Encore un voyage, Encore une vie à sauver...

Tout le monde était prêt.
Le voyage allait être pénible, et long mais ils devait le faire, leur conscience les obligeait.
Il faisait sombre, la pluie, fine, tombait sur les toits de la cité endormie.
La Lune arrivait à faire un peu de lumière au travers des nuages, à moins que ce ne soit le soleil qui se lève...
Non, c'était bien là lune.
Les voyageur ne s'étaient jamais sentit aussi mal avant un voyage, ils ne savaient pas du tout ce qu'ils allaient trouver là bas, et ils ne voulaient pas l'imaginer.
Un passants de temps en temps, des gardes en général, les cernes aux yeux de nuits passés à faire les tours de gardes, la relève devait surement être proche, ils ne firent même pas attention aux voyageurs, d'ailleurs même les garde de la grande porte ouvrirent sans broncher.

Le Pellenor, de nuit il était sombre, d'ailleurs on pouvait encore voir les traces des batailles dernières.
Toutes ces guerres commençaient à fatiguer tout le monde, même ceux qui étaient fait pour la faire.

Yuwilen ne savait pas où aller, elle suivait le mouvement...
Un mouvement qui n'était pas rapide, personne n'avait bien dormis, et les elfes n'avaient pas réussis à méditer correctement.

La Question que tout le monde se posa, c'était : Allez ils réussirent cette mission...après tout ce n'était pas leur vie et était-ce un si dangereux mal qui était là bas dans le corps de Silindë.

Après toutes ces douleurs passés, n'était il pas irrécupérable?
Leur conscience leur interdisait de faire demi-tour...mais des fois ils doutaient.
C'était normal...
Encore un voyage de plus, courage!

Le voyage commençait enfin. Il avait été au centre des discutions depuis plus de quarante-huit heure et qu'elle soulagement d'être enfin partit, de ne pouvoir faire marche arrière. Dalamyr avait un peu peur, mais la peur était en tout homme et elle faisait de cet homme ce qu'il est. Chaque peur façonne les hommes, les rend plus fort, ou les tue! Dalamyr savait simplement qu'il ne craignait pas la mort. Les autres peurs étaient à ses yeux minime. La peur de la mort était en tous ou presque, il faisait partie de ces presque et se doutait que tout ceux qui faisait ce voyage devait faire partie eux aussi de ces rares presque. C'était du moins l'avis de l'assassin car qu'elle personne craignant la mort irait au Mordor?
Ils traversèrent la cité blanche alors que le soleil n'était même pas levé. Calion lui avait dit quelques mots, mais l'assassin regardait à l'ouest, espérant voir le soleil se lever. Il avait les achats d'Unirann dans une besace. Il attendait qu'il soit en dehors de la cité pour les lui donné.
Ils passèrent enfin la grande porte. les gardes semblable des des zombies leurs ouvrirent la porte sans dire un seul mot, ou presque.
Cela fit rappeler à Dalamyr que quelques mois auparavant, il venait de pénétrer dans Minas Tirith et qu'il ne connaissait personne. Il n'avait qu'un seul nom en tête: Hasharin. Dans la même période, il avait intenté contre le capitaine de la cité. Il avait échoué à cause des artifices d'un mage et il avait retourné sa veste sans aucun remord. Et il avait participé à une guéria dans les ruelles de la grande Minas Tirith. Il y avait eut un affrontement ou Hasharin, Danakil et un autre assassin étaient venu sur sa demande. Depuis, il avait organisé les bases de la guildes des Ombres et plein d'autre événements qu'il se remémora en vitesse. Que de nostalgie!
le voyage commençait! Il ne savait s'il allait y survire, mais une chose était sûr, il commençait la plus grande chasse à l'homme, ou dans ce cas à l'elfe noir, de tout les temps.
Hrp je sais pas pourquoi, mais tout ça me rappel quelques choses...hrp

Le petit groupe chevauchait à bonne allure, mais devait faire attention a ne pas trop fatigué leur cheval car la route était encore longue et peut-être difficile qui sait ce que le destin peut mettre en travers de leur route. Rien n'était prévisible, mais tout était surmontable que sa soit mort ou en vie.

Dalamyr regardait Jadis courir devant leur groupe. Ces pattes foulaient avec souplesse le terrain du champs de pelennor ou se lisait encore les race d'un combat passé. Le loup sentait des milliers d'odeurs pour la plupart inconnue. Certaine puaient le mal, d'autre le bien. Mais il ne faisait pas attention à ces odeurs qui étaient toute assez veille et qui auront disparut dans quelques temps. L'assassin aimerait bien être, des fois, un loup car c'était un être rapide et fatal. Il sentait ce que des hommes ne pouvait voir. Pour eux la nuit était aussi clair que le jour, cela faisait d'eux des prédateurs, des grands prédateurs. Il se retourna vers Unirann. IL l'observa un petit moment laissant à son cheval toute liberté. Ce mercenaire pouvait être très dangereux, mais il n'optimisait pas son talent. Il pourrait devenir un excellent assassin s'il prenait le temps de suivre deux trois stages chez les Ombres. Il pourrait leur être utile, mais beaucoup. Mais Dalamyr n'avait pas confiance en cet homme, est-ce à cause de son métier, de son attitude ou simplement à cause de sa méfiance habituel qui ne le quittait jamais.
Il dût interrompre ses observations car son destrier s'était trop écarter de la route. Il le ramena et demanda à Unirann décider d'en savoir un peu sur son histoire:

-Unirann, tu viens de Minas Tirith?

Il fixait de son œil bleu le mercenaire et de l'autre, le noir, regardait la route. La question avait été dite pour engager la conversation.

Les voilà en route vers le Mordor, contrée connu pour son passé assez sombre, que personne à par des fous iraient en expédition. Mais ça voudrait-il dire qu'ils étaient fous. Non ils n'étaient pas fous, ils veulent juste sauver une âme de cet enfer.
Le mercenaire avait récupéré ses armes à la sortie de la ville, comme convenu. Ils chevauchèrent quelque temps sur champs du Pelennor. Il sentit le regard de l'assassin sur lui, pourquoi l'observer ainsi? C'était plus les femmes qui le dévisageaient, mais ce Dalamyr ne le dévisageait pas comme une femme le ferait. Il l'évaluait, oui c'était un mot bien choisi, évaluait. Le mercenaire dut étonné par la familiarité de l'assassin, mais ça ne l'empêcha pas de répondre, même à contre cœur:

-Je ne suis point de Minas-Tirith.

Voici ce que fut ça réponse, simple, bref et froide, n'invitant pas la suite de la discutions. Unirann montra ensuite la sacoche de l'homme du doigt.

-Vous avez des choses qui m'appartiennent me semble t'il.

Et quand Dalamyr donna ses armes à Unirann, ce dernier continua sur son ton monotone.

-Et vous Calion, d'où venait vous?

Une telle question n'était pas dans l'habitude du mercenaire, mais joua un coup de poker espérant que l'elfe aime bien parler et qu'il mène la discutions bien loin de l'homme de brisé.

Dalamyr ne fut guère surprit de la réponse d’Unirann. Elle était vague, mais répondait à la question. Il détourna la conversation et demandant ses armes. Le maître assassin avait complètement oublié ces dernières. Il s’empressa de les sortir et de les remettre à son vrai propriétaire qui interrogea Calion sur ces origines. L’elfe répondit par une longue phrase précise. On pouvait voir qu’il était fier de ses origines. C’était son choix.
Dalamyr regarda l’elfe noir qui chevauchait derrière Hasharin. C’était une personne assez mystérieuse. Il lui poserait bien quelques questions, mais ce n’était pas le moment. Il décida de continuer à questionner Unirann.

-Dommage, je cherchais un guide car vois-tu je viens du Sud et la cité blanche m’est encore inconnue, enfin j’en connais quelques recoins, mais cela ne m’est pas suffisant. Mais, alors d’ou venez-vous ? Je dirai du Sud. Umbar ?

Il se tut et détourna son regard de celui du mercenaire pour regarder devant lui. Sa tactique était simple. Il avait délivré une information et inventé une fausse raison de chercher un gondorien pour pouvoir après poser une question avec une proposition de réponse. Cela l’amusait, il pouvait ester ses techniques de dupage sans en vouloir à la « cible ». C’était un bon entraînement.

[Suite à Osgiliath]