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Aldarion
Roi d'Arnor
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Aldarion

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- -: L'age ou l'on est fougeux mais déjà sage
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Mini concours de fiche de perso : Dernier jet EmptyVen 13 Juin 2008 - 12:51
Voilà chers participant, veuillez poster ici votre fiche définitive.
Nous accepterons les fiches jusqu'à demain soir, au delà de ce moment, nous nous contenterons des anciennes.
Le vote aura lieu après Smile


Invité, n'oublie pas que le regard des Rois d'Arnor porte au delà des frontières de leurs royaumes.
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Hadhod Croix-de-Fer
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Hadhod Croix-de-Fer

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Mini concours de fiche de perso : Dernier jet EmptyVen 13 Juin 2008 - 17:13
"L'Ombre t'a vaincu jadis, à présent tu dois vaincre pour l'Ombre"


Tel pouvait être le résumé de l'existance de Selios... En tout cas, ce sombre slogan demeurait gravé sur le revers de son médaillon d'or, quoique en une langue inconnue de beaucoup: le Parler Noir.


Les froides landes d'Etten, à l'ombre des contreforts d'Angmar, demeurent son unique et véritable point d'ancrage... la haine, son seul mot d'ordre.

Voilà longtemps que Selios avait quitté le droit chemin et le monde que nous connaissons, celui qui est plongé dans la lumière chaleureuse d'un soleil de printemps. Il fut jadis un homme d'honneur, mais lui-même ne se souvient plus de cette période lointaine. Seuls quelques débris de son passé perdu viennent troubler ses rêves... des tours floues caressées par le vent du Nord, et la lointaine rumeur d'un lac septentrional.

D'aucuns pensent que l'Arnor l'avait vu naître, en paix, il y a de cela une bonne trentaine d'années. Et bien peu savent à présent ce qui l'a poussé à emprunter le lugubre chemin qui le mena dans le grand Nord, près du Royaume maudit d'Angmar.

***


"Selios, courageux et fidèle rôdeur, une dernière mission t'attend. Au Nord des Monts Brumeux se trouve une ancienne place forte de l'ennemi, un lieu emplis de malice. Il serait bon de connaître la vérité sur l'état de ces terres. Va! Rapporte-moi des nouvelles de cette région et espère que le Mal qui y résidait ait été chassé. La furtivité est le maître mot; tu iras seul."

Ainsi avait parlé le Capitaine de Selios, en un temps qui semblait reculé, dans l'une des tours du palais Royal. Le Dunàdan fit donc ses adieux, pour un temps, espérait-il. Il quitta épouse et mère - son père étant décédé quelques temps plus tôt - sachant que la route qu'il emprunterait serait longue et pénible. Il partit donc sans compagnie, et marcha... marcha vers l'inconnu dans les terres froides et sauvages. La direction?

Angmar.


Le noble et brave soldat arriva, après maintes peines, au sud de ce dangereux pays... et son destin en fut bouleversé. Une lueur s'avança, pale, dans l'obscurité relative d'un crépuscule d'hiver. Une voix d'outre-tombe se fit entendre...

"L'Ombre est en train de te vaincre... tu servira l'Ombre désormais."

Selios ne dit rien... ne put rien dire, en vérité. Son âme ne lui appartenait déjà plus totalement.


Paradoxalement, ce fut cet esprit malfaisant ne trouvant de forme physique qu'en son seul manteau doré de lumière qui le trouva et lui fit rejoindre les Ténèbres.

On dit qu'une ombre plane toujours en ces régions... que l'influence du Seigneur Noir qui y vécut persiste encore et encore... que quelques-uns de ses serviteurs poursuivent son sinistre combat, dans l'ombre. L'esprit qui s'empara de Selios n'était qu'un serviteur, un sbire de l'ancien pouvoir qui résidait en Angmar et que certains nommaient Roi-Sorcier.

***


Depuis lors, Selios n'est plus que l'ombre du héros libre qu'il a été... sbire condamné à errer dans les chemins sombres, servant le psectre qui contrôle sa volonté. Une chouette, ou chat-huant comme certains nomment cette race, l'accompagne dans chacun de ses voyages, servant d'yeux et d'oreilles au sombre spectre, dont l'esprit réside en permanence au Sud d'Angmar. Oiseau sinistre, aussi mauvais que son sombre maître... Selios le hait, il les hait tous les deux! Mais il ne peux toutefois se résoudre à s'en défaire ou à occir l'oiseau... en vérité, une autre volonté l'empêche de commettre cet acte.

Désormais, sa vie ne consiste qu'à éxécuter les mission maléfiques de son détestable maître, et il lui est utile dans bien des cas. Le secret et la tromperie restent ses principales méthodes, bien qu'il porte une solide épée en cas de besoin, emplis de formule de mauvaise augure et ornée de runes maléfiques. Le médaillon qu'il porte en permanence à son cou lui a été offert de force par son Maître, symbole de son allégence au Mal.

Mais, depuis quelques temps, sa fonction n'est plus la même, et une autre tâche, moins ardue pour le corps mais plus terrible pour l'âme, a été confiée par le sinistre être à la cape d'Or:

"Retourne sur les terres qui t'ont vu naître, dans ton ancienne famille lâche et sans fierté, vers tes anciens confrère qui n'ont su mettre à contribution tes talents, et espionne... rapporte-moi, par l'intermédiaire de ton compagnon volatile, des information concernant ce qui se trâme à Annùminas, chez les Gens d'Arnor..."

En vérité, cette machination machiavélique avait été imaginé il y a fort longtemps par le Maître, et ce rapace qui avait longtemps servi à garder une emprise sur le coeur de Selios a à présent une fonction beaucoup plus concrète: relier Angmar à Annùminas et Annùminas à Angmar... inlassablement, porteur des nouvelles que l'ancien Dunàdan offre avec traîtrise à celui qui le gouverne.

Selios retourna donc vers les siens, où il cacha bien son jeu et fut acceulli avec joie. Cependant, son ancien Capitaine, qui remplit d'ailleurs toujours la même fonction, perçut comme une ombre entre lui et son soldat de jadis; un mauvais pressentiment l'envahit, sans qu'il en sut la raison... et il refusa de le reprendre parmi les Rôdeurs.

La déception de Selios et de son lointain seigneur fut grande, car une place dans l'armée vous met au coeur des informations stratégiques et militaires, et la traîtrise n'en est que plus grande.

Bien peu l'aiment à présent, hormis son épouse. Sa mère était morte durant son abscence, et le reste de sa famille l'évite. Cependant, une autre opportunité vint de remplir au mieux les exigences du Mal, lorsqu'on lui proposa, en partie par moquerie, une basse place au Palais Royal, servant de sbire aux cuisines et s'occupant des tâches ingrates. Selios peut ainsi entendre bon nombre de choses... des choses utiles... des choses qui ne circulent que dans le seul pailais du Roi. Et toutes ces choses sont soigneusement et secrètement retranscrites de sa main et envoyées en Angmar, où elles sont de la plus grande utilité...

Ainsi, le secret qui avait toujours été le maître mot des Rôdeurs et des guerriers d'Arnor en général... n'existe plus, ou en proportion réduite. Les Orques se multiplient dans les montagnes du Nord, et, de conivence avec eux, le spectre au voile doré leur fournit informations et secrets pour tenter de faire le poids face à l'Arnor...

Selios opère toujours de nuit, quand la lueur de la Lune est voilée par les nuages et que l'obscurité règne, afin de ne point faire naître les soupçons de ses proches. La chouette n'a, dit-on, jamais été vue ouvertement à Annùminas, et il en va de même pour son médaillon maudit, qu'il garde du reste caché.

Cruel destin, hélas, pour un homme qui fut jadis défenseur des Gens Libres... sbire du Mal, voilà bien la plus mauvaise des places.

Cependant, à défaut de pouvoir revenir dans le droit chemin, Selios espère en son coeur se débarrasser de sa dépendance envers ce seigneur d'Angmar, se défaire de ce rapace qui perturbe ses nuits et hante ses pensées le jour.

La volonté lui manque pour l'instant... celle de son maître reste la plus forte. Mais qui sait? Un jour il serait son propre maître, un jour il se débarrassera de son médaillon et de la phrase qui y est gravée et qui le gouverne. Tous ces voeux, il se les ait juré, sans pour autant y arriver. Dansses rêves les plus secrets, Selios espère retourner dans les Landes d'Etten, au plus profond du domaine du Mal, et se venger de ce seigneur tyrannique... prendre sa place! Oui, le détruire, prendre sa place et se faire connaître des gens libres comme la vraie terreur septentrionale.

Pourtant, même en faisant cela, ne serait-il pas toujours guidé par cette sinistre phrase qui lui fut assigné? Elle et son destin ne font qu'un, et la volonté de Celui qui le trouva se ferait même après sa mort.

Cependant, toutes ses pensées ne demeuraient que des rêves illusoires d'un esprit encore soumis, et le spectre qui le gouvernait n'entendait pas le lâcher... Sbire il resterait, et l'Arnor n'en serait que plus vulnérable. La traîtrise a toujours été l'ennemi principal des Gens Libres, comme Morgoth le fut pour les Valar, comme Curunir le fut pour les Istari... elle s'étend à travers les âges sous diverses formes mais avec un inque but de destruction et de pouvoir.


The Half Cop
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Turin
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Mini concours de fiche de perso : Dernier jet EmptyVen 13 Juin 2008 - 17:19
La razzia orque faisait rage au pied de la montagne ou se juchait le cinquième feu d'alarme, Min-Rimmon.
Un petit camp s'était fait attaqué par les orques à peine une dizaine de minutes avant, et déjà il ne restait plus que cendres du campement et des ces anciens occupants...
Gorlûk, le chef orque pouvait être satisfait, sentir craquer le coup de cette fillette sous ces canines avait calmé sa soif de sang.
Repus, le groupe allait s'éloigner lorsqu'un évènement inhabituel se déroula.
Du haut d'un rocher surplombant la scène, un homme en bonne forme, aux cheveux bruns et aux yeux ténébreux héla les orques, et en ses mots, il leur dit:


"Le banquet est fini, il est temps de payer la note"

Les orques ne pouvaient se douter que cet homme, possédait réellement ce pouvoir de vie et de mort sur la troupe.

"Seul, humain? Que crois tu pouvoir faire..."

Sur ce Gorlûk fit un bref signe de tête et les orques qui l'entouraient chargèrent.
C'est à ce moment qu'un énorme hibou grand duc s'envola de derrière le rocher pour s'abattre sur l'orque le plus proche . L'énorme rapace n'éprouva aucune peine à lui broyer les orbites sous ses serres puissante avant que la créature de l'ombre n'ai pu se défendre.
Les autres orques marquèrent un temps d'arrêt du au fait de la surprise que cette attaque soudaine avait provoqué dans leurs rangs. Aucun des orques ne possédait d'armes de jets.Leurs attentions se focalisèrent donc à nouveau vers l'homme qui n'avait pas bronché. De plus, ils conservaient l'avantages du nombre... Après ce bref temps d'arrêt, ils chargèrent de plus belle.
Au moment ou ils allaient l'atteindre, une vive lumière dorée jaillit à nouveau de derrière l'homme.Cette lumière semblait émaner... d'une femme!
Les orques, n'aimant pas cette lumière commencèrent à crier.


"Mais qu'est ce?"

"Ca, c'est ta mort" répondit l'homme d'un air calme.
Les orques éblouit devinrent aveuglent un instant. Malheureusement pour eux, ce moment était destiné à s'éterniser puisque lorsque la lumière les enveloppa, chaque orques fut criblé de flèches.

De sa position, Gorlûk avait observé la scène d'un air ahurit.
Sentant une présence dans son dos, il se retourna et eut la surprise de faire face à un homme vêtu d'une cape dont l'épée n'avait plus qu'à s'enfoncer dans la chaire de l'orque. Celui-ci lui dit:

"Vois orque, ma lame, Arkün, elle va te faire pailler la note..."

En un éclair la lame entailla l'avant-bras de l'orque, provoquant une brûlure vive à ce dernier. Lorsqu'il regarda son bras, il ne vit qu'un moignon.

" Maintenant orque, va et dit à ton chef, ou à tes congénères, que Iruliën, gardien du cinquième feu d'alarme, Min-Rimmon, ne désire plus qu'un seul orque ne passe sur ces terres"

L'orque ne se fit pas prier et pris ces jambes à son cou...


Pendant que le manchot disparaissait au loin, la dizaine d'hommes qui s'étaient occupé des autres orques se rassemblaient autour du capitaine Irulën. Parmis eux, il y avait l'homme au hibou, et se fut à lui que le capitaine Irulën s'adressa en premier:


"Arstulän, une nouvelle fois, toi et ton rapace m'ont été bien utile, je te remercie"

Puis il se tourna vers la femme qui se trouvait derrière et retirait sa cape dorée et lui dit:

"Et toi Mirwinnen, cette cape nous porte toujours autant d'efficité auprès de ces vauriens d'orques..."




N.B.: Donc voila, j'ai enlevé le côté surnaturel, et je décris l'homme de l'image et la fille comme deux choses non-liées, n'ayant pas une grande importance en fait sauf dans cette attaque. Tout ca pour montrer, qu'il ne faut pas forcément être un héros, pour accomplir des faits héroïques...

Tordu hein
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Novor
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- -: bah... oh... au moins euh... he... heum
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Mini concours de fiche de perso : Dernier jet EmptyVen 13 Juin 2008 - 21:07
N.B: Début e ma fiche seulement, c'est déja long mais si je vous mettais le reste avec...

Il y a très longtemps...

« Tu es faible »

Sa voix résonne encore dans ma tête. Malgré tout le mépris présent dans ces paroles, elles viennent directement de mon frère, la personne à qui, encore aujourd’hui, j’ai porté les plus d’amour et d’admiration, bien qu’il ne soit plus. Où, devrais-je dire, bien qu’on ne veuille plus qu’il soit. Mon frère est celui à qui je dois le plus, il est le seul souvenir que je souhaite garder de mon enfance, de toute façon je pense que je ne pourrai jamais l’oublier.

J’ai grandi dans une famille aisée du Gondor. Mon père était un descendant d’une longue lignée de seigneurs dunédains respectés pour leur droiture et leur sagesse. Qualités qui étaient très vites devenues évidentes chez mon frère.

« Pourquoi es-tu faible ?! » Mon frère venait de me plaquer contre le mur de notre salle d’entrainement. « Pourquoi ? »
L’entrainement d’aujourd’hui avait été particulièrement dur. Mon frère savait se montrer implacable par moments, mais là il m’avait littéralement cloué le bec.
« Je… je ne sait pas » Lui repondis-je.
Perçevant ma détresse, son visage se rattendrit et il me laissa tomber au sol.
« C’est fini pour aujourd’hui. » Mais je ne me relevais pas : « J’ai mal à la cheville ». Hésitant un instant entre dureté et tendresse, il opta pour la seconde option, plus naturelle et se pencha sur moi. « C’est une sale entorse ça Novor, je vais appeler Dalia pour qu’elle vienne te faire un atelle. »
Un instant plus-tard, Dalia, notre femme de chambre me mettait une atelle et je pus me relever sans trop de diffcultés. Mon frère qui était resté auprès de moi, voulut me soutenir lorsqu’il vit que je n’arrivais pas à marcher mais je l’en empêchai. « Ca va aller » lui fis-je avec un sourire à moitié forcé.
Nous avions fui l’Arnor il y de ça une dizaine d’années, lorsque je venais à peine de naitre. Depuis nous nous étions installés en amont des havres gris, en territoire elfique.

Mon frère était quelqu’un dont on attendait beaucoup, il se devait, en tant qu’ainé, de perpétuer avec honneur notre famille et ses traditions.
La bonté de mon père ne l’avais pas empêché d’être très dur avec ses fils, mais c’était par pure exigence. Ainsi il avait vite compris que mon frère arriverait loin, il avait placé en lui toute la fierté de la famille, une bien grande pression pour un jeune homme encore à la Haute-Ecole des Havres. Cependant jamais je n’eus la certitude que mon père ne nous aimait vraiment, moi où mon frère. Il nous traitait comme il se devait, avec éloignement et indifférence.
Mes parents ont laissé le soin à mon frère de me préparer à la Haute-Ecole. La Haute-Ecole était le lieu d’apprentissage pour tout les fils de riches et de seigneurs de la région (principalement des elfes), on y apprenait les arts de la guerre ainsi que toutes les connaissances nécessaires à de futurs « haut-gens ». C’est sans-doute parce que nous avons passé tellement de temps ensemble que je me sens toujours très proche de lui. Et bien qu’il fut dur avec moi il pouvait se montrer très tendre et m’avait toujours aidé à me sortir des mauvais pas.

Bien qu’il ne me l’avouais jamais, je savais qu’il avait souvent encaissé les coups à ma place et je ne cessais de me promettre qu’un jour ce serait moi qui le défendrait.

Ce soir-là mon frère avait eu une discussion très animée avec mon père. Celle-ci étant, je m’en rendais compte, l’explosion des mésententes récentes entre mon frère et mon père. A dix ans pourtant on ne s’occupe pas encore des querelles des grands.
Alors que la nuit était déjà tombée mon père cria sur mon frère. Mes rêves fendus nets par les bruits de voix je parcourus le long couloir longeant la maison. Par la porte entrebaîllée je ne put entendre que les derniers mots de la conversation.
« Mais quelle est donc cette mission ? » cria mon père perdant tout contrôle de lui, comme sans doute de la situation. Et mon frère de répondre dignement : « Une mission que je ne peux partager… ».

Je déjeunais seul le lendemain. L’atmosphère qui règnait étais telle que je n’osais pas demander où était mon frère, de peur de voir la colère de mes parents déchirer ce silence de cimetière.
Une fois le déjeuner fini je me hatai vers la chambre de mon frère. Celui-ci terminait d’empaqueter quelques affaires. Il ne leva pas les yeux vers moi, et ne répondit pas plus aux question que je me posai, et qu’il devinait sans difficultés. Des larmes perlèrent mes yeux malgré des efforts surhumains pour les contenir en ces derniers instants.
« Applique régulièrment de la glace dessus, petit frère » dit il simplement en indiquant ma cheville.

En ce matin ensoleillé mon frère disparut par derrière la demeure familliale, sans même se retourner. La scène me marquerait à jamais, mon frère s’en allant tête baissée et pourtant le regard déjà au lointain, moi pleurant sur la rampe, pleurant devant ce spectacle si contrasté fait d’un beau jardin ensoleillé par lequel s’en allait une bonne partie de ma vie.


Cela faisait plusieurs jours que mon frère était parti. Lorsque je posais la question à mes parents ceux-ci se bornaient à répeter qu’il était parti. J’appris par la suite qu’il n’allait même plus à la Haute-école. L’incompréhension cotoierait la tristesse dans les quelques lignes qu’on pourrait écrire sur cette période courte mais douloureuse de ma vie.

Lorsque je fus en âge d’y aller, mon père m’emmèna à mon tour à la Haute-école, car tout fils de seigneur se devait d’y aller. Bien que mon frère était déjà parti depuis un bout de temps je pensais chaque jour à lui.

Je n’étais pas ce qu’on appelle un élève « modèle » à l’école, tant par mes résultats scolaires que sociaux. Je ne me souhaitais pas d’accomplir à sa place le destin de mon frère, or il était clair que c’est ce qu’on attendait maintenant de moi. Je n’étais pas entièrement convaincu mais je passais quand même mes années au fil du temps. J’aurai pu briller mais je n’en fit rien, je travaillais juste assez pour obtenir des résultats suffisants.

Un soir, je rentrai tard après avoir trainé dans le port, chaque mois s’y tenait un grand rassemblement de matelots venus de tous horizons, constituant la plus grande brocante de la région. Un tel rassemblement ne manquait pas d’animations et il était donc très agréable d’aller y faire un tour même sans un rond en poche. Les bruits de fêtes suivaient toujours à ceux des marchands, bruits qui persistaient souvent jusqu’au petit matin. Mais ce soir là je me décidai à rentrer quelques heures seulement après le coucher du soleil. Les ruelles de la ville étaient tout le contraire de l’agitation qui regnait au port. Je marchais en chantonnant quand j’entendis des cris dans un batiment. Je m’arrêtai pour écouter, mon cœur fit de même, lorsque je crus distinguer la voix de mon frère déchirant le calme qui regnait sur tout le quartier. Non pas un cri de détresse mais le cri bref et déterminé qu’il poussait toujours avant un combat. Le temps d’arriver en courant devant le batiments dont les cris semblaient provenir et je n’entendais plus rien. Je repris mon souffle et observai la porte de cette vieille et grande demeure.

Une certitude m’assaillit ! Il y avait quelqu’un derrière cette grande porte de bois. A grands coups de détermination la lourde porte s’entreouvrit, laissant se faufiler le corps d’un petit garçon à l’intérieur.
L’atmosphère était lourde, je ne pus m’empêcher de tousser, je grelottais. Il faisait noir et seule la lune semblait me tenir compagnie en cette vaste cour centrale.
Mon excitation et mon angoisse se déchainaient en moi, ne sachant prendre le pas l’un sur l ‘autre.
~ Ca ne pouvait pas être mon frère ~ pensais-je, ~ S’il avait été de retour il serait venu à la maison avant toute chose ~ , du moins je voulais le croire. J’avancais lentement de peur de faire le moindre bruit, je ne voulais pas rompre le silence parfait qui tenait toute la cour. Quelque chose avait été laissé par terre à l’autre bout de la cour, je marchais encore un peu. Je comencais à distinguer une forme, où plutot des formes, je n’eus pas à imaginer le pire bien longtemps. Je n’eus même pas le temps de crier que déja un shuriken m’avait ouvert l’épaule. Je tombais à genou, non pas à cause de ma blessure mais à cause de cette vision qui me déchirait à laquelle je ne put me résigner. A quelques mètres des cadavres mon frère ota solonellement la capuche qui lui cachait le visage. Je m’évanouis.

J’entendus dire que j’avais été le seul secouru.

Aujourd’hui j’ai grandi et je n’ai plus de frère, du moins c’est ce que l’on veut et veut que je veuille croire. J’ai terminé la Haute-école avec brio, cependant ça n’aura pas été sans quelqus problèmes disciplinaires. J’ai malgré tout tenu bon, j’avais changé d’avis, je voulais terminer ce qu’il avait entrepris. Seul les idiots ne changent pas d’avis.
J’ai vraiment prié les dieux pour la première fois de ma vie le soir de mon diplôme, le souvenir de mon frère étant revenu en force avec ces émotions.
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Erco Skaline
Ambassadeur du Rohan à Dale
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Mini concours de fiche de perso : Dernier jet EmptySam 14 Juin 2008 - 17:02
Sigil est né à Djafa dans la boutique de son père, Malki le brocanteur, sa mère se nommait Kassandra. Son père n’était pas que brocanteur car sa vraie spécialité était la contrebande et sa boutique était, en fait, une couverture. L’événement qui changea radicalement la vie de Sigil est la mort de ses deux parents provoqué par un groupe de pillards, au nombre de cinq. L’un deux eut pitié de Sigil et le recueillit. Sigil vécu avec ce groupe de pillards durant toute sa vie sans jamais se douter que c’était les meurtriers de ses parents.

Wayl, son père adoptif, commença à lui apprendre ,dès l’âge de dix ans, l’art du combat au sabre, puis vint le tir à l’arc, le dressage des chevaux, la furtivité, le camouflage et bien d’autre art…


Sigil participa à son premier pillage, à l’âge de dix-neuf ans. Le raide était porter contre un petit village qui se trouvait vers un oasis à la limite du proche et extrême harad. Il n’y eut qu’une seul prisonnière, une fille du désert. Wayl l’avait attraper et donc selon leur règle, elle était à lui, mais un des pillards voulait aussi la fille. Il alla, donc, le soir voir Sigil et lui dit sous l’emprise de l’alcool et des envies que lui procurait cette fille :


-Tu sais, Wayl n’est pas ton père, il a tué tes vrais parents lors d’un pillage!

Sigil répondit sans y croire en disant à Noor, nom de l’interlocuteur de Sigil:

-Tu mens !!!!

Noor lança un médaillon à Sigil qui le saisit au vol et le regarda. Là des souvenirs enfouit dans son subconscient rejaillirent à la vu de ce médaillon qui avait appartenu à son vrais père. Sigil sortit de la tente le visage déformer par la haine et la tristesse. Noor sourit car il avait voulu que Sigil réagisse comme ça.

Sigil entra avec rage dans la tente de Wayl qui considérait, désormais, comme un tueur et comme son ennemi. Une fois dans la tente il s’élança vers sa cible, son père adoptif, qui ne réagit étonné de l’attaque de la personne qu’il considérait, à tord, comme son fils. Ce dernier envoya un poing magistral qui envoya Wayl à terre. Alors seulement Sigil dit avec une voix froide et cruelle, une voix sans émotion :


-Alors, toi qui m’a toujours dit que le passé nous rattrape toujours. As-tu peur que le tient te rejoigne ?

-je ne comprend pas !
s’écria Wayl mais déjà Sigil ne pouvant retenir plus longtemps ses pulsions meurtrière., saisit une barre de fer et la leva bien haut, puis la rabaissa vers son père adoptife qui mit son bras en avant pour se protéger. La barre heurta l’avant bras dans un craquement suivit par un cris de douleur, sortant tout droit de la bouche de Wayl

Sigil releva son arme et la rabaissa une nouvelle fois. Son père adoptif qui criait et pleurait de mal ,tendit instinctivement l’autre bras qui fut lui aussi brisé sous le choque. L’orphelin répéta l’opération une vingtaine de fois. Les autres pillards ameutés par les cris de Wayl accoururent mais aucun d’eux n’osaient entrer car tous pensaient à la même chose : le passé rattrape toujours le présent un beau jour. Et un par un, ils partirent vers le désert espérant échapper à la vengeance de Sigil. Seul Noor était rester pour prendre la jeune fille qui était attacher à un poteau à côté de la tente de Wayl. Elle put voir l’ombre de Sigil élever son bras puis le rabaissé et entendre le cris de douleur de Wayl. Noor s’était approcher furtivement et regardait avec envie ce corps rond et lisse. Une envie soudaine s’empara de lui qui le poussa à s’élancer vers la fille et commença à la toucher la poitrine. Elle essaya de se débattre, mais en vain ses mains étaient liées. Noor ne s’aperçu pas que les cris s’étaient arrêté dans la tente, il n’entendit non plus Sigil s’approcher vers lui un poignard à la main.

Sigil saisit par derrière Noor et l’arracha de la fille, puis , le traîna deux mètre plus loin ou il l’égorgea comme un pore.Une fois la besogne finie, il partit vers l’extrême-harad, suivant les traces laissée par deux chevaux, deux pillards qui avaient participer à la mort de ses vrais parents.

Il fallut deux jours de chevaucher à travers le proche-harad pour enfin voir els forêt tropical de l’extrême-harad, lieu humide ou l’on trouve les serpents les plus venimeux et pas que ça…
Sigil avait repérer les deux fuyardsà l’aube du deuxième jours, et un sourire sadique traversa brièvement le visage du tueur. Il éperonna sa monture, motiver par le sang qui allait couler dans ces prochains jours. Sigil fit bien attention à ce que ses deux cibles ne le voient pas, utilisant le savoir enseigner par Wayl plusieurs années plus tôt. Il repéra rapidement l’oasis ou s’étaient arrêté les deux pillards et s’y approcha sans un bruit. Arriver à trois mètres, il put s’apercevoir qu’il n’y avait qu’un seul pillard éveillé, chose qui faciliterait grandement la besogne. Sigil avança accroupit jusque-là être à moins d’un mètre du pillard éveillé. Le tueur se leva dans un silence absolu et d’un mouvement précis et rapide, il trancha la gorge du pillard qui s’écroula en laissant sortit un dernier gargouie de sa bouche. L’assassin nettoya sa lame puis la rengaina et attendit le jour.

À l’aube, le deuxième pillards de réveilla et vit Sigil qui lui dit avec un large sourire :

-Je te laisse une heure d’avance, après je te poursuis et te tue.

Le pillard remballa ses affaires et partit en courant vers la forêt tropical, Sigil sourit, cet imbécile faisait tout ce qu’il voulait. Une heure après, le tueur s’engagea sur la piste de sa proie. Sigil courait au pas de course s’arrêtant de temps en temps pour regarder les arbres, les herbes, les buissons aux couleurs exotiques, cherchant des traces de passage fraîche de sa proie. Le tueur sentait des branches lui fouetter le visage, les racines des arbres lui attraper les pieds. Il tomba une fois par terre et se releva avec encore plus de détermination. C’est après une semaines de poursuite que Sigil entrevit durant deux secondes sa cible. Il était ,du reste , étonner du temps de survit de sa proie car il avait espéré mettre fin à cette chasse humaine après deux, trois heures de poursuite et on en était déjà à cent soixante-huitième heures.

Ce n’est qu’après deux jours de plus que Sigil rattrapa le pillard, mais ce dernier ne s’en était pas encore rendu compte car son poursuivant était complètement furtif. C’est au soir ou il se rendit compte que Sigil était dans les parages, mais il s’en rendit compte que lorsqu’un lacet de cuir entoura son cou. Puis la proie sentit l’oxygène lui manquer, il vit les arbres tournés, il sentait le lacet s’enfoncer dans son cou, il avait l’impression que du sang coulait le long de son cou. Mais ce n’était pas du sang mais de la tranpiration…

Quant à Sigil, il redoublait de force et serrait toujours plus le lacet, ne voyant que les bras de sa victime gesticulée dans un chaos total.
C’est à l’aube qu’il se rendit compte qu’il s’était perdu en suivant sa proie. Il se maudit et commença à errer sans but, cherchant au hasard la sortie de cette enfer vert.

C’est au bout de deux semaines de recherche vaine qu’un hibou vint se poser à deux mètre de lui. Sigil vit çacomme un présage des dieux. Il montra la sortie de la forêt tropicale à Sigil qui une fois sortit put voir que pour son plus grand malheur son cheval s’était enfuit ou avait été capturer par des pillards. Il partit donc vers Djafa à pied avec comme seul compagnon un hibou, un grand hibou…


Deux ans plus tard, à Djafa, un homme de la vingtaine entra dans la ville marchande, il avait les cheveux noirs, tout comme ses yeux. Sa peau était mat. Il portait des habits vert sombre et une paire d’épaulière comme seule armure. Un sabre pendait à sa droite accompagnée par trois dagues ouvragées. On pouvait voir pendre à son cou un pendentif représentant un signe compliqué et impossible à décrire.

Tout les yeux se tournèrent vers lui lorsque qu’un grand hibou aux yeux jaunes, aux plumes beiges avec des tâches brunes, un bec noir et des serres affûtées comme un couteau. Tous de demandait ce qu’il était venu faire ici. Alors Sigil, et oui notre ami partit deux ans plus tôt pour l’extrême harad était de retour, demanda à un passant :

-Ou pourrais-je trouver un homme du nom de Cyr ?

-Cyr le marchand ?

-je ne sais son métier mais décrit-le moi !

-Bien répondit le passant et il commença la description, Il doit avoir trente ans, les cheveux bruns, graisseux, porte une veille épée avec une garde en forme demi-lune et voilà. Ha oui il aime aller tout les jours au puit sud de la ville.

-Merci, tu m’as donné plus s’information que je n’attendais. Tient dix pièces. Mais si tu parles de moi à quelqu’un, je te promet que je te réserve le sort de Cyr.

Le passant voulu répliquer mais Sigil avait déjà disparu comme il était apparu. Le lendemain, une silhouette surmontait le puit sud. On pouvait deviner un rapace sur son épaule. Les deux compagnons, le hibou et sigil, ne bougèrent pas de toute la journée quand enfin un homme apparu et Sigil reconnu, malgré la distance, Cyr. Alors il murmura au hibou :

-Vole Azur et répand la mort sur ce puit. Vole !!!

Azur, le hibou, déplia ses majestueuses ailes et s’envola vers le ciel, il monta et flèche vers le soleil. Son maître le perdit quelques secondes puis il le vit descendre en piqué sur le puit. Le rapace tomba sur Cyr comme une faux mortel ses serres arrachèrent des bouts de peau et son bec ouvrait de larges plaies. Le malheureux Cyr cria durant quelques secondes puis l’oiseau repartit d’ou il était venu….

Le passant qui apprit bien vite la mort de Cyr n’osa raconter ce que lui avait demander Sigil mais raconta dans plusieurs taverne : "C’est un homme venu du fin fond du harad, pour punir les bandits aider par un grand hibou, signe de la volonté des dieux." Bien évidemment, ce passant avait penser inventer tout ce qu’il disait mais en faite avait raison sur bien des points….
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Ewandor
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Mini concours de fiche de perso : Dernier jet EmptyDim 15 Juin 2008 - 17:00
Petit, maigre, bossu, froid, laid. Tels étaient les 5 premiers qualificatifs venant à l'esprit a la vue du duc Dunmark Von Rijksebaurg.
Petit, car même s'il était de taille respectable, il se tenait toujours courbé.
Maigre, car la lumière passait presque au travers de ses frêles membres.
Bossu, car son maintien faisait apparaitre une vilaine protubérance dans le haut de son dos... Ou peut-être était-ce réellement une malformation?
Froid, car ses yeux bleu délavé vous glaçais les sangs, et vous faisait paraitre la glace chaude.
Laid, car son visage ne pouvait s'expliquer que par la fécondation de sa mère par le plus abjecte de tout les orques que cette terre pouvait porter.
Peut-être ces même mots pourraient-ils servir à décrire son château. Perché au sommet d'un pic rocheux surplombant les eux froide de la Baie Glaciale de Forochel, il était balayé par de violent courant d'air, et dans chaque pièce la maçonnerie grinçait de manière inamicale.

Vivant seul dans son horrible demeure, il passait pour fou au près des paysans du coin et rare étaient les visiteurs... On disait du Duc qu'il était le mal, que son château était l'enfer, et que tout homme y pénétrant ne pouvait jamais en sortir...

Vint alors au village un chevalier du nom de Armand de Crétor. Beau, puissant, majestueux. Les cheveux noir comme la nuit, les yeux plus sombre que le cœur de Sauron.
Le visage fin, sévère, superbe. Ses muscles tendaient sa peau dans des formes plus que harmonieuse. Ce dieu fait homme chevauchait un pur sang blanc comme l'écume des vagues se fraccasant contre les rochers. Un rapace gigantesque l'accompagnait, les plus jaune que l'or, les ailes plus grande qu'un homme.
Prenant les paysans en pitié, il décida de les aider, et de mettre à bas la forteresse du mal. Il chargea seul le château hanté, sous les yeux de la foule émerveillée.
Le combat du être rude, car un bruit violent se fit entendre, suivis de près par un gémissement. Pendant plusieurs minute, rien ne se passa, pas un bruit, pas un mouvement.
Puis, le chevalier sortit. Dans sa main pendait la tête du Duc Von Rijksebaurg.
Il fut acclamé et porté en sauveur. Le château fut brulé et le chevalier quitta la région.

Dunmark Von Rijksebaurg n'était pourtant pas un mauvais homme. Certes il en avait l'apparence, mais point le cœur... Il était même bon, attentionné et généreux. Mais, bien qu'étant Duc, il n'avait pas le moindre sous et s'il passait sa vie seul dans son vieux château, c'était parce qu'il n'avait pas les moyens de se payer le plus petit serviteur... En plus de cela, la bâtisse tombait en ruine et il devait sans arrêt réparer les divers dégât causé par le vent.
Il était conscient de ce que pensait de lui les paysans, et cela le rendait malheureux... Mais le domaine familiale devait être absolument préservé... Puis un jour en homme entra dans le château. Cet imbécile passa à cheval sur le vieux ponton, qui s'écroula dans un vacarme assourdissant.
Le Duc courut au secours de malheureux

"Mon amis, attendez que je vous aide, ce ponton était trop vieux, j'en suis bien désolé... J'aurais du vous prévenir..."

Il dégagea le chevalier de sous les gravas, mais a peine celui-ci fut-il sortit, que d'un coup d'épée il trancha la tête de son sauveur.

Bien des qualités avait le chevalier, beauté, force, courage... Mais l'intelligence n'en faisait pas partie...
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Aldarion
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Aldarion

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- -: Dunadan
- -: L'age ou l'on est fougeux mais déjà sage
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Mini concours de fiche de perso : Dernier jet EmptyDim 22 Juin 2008 - 20:42
ET LE VAINQUEUR EST :

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SA PREMIERE DAUPHINE EST:

Spoiler:

ET SA SECONDE DAUPHINE :

Spoiler:

Félicitation à tous Smile Commentaires et cotes par mp sur demande...
L'honorable jury était composé de :
Silivrien,Laurelin,Forlong et Aldarion.
Merci à eux Smile


Invité, n'oublie pas que le regard des Rois d'Arnor porte au delà des frontières de leurs royaumes.
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