L'attentat

Je décidas de fermer l'auberge pour aujourd'hui.


-Alak rentre donc chez toi, je pense que tu as mérité une journée de repos.

Alak partis, je pris la clé derrière le comptoir puis ferma la porte. Je portais toujours une petite dague sur moi, on ne sait jamais, cette cité n'est plus aussi belle et ces rues ne sont plus aussi sûr qu'aux temps des grands rois.
Je me dirigis vers les niveaux supérieures, il y avait un marché là-bas.
Après quelques minutes de marche, j'arrivais à destination. L'endroit était magnifique, des étales pleines de fruits, ou avec des objets divers et étrange. Je m'arétis devant un marchant qui vendait de très belle dague, qui devaient surtout servir de décoration plutôt qu'arme.

J'en pris une, je l'enlevis de son fourreaux, puis vis qu'elle avait des inscriptions elfiques en or au milieu de la lame.

-Très beaux n'est-ce pas ? Me dit le marchant.

-Oui en effet, combien cout-elle ?

-Ha messier, sachez que normalement cette dague n'a pas pris, ou du moins un prix tellement élever que vous pourriez acheter au moins la comté et c'est environ, ce qui ferais beaucoup d'herbe a pipe, mais je m'égare, je la vend à la modique somme de 50000£.

-Si chère que sa ?

-Et bien oui, cette lame vient des forge elfique, et les runes qui sont sur son centre empêche, à ce qu'on dit, de parer les coups portés avec cette dague.

-Bon et bien au revoir.

Je reposas la dague dégouté du prix, je continuas pour arriver devant un marchant de bière, elle avait très bonne.

-Bonjour messier.

-Bonjour, voulez-vous goûter un peu de ma bière ?

-Hum goûté gratuitement une bière qui sent si bon, avec plaisir.

[HRP] Je n'est jamais goûté, ni sentis de la bière alors désoler si le cout du « sent si bon » n'est pas réaliste. [/HRP]

Le marchant pris une louche en bois, la plongea dans un tonneaux ouvert, puis remplis un verre, il me le donna.
Je bus lentement. Elle avait un goût parfait, quand j'eus fini de boire, je lui demandis si je pouvais acheter deux de ces tonneaux.

-J'en prendrais deux.

-Avec plaisir messier, cela vous fera 200£ pour les deux.

C'était encore un prix raisonnable.

-Voulez-vous que mon assistant vous les livres ?

-Hum est-ce que je peu les laissais ici ? Je viendrais les chercher tout à l'heure.

-Bien sûr je les gardes ici et vous les prendrais quand vous partirais.

Je continuas ma visite du marcher pendant encore une petite heure, il devait être dans les environs de cinq heures du soir, je commençais à être fatigué, je me dirigas de nouveaux vers le marchant de bière.

-Ha vous revoilà, je vais vous aider à transporter ces tonneaux chez vous. Me dit-il, il se retournas pour parler au jeune garçons qui se trouvais derrière lui embêter à rentrer une louche, des verres et un petit marteaux dans une toute petite caisse, il lui dit, rentre bien tout dans caisse bon sang, c'était très bien ranger avant et je vais partir avec deux tonneaux, je reviens vite, je veux que tout soient rangé quand je reviendrais, c'est clair ?

-Oui. Dit le garçon.

Le marchant monta un tonneaux dans une petite charrette, je pris l'autre tonneaux, puis le mis à côté de l'autre. Le marchant ce mis devant puis attendit que je monte pour avancer.

-Ou habituer vous jeune homme ?

-Au premier niveaux de la cité, je vais vous montrer, je tiens une petite auberge, vous avez un endroit ou dormir cette nuit ?

-Heu à vrais dire je suis arrivé ce matin et je n'est pas vraiment pensé où j'allais dormir....

-Venez donc chez moi, il y a de la place. Le garçon aussi est avec vous ?

-Vous parler de Max ? Oui il est avec moi.

-C'est votre fils ?

-Non, je vais vous raconter comment je les trouvé.

Il prit une grande inspiration, puis parla.

-Lors de mes voyages à travers les monbreuses contrées, je passe par beaucoup de ville, mais un jour alors que je me rendais dans une petite ville, je ne trouvas là-bas que cendres, morts et destruction. Pourtant, une femme me vit explorant le village brulée, elle était à terre, mais elle tenait dans ses bras un landau, elle me dit : « prenez le je vous en pris », elle mourât quelque instant plus tard. Je pris le bébé, puis repris ma route en chemins, je croisas une patrouille de soldats, je leur indiqua le chemin du désastre, il m'apprîre qu'un enfant d'une grande importance ce trouvé-là-bas. Je ne leur dit rien sur l'enfant, depuis il a bien changé, il a grandi.

-Et-il au courant ?

-Non pas encore

Pendant qu'il me racontait l'histoire du garçon nous étions arrivés.

On déposi les tonneaux puis il partis chercher l'enfant et ces autres affaires pour revenir ici.


[HRP] Si quelqu'un veu participer il est le bien venu [/HRP]

Après s'être installer, le marchant commanda un peu à manger, le soir tombé, j'alluma donc un petit feu.

-Ha, au faite, je ne me suis pas présenté, je m'appelle Jasson.

-Moi c'est Adrien.

-Encore merci pour nous avoir prêté les chambres.

-Mais de rien, c'est mon métier.

-Vous êtes donc aubergiste.

-Oui en effets, les affaires marche plutôt bien, mais les marchants ne reste pas très longtemps, les heures de gloire de Minas Tirith sont passé, maintenant, on voient beaucoup de gens peu recommandable.

-Oui c'est bien dommage.

À ce moment quelque frappa à la porte de l'auberge.

-C'est fermé, revenez demain si vous voulez vous saouler.

-C'est moi, Ambre. Dit une voix de fille derrière la porte.

-Ambre ? Mais qu'est-ce que tu viens ici à cette heure, dit il en ouvrant la porte

-Je voulais te parler.

-Viens, il l'entraîna jusqu'à une table, alors qu'est-ce qui se passe ?

-Deux homme sont venus me voire se matin, ils m'ont demander si je te connaissais bien. Je leurs ait répondu pas trop, ils avaient l'air louche, tenues de rôdeurs, enfin tu vois de quoi j'parle.

-Hum sa deviens inquiétant, Bill étais avec eu ?

-Non mais je les vues en d'espionner la maison.

-Mais qu'est ce qu'ils veulent à la fin ?

-Je ne sais pas, peut être que sa a un rapport avec tes parents ?

-Mes parents ? Mais, heu, je crois, attend je reviens.

Je me précipita dans l'escalier, mes deux invités mes regardée d'un airs inquiété, Jasson se retourna vers Ambre.

-Un problème mademoiselle ?

-Hum, je crois bien oui.

-Votre ami est bien sympathique, comment a-t-il pu s'attire des problème ? Si je peut vous aider dite le je me ferais un plaisir de vous aider.

-Merci c'est très gentil

Je redescendis avec une lettre, dessus étais marqué « Adrien » elle avait l'air épaisse mes surtout lourde.

-Je l'es trouvé y a pas longtemps, mais je ne l'es jamais ouverte

Il était très tard, je lirais demain cette lettre.

-Il se fait tard, si nous allions nous coucher ? Ambre tu peut rester ici, tu sais bien que mon auberge et toujours ouverte pour toi.

-Oui je sais, me répondit-elle avec un clin d'œil malicieux.

-Oui c'est une bonne idée, nous devons partir demain pour Edoras, si nous voulons être en forme il faut dormir, aller viens Max, dit l'homme en nous voient tout les deux nous parler doucement.

Ils montèrent au deuxième étage, puis se couchère

-Si nous en fessions autant ?

-Hum attend je ferme la porte.

J'allas ferme la porte puis je monta au deuxième étage. Je pris la deuxième chambre à gauche.

-Tu ne vas pas dormir au troisième ?

-Non je ne veux pas te laisser toute seul ici.

Elle me souris puis ferma la porte derrière elle. Je m'allongeas sur le lit, sans allumer de bougie, je repensait à ce qui se passait ces dernier jour.
Que pouvais bien me vouloir ces hommes, pas d'argent en tout cas, je n'en avais pas beaucoup. Je m'endormis quelque instant après.

« gratt, gratt, cliiiq »

Je me réveilla doucement, puis m'assit sur mon lit.

-Qu'est-ce que...

La porte de ma chambre s'ouvrit doucement, tremblant de peur je pris ma dague que je portais toujours sur moi, près à défendre chèrement ma peau.

-Adrien ? Tu dort ?

-Ambre ? Tu mas foutu une de sais trouille !

-Bah je pensais que c'était toi qui fessais ce bruit, dit-elle en s'approchant de moi.

-Heu et moi je pensais q'c'étais toi.

-Ba non.

On se regarda, nos yeux reflétait une soudaine terreur, je pris une chandelle, puis la reposa finalement.

-Je.. Je vais aller voir.

-Souhat prudent, je ne m'en remettrais pas qu'il t'arrive un truk. Dit-elle en rougissant

Ne comprenant pas le vrais sene de ces paroles, je lui donnas un petit bisou sur la joue, puis sorti doucement de la pièce. Heureusement qu'il fessais noir car Ambre étais tellement rouge qu'elle aurais fais de la concurrence avec des tomates.

Ambre courrais autour d'une table avec l'homme dans le dos qui essayait de l'attraper. Moi toujours à terre, je me relevais doucement, je vis que Jasson se battais aussi, une grande épée dans la main, l'homme qui l'affrontait avait aussi sorti une épée, il faut vraiment que je m'en achète une comme ça, pensais-je.

Vue le vacarme la milice devrait arriver.

Je pris ma dague, que je n'avais pas eu le temps de sortir quand l'homme me tomba dessus.

N'étant pas guerrier dans l'arme, je n'étais pas un professionel de l'escrime, mais je savais me battre quand même. À ce moment, Ambre poussa un cri.

-Nooon lâcher là. dis-je

L'homme l'avait contre son couteaux sur la gorge.

-Je veux bien l'échanger contre toi, viens ici.

Ne voulant pas que Ambre soient bléssée par ma faute, je m'avança, j'avais pris soin de cacher ma dague dans ma manche.

Quand j'arriva près de lui il lacha Ambre pour me capturais moi.

Il se tourna vers Jasson.

-Pose ton épée, ou le gamin meurt.

À ce moment, je vis une ombre passée sur le côté de la pièce à peine éclairé par une bougie.

Jasson se retourna regarda dans la direction de la voix, les combats stoppèrent, puis il fit tomber son épée sur son pied.

-Voilà j'ai posé mon arme, ne lui faite pas de mal.

-Bien, maintenant dit moi où se trouve le collier des dieux et ne ments pas.

-Je ne vois pas de quoi vous parlez, qu'est ce qui vous dit que c'est moi qui est ça ?

-Notre chef nous a dit que ce sont t'est parents qui l'avaient, comme ils sont morts, c'est toi qui là.

-Mais, heu non, je n'ai jamais rien reçus qui porte ce nom.

L'homme renforça sa prise, la pression de la lame sur ma gorge devenait insupportable. Du sang commençais un peu à couler.

Ambre devins toute blanche lorsqu'elle vu que ma gorge saignée. Mais elle reprit des couleurs lorsqu'elle vu quelqu'un derière l'homme avec une bouteille.

Un bruit de verre, des cris encore quelque coup d'épée, puis plus rien. Je m'étais évanoui, quand une bouteille explosa sur la tête de mon ravisseur. Quand je repris consience, j'étais allongé sur mon lit un grand pansement autour de la gorge et quelque éraflure sur les bras, mais j'étais vivant c'est ce qui contait.

-Adrien ? ça va ? Dit une voix que je pouvais reconnaitre même dans mon état.

-Oui, je crois,merci Ambre qu'est-ce qui s'est passé ?

-Je te raconterais plus tard, elle se tourna vers la porte, Jasson, il est réveillé.

Jasson et Max entrére dans la pièce, ils avaient l'air bien.

-Comment te sens tu ?

-Bien, merci, sans vous je ne serais peut-être plus ici.

-Adrien, je suis désolé de te dire ça mais, tu dois partir de Minas Tirith, d'autre vont venir, je vais à Edoras, tu peux venir avec nous si tu veux

-Partire ? Mais, mais, qui va s'occuper de l'auberge ?

-Une auberge ? On dirait plus un champ de bataille, toutes les tables, chaises sont casser ou abimer, les verres, les bouteilles ne sont pas mieux.

-Ho mon dieux, Ambre peus-tu aller chercher Alak ?

-Je suis ici, dit une voix.

Alak entra dans la pièce.

-Que veux tu ?

-Regarde dans ce coffre, dis-je en montrant un coffre.

Il l'ouvrit, dedans ne se trouver que des vieux papier.

-Enlève les papiers, tu vois la bourse ? Elle contient 5000£ ils sont à toi, je te donne l'auberge.

-Tu ... heuu mais, et toi ?

-Moi je vais partir un moment.

Jasson parti pour préparer la charrette, J'allais me lever quand.

-Attend, je viens avec toi, dit Ambre

-Non c'est trop dangereux de rester avec moi.

Je la regardais, elle avait les yeux rouges, et encore quelque goutte d'eau sur les joues, elle avait pleuré, pleuré ? Pour qui ? Moi ?

-Ambre tu as les yeux tous rouge.

Cette remarque simplet la fit rire un peu. Elle se jeta sur moi en m'enlaçant.

-Mais qu'est qui te prend ? C'est pas comme si j'allais mourir.

-T'est toi, dit elle me serrant encore plus fort. Quand tu t'est écrouler par terre j'ai cru que t'était mort, tu avais plein de sang sur la gorge. Dit-elle en pleurant.

-Mais non enfin, tu sais bien que je n'allais pas mourir sans être sûr que tu n'avais rien. Je n'aurais pas trouvé le repos en sachant que tu avais été blessé par ma faute.

-Ho Adrien ne dit pas ça.

-Je dois aller préparer mes affaires, tu m'aide ?

-Oui bien sûr.

Je commça par rassembler un peu d'argent que je mis dans une bourse, je pris des vêtements, ma dague, et les lettres qu'avais laissé mes parents et que je n'avais jamais ouvert. Quelques minutes plus tard, j'étais près. Je me diriga donc vers la charrette de Jasson.

-Adrien, le temps qu'on sorte de la ville, reste caché dans la charrette entre les tonneaux, tu métras ça sur toi, dit-il en désignant une grande cape marron.

-D'accord.
Je me retourna vers mes deux amis. Ils avaient les larmes aux yeux.

-Tu vas nous manquer Adrien. dit Alak

-sniif, tu vas me manquer. Dit Ambre

-Vous aller vraiment me manquer les amis, Alak prend soin de l'auberge, aussi de Ambre je ne veux pas qui lui arrive quelque chose.

-Conte sur moi.

-Ambre, sois prudente d'accord ?

-Ne t'inquiète pas.

-Au revoir, je vous écrirait.
Je me retournas puis allais monter dans la charrette quand Ambre s'élança sur moi et m'embrassa.

Nous étions presque arrivés à la porte, j'entendais les gardes, les autres charrettes. Je repensais encore à ce baiser que m'avais donné Ambre, tous mes sentiments étaient mélangés, je ne savais pas quoi penser. J'en avait même perdus la motion du temps, combien de temps déjà avais-je quitter mon auberge ? Aucune idée, tout ce que je savais c'est que Ambre m'aimais, son visage ne quittait plus mon esprit, mais alors que je rêvassais j'entendit Jasson.

-Tu peux sortir Adrien, nous avons quitté la ville.

Je sortis de sous la cape, Jasson se diriger vers Edoras, comme il l'avait dit.

Derrière nous se trouvait les champs du Pelenor, qui avaient retrouvé leurs beautés après avoir été piétiné par les forces de Sauron. Devant se trouvez une petite fôret que nous traversèrent, le soleil était haut dans le ciel, midi devais approcher.

-On vas faire une pause. Dit Jasson.
-Bonne idée, j'ai envie de me dégourdir les jambes.

Jasson arrêta la charrette devant de gros rochers. On pris un peu de pain, du fromage et de la viande sécher, un petit ruisseaux passer près d'ici, nous n'aurons qu'à marcher un peu pour aller boire. Quelque marchant passant par ici nous saluèrent.

-Beaux pour voyager n'est-ce pas ? Lança l'un d'eux.
-Oui très beau.

Les marchants firent une pose avec nous puis partirent. Au loin on pouvaient encore appérecvoire la cité blanche, Surment jamais je ne la revairait.
Comme le soleil commençais vraiment à nous taper sur la tête, nous rentrâmes sous le couvert du bois.
Il fessait frais dans ce petit bois, je m'allongas sous un arbre pour dormir un peu et repensait à tout ce qui m'était arrivé. Mais d'un coup.

-Hoo non MAX, cache vite la charrette, Adrien, vien vite !

-Hein quoi, qu'est que, qu'est qui se passe ?

-Des cavalier là-bas, en tenues de rôdeur, ils arrivent droits ici.

Max mis la charrette derrière des rochers et des buissons, moi je grimpas dans un arbre.
Les deux cavaliers arrivèrent à l'orée du bois, ils s'arrêtèrent un moment, regardèrent dans toutes les directions, dans mon arbre, je n'osais même plus respiré, puis après cinq minutes, qui parure des heures, ils reprirent leurs routes.

-Ouff, pense-je.

On attendu encore un petit moment pour être sûr qu'ils ne reviendraient pas.

-C'est bon, ils sont assez loin maintenant.

Pour monter dans cet arbre en voyant les cavaliers, c'était facile, mais pour en descendre sa serait plus dur. Je respira fort, puis allais commençais à descendre, je posa mon pied sur une branche puis clissa lamentablement, perdis mon équilibre et m'écrasa quelque mètre plus bas dans un buisson, qui amortit un peu ma chute, j'allais bien, quelque égratignures, mais j'avais l'habitude maintenant, le buisson lui n'avais très bonne mine, mais il s'en remettra pensais-je.

-Ils ont dèjà vu que je n'étais plus là, sa serais plus prudent que je continue seul, je ne veux pas qu'ils vous fassent du mal.

-Non mon ami, j'ai dit que je vous emmènerais à Edoras et je vous y conduirais, même attacher à la charrette s'il le faut.

-Merci, je ne sais pas comment vous remercier.

-Résister, résister fasse à ces hommes, ne tombez pas entre leurs mains.

-Je vous le promet Jasson, je vous le promet.

Puis après être remonté dans la charrette, nous repartîmes pour allais à Edoras comme Jasson l'avait dit. C'est à ce moment, que je sortis un livre, c'était un grand livre, avec marquer dessus " histoire des grands bijoux magique elfique, nain, humains et maléfique", un petit marque page étais acrochée sur une page, je regardas si Jasson et Max ne regardais pas dans ma direction, Max était encore en train de dormir et Jasson conduisait la charrette.
Je l'ouvris, sur le haut de la page étais marqué " Le collier des dieux". Et en dessous des écritures elfique.