une petite robe blanche, fabriquée par sa mère quelques mois auparavant pour une autre jeune fille qui avait été emportée par la même épidémie que la femme de son futur gendre. Le mariage se fit en compagnie de la famille de son mari, autant d’inconnu qui intimidait Miria. Baldomero, tel était le nom de celui qu’elle appellerait désormais son « mari ». Il possédait des chevaux et lui apprit à monter à cheval. Il était tellement gentil, Miria l’adulait. Il lui offrait ses richesses, lui présentait ses amis, lui disait qu’elle était belle avec ses yeux qui étaient alors bleus et ses cheveux blonds comme les blés, Miria pensait, en jeune fille naïve qu’elle avait de la chance avec ce Rohirrim que le peuple tenait en haute estime… Mais voila, deux ans plus tard, il lui fit un enfant et devint violent lorsqu’il l’apprit, pour lui, être père à quarante ans était… une abomination…. Rapidement, elle fut enfermée dans la maison, battue par son époux qui la traitait comme la ire des souillons. Lorsqu’elle enfanta, lors d’une nuit noire, Baldomero étouffa son fils devant ses yeux puis jeta le pauvre enfant à terre comme une vulgaire poupée de chiffon. Bien qu’épuisée par les douleur de l’accouchement, Miria se leva, les yeux devenus soudainement argentés et empoigna la lourde épée de Baldomero. Elle la hissa au dessus de sa tête, et, pendant que son époux était retourné, l’abattit sur le crâne de l’homme, une fois, puis une deuxième, tranchant en deux la matière cérébrale. Il mourut sur le coup. Lorsque sa rage retomba, Miria lâcha l’épée, et regarda horrifiée ses mains pleine de sang. Laissant là les deux corps, elle se lava, prépara un maigre baluchon contenant une combinaison de cuir pour les jeunes soldats blanche, quelques pièces d’armure de la même taille, de la nourriture et de l’eau en cas de besoin. Elle sella un cheval et s’enfuit dans la nuit, alors qu’elle n’avait que quinze ans… Après des jours et des jours de voyage vers le nord, épuisée, Miria arriva à une auberge mais n’ayant aucun argent, se fit rapidement jeter dehors par le propriétaire. Ce fut une elfe, présente dans l’auberge et qui avait vu son expulsion qui la recueillit, intriguée par ses yeux d’argent et sa blondeur. Miria la repoussa d’abord, puis, sachant que si elle ne se laissait pas aider elle mourrait, laissa l’elfe faire, mais ne prononça aucun mot, aucune parole, restant muette comme une carpe et renfermée sur elle-même. Cet elfe, qui s’appelait Enya, la recueillit à Fondcombe d’où elle venait et la laissa vivre à sa guise jusqu'à ce qu’elle se décide à parler. Lorsqu’elle fut enfin coopérative, Enya dicta à Miria une éducation guerrière, lui apprenant le maniement de l’épée et du sabre. Ensuite elle lui donna une épée forgée avec un symbole unique dessus celui qu’elle venait d’attribuer à Miria.
« Présente ce symbole, et tu seras reçu par tous les elfes »
Lui avait elle dit. Elle jeta les anciennes affaires de Miria et lui donna une nouvelle armure blanche ainsi que divers habits de la même couleur ou gris acier.
« Le blanc est ta couleur, reste pure comme elle »
Avait elle ajouté. Elle avait accroché à sa ceinture une bourse remplie de piécettes et avait posé la main sur son front.
« Va, maintenant…. Avec ma bénédiction… »
Et elle avait laissé Miria partir, sur un cheval blanc, la laissant rôder sur la Terre du Milieu. Voila, c’est depuis des années comme ça… Depuis, elle s’est fait passer pour un homme, a endurcit son caractère jusqu'à devenir antisociale, s’est coupé les cheveux, a durcit son corps à force privations, a chevauché dans la nuit jusqu'à s’endormir sur son cheval, a connu les lits mités des auberge mais n’est jamais revenue durablement dans son pays d’origine, le Rohan, ou alors elle y est seulement passé.

Habitation :
Aucune.

Animaux :

Un étalon blanc, Laïos