Voronwë Amnel, soldat fidèle à Imladris.

Nom/Prénom : Voronwë Amnel
Âge : Assez âgé
Sexe : Masculin
Race : Elfe
Particularité : Voronwë est un soldat qui se bat assez bien à l'épée et tir à l'arc comme tous les elfes. Il a un excellent instinct, une vue parfaite et une ouïe développée comme ceux de sa race.

Alignement : Il est pour la liberté et et la paix.

Rôle : Soldat elfe

Équipement : Simple tunique, il combat mieux sans armure. Un arc en bois d'if, un carquois et des flêches à la plume blanche. Il porte une épée elfique près de son carquois ainsi qu'une dague sa ceinture.

Description physique : Il a des cheveux longs, un doux visage séduisant. Malgrès les aparances, son bras est très puissant. Il a les traits de son père, et des yeux vert semblable à une sublime émeraude.

Description mentale :Depuis qu'il a fallit à sa mission, il ne cesse d'éssayé d'honorer sa famille et sa patrie, sans grand succés. Il ne vie que pour la liberté et l'honneur. Il est fidèle à sa patrie et à ses supérieurs.

Histoire :
-Voronwë, il s'appellera Voronwë, dit la femme en tendant l'enfant à son mari.

Il arriva au monde quelques années avant la seconde guerre contre Sauron. Le jeune garçon put alors vivre une enfance tranquille dans la paix et la tranquilité.
L'acouchement tua sa mère, il se retrouva alors avec son père qui lui aprit l'arc du combat et à manié toutes sortes d'armes. Son géniteur, Nydot était un grand forgeron dans la magnifique citée d'Imladris. Il avait participé à plusieurs batailles et combatut les orques de Morgoth. C'était un grand elfe, un héro comme tous ceux qui ont survécus aux plus sanglantes batailles. Pour Voronwë, c'était son modèle, c'est pour cela qu'il s'est inscrit dans l'armée et combatit dans le même bataillon que son père. C'était calme, il devait juste gardé la citée et parfois il escortait des marchands elfes et très rarement, surveillé des avant posts. Dans l'armée, il rencontra un jeune elfe qui devint son plus cher ami. Il s'apellait Nari.

Voronwë leva les yeux vers le ciel, de larges nuages noirs recouvraient la vaste étendut bleu jusqu'à l'horizon comme si toutes bonne choses avaient quitté ce monde. Les feuilles était encore mouillé depuis la tempête de la veille.
Avant ce jour, il était naïf et innocent, toutes ses philosophies sur le monde qui les entourés changèrent à jamais. Il n'avait jamais quitté l'Eregion mais l'elfe avait tout de même lut nombre de livre sur les autres royaumes. Il rêvé un jour voir la belle citée blanche ou même Osgiliath, mais son destin était plus grand que de visité une citée homme aussi sublime qu'elle puisse être.
Nari lui raconté un livre qu'il avait lu sur les changements de météo. Ils étaient de garde dans un petit avant post elfique en forêt, une sorte d'ambassade. C'était Voronwë qui dirigeait l'unité, ils était une dizaine. Il leva la main pour interompre les explications de son compagnon d'arme qui l'interrogea du regard.
-Tu entends les oiseaux? demanda le capitaine.
-Non, avoua Nari en haussant les épaules.
-Justement, quelque chose cloche, c'est étrange. Dis aux autres de rester sur leur gardes.
Le soldat désendit du perchoir et alla prévenir les autres qui n'étaient non loin de leur position.
Voronwë décrocha son arc de son carquois et encocha une flêche, près à tirer il visait devant lui. Puis après plusieurs minutes, il baissa son arme. Ce fut à ce moment une forme sortit de l'ombre , une épée sombre à la main. Dès qu'il le vit, l'elfe prit peur, c'était un orc! le premier qu'il voyait. Le jeune elfe ne réfléchit pas, la flêche fendit l'air et atteignit sa cible en pleine tête qui tomba lourdement sur le sol.
-Les orcs! cria t-il à pleins poumons.
Alertés, ses compagnons se plaçèrent à coté de lui, l'arc à la main.
-Il y en a d'autres? demanda naïvement un soldat.
-Ils ne se déplacent jamais seul... répondit un autre.
Le capitaine regardait attentivement chaque arbres, chaques signes. Soudain, une trentaine d'orcs fonçèrent sur eux en criant, épées à la main. Les premières volées tuèrent la moitié, mais ils arrivèrent tout de même à l'avant garde. Dans un acte de bravoure, Voronwë sauta de son perchoir et atterit dans la boue. Il acrocha vite son arc à son carquoi et dégaina son épée. Une magnifique épée elfique qui avait apartenut à son père pendant la guerre.
Il chargea, les autres firent le même opération et le suivirent. Le choc fut violent. Le capitaine para un coup, se retourna pour lui enfoncé ça botte dans l'estomac. Il tomba à terre, Voronwë se plaça au dessus de lui et planta son épée dans son torse. Il continua à combatre bravement mais petit à petit, les elfes mouraient. Le chef fut propulsé à terre et se tordit de douleur, l'orc se plaça au dessus de lui, près à le tué. Heureusement Nari avait vu que son ami était en difficulté. Une lame transperça le coeur de l'orc et derrière celui-ci, Nari était debout et souria à Voronwë qui lui rendit son sourire. Son sourire s'éffaça vite et sa tête tomba à terre en roulant.
-Non! hurla de toutes ses forces le capitaine.
Une larme coula sur sa douce joue. Il se releva vite et égorgea son ennemi. Il était dans une rage folle, c'était une bête féroce qui avait soif de sang. Les orcs étaient presques tous morts, il en resté que un contre deux elfes. Une épée vola en direction du chef. Au dernier moment, le dernier elfe mis à part Voronwë se plaça devant son supérieur pour le protéger.
-Pourquoi? demanda le capitaine qui pleurait à chaudes larmes.
-Je vous aurez servi jusqu'à la mort, mon capitaine, dit-il avant de trouver le repos éternel.
Il hurla de colère. Pendant ce temps l'orc fonçait sur lui, il ne fit pas long feu car l'elfe lança son épée qui attérit dans la gorge de l'orc, il tomba à genoux, du sang noir dégoulinait sur son armure puis tomba et moura.
Il était seul, seul dans cette forêt. Il était fatigué, mais il monta tout de même les corps de ses compagnons d'arme décédés sur leur cheveaux. Il prit la dague de son compagnon mort, Nari. Il lui avait promis de garder sa dague si il venait à mourir, Voronwë respectait toujours ses promesses.
Quand il arriva à Imladris, les morts furent plueré et lui considéré comme un héro et il fut remercier par le seigneur Elrond lui même. Lui, ne le voyait pas de cet oeil. Il pensait que c'était de sa faute, ils étaient sous ses ordres, il pensait que c'était un lache, qu'il aurait dü mourir avec eux. Il participa tout de même aux grandes batailles qui engendra la chute du seigneur des ténêbres. Puis revint à Imladris, et se tortura l'esprit jusqu'a aujourd'hui. Il ne pourrait jamais se racheté et il ne cesserait jamais de penser que tout est de sa faute. Il ne fut plus jamais le même, il devint introverti, il ne parlait presque plus. Au bout d'un temps, il abandonna son grade de capitaine pour vivre en paix puis se réengagea dans l'armée. Même de nos jours, il porte et combat encore avec la dague de feu son ami
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Comment trouves-tu le forum ? : Comment dire... plein de très très bons rpgiste, ça va être dur 'être à la hauteur...
Comment as-tu connu le forum ? : Grace à Calion Palantir.

Bienvenue

Ton avatar est sympathique, ta fiche fait les 25 lignes demandées, ton style est très correct et la fiche cohérente.
Cependant, j'ai deux remarques importantes avant de pouvoir valider ta fiche.

Premièrement, l'orthographe. Je vois que c'est ton talon d'Achille Il y a beaucoup de fautes, que ca soit d'accord ou simplement d'orthographe.
Je t'invite à repasser ta fiche (ainsi que tes futurs RPs) sur un correcteur orthographique, ainsi que les relire, ce qui évite déjà beaucoup de fautes.

Deuxièmement, ta fiche finit très brusquement...c'est fait exprès? Tu comptes continuer ton histoire tout de suite en RP? Ca peut être intéressant mais il faudra t'arranger avec un membre de l'équipe d'animation-administration.

J'attends ta réponse

Fofo'

Merci pour les compliments. J'ai pas encore fini, c'est écrit "en cour" dans le titre^^
Et oui! ma faiblesse c'est l'orthographe, je ferrais tout pour m'améliorer.

Hum en effet j'avais pas lu le nom du sujet jusqu'à la fin

Bonne fin de fiche, et si t'as des questions n'hésites pas à me contacter par messagerie privée

Et voila! fini, j'espère qu'elle te sera agréable!

Voila

Je valide ta fiche, même si avant que tu n'ailles faire ta demande de métier et du RP, j'aimerais bien que tu corriges quelques fautes qui piquent aux yeux

Citation :

excellent instinct, une vue parfaite et une ouïe développée

Citation :

il ne cesse
d'éssayer d'honorer sa famille et sa patrie

Bon, il y en a d'autres, mais je vais pas t'embêter avec ca J'aimerais juste que, comme dit auparavant, tu passes tes RPs au correcteur orthographique

Sur ce, bon RP, et tu peux aller faire une demande de métier.

Fofo'

Et voila! Je suis près au combat!

Après une longue absence, je reviens inspiré!

PNJ

Nom/Prénom : Thoron Ereb
Âge : 21 ans
Sexe : Masculin
Race : Dúnadan
Particularité : Thoron est discret, calme, intelligent, cultivé. Il s'est entrainé au combat avec Voronwë. Il n'a pas peur, certains appellent ça du courage, d'autres de la témérité, mais ce qui est certain c'est qu'il ne recule jamais. Dans son coeur brule le feu de la vengeance.

Alignement : Il est et restera du coté du bien, du coté des elfes, du coté des dunadan.

Rôle : aventurier.

Équipement : Epée elfique, habit de voyage, arc et carquois contenant peu de flèches, une cape d'Imladris, bref, un aventurier.

Description physique : Si les yeux étaient réellement le miroir de l'âme, celle ci serait un océan sans fin. Son visage est plutôt plaisant, du moins pour les femmes. Il se rase s'il peut. Thoron est assez grand, son corps est musclé, bref, c'est un dunadan.

Description mentale : Même s'il est cultivé, cela n’enlève rien à son esprit guerrier. Son moral est infaillible, sa volonté est de fer. Il est encore très jeune et ne connait pas le monde ce qui fait de lui une personne très curieuse, ce qui lui attire d'ailleurs beaucoup de problèmes.

Histoire :
Thoron Ereb, un nom peu commun pour un être incroyable. Fils d’un ancien soldat, l’enfant de Gondor se révéla être le digne hériter de son géniteur. En effet, malgré son sang noble, il ne pensait qu’à devenir un combattant, à l’instar de son père. Ce que ce dernier refusait. Pour lui éviter un destin traumatisant, ses parents l’envoyèrent étudier dans la merveilleuse citée de Minas Tirith.

Cette cité émerveilla le jeune Gondorien d‘Osgiliath. Après un court séjour, ses parents repartirent sans lui, le laissant devenir un grand érudit au cotés des sages. Le jeune garçon obéit et étudia. Jamais il ne désobéirait à son père, son héros.

Quelques jours plus tard, son père le réveilla en pleine nuit, que fait-il ici à Minas Tirith? Pourquoi était-il vêtu de son ancienne armure de Gondor? Tant de questions sans réponses. Seule la cape qui cachait en partie son armure lui donnait une certitude, ils partaient pour un voyage. Ils sortirent alors dans l’ombre de la citée plongée dans l’obscurité. Chaque pas était un danger potentiel pour se faire repéré. Mais pourquoi se cacher? Plus loin sur les champs, sa mère les attendait avec trois chevaux.

Pendant des semaines ils voyagèrent, préférant passer inaperçu. Le jeune homme ne comprenait pas grand-chose aux explications de son père, il était jeune après tout. L’ancien soldat parlait d’assassins, quelqu’un aurait engagé des tueurs pour les tuer. Qu’avaient-ils fait? Peut importe, il fallait fuir, mais où allaient-ils? Son père ne répondait pas à cette question. « Dans un lieu sur » disait-il.

Ils étaient presque arrivés. Mais leur chemin s’arrêta dans ces bois en cette sombre journée. Une dague, sortie de l’ombre abattit sa mère. Hurlant d’effroi, son père se rua vers elle, trop tard. A peine il eut le temps de se relever, l’assassin arriva derrière le soldat. Une lame sortit de sa manche. Cette dernière transperça la jugulaire de son héros qui n’eut le temps de dire qu’un seul mot. « Cours ». L’enfant ne pouvait bouger, l’assassin se rapprochait. Soudain, par la plus grande chance qu’on puisse avoir, une flèche elfe vola en direction de l’assassin qui l’évita et partit en courant. Sept elfes sortirent de nulle part. Un grand en tête vint à la rencontre du petit. En voyant le médaillon qu’il portait autour du coup depuis la naissance, il l’emmena à sa citée.


Une citée elfe, Foncombe. A-t-on déjà vu pareille beauté? Il faudrait être aveugle ou être un simple d’esprit pour ne pas tomber amoureux de cette citadelle! Son architecture était parfaite, l’eau de ses fontaines reflétait l’immortalité de ses habitants, ses statues représentaient des héros d’antan que l’histoire n’oubliera pas. La ville était certes incroyable, mais son peuple était encore plus fantastique. Certes, certains étaient froids et distant, après tout il était un simple mortel. Pourtant il était différent des autres garçons, il l’avait toujours su. Mais même la beauté de cette citadelle ne pouvait pas ordonner à ses larmes de cesser de chuter.

Il fut mené vers des elfes plutôt gentils. Ils prirent soin de lui, ils le consolèrent, ils l’éduquèrent comme l’aurait voulu ses parents.

Durant la cérémonie en leur mémoire -car ils étaient amis des elfes d’Imladris- le jeune étudiant se cacha, loin de tous pour pleurer. Au bout de plusieurs heures, ce fut un grand elfe charismatique qui le retrouva. Il se présenta. Un certain Voronwë Amnel, un cavalier, le capitaine qui l‘avait sauvé. Ce soldat fut plus que sympathique envers l’humain. Ce dernier ne parlant pas, il le nomma Thoron Ereb, autrement dit aigle solitaire. Voronwë l’invita à manger, le laissa dormir sur son lit pendant que lui alla dormir à la belle étoile. Un grand homme, généreux, attentionné même envers un membre d’une autre espèce. Puis, dès l’aube, il rejoignit ses précepteurs.

Seul au milieu des immortels, le gondorien pensait souvent à ses parents. Son seul souvenir d’eux était un médaillon que lui avait offert son père à sa naissance. Bien sur, Thoron ne savait pas ce qu’il signifiait, pas encore.

Au fil du temps, Thoron commença à marcher comme un elfe, à se nourrir comme un elfe, à se nommer comme un elfe. Ainsi il adopta le nom de Thoron Ereb.

Après ses cours de la journée, Thoron partait rejoindre Voronwë qui lui apprenait à se battre. Cet elfe connaissait mieux que quiconque la douleur que l’on ressent lorsqu’on perd un être proche. Ainsi le jeune gondorien devint un adolescent, puis un homme. Enfin, il décida de partir à l’aventure. Dans son immense générosité, Voronwë lui forgea une épée parfaite pour son style de combat. Elle était superbe, la perfection à l’état pure. L’elfe disait qu’il était un piètre forgeron, pas comme son père, Thoron n’y croyait guère, Voronwë avait aussi beaucoup de talents. Ils se comprenaient, ils avaient choisi le même chemin, celui des armes, celui de la loyauté, celui de la justice.

Comme cadeau d’adieu, son ami elfe lui offrit un superbe arc elfique ainsi qu’un carquois. Mais son plus beau présent fut de lui dire ce que signifiait son médaillon. C’était en réalité un emblème, celui de sa famille, une famille de Dúnedain. Thoron était perplexe, il était différent, certes, mais comment pouvait-il avoir du sang Dunedin dans ses veines? Était-il vraiment un être hors du commun? C’est-ce qu’il se jura de découvrir.

A présent il était prêt, prêt à affronter le monde. Thoron Ereb lança un ultime regard vers cette mère, vers Imladris. Il avait suivit les ordres de son père, il était devenu érudit, mais tout comme son géniteur avant lui, il se détourna de cette voie. Cachant son visage sous sa cape elfique, il s’en alla en quête d’aventures, de réponses à ses questions et de vengeance. Ainsi commença le long voyage du grand aigle solitaire.

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