Bonsoir,
merci de ces précisions, je pense avoir apporté toutes les modifications qui effectivement demandais des éclaircissements ! N'empêche con coutelat, gromph me l'a dit, lui provient directement de ces ancêtres, il a même une généalogie montrant que cette arme est dans sa famille depuis au moins 6 000 ans ( si si il en est sûre..^^)
Bref je présente donc la petite modification en espérant que cela soit conforme aux attentes du forum.
Histoire
Groph est née dans les terres de l’Est, libre mais prisonnier de sa situation et il en a pris conscience d’ailleurs que très tardivement vers l’âge de 20 ans.
---> modification : La voie qu’avait choisie son père était le résultat d’une suite incroyable d’évènement malheureux comme on en voit tant en terre du milieu ! Sujet d’un seigneur Nain qui avait perdu la tête lors de la mort de sa femme et de son fils, il quitta avec neuf de ses compagnons et leurs familles la cité de ces ancêtres situer loin à l’Est, son seigneur et maitre tomba dans une spirale de dépression et il se perdit dans une fuite en avant vers l’Ouest, jusqu'au jour ou il se trouva au bord d’une falaise qui dominait une étendue d’eau qu’il prit d’abord pour la mer ! Mais ce n’était que la Mer du Rhun, immensité d’eau qui peut couvrir tout l’horizon d’un regard. Ce spectacle l’envahi et il fut si ému qu’il se prit d’envie de voguer a son tour sur les flots. Décision fut prise de s’établir non loin du lac, sa petite compagnie avait flairé un petit gisement de fer en contre bas et nous avons creusé une petite mine. La situation était intéressante, l’emplacement idéal, c’est dans ce décors que je suis née.
Gromph grandit dans ces mines, travaillant sans cesse la pierre, la choyant, la devinant, la caressant. Tout son être était fait pour ce métier, creuser sans cesse, sans réfléchir et sentir la pierre, quoi de plus beau ?
Hélas que peuvent des nains contre la fatalité ? Un nain sur un bateau n’est pas une contradiction en soi ? Dans sa folie, le seigneur nain voulut un bateau en pierre, certes le chef d’œuvre créer pour l’occasion était exceptionnel, Le premier et unique bateau ressemblait plus à un tombeau qu’un bateau, un nain proposa de construire des rondins de bois afin de soutenir la masse en pierre, et bien peut être que l’ouvrage en pierre était irréaliste… l’ouvrage pris cinq années mais aucun des valeureux maitres nains n’avaient la science de la mer, tous vétérans de combat terrestres, ils n’avaient pas une seul seconde imaginer que le bateau aller couler et pire que tout aucun ne pensaient qu’en une armure de fer ..Ben…ça coule...
"Aussi notre pauvre seigneur une fois monter à bord, habillé comme pour la parade, coiffés de tous ces beaux atours, s’éloigna du rivage avec quatre de mes très chère amis ,une fois au large un mouvement d’eau fit tanguer la barque et tous périrent alors que nous au bord du rivage ne pouvions rien faire, si ce n’est de pleurer sur le sort de nos amis et frères "Nous restâmes alors dans notre trou, vivant de chasse et de pêche, menant une vie agréable et sans contrainte. Mais un beau matin, creusant plus profondément la roche, un nain fit écrouler la voute dans laquelle était construite les maisons en tronglondites naines et tout fut perdue..
De la petite compagnie subsistais seulement quatre nains en sus de moi, Gromph ! Nous, les survivants prîmes nos affaires pour nous diriger vers un port ou on s’engagea tous comme marins, à la rame et comme conseillers auprès de la guilde des marchands.
--> Son père était rameur dans une galère tenu par une guilde de marchand de pierre précieuses...etc...
Voilà j'espère avoir répondu aux interrogations, les nains survivants formèrent un "clan" et tous fut partager d'ou le sentiment d'etre mieux rémunérer.
J'ai connu le forum sur internet en me promenant tous simplement.
voilà
Son père était rameur dans une galère tenu par une guilde de marchand de pierre précieuses. Groph fut très tôt attiré par les éclats de joyaux non pas comme objet de convoitise mais plutôt comme une chose curieuse, un produit fini sur lequel il se posait énormément de question. Pendant 30 ans son univers consista a jouer les commis de bord, se promenant sur tout le bateau de la réserve de rhum a la cambuse, du foyer des marins a la cabine du capitaine à écouter les maitres des différentes phases d’extractions, de triages, de lissages et de polissages du minerai.. Les nains a bord avait la caractéristique d’être de très bon rameurs donc assez bien rémunérer, et pouvait même profiter d’auberge destinée a leur consommation (assez importante) de bière.
L’intérêt de se type de commerce est que tout le monde doit être motivé afin de fuir les flibustiers qui attaque souvent les bateau de commerce. De ce fait il y avait souvent des maitres de toutes les classes sur le navire, des chercheurs d’or, des commerçants, des marchands, des joalliers, des grossistes de minerai, des maitres d’armes aussi…
Groph avait la tête emplie d’histoire des nains que sont père et d’autres avec lui racontaient autour de bon feu et petit a petit la fierté de son peuple lui gonflait a poitrine.
Ce passé glorieux, a toujours insufler a notre petit nain une envie d’émancipation, rêve chéri de liberté mais au combien inaccessible. Son père voyait bien son fils commencer a grandir et le temps de la séparation devait a son grand malheur un jour arriver, bien trop tot sans doute..
Il lui proposa donc de travailler sur les rames en sa compagnie et celle de ces frères ! Et les années passèrent ainsi, son corps était devenu puissant, déjà ses muscles au niveau des bras inspirait de la défiance mais toujours son cœur poussait vers l’Ouest là ou tout avait du commencer pour les Nain.
Un jour une tempête souffla sur le lac, ce jour là Groph perdit son père et tous ses camarades Nains ! Un gros choc a la tête l’avait rendu complètement a ..l’Ouest..Au plus profond de ses désirs il a voulut rejoindre l’Ouest et tout ces congénères.
Ce jour là, le temps était vraiment mauvais, foi de marin, même mon père était inquiet, un vent venu du nord courrait le long des bastingages, claquant les voiles, la « roche précieuse » était en en mer depuis déjà 1 semaine et l’on pouvait déjà voir au loin un grain se dirigeant vers le voilier.
Groph Mider entendit le capitaine hurler ses ordres aux marins rassemblés sur le pont :
-Il faut réduire la voilure et se mettre à la cape pour diminuer la prise au vent, Allez, vérifier et renforcer la solidité de la mâture et l’efficacité des pompes de cale à mains pour évacuer l’eau de mer si celle-ci envahit le navire !
Le second a bord hurlait lui aussi alors que le temps virait du gris au noire, et que la température baissait de plus en plus a en devenir gelée.
- Disposer une ancre flottante à l’avant du vaisseau !
- Arrimer dans la cale la cargaison aussi solidement que possible pour que celle-ci ne ballotte pas dans les coups de roulis et débarrasser le pont des marchandises lourdes menaçant l’équilibre du navire
Les marins expérimentés couraient en tout sens respectant les ordres des deux officiers, moi-même j’étais a ma place, pas très loin de la barre, car dans ces cas là il faut un homme fort afin de tenir la place. En même temps la tempête arrivait sur nous des rafales de vents soulevant des embruns salées, une violence des vagues jusqu'alors méconnu des marins, l’écume des vagues moussait le pont du navire, le capitaine continuait à hurler ses ordres a des marins de plus en plus terrorisés.
- Ceinturer à l’avant et à l’arrière le navire de cordages afin qu’il ne se disloque pas sous les coups de boutoir des vagues.
Comme chacun sait, un homme terrorisé ne réagit jamais de façon cohérente, et la situation du navire en proie à la tempête devenait vraiment périlleuse, la panique gagnait le commandant, l’équipage réduits à l’impuissance jeta par dessus bord non seulement la cargaison et les agrès mais aussi la nourriture et l’eau potable.
Et le malheur arriva, le bâtiment pris une lâme de fond provenant de tribord et malgré tous les efforts de l’équipage, il versa vers bâbord laissant rentrer l’eau des ces cales, inondant le pont inférieur, fracassant la poupe du navire.
Je me souviens uniquement de l’écume sur le pont, les vagues déferlantes, le courant qui entrainait les hommes ou les nains vers le fond, mon père qui hurlait de m’accrocher a la barre, de ma tête tombant vers un pilier de la poupe, une douleur.Et puis le noir et d’un coup le calme…le silence..Et une voix ..Qui me parle...
A moi ?
Oui on dirait ? Je crois…
Alors que je sens mon corps transis de froid, ma main droite attacher a un pilier de la barre grâce a un coutela, qui enfoncer dans le bois maintenais la manche de ma chemise. Un simple coutela que m’avait empêché de sombrer dans les eaux noire du lac.
Lève-toi bon à rien ! Tu ne vois pas que tu vas tomber ? Espèce de marin d’eau douce de la mer, qu’est ce que je vais encore faire de toi ?!!?
Hein ? Mais qu’est ce..
Il est temps de se lever et d’analyser la situation garçon, car là t’es vraiment mal barré !
Euh….
Je bouge un pied, pas de problème, ca tire mais ca bouge, une main, aie ..La tête, ouch ca passe…apparemment rien de cassé, un peu de sang sur le visage mais rien de bien méchant.
- Par la montagne, qu’est ce qu’il s’est passé ?
Autour de moi rien, la mer du lac, la cote visible mais tellement loin, la poupe complètement déchirée un coutela pour arme, une chemise et un pantalon, voilà ce qu’il me reste..De plus la poupe vogue comme une coquille d’œuf dans l’eau prêt à sombrer a tout moment !
Les autres ? que sont ils devenus ? Et mon père !!!
Ben tu vois pas le tragique de la situation ? a ton avis ils sont partis fumer et boire une bière ?
Non mais je pens…
Non tu penses pas, JE PENSE pour NOUS !
Oki, oki ne crie pas, ca résonne dans ma tête j’ai l’impression qu’on est 3 ?!!?
Que fais t on ?
D’abord on s’assied car rester debout sur ce plaque me parait risquer, ensuite on essai de prendre tout ce que l’on peut, et enfin on nage jusqu'au rivage, avant que l’on s’éloigne trop de la cote..
Un cri ? « aaarrgg
C’est quoi ca ?
Aaarrrg aiides..m..moi !
Tiens, je l’avais pas vu lui !!
Qui ca ? Non lui ne lui parle pas , c’est un humain, ca sert a rien ces trucs là !
L’homme gisait derrière la barre, des hématomes recouvraient son visage et sa poitrine était recouverte de sang, de même sa jambe droite semblait écraser par le mat de la galère. Il haletait, cherchant a conserver son souffle et luttant pour inspirer, son agonie était criante…
Salut Humain ! Tu vas bien ?
La scène était tellement ubuesque que l’humain se permit un sourire qu’il regretta immédiatement, avec une faciès de douleur lié a la souffrance de ses blessures.
Non ..ca ..va..pas ! je crains de mourir loin des miens, déjà je sens un voile sur mes yeux, mourir …sans sépulture ..et loin des terres du gondors qui ..arrggg..(soupir) m’ont vu naitre.
L’effort avait épuisé l’homme et il sombra, inconscient.
Je te l’avais dit, ces humains !! En plus lui ca doit être un noble à tout les coups. Ceux là, c’est les pires ca parle sans cesse ! Tiens donne lui un coup de pied, tu vas voir, il ne nous sera même pas reconnaissant de l’avoir réveillé.
Hey Humain ! Par les montagnes, réveille toi ! le bougeant du bout du pied.
Tu vas mourir, c’est hélas vrai mais peut être je puis faire quelque choses pour toi avant ?
J..je…
Je vais t’emmerder ca c’est sure !!!
Tais toi je l’écoute !
Je veux te don…ne m..mon cout…coute…, et a ce moment là, son souffle faible est devenu rauque, ces yeux pales et fixe, un filet de sang coula de sa bouche et sa tête tomba sur le côté, inerte.
Par les montagnes, je ne saurais jamais ce que cet humain voulait me donner !!
?!!?
Le temps était venu d’aller vers la cote et vers le début de notre aventure.