Daix

Daix. Tout simplement. Un surnom bien peu significatif sur le personnage intriguant qu'est Daix. Un homme au passé douloureux, bien que mystérieux. Un homme sans nom, ni adresse, sans ami, sans famille. Il vit d'alcool, de haine et de cruauté. Voici, a la suite, la description de ce personnage aussi inquiétiant que dangereux.

Nom : Daix, Appelé le seulement Daix.
Prénom : Daix, cela suffira.
Famille : Ca veut dire quoi ?
Lieu de "vie" : Minas thirit
Métier : aucun

Caractéristique Phisique : Ce n'est pas ses caractéristique phisique que Daix se distingue des autres hommes. Il est maigre, les cheveux gras et grisonnant lui tombant jusqu'aux épaules lui donné un air arrogant et rebelle. Il était mal rasé, son visage était émacé et il n'était pas rare de voir des cernes sous ses yeux bleu foncé et pénétrant après une longue nuit bien arrosé au bar le plus proche. Il avait un petit nez discret, qu'il, d'après lui, tenné de sa mére, bien qu'il en est aucun souvenir. Mais tous les détails de son visage son généralement impossible a voir, car il ne se débarasse jamais de sa cape noir - seul objet qu'il tient de son pére - qui lui donne un air intriguant. La portant toujours avec sa capuche legerement trop grande.

Caractéristique Psycologique : La premiére impression qu'on a de Daix quand on le voit, c'est celle d'un homme fou, sanguinaire et violent. C'est celle d'un spectre discret et mortel. Et c'est ce qu'il est. Fou, haineux, sadique et violent. Voila une bien bonne description. Il peut tuer, il n'a pas peur de tuer, de faire souffrir, de briser des familles. Mais, jamais il ne tuerait sans raison, et il serait faux de croire qu'il n'a aucune qualité, car aussi peu nombreuses soient-elles, elles existe. Elles existent, mais elles ne se montrent pas facilement, en effet. Très peu de gens peuvent se vanter de les connaître. Très peu de gens qui n'existent plus. Car Daix, malgré les aparences, n'a, certe, pas un coeur pur et eun bonne consciance, mais il est loyal. Il est loyal envers ceux qui ont la chance, le caractére et le courage d'avoir la confiance de Daix, et peu nombreux sont ces gens la. C'est un homme de l'ombre, un tueur qui venére les dague et les épées, et peu de gens n'accepteraient ce genre d'homme parmis leur amis.

Histoire :

○ Un histoire bien sombre, bien mystérieuse que seul Daix connait. L'histoire de son passé troublé se trouve dans un journal. Un journal bien spécial que Daix a depuis qu'il a ateint l'age de ses 9 ans. Un journal - qui n'a, d'ailleur, plus de page depuis longtemp mais auquel Daix continue de rajouter quelque feuille de parchemins - tenu tout les jours par un homme que personne ne sousponerait d'en avoir un. Tout un passé se trouve confiné entre ces pages jaunit, toute une histoire, toute une vie. Des pages qui cachent le secret pour lequel Daix est aussi turbulent, instable. La mort de ses parents, son premier meutre, son premier baiser, ses sentiments, tous ses secrets... tous cela se trouvent dans un simple journal, devenu depuis longtemp le seul ami de daix. Alors, a quoi bon raconté une histoire si douloureuse en une seul fois puisque tout est confiné dans un livre ? Chaque secret, quelque page, vous seront révélées. Pas chaque jour certe, mais dès que je le jugerait nécessaire. Mais voici alors, une des pages des plus importantes de ce journal, la page qui décrit le jour où Daix a appris la mort de ses parents, le jour où il a vu la mort de ses parents.




Quand il a écrit cela, Daix avait 11 ans, et il maitrisait très bien l'écriture. Des grosses Taches d'humidités se trouvent sur la page. Ce sont des larmes. Il est donc idiot de penser, que Daix ne ressent pas les sentiments.

○ Plus tard Daix était revenu à Minas Thirit, la grande citée blanche. Il vivait ici avec ses parents, dans les bas quartiers. Mal famés, pauvre et dangereux, c'était pourtant ici que le futur assassin avait grandit. Et c'est aussi ici qu'il allait devenir ce qu'il est aujourd'hui.
Il n'avait pas d'ami, personne qui pouvait l'aidée a vivre a présent. Il était seul a évité les bande de malfrat qui terrorisaient et volaient les familles. Il devait voler pour manger, il ne pouvait pas se laver et devait de l'eau de pluie qu'il receuillait. Sa situation était critique et quand arrivait l'hiver, elle empirait.

Bienvenue !

Rien à redire sur le contenu de ta fiche, c'est accepté.

Par contre, sache qu'il y a énormément de fautes d'orthographes. Je te conseille vivement de d'abord écrire ton texte sur word avant de le copier-coller sur le forum.

Pour commencer, je te conseille de faire une demande de métier. Ensuite, les événements actuels sont particulièrement adaptés à ton personnage. Ceci devrait t'intéresser. A contacter ici.

Bon RP

Merci de ton aide

Oui en effet, je ne suis pas très bon en orthographe, je vais surement vérifié mes textes a l'avenir, maintenant que j'ai trouver un assez bon correcteur ( enfin je croit ^^ ).

Ajout d'une page et d'une partie de l'histoire de Daix en premier ( juste après le deuxiéme ○ )

Warin avait été arrêter, Daix avait été remercier. Sa mission d'infiltration s'était bien finit, et grâce a lui, on a put démasqué le scélérat. L'assassin en tirait une belle fierté, il ne le cachait, même si travaillé pour le trône avait quelque chose de... déplaisant. Il était retourné dans ses bas quartier, en prenant soin de dire au revoir a Nârwel et Iriel. Il s'était attaché a eux, chose rare. Mais ils n'avaient pas le même destin, et même si leur histoire ne fera, surement, qu'une, Daix savait qu'il fallait du temps pour que cela arrive a nouveau.
Et de tout façon, d'autre affaire l'attendait. Chôbag ne l'avait toujours payé. Son employeur devait s'être caché a l'autre bout de la ville. Mais Daix le chercherait. Il ne pourrait pas se cacher de l'assassin. On ne se cachait pas de Daix.

- Dis moi où il est, pauvre type, sinon je t'égorge !

- Tu m'égorgera quand même Daix... ne crois pas que je ne te connais pas...

L'assassin eut un rire froid et bien sadique. De quoi bien intimider l'adversaire. Il regarda un moment ce dernier, toujours souriant et enfonça sa lame un peu plus profondément dans la chair de l'homme.

- Alors tu devrais savoir que j'ai des moyens de te faire souffrir...Tip.

Quel surprise Daix avait eut lorsque, coincé dans une impasse où il se réfugiait de plus en plus ces derniers, Tip lui était tombé dessus couteau a la main. Un assassin sur les ordres de Chôbag. Celui-ci avait donc décidé d'éliminer Daix. Et bien sur pour cela, il avait envoyé un de ses "ami". L'assassin de métier avait bien essayé de le raisonner, mais son "ami" avait préféré attaquer. Grave erreur, voila maintenant qu'il était en danger de mort. Enfaite non. Il était mort. Tant pis pour lui. Surtout que, sur de lui, Tip lui avait révéler que c'était Chôbag qui l'envoyait. C'est dans ces moments là qu'on voit qu'il y a vraiment des idiots dans la vie.

- J'attends...

- Daix... on était ami... pitié...

Voila deux mots qu'il n'aurait pas du mettre : "était" et "pitié". Le premier signifiait bel et bien que Tip n'aurait eu aucun remord a le tuer, et le deuxième était une invitation a la mort pour Daix.

- Faut croire que c'est finit, mon vieux... répondit ce dernier avec un sourire sadique.

- T'osera pas me tuer...

- On pari ?

Le visage de Tip devint transparent, tandis que la lame s'enfonçait encore. Il aurait pensé que Daix n'oserait pas le tuer - vraiment -. Il se rendait compte qu'il ne le connaissait absolument pas. Enfin...

- C'est... bon. Je vais te les donner tes renseignements de merde !

Il avait craqué, c'était un prévoir. Daix était menaçant. Ce dernier sourit de plus belle. Vainqueur.

- Il est a l'autre bout de la ville... dans une vieille battisse... Façade noir...Il a des gardes partout... si tu y vas, t'es un homme mort.
- Considère que je lui suis déjà. Je te laisse la vie sauve, mais en échange , tu vas lui dire que tu m'as tuer... part.

Il déserra son étreinte sur Tip, pour lui permettre de s'échapper. Il se leva, et avec un dernier regard d'effroi, ce dernier courut rejoindre la rue principal laissant Daix seul dans l'impasse. Un vieille bâtisse noir. Il l'a connaissait. Elle se trouvait dans les bas quartier a quelque rue de la où il était.


Retrouvé la bâtisse ne fut pas très difficile. Il était dans un des quartiers les plus mal famés de la ville. L'assassin connaissait bien l'endroit. Il se trouva devant la vieille maison noir, a l'apparence assez miteuse. Pas un endroit où Daix irait pour ses vacances. Elle était gardé par un unique garde. Tout le contraire de ce que lui avait dit Tip... Dommage... pour lui.

Entrer ne fut pas très difficile : les seuls personnes qui passaient étaient des manants qui n'en avaient que faire des bagarres, Daix put donc tranquillement assommer le garde imposant. Il entra dans la bâtisse. L'endroit était grand et bien éclairer, presque chic et jolie, contrastant totalement avec la façade extérieure. Après avoir fait quelque pas dans le hall, quel ne fut sa surprise lorsque qu'il sentit quelque chose le piquer derrière son dos. Il se retourna doucement et vit avec horreur une lance pointé sur lui. Puis des bruits de pas se firent entendre, tous proche. On l'entourait. Se retournant de nouveau, il vit, face a lui, Chôbag et, a ses cotés... Tip.


Daix fut jeté en prison, enfin, dans quelque chose qui ressemblait a une prison. C'était en fait une grande chambre sale, fermé, sombre. Il s'était fait avoir comme un rat, il était tombé dans un piège stupide, mal fait, comme un débutant. Il s'assit dans le lit miteux et se prit sa tête dans les mains, de désespoir. Il avait été pris. Mais pire que tout, se fut le fait d'avoir échouer, de s'être fait prendre pire qu'un débutant. Il allait pourrir ici, dans cette chambre hostile...Seul. Ou pas. Une voix dure et rocailleuse s'éleva alors d'un des coins sombre de la prison. Daix sursauta.

- Salut...

La voix était froide, comme la sienne, et mesquine, presque moqueuse. Daix se leva doucement de son lit, une curiosité immense remplaçant alors cette détresse.

- Qui êtes vous ? fit l'assassin.
- As-tu vraiment besoin de le savoir ?
- Je ne pense pas, en effet.

Ils se turent. Daix ne trouvait que cet homme lui ressemblait énormément. Même froideur, mêmes paroles. Et même capuchon. Oui cet homme lui ressemblait étrangement. Un assassin aussi ? Arréter de la même façon ? Même Cause ? Il en était presque sur. Depuis combien de temps était-il ici ? Tant de question qui faisait de l'homme un homme plus que mystérieux.

- Vous allez bien ?
- Pardon ?

Daix n'en revenait pas. L'homme venait de couper le silence d'un coup pour lui demander si il allait bien. C'était a en perdre la tête ! L'homme était-il fou ? Gâteux ? Trop vieux ? Ou tout simplement prévenant ?...n'importe quoi !

- Je vous demande si vous allez bien.

L'assassin était sûr d'un chose, L'homme était plus vieux que lui, cela se sentait dans sa voix.

Tout s'était dérouler comme prévue. En entrant dans la cité, il l'avait trouvé presque déserte. Évidement. Ils s'étaient séparé. Enfin disons plutôt que Daix avec faussé compagnie à Die et que ce dernier s'était retrouvé seul. Ce que devait faire Daix devait se faire seul. C'était en tout cas ce qu'il avait décidé. Ce fut serein qu'il se dirigea vers une bâtisse majestueuse. Serein. Ou presque.

Il monta jusqu'à la fenêtre. Il savait ce qu'il allait trouver dans la pièce. Une "jeune" elfe. Magnifique. Daix s'assit doucement sur le rebord de la fenêtre et caressa des yeux la plus belle elfe qu'il n'avait jamais vu, aux courbes magnifique, ses long cheveux dorés tombant jusqu'a sa taille. Elle était vêtu d'une robe légère, blanche, et semblait entouré d'un aura de sereinité. Un halo de bien-être. Daix se sentit fondre quand l'elfe posa sur lui des yeux d'un bleu intense. La faiblesse de Daix. Daix s'envola, pour laisser place a l'homme. Un autre Daix. Que seul elle pouvait faire sortir.

- Daix... Heureuse de te revoir.

Il esquissa un sourire, et s'approcha de la jeune elfe qui a son tour, souria. Il se retrouvent enfin. Leurs corps se retrouvent.

- Tu m'as manqué Lenay...
- Moi aussi, Daix, moi aussi...

Ils restèrent longtemps, l'un dans les bras de l'autre. Sans rien dire. Sans rien faire. Daix était heureux. Vraiment heureux. Et quand ils se séparèrent, leurs yeux se firent la promesse de se revoir. Daix ne se retourna pas. De peur de plus pouvoir rester. De peur de fondre en larme.
Et il sauta par la fenêtre. Pour réattérir sans bruit.
Un chat. Ou de l'eau.
Silencieux.
Il se remit en marche, gravant ces souvenirs dans sa mémoire, attendant simplement que les prochains viennent les chassé. Daix redevint Daix. Sans vraiment être Daix.


- Alors tu as trouvé ta fichu dague ?

Bien sur que non. Daix n'avait même pas cherché de dague, pas besoin. Comme si Die ne l'avait pas remarqué.

- La ferme.

Encore cette voix. Cassante et froide. Coupante. Die soupira. Il ne comprenait pas Daix. Il ne pouvait comprendre Daix. Malgré qu'ils étaient sensiblement semblables, il se sentait dominé par Daix. Beaucoup plus assassin que lui. Beaucoup moins humain. Il l'avait vite remarqué. Il se rendait juste compte a quel point.
Die se trompait totalement. Daix était aussi humain que possible. Jamais il ne l'admettrais.

- Et on va où maintenant, Daix ? demanda Die, essayant de remettre le mépris que sa voit contenait habituellement. En vain.

- On ?
- Pardon ?
- Tu m'as compris.

Un moment de silence. Qui fut aussi bruyant qu'un ouragan pour Die.

- Mais... euh... enfin...
- La ferme. Il y a une rivière par ici, nous allons pouvoir faire boire les cheveux.
- Je doute qu'ils ont...

Die se tut sous le regarde froid de Daix.
Un regard qui aurait arréter un troupeau de Mumakil en colère.
Quand soudain, il se rapella.

- Dis, tu n'avais pas travail pour moi ? C'est ce que tu m'as dit avant qu'on entre dans Fondcombe. Au final, je n'ai rien fait.
-Cela m'a surement échappé. J'ai surement oublier.

Daix avait cette fois adopté un ton dégagé. Mais son visage c'était assombrit. Comment avait-il put oublier ? Tant pis. Chôbag attendrait sa mort encore un peu plus longtemp, Daix finirait bien par le dénicher.
Ils arrivèrent a la rivière peu de temps après. Personne n'avait plus ouvert la bouche. Daix s'asseya près de la rive et essaya de penser. A ce qu'il allait faire maintenant, entre autre. A sa dernière visite chez Lenay. A sa prochaine aussi.
Bizarement, l'assassin ne pensait absolument pas a comment retrouver Chôbag. C'est comme si il n'avait plus envie de lui faire la peau. Plus envie de se venger.

- Je vais a Minas Thirit.
- D'accord.
- Je.
- Et moi ?
- Je sais pas.

Silence. Daix n'avait plus envie d'avoir Die sur le dos. Il préférait encore être seul que d'être accompagné d'un assassin sans dague et sans talent. Il se leva, se dirigea vers les cheveux qui se désaltéraient, et se mis en selle. Die ne bougea pas. Sans un mot, Daix talonna sa monture qui se mit au pas, puis au trot.
Il disparut dans la forêt. Sans un regad en arrière. Sans un aurevoir.
Sans regret.