Recherche à Torech Ungol

Il ava crut pouvoir tirer un trait sur certains évenements et vivre dans la quiété et la paix après des années troublées...Mais il avait tord...il en avait certes profité et plutôt bien quand on y repense, mais toutes les bonnes choses ont une fin...Un matin, il faisait encore un temps magnifique, c'était un jour qui aurait pu être semblables à tous, tranquille et beau, il s'était réveille en sursaut reveillant au passage sa femme. Il avait le sentiment d'avoir déjà vu ce scénario...Oui c'était il y a 5 ans lorsqu'il avait rêvé que son ami Elessarion était en danger et avait besoin de lui...Qui avait-il de différent ? Il ne s'agissait pas d'Elessarion et les années avaient coulées comme l'eau sous un pont...Elessarion était mort, ou du moins était-ce ce que lui avait rapporté les dernières nouvelles. Mais cette fois-ci il ne s'agissait nullement d'Elessarion mais d'un aure ami qui avait disparu...Morgoth, nommé aussi Silindë Celebrindal...
Pourquoi donc ce rêve si longtemps après les tragiques évenements ? Il l'ignorais, mais il ne pouvait se résoudre à rester les bras ballants. Aussi après rapidement expliqué la ituation a son épouse et embrassé celle-ci, ayant à peine eu le temps de s'habiller il avait enfourché son cheval et étais parti tout droit à Torech Ungol...Le voyage dura quelques jours. Il fut paisible et sans danger, qui s'attendrai en de pareils jours à voir des Orcs roder, d'autant plus que les 5 dernières années avaient du marquer ces derniers...

Lorsqu'il arriva sur place, il ne put s'empecher de se remémorer les différents qu'il y avait vécu...Cette terre était toujours aussi désolée. Mais ce n'était pas ce qui l'interessait là...Il lui fallait trouver des traces, d'anciennes traces, et pas n'importe lesquelles.

C'est pourquoi lorsqu'il fut arrivé l'homme laissa repartir son cheval et s'installa a même le sol...Il farfouilla dans la poussière pensivement avant de fermer les yeux. Le silence était total, l'homme immobile, concentré...Il fouilla au plus profond de ses souvenirs et de son esprit afin de trouver la dernière exquise goutte de pensée qui lui permettrait de savoir ou chercher précisement ces traces.Il lui fallut un certain temps, à vrai dire il ne s'était pas concentré ainsi depuis une certaine affaire avec un Dragon.
Mais il parvint à trouver.
Il se leva et se dirigea vers une paroie rocheuse, la il agita lentement sa main en l'air puis la passa tout aussi lentement sur la paroi les yeux fermés...Il ne tarderait pas à trouver la permière trace, début d'une piste froide depuis plus de 5 ans...Lorsqu'il ouvrit les yeux il sentait pleinement la trace de ce passage dans l'air, il saisit son paquetage et s'avança donc d'un pas décidé

Quand il entra dans la Passe de l'Araignée, l'Archimage aurait très bien pu se trouver à Forodwaith, si il avait fermé les yeux, qu'il n'aurait pas ressentit de différence.

Le tunnel était dans la pénombre malgré le soleil lumineux de l'extérieur, le sol était recouvert de neiges fondue et les parois rocheuses étaient glacées au touché, d'ailleurs des morceaux de glace fine s'éffritaient sous les doigts de temps à autres.

Le chemin obscur se fit de plus en plus frais, et la neige et la glace de plus en plus présents, ainsi que, curieusement, la lumière d'un pâle mais sombre turquoise.
Il mena Mithrandir salle spacieuse qu'il reconnus tout de suite, d'ailleurs malgré la neige, le centre de la salle comportait toujours la légère cuvette due au tourbillon d'énergie dégagée au bannissement du "Noir Ennemi", ainsi que le renfoncement dans le mur ayant servis de cellule au moriquendi, juste à côté un trône taillé grossièrement dans la roche et recouvert de glace taillée elle aussi.

Des bruits de pas se firent entendre d'en face, de la sortie qu'ils utilisèrent à l'époque quand l'entrée principale s'effondra.

Mithrandir cru à plusieurs personnes, ou Êtres, mais à sa surprise il reconnu une créature d'une race qu'il avait cru disparue avec son maître, un araignorque, mais celui ci ne s'attendit point plus à la rencontre.
Contrairement aux attentes l'horreur arachnéenne ne fut pas agressive, mais seulement sur la défensive lançant d'une voix insectoïdale et rauque :

-Que...Qu'est ce que vous faite ici dans l'antre de mon Maître?

Le sorcier sentit bien que la créature n'était même pas là pour garder, elle n'était même pas armée et ses membres était simples, pattes d'araignée, bras ressemblant plus à ceux d'humain que d'orque, un visage presque humain lui aussi, bien que les yeux soit noirs et en 3 pairs sur le visage, visage qui ne semblait laisser aucun sentiments transparaitre.

-Si vous voulez le rencontrer... vous devrez attendre ici...

La créature ne se fit pas prier, elle avait ressentit la puissance du Mage, et se déroba dans la faible lumière du tunnel d'où elle était venue.

Le mage attendit assit sur le trône, qui ne se fit pas froid, mais presque tiède et dont la glace ne fondait point.

Ce n'est pas la chétive créature qui revint mais une plus massive, armé...
Un doute s'installa dans l'esprit du mage, mais...

Non...il en était sur, la cicatrice aux abdominaux et aux pattes ainsi que la marque d'écrasement au torse, remplacé par des plaques d'armure sombre, c'était bien lui, le patriarche du groupes d'araignorque qu'il avait combattu à l'époque quand ils ne savaient pas encore parler, car cette fois ci, il lui parla avec une voix très proche de celui rencontré quelques minutes avant :

-Tient...Il est vrai que le maître ne vous attendait plus depuis bien longtemps...C'est étrange de ce revoir maintenant moi qui croyait que vous nous auriez tous tué.
Suivez moi, le Seigneur de ces Lieux vous attend dans sa tour!

Il avait bien parlé de "Tour", donc évidemment de LA Tour, Cirith Ungol.
Le Chemin se fit assez ennuyeux et long, les couloirs et tunnels s'enchaînaient à d'autre couloirs et tunnels, ainsi que de cavernes de temps à autres, puis enfin la portes d'airain montrant la fin de Torech Ungol.

La tour était comme avant si ce n'est qu'il neigeait et qu'elle était recouverte de glace et de neige, les deux Sentinelles de jadis avaient étaient retaillées en glace, mais elles ne semblaient point êtres actives comme dans l'histoire de la Guerre de l'Anneau, il entrèrent dans la cour de l'ancien Avant-Post de Sauron après Minas-Morgùl, une vingtaine de petites chaumières faite de pierres empilées pouvaient êtres remarqué, elles étaient toute ordonnées comme des maisons humaines, avec de petites ruelles et une grande allée menant vers la Porte de la Tour.

L'endroit semblait fantôme, et pourtant arrivé dans la tour il fit plus tiède, et des voix pouvait s'entendre venant de salles adjacente aux couloirs et aux escaliers de celle ci.

En haut dans la dernière salle les attendait une forme humanoïde encapuchonnée qui lança avant même toute présentation ou rapport, avec une voix venant des Abysses même, mais auquel l'Archimage mit un visage sans effort :

-Mon vieil ami... cela fait si longtemps.
Tu ne me connait pas vraiment mais tu connait le corps dans lequel je suis et l'esprit que je contrôle et avec lequel j'ai pratiquement fusionné.
Mais allons à l'essentiel : Qu'est ce qui te fait venir jusque chez moi après presque 7 années depuis notre dernière rencontre?

Cette même armure, cette même lame écarlate, les mêmes intonations, et une sincérité inattendue chez une créature paraissant pourtant si maléfique.
Tout, vraiment Tout lui rappelait son vieil ami elfe noir.

Des Araignorques serviables ? On aurait tout vu, des temps étranges pour sur ! Mais je ne m'attardais pas à ce détail, la tâche fut plus simple que je ne l'aurait crut, il me suffisait de suivre mon guide avec méfiance tout de même. J'avais été étonné quand il m'avait adressé la parole comme on parle à une vieille connaissance et plus encore quand il avait ajouté que son maître ne m'attendait plus depuis longtemps...Aussi avais-je été attendu...Mais qui allais-je rencontrer ?

A mesure que je marchaisn je sentais le froid se faire plus intense heursement ma bonne vieille cape des étoiles était bien chaude. Puis nous arrivâmes bien vite au pied de la Tour...Toujours aussi sinistre et froide...Ce terme lui allait d'ailleurs très bien lorsque l'on considérait la neige s'ammoncelant de-ci de-là. Tout semblait semblable et dissemblable à mes souvenirs...une impression à la fois de déjà vu et de nouveauté émmanait de ce lieu...Quelque étrange impression que je ressente je devais avancer. Nous passâmes devant les guetteurs, la même impression me remplissait tout était à la fois différent et semblable.

Au fur et à mesure de la progression l'endroit semblait plus vivant, on y voyait des habitations et le froid peu à peu s'estompait. Puis je fut enfin devant les portes de la tour, mon guide les ouvrit...et me laissa sur le pas de la porte...j'entrepris donc de rejoindre la plus haute salle, c'est là que devrait être son maître...

Et c'est bien là qu'il était et comme son environnement il était à la fois semblable et dissemblable...

"Mon vieil ami... cela fait si longtemps.
Tu ne me connait pas vraiment mais tu connait le corps dans lequel je suis et l'esprit que je contrôle et avec lequel j'ai pratiquement fusionné.
Mais allons à l'essentiel : Qu'est ce qui te fait venir jusque chez moi après presque 7 années depuis notre dernière rencontre?"

"En effet je ne te connais pas véritablement, je connait ton enveloppe charnelle et une partie de toi-même mais tu semble différent sans l'être véritablement...Qu'est-ce qui m'amène ici ? Un Songe. Récent je t'y voyais, et je me suis rappelé que tu avais semble-t-il disparu comme c'est arrivé à un ami à moi, je ne voulais pas que cela se reproduise, ainsi suis-je là devant toi...La personne que tu habites était haut placé dans une organisation dont tu doit je pense tout connaitre, sa place est vacante, même si cette organisation est en somnolence nous devrions êtres plus organisé, nous rejoindra-tu de nouveau ?"

Un rire sinistre et moqueur s'échappa de la capuche :

-Hahahahaha! Vous rejoindre pour reprendre la place de GhildMaître des Ombres? Mais mon pauvre Mithrandir c'était la place de Silindë, plus la mienne, je suis plus que ça à lors actuel.
Je protège ceux que j'ai récupéré et adopté comme des enfants parmi des orques, des araignorques, des humains et d'autres races rejetées par vous autres.
Ils leur suffisaient d'être mené par quelqu'un de compétent sans pour autant être fou à lié ou trop belliqueux pour vouloir prendre l'Endor.
Je n'est pas cette mesure dans mon esprit, mon petit royaume me suffit et je récupère des êtres chaque jour qui viennent ici et dans les cavernes d'Ungol.
Aucun ne se bat pour une guerre ou un roi, certes leur nature est ce qu'elle est et c'est inévitable, mais au moins ils ne détruisent pas votre monde.


Il relâcha la tension en levant le bras et en demandant un table et une chaise pour l'invité, ainsi que de la nourriture.

-Tu a faim d'autre repas que du lambas ou du cram j'imagine?
Moi aussi, même si cela peut paraître étrange je doit manger, mon corps ne vivrai pas bien longtemps autrement.

Un repas constitué de porc rôtis au four dont la peau dorée donnaient envie et de légumes cuits à points dont l'odeur était alléchante.

-Sert toi, fait comme chez toi, tu à beau ne plus être mon allié temps que tu est avec Les peuples Libres, tu reste mon ami!

La voix cette fois ci était celle de Morgoth, et quand les serviteurs humains s'en allèrent, l'être dévoila son visage, il était marqué par le gel, des crevasses assez profondes et des rougeur de brûlures le parsemait.
Ses yeux étaient rougie de sang qui coulait le long de ses joues comme des larmes.

-Tu sait...j'ai appris à faire avec, il me laisse prendre le contrôle des fois.
Mais ce n'est plus vraiment mon corps, je suis devenu un hôte pour lui, il est cruel, mais son âme n'est pas aussi mauvaise que celle de Sauron ou bien des maiar de Morgoth, je ne sais toujours point ce qu'il est vraiment, et il ne le dira point de lui même.

Il se servit et attendit que Mithrandir fasse de même avant de manger.
Le repas fut bon, les cuisines de la tours avaient été réaménagée par Chrystamas pour qu'elle soit hygiénique, d'ailleurs tout l'était ici, rien n'était plus sale et puant comme avant.

-J'aimerai revenir, mais au final Chrystamas à pratiquement fusionné nos esprit, ou tout au moins à crée une symbiose, qui fait que...je n'ai plus envie de revenir après tant de temps passé avec lui.

Les derniers mots étaient dit par les deux être à la fois donnant une voix étrange, mais ampli de tristesse pour leurs amis.

-Et je ne me pardonnerai jamais la mort de...Alira...

Il remis sa capuche avant d'appeler ses serviteur pour que la table soit débarrassée, puis Chrystamas repris:

-Tu est venu de la même façon que tu avait cherché Elessarion... Mais pourquoi maintenant?

Il attendit la réponse sortant posant des plans en Sindarin sur la table, des plans divers et variés d'engin de culture, quelques armes, de bâtiments, tous plus étranges les uns que les autres.

Son attitude sembla changer radicalement d’un ton que l’on aurait pu qualifier de chaleureux il passa au ton froid de la moquerie…

"Sachez mon ami que je n’ai rejeté personne pour ma part…le clivage qui oppose les orcs aux hommes remonte à des temps lointains, vous le savez aussi bien que moi, ce sont des formes de vie qui ont été altérés…J’avoue être impressionné, vous semblez les avoir pacifiez…Cette Araignorque aurait pu m’attaquer mais non elle semblait plus être là pour accueillir des visiteurs égarés, il se dégage quelque chose d’étrange, une forme de bienveillance plus ou moins saines…Je comprends donc que vos fonctions ici soit bien plus importantes…Mais clarifions les choses…La guilde, vous le savez ne se bat pas pour un Roi ou une Guerre mais pour la Terre du Milieu elle-même. Si un jour les intérêts du Gondor se trouve contraire à ceux de la Terre du Milieu je briserai mon allégeance…Mais ce jour n’est pas arrivé et j’ignore s’il arrivera…Puis-je compter sur vous, sur votre neutralité. L’ombre a été repoussé et elle semble persister ici sans pour autant le faire…C’est étrange, ce lieu me trouble, est-il vice ou est-il vertu ? Êtes-vous bon ou mauvais ? Ou bien êtes vous au delà de ces considérations ? Eclairez moi que j’y vois plus clair…je ne sais ce qui m’a réellement poussé ici…La curiosité, un irrésistible attrait…Qu’en sais-je ? Je n’ai pas ressenti une telle incertitude depuis plus de 5 ans mon ami, j’ai accompli ce que j’avais à accomplir, mais si je suis encore ici c’est que ma tâche n’est pas encore achevé, je dois admettre que je me trouve à présent dans le flou le plus complet, le noir le plus total…"

Je m'installais alors à la table.

"Je ne suis pas du côté des peuples libres tu devrais le savoir, je sert les intérêts des Terres du Milieu et si cet intérêt repose dans l'acceptation des formes de vie altéré par Melkor et bien je ne me ferai pas prié, je tiens à te remericer je pense que tu mesure l'importance qu'a ton action. Si tous pouvaient en faire autant nous vivrions dans la paix à jamais mais les racines du mal sont profondes mon ami, tu le sais mieux que quiconque"

Le repas était alléchant je ne me fis pas prier pour déguster ces mets délicieux.

"Personne ne vous demande de revenir à votre état d'origine, je suis ton ami Morgoth et j'espère devenir le votre Chystamas."

Lorsque Morgoth prononca le nom d'Alira je baissais le regard, je ressentais aussi une part de culpabilité, Milindë egalement...Après tout quoi qu'on en dise, elle était l'une des personnes les plus importantes et des plus agréables de la Guilde, une amie fidèle...Je me rappelais comment elle avait été prête à se sacrifier pour Milindë renonçant à sa mission qui avait été de lui dérober quelque chose lors de leur première rencontre...Face à se souvenir je ne put m'empecher de me lever pour faire les cents pas cachant tant bien que mal les larmes coulant le long de mes joues. Il y avait longtemps que je n'avais pleuré, ces larmes étaient à la fois libératrice et peu habituel. Durant ces 5 dernières années aucune n'avait coulé, et les habitants de la Cité Blanche s'amusait pour certains à me comparer à un coeur de pierre et je m'en amusais mais l'heure n'était pas au rire.

Je revins vers la table pour répondre à sa question regardant fixement mes pieds puis je levais les yeux et les plongeais dans les siens qui perçaient de son capuchon. Il vit surement que mes yeux semblaient plus embués que d'ordinaire...Je réussi à esquisser un sourire...

"Je te l'ai dit,j'ai fait un songe tardivement qui m'a poussé à venir ici, je ne me rappelle même plus de ce songe, mais je sais que je l'ai fait...Mieux vaut tard que jamais dit-on...Je n'ai aucune excuse, j'ai été très prix et ensuite je me suis dit qu'il devait y avoir une bonne raison à ton abscence, c'était stupide. Quoiqu'il en soit tachons de nous mettre d'accord sur l'avenir de la guilde même si tu ne veux pas reprendre ta place en son sein. Il te faut un successeur digne, nous pourrions créer une autre branche à la guilde, celle plus obscure que les ombres, la tienne, celle de tous ceux que tu as recueilli...On pourrait également faire de la Guilde une simple corporation de différentes Guildes...Hasharin a developpé ses propres ombres par exemple...La encore je suis dans le flou total."

Chrystamas ordonna à ses sbires humains ou non de quitter les lieux par un grondement sonore et agressif, ceux ci ne se firent pas reprier pour sortir presque en courant.
Alors Chrystamas renversa son capuchon, laissant apparaitre un visage encore changer, plus celui de Morgoth mais un visage presque familier au mage.
Il était mince, beau, plus beau que celui d'un elfe, presque d'essence divine, les yeux étaient totalement noir avec juste l'iris émeraude de Silindë et les pupilles carmin.
Mais il était froid, voir plus que froid, et ses dents étaient comme des aiguilles.

-Voila mon vrai visage Mithrandir! Crois tu que je puisse réellement rester neutre bien longtemps, crois tu que toute les créatures qui vienne ici resterons bien gentiment à travailler une reconstruction réelle de Cirith Ungol, ou à vivre ici même, je suis puissant certes, peut être plus que toi grâce à mon hôte, mais je ne suis pas un Vala, je ne suis même pas égal au Nécromancien quand il revint pour la première fois à Dol-Guldur.

Non je ne peut pas revenir dans la Guilde, non je ne peut pas faire une branche cachée de la Guilde, Morgoth ce sent bien avec moi dans son corps car je l'illusionne, mais il serait mal, car moi même j'aimerai plus résistant et plus évolué encore, celui d'un Istari me serait aller à merveille puisqu'ils étaient mes égaux et les Valar m'ont enfermé dans cette maudite lame après ma capture, je n'ai pas eu la chance de mes frères d'arme de me faire abattre comme un chien en même temps qu'eux pendant la Guerre de la Colère.
J'ai changer, ils m'ont fait changer, mais pas assez pour que je sois au service de ces Terres du Milieu, si le mal revenait et prenait l'Endor, alors je partirai derrière le Mordor, loin dans les montagnes de l'Est au bord de l'océan de l'Est.
Je ne suis pas bon, je ne suis plus mauvais, je ne suis même pas neutre, je suis pour moi même et pour mon hôte car sans lui je ne serai pas ce que je suis.
Je n'est pas pacifié les créature d'ici, elle ont peur de moi et m'obéisse, car je vois tout autours de moi, jusqu'au terre du Gondor, après je vois flou je ne peut même pas vous espionner, je ne suis pas Melkor ou Sauron pour utiliser cela à pleine volonté!

Il enleva un drap noir d'un piédestal à côté de lui que Mithrandir n'avait même pas remarqué tellement le drap était discret et fondu dans le décors de la salle sombre.
Dessus était posée une pierre ronde et noir grosse comme une tête, elle étaient sans aucune sculpture et semblait avoir était taillée grossièrement car elle n'était pas lisse comme les Palantiri, mais légèrement rugueuse, Mithrandir la reconnue aussi tôt, la Pierre de Vision de Melkor, elle ne fut pas détruite, en même temps cela l'aurait étonné.

-Je ne sais pas ce que je vais faire des personnes présentes dans la tour et dans Torech Ungol, elles seront trop nombreuses au bout d'un moment et redeviendront vraiment belliqueuses malgré ma présence.
On ne peut changer irrémédiablement ce qui ne peut l'être, et je ne suis pas Melkor pour remodifier leur esprit.

Il remis son capuchons et repris :

-Et qui voudrait m'accepter tel que je suis maintenant, alors que je donne l'impression de geler la majeur partie des endroit où je vais, Cirith Ungol est un mauvaise exemple, car je fait tout pour que l'illusion ne la touche pas, je crains le froid moi aussi, le mien me touche au bout d'un moment puisque Morgoth lui le vois et le ressent et je suis lié à lui, je ne peut pas faire marche arrière et ma marche vers l'avant sera coupée à un moment... Alors pour l'instant je reste là et je continue la route que je me suis faite, je contrôle la situation pour le moment et je la ferait durer jusqu'au bout.
Si tu veut parler de notre entretient à Mephisto, Aldarion et Theonor fait le, de toute façon ils ne pourront rien contre moi pour l'instant et je ne ferai rien contre vous, je ne suis tout simplement pas dans vos histoire, je n'ai plus le besoin ni l'envie de protéger l'Endor.

Les mots étaient concis, clair et sévère, Mithrandir eu un haut le coeur pour son ami d'antan...Qui, pour lui, n'était maintenant plus qu'un souvenir, qu'une âme prise dans un faux bonheur de vie, un faux espoir, une illusion crée par un être très vieux, mais pourtant affaiblie, et comme tout choses ancienne, vouée à disparaitre un jour.
De quel type d'Ainur il s'agissait à l'époque il ne le savait pas, mais à lors actuel il était plus faible que le plus faible des Maiar.

Chrystamas avait posé la sphère imparfaite sur le table, il regardait par accoue dans la pierre et sur ses parchemins, puis il rangea le tout et dit d'une voix un peu plus amicale :

-Tu peut rester ici autant que tu le veut, j'ai fait des chambres en trop pour des serviteur de grande confiance que je n'ai pas, je n'ai confiance qu'en peu de monde. Tu peut en faire partit, je dirai même tu en fait partit, je te connait depuis bien trop longtemps pour savoir que tu est digne.
Je serai ici si tu veut me parler, je ne dort pas, et je ne me déplace plus vraiment de la tour, je suis absorbé par mes travaux et mes études de Torech, de la tour et de tout ce qui a pu être ici. Fait comme tu veut, tu peut aussi bien repartir maintenant mais je te le déconseil, prend au moins une nuit de repos si tu ne veut pas rester ce qui serai compréhensible.

Il se coupa quelques instants fouillant dans un vieux bagage elfique et en sortit quelque chose, un morceau de tissu roulé. Il le déplia et l'Archimage reconnu la moitié de pendentif de Alira et Morgoth.
Il avait récupéré celui d'Alira et l'avait mis dans la salle cachée avec le cristal de Gewilean, et il lui manquait la partie de Morgoth.

-Prend le! De toute façon il n'est plus vivant, car mon "Coeur" ne l'est plus, celui de mon Amour non plus ne doit plus l'être... Réunis les et fait en ce que tu désire.

Il replia le tissu par dessus et le mis dans la main de Mithrandir, le contact de celle ci donna des frissons au mage, elle était ni froide ni chaude et d'ailleur il remarqua qu'il n'y avait plus de neige dehors, ni de froid, ni de glace, même pas un brun d'humidité.
Il tourna ses yeux vers l'ouverture de la capuche avec un regard d'incompréhension, puis quand il vit encore une fois dehors tout était revenu, froid, glace et il neigeait de fins flocon.

//Désolé du retard, j'avait commencé à rédigé, mais le ça a bugué et après j'avais pas accès à Internet

Réponse en cours de rédaction//