Rayri Nàr Feürl

Nom : Feürl
Prénom : Rayri Nàr
Age : 17
Race :
Famille: Maison Feürl
Lignée Beril
Race de Béornides éloignés

Citation :
"Hmmm… Je sens que quelqu’un émet de très fortes ondes négatives a propos de cette mission… Ah ! Oui, effectivement, c’est moi !"

Proverbe Favori :
Lorsque tu vois un chat de sa patte légère,
Laver son nez rosé, lisser son poil si fin,
Bien fraternellement embrasse ce félin.
Moralité:
S'il se nettoie, c'est donc ton frère.

Physique :
Rayri n’est ni grand, ni fort, ni un modèle de masculinité exacerbée : il n’est pas de ces héros aux allures de durs costauds, il n’est pas de ceux dont on les dirait si robustes que faits de métal et qui ont vu la peau tannée par l’expérience et le sang de leurs ennemis. Il serait même plutôt petit, svelte et efféminé. Mais quelle importance, hein ?
Rayri est un jeune homme aux allures élégantes, doté de cette aisance naturelle qui fait les roublards de premier ordre et de cette démarche dans laquelle un petit je-ne-sais-quoi rappelle les félins. Aussi loin que peuvent aller les androgynes, il est assez beau dans sa façon particulière d’être, et même si on le confond trop souvent avec sa jumelle a son gout, premièrement a cause de sa longue chevelure de feu, fouettant le vent de ses milles mèches comme tout bon mec classe qui se respecte, et deuxièmement a cause de leurs carrures semblables, reste une personne a qui on peut s’intéresser au premier abord par son physique particulier, se démarquant du commun des mortels. Car entre son sourire, narquois et sur de lui, et cette aisance naturelle, cette énergie posée et cette tendance à la narquoiserie, qu’il porte au niveau d’art, deux genres de personnes peuvent s’intéresser a lui : la gent féminine d’abord, la police ensuite, dans les deux cas pour savoir ce qu’il faisait dans la nuit du six au sept.

Equipé en toute occasion du minimum pour faire face au danger, Rayri ne quitte que peu souvent son armure de cuir, sa lance et son épée, sans doute à cause de sa formation guerrière. Au premier abord, ainsi équipé, il parait d’une redoutable ardeur combattante (alors, qu’il faut le savoir, sa lance, dont la pointe est cassée, lui sert majoritairement de bâton de marche et d’appui lorsqu’il veut se reposer debout), quoi qu’un peu trop frêle pour vraiment s’en servir, de cette ardeur…

Caractère :
« Comment ca je suis irrévérencieux ? » pourrait être sa phrase favorite.
Rayri porte bien son nom : c’est certain ! Issu d’un certain milieu, comme disent certains crétins qui ne font pas parti dudit certain milieu et qui sont jaloux, entre le haut et le bas, il est a la croisée des chemins : entre noblesse et populisme : ainsi, s’il sait très bien s’exprimer, il possède aussi une certaine franchise toute cavalière qu’ont les paysans.
Doté d’un esprit un peu trop critique pour son bien et un gout inexpliqué pour l’humour avec un petit h, Rayri se prend souvent au jeu de croquer ses contemporains a travers mille réflexions sarcastiques autant qu’affectueuses : qui aime bien châtie bien, comme qui dirait l’aut’, et que ferait-il sans personne de qui se moquer ?

Du ciel, il a reçu ce caractère léger et enjoué qu’ont les véritables amoureux de l’aventure et l’énergie pour ne pas l’oublier. Il se présente comme un jeune homme agréable et sympathique, quoique un peu trop caustique au gout de certains, et un peu trop roublard au gout d’autres. A cause de son caractère imprévisible, le futur donnera sans doute tort a ceux qui ont raison aujourd’hui. Nul ne pourrait vraiment prévoir ce qu’il fait d’un jour à l’autre, juste qu’on peut bien être sur qu’il ne s’attaque, a tour a tour gentiement puis de façon très insultante, a la majorité des policiers/hommes d’église/notables/pédants (rayez la mention inutile par vous-même. Un indice : elles le sont toutes)

Autre point notable, son entente formidable avec sa sœur avec qui il semble partager une relation symbiotique : si l’un mourrait, l’autre serait assuré de suivre très vite. Car si les deux jumeaux se prennent parfois au jeu de la mésentente, leur compréhension mutuelle les fait bien vite se réconcilier… Par nécessité autant que par entente, en fait, étant incapables de se débrouiller l’un sans l’autre plus de dix minutes.


Histoire :
Commençons par le commencement, pas celui avec un grand C, pas Illuvatar, tout ça, mais celui avec un petit c, celui qui conte l’histoire avec un petit h, de deux Jumeaux, avec un grand J.
Tout commença dans un Manoir, avec un M aussi grand que lui, et ils sont nés. Ca c’est sur. Quand à savoir quand, avec un petit q… Car quand il est question de bébés il est toujours question de petits q… pas de date précise, dirons nous.
Ils sont nés ensemble et en même temps, parallèlement et égaux en tous points. Bon, bien sur, Mahalice est née la première, ce qui en fait d’un point de vue purement technique et purement crétin, sa grande sœur… mais ils sont Jumeaux, avec un grand J. Car si certains jumeaux sont des jumeaux avec un petit j, sous le simple prétexte de ne pas être du même sexe, ces jumeaux là étaient des Jumeaux. Des Jumeaux de sexes différents.
Leurs parents, grands blagueurs devant l’eternel, les nommèrent Mahalice et Rayri, comme pour crier au monde entier « Nos gosses seront chiants quand ils seront grands ! ». Et le pire, ils n’avaient pas tort !

Ils étaient surement deux Feürls comme tant d’autres avant eux, surement deux enfants de plus dans une famille qu’on pourrait qualifier de millésime, mais ils étaient deux. Et ils n’étaient qu’un. Bon, c’est un peu compliqué, je l’avoue, le vois et le confesse. Mais qui pourrait prétendre comprendre tout et son inverse ? N’ai-je pas le droit de faire des phrases qui n’ont pas de sens ?
L’histoire est anodine, silencieuse et peu épique, l’histoire est comme tant d’autres histoires avant elle, l’histoire est comme tant d’histoires qui font l’Histoire. Mais elle mérite ici d’être contée, au même droit que toutes les autres de ces petites histoires anodines, silencieuses, peu épiques.
Et qu’est-ce que ca fait de toute façon ? Devrait-on s’intéresser a la marquise de Méfèsse, au prince de Pétaouchnock pour faire une bonne histoire ? Ne pourrait on pas raconter l’histoire du pauvre Maurice, paysan à Morzy-les-gaillardes, petite ville paumée du Rohan, avec la même ardeur, le même intérêt ? J’affirme, et je clame, haut et fort, que OUI. Fort heureusement pour vos petits yeux meurtris, nous n’irons pas jusque là : nous nous contenteront de taper dans le milieu de gamme : Rayri Nàr Fëurl

Rayri est sans doute un type comme tant d’autre, un type anodin et pourtant étrange, un type silencieux qui ne fait qu’ouvrir sa gueule et un type peu épique qui pourtant se permet de rêver l’aventure. Oh, pas l’Aventure, grands Valars ! Mais l’aventure, l’aventure anodine, silencieuse, et pourtant épique a l’échelle de ses acteurs.
Il voulait partir, et un beau matin, trois types ont surgi dans une vie bien réglée et c’en était plus qu’il ne fallait. Ils les ont bien vite convaincu, les deux jumeaux, de partir : c’était tout. Rien de plus facile. Il n’était peut être pas destiné à l’aventure, et reniait l’Aventure, mais il voulait essayer, s’y laisser porter : ca devait être amusant, de parcourir la campagne, de sauver des damoiselles (bon, de campagne, certes, mais quand on se contente d’aventure au lieu d’Aventure, on doit bien faire avec c’qu’on à… Eh oui ma bonne dame) en détresse et de combattre des dra… des nazg… des chèvres enragées très, très méchantes.
Bon, d’accord, d’accord, la classe n’est pas vraiment au rendez-vous, mais il faut savoir rester simple dans la vie : ennuyer les autres, se plaindre, les emberlificoter dans les pires pièges possibles, ça, alors ça, c’était bien !
Pouvoir se prendre au jeu de l’irrévérence tant qu’il le voulait ! Ne pas a avoir peur d’une forme d’autorité qu’on peut fuir, dans ce monde vaste, et qui, elle, contrairement aux parents, ne paye ni la bouffe ni la maison ? Ca, c’est la vie !
Quoi ? Rayri ? Et oui ! Car si certains raillent… Si d’autres Raillent, Rayri, lui, RAILLE !

[Oui, je sais. Je sais. Même, voyez, je Sais que les beornides ne sont techniquement pas acceptés, mais quelle réelle différence entre un béornide non change-forme et un humain pourrait justifier une refusation? La couleur des cheveux?]

Rara, désolée de poster dans ton sujet de présentation, mais j'ai reçut un mp me demandant si je jouais deux comptes




Bonjours, alors pour répondres aux questions, je poste dans le même topic, ainsi vous pourrez vérifier les IPs et aussi vous pourrez voir les differences entre nos deux avatars.

Nos avatars se ressemblent énormément, mais quoi de plus normal pour des jumeaux qu'en jeu on doit souvent confondre

Donc, si on pouvait garder ces avatars là, la ressemblance est faite exprès.
Merci

Si vous voulez jouer au jeu des 7 differences

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Mahalice Nàrë Feürl a écrit:

Rara, désolée de poster dans ton sujet de présentation, mais j'ai reçut un mp me demandant si je jouais deux comptes

Les confusions commençent Mouhahahaha
Pourtant je pense que nos styles d'écriture sont relativement différents, non?

Que dire de cette fiche à part bravo. Non, Bravo! Heu, plutôt BRAVO.
C'est impeccable, non Imp... bon j'arrête - marrant ce délire sur les majuscules, ça me plaît bien.

Quant à la race des Beornides, c'est plutôt pour le changeur de peau, mais je ne vois aucune raison qui provoquerait un... refusage de notre part - enfin à mon goût. Sinon, pour vos avatars, je trouve ça sympa!

Je t'invite à faire une demande de métier ( si rien ne convient tu peux faire une proposition, mais il est aussi possible de ne prendre aucun métier ) puis à commencer le Rp, avec ta soeur j'imagine - dont j'attends le reste de la fiche avec impatience.

Bon jeu et encore félicitations!

Excellente fiche...

Si je peux me permettre un conseil, met les titres en gras, pour la clarifier encore plus, et ce sera, de mon point de vu, parfait!

Sinon, pour les jumeaux, vous me battez. J'ai fait à une époque Eaque et son jumeau Eaquem, mais vous avez poussé l'idée encore plus loin avec vos avatar. Bravo...

Amicalement

Toner Ghomenar

Oo.....OUaiiiiiii!!!!! Sa fait plaisir d'avoir des Roliste de cette trempe qui viennent!!! C'est enorme!!! Aurait on trouvés des roliste de même trempe que Silence, Meakil ou ce genre de personne qui nous font des Rps monstrueusement bien fait ???

Bienvenue à Minas-Tirith les gens

Silindë Celebrindal Dit Morgoth Eru

Silence... ça me dit quelque chose Silence...

Si il jouait un personnage un peu.... comment dire traitre sur les bords... hum??? Qu'il fréquentait pas une taverne nommé Vorpale?? ... Min Gorath???

Traitre oui, Les griffes d'ammoth sa te dit quelques chose?

Pour la taverne je ne sait plus!

Silence, c'est Lui

Ces rps et sa façon d'écrire ne me disent rien...

Mais j'ai vu son lien.. et il a le même humour que le mien! LOOOL

Et bien merci a tous pour cet accueil si... Wow! Tant de compliments en si peu de temps, ça me ferait presque rougir,

Bon, ben, j'men va faire ma d'mande de métier,
en attendant pour jouer ma jumelle adorée

O.o je m'aperçois, après coup que c'est des alexandrins... Alexandre est en moi!

Citation :

Alexandre est en moi!

Je savais pas que tu étais autant.... féminisé...
Mais remarque, ta vie sexuelle ne les regarde pas! Loool


Au fait, faut qu'on discute pour le métier, riri!

xD

Et ca commence...
Pour le métier... je dirais roublards, ou vagabonds

Si vous pouviez vous concerter par MP, pour le métier...

Oui mon capichef court sur pattes!

Edit Hadhod: Mrrr faut jamais dire ça à un Nain!