A la recherche de gloire

Amilith, qui depuis un temps que lui même ne connaissait pas, était dans les montagnes blanches, errant sans but chassant pour survivre, et dormant dans une petite cabane humide et glauque, ne savait même pas quel était la raison pour la quelle il avait décidé de venir derrière les roches du Gondor, sa seul occupation étant de regarder s'étendre à perte de vue les paysages montagneux de cette région.
Dans son errance Amilith était, non seulement devenu plus solitaire et agressif, mais avait égalment appris que pour survivre il allait lui falloir s'allier à des gens, même si il ne les appréciait pas. Après des temps à la recherche d'idée il se dirigea vers le nord, sous sa tenu de rôdeur il espérait que les gondoriens ne le reconnaitrai pas. Il voulait retrouver l'honneur de son pays, devenir un membre éminent de l'harad.
Il se dirigea donc vers Edoras même en prenant le risque de se faire voir par les gondoriens habitant dans les montagnes.
Plusieurs heures après il arriva en vue d'une patrouille gondorienne :
-Halte rôdeur, que faites vous là ? Demanda un des hommes.
-Je suis venu ici à la recherche de la route menant au rohan, à Edoras! Rétorqua vivement Amilith.
-Je vous serez gré de me parler sur un autre ton petit insolent, j'accepte vos paroles soyez en heureux. Passez. Répondit le garde.

Amilith passa sans dire un mot et se dirigea vers sa première destination, Edoras. "Il ne m'ont pas reconnu" pensa Amilith.

Après plusieurs heures de marche il arriva en vue d'un croisement, avec une toute menant vers Minas thirit, la capitale du Gondor, une toute menant au rohan pays des seigneurs des chevaux et un dernier chemin menant à un feu d'alerte reliant le pays des Eothéod au Gondor.
Il pris le chemin aboutissant au rohan. Quelque temps après un homme l'interpela :
-Amilith, ne par pas à la recherche du rohan, l'Harad à besoin de meneur, malgré les efforts des autres ce pays n'est que désert retourne-y!
-Qui...Qui êtes vous comment connaissez vous mon nom, répondez ! Répondit Amilith.

L'homme disparut en passant pour invisible. Mais il avait bel et bien décidait Amilith : Il allait faire son retour en Harad, pour aider le pays ou il est née.

Les jours passèrent lentement aux rythmes des couchées et levés du soleil. c'était devenu lassant pour Amilith. Il ne croisait plus personne comme si l'intervention quelque peu mystérieuse d'un homme avait fait fuir tout les vagabond et voyageur...Certes, certes, mais pas les bandits.
Alors que le jours allait laisser sa noble place à la nuit, des cris se firent entendre autour du vagabond. Et il fut vite encerclé par une dizaine de bandits de grand chemin tous armé de long couteau, massue de fortune, hachoir. Seul trois avait des arcs, et encore peut-on encore appelé ça des arcs...Leur seul atout reposait sur leur nombre, il était dix et Amilith était seul. le combat ne pouvait aller que vers les mécréant. Le chef avertit en découvrant une bouches ou il manquait pas mal de dent:

-Hola voyageur!...Mi c'est l'vieux Barna....pi mes compagnons et moi, avons besoins de quelques piécettes....Vous savez les bandits rôdent....il s'rait dommage qu'il vous arrive des malheurs....nan?

Les bandits resserrèrent le cercle autour du voyageur, de sorte qu'il ne pouvait plus fuir. Amilith allait devoir lui donner quelques pièces s'il ne voulait pas finir hacher menu...Triste sort pour un si bon haradrim....

Amilith dévisageait tous les bandits un par main sur l'épée, près à dégainer:
-Si c'est de l'or que vous cherchez bandit de grand chemin je n'en n'ai pas, sauf de l'argent trouver dans une mine à l'ouest d'ici. Je peux vous y conduire si votre choix est tel, moi pour ma par je ne suis pas qu'un simple rôdeur. J'ai l'expérience des différent monde, je serais plus un pillard qu'un loyal serviteur. Amilith portait son regard à l'ouest vers la mine d'argent qu'il avait trouvé :"Peut-être pourrais-je tirer quelque chose de ces bandit de grand chemin".
Afin d'apaiser la conscience de ces brigand Amilith leva les mains et prononça ces mots :
Paix, je suis de votre côté. Si j'avais à choisir je mettrais les bandits de votre genre à la tête des terres du monde. Amilith releva la tête en guise de confiance et laissa retomber ses bras balant loin de son épée et des ses flèches.
Il tourna la tête vers celui qu'il lui avait parlé le fixa droit dans les yeux, ne semblant pas fléchir devant la menace. Puis il dit :
-Mon identité vous intéresse surement, demanda-t-il, je m'apelle, il eut un moment d'hésitation, Thénéor, rôdeur du Nord à la recherche de richesse, dit il en mentant mais en ayant l'air sérieux. Puis il se tut en attendant la réponse du brigand.

Barna ria à gorge déployer en entendant les discours d'Amilith. Ce voyageur devait être un clown. Ce n'était pas possible autrement! jamais encore une cible essayait de les arnaquer avec de tel propos saugrenu. Il s'avança d'un pas de plus et lâcha d'un ton malsein et à moitié rieur en même temps:

-T'est un comique toi!...J'ai peut-être pas été assez clair avec toi petiot....C'est ta bourse ou la mort....Si tu n'as pas de bourse....alors ça sera la vie....Et je me fous pas mal que tu veuille qu'on gouverne ce putain de monde....nous s'qu'on veut c'est ton or....Alors ta bourse elle est ou?

Il fit un léger signe de la tête à l'un des arches qui encocha une flèche. Il fut bientôt imiter par les autres archers. Ils ne riaient plus du tout. L'haradrim allait devoir leur donner ses économies ou passer à l'arme gauche. C'était un choix guère dur pour la plupart des gens, mais Amilith semblait assez spécial comme homme qu'allait-il choisir?
En tout cas, Barna lança un sourie carnassier et ajouta avec une étincelle de plaisir dans les yeux:

-Alors? Sa vient?

-Franchement... Je savait les bandits avide d'argent, je ne peux le nier de l'être également, mais au point de vouloir 3 pièce de bronze au lieu d'une mine d'argent je me demande si ce n'est pas plus tôt le cuire qui constitue la bourse qui les intéresses. Sinon j'ai également sa, dit-il en lâchant une bourse toute maigre et une petite pépite d'argent, voici un échantillon de la mines à l'ouest, je peux vous dire que c'est du bon minerai, je suis passais de nombreuses fois à Umbar, au port et l'argent qui vient des autres contrés et qui est vendu là-bas est de bonne qualité, il ressemble beaucoup à celui-ci! Mais au risque de vous décevoir si vous ne voulez pas autre chose que ma bourse il y a peu,dit Amilith, pas d'or, que de bronze.
Amilith releva son menton plaça une de ses mains sur le pommeau de son épée. Il imaginait les brigands à l'écart du monde, puisse que souvent à Umbar l'argent est faux.
-Alors quel est votre choix ? Le minerai ou le bronze ? Dit il en attendant patiemment la réponse du brigand.

Amilit agaçait gravement Barna. Il n'avait que faire d'une mine. Il n'était pas mineur, mais bien bandit. Ce voyageur devenait lassant à répéter toujours le même slogans. Il jeta un coup d'oeil à ses compagnons, puis lâcha sèchement:

-J'en ai marre!

les trois archers lâchèrent leurs projectiles meurtrier. Ils sifflèrent! Amilith se jeta sur les côtés pendant que les mécréants se prépaient aux combats. Deux des flèches loupèrent l'haradrim, mais pas le premier projectile. Il toucha le voyageur en pleine dans l'épaule gauche. Il chancela sans le choc.
L'un des bandits l'attaqua de face. Il s'écroula la jugulaire tranchée
le combat dura quelques minutes ou trois des bandits passèrent de l'arme à gauche. Puis soudain Barna cria affolé:

-On se casse! Vlà une patrouille.

Effectivement un groupe de garde frontière approchait à grand pas. Ils n'avaient pas encore aperçut les combattants....
En moins de deux secondes tout les voleurs avaient disparut, se fondant dans la nature.
Amilith avait encore le choix de laisser les quatre cadavres derrière lui et d'échapper ainsi aux soldats du Gondor....Il pouvait aussi commencer une traque après ses agresseurs...

Hrp je te laisse décrire la façon dont tu tues les quatres bandits et je te laisse également le choix entre rencontrer les gardes frontières et les éviter....Il est aussi évident que les bandits en fuite te conduiront jusqu'à Umbar... hrp

Edit: arriverais-tu à mettre des paroles d'une autre couleur, cela facilite la lecture. Et fait attention au dix lignes...

Amilith avait prit sa décision. La bonne comme aurait dit le guerrier, et la mauvaise comme aurait dit le sage. Mais qu'était l'haradrim? C'était une bonne question car son choix était à la fois sage et téméraire....

Quoiqu'il en soit la poursuite commença!
Les gardes frontières trouvèrent les cadavres, mais n'essayèrent même pas de poursuivre leur tueur. Pour eux cela n'avait guère d'importance, de plus ils n'avaient aucune piste à suivre. Ils décidèrent de camper sur le lieu du massacre et de voir si quelqu'un venait voir les corps...



Amilith dut avancer avec un bon rythme pour tenir la cadence. Les bandits étaient très habile dans l'art de la fuite et connaissaient fort bien les environs. Faisant d'eux des proies de choix....
Il se passa plusieurs jours sans qu'il ne se passa rien. Aucun fuyard en vue. Avec le temps la piste se faisait plus dur à repérer. Il pleut durant une nuit entière. Puis en franchissant une colline, il se retrouva devant un petit village de montagne qui ne devait guère dépasser les cinquante tête.
C'était l'occasion d'acheter des vivres, et de trouver quelques informations....

Amilith avançait jusque dans les rue du petit village, ou s'arrêta avant de rentrer dans un magasin donc l'enseigne était "la famille au soin" dedans il y avait de nombreuses personnes qui étaient en train d'acheter des objets de toutes sortes que se soit des herbes pour se soigner, des potions, des antidotes, des tisanes, ou même des bandes pour faire des bandages.
Amilith dut attendre un petit quart d'heure avant d'accéder à la caisses, il y avait un monde fou.
Arrivé devant le vendeur Amilith déclara vouloir un bandage et des herbes pour apaiser la douleur, il les pris donna quelque pièces de bronzes et ressortit du magasin en direction d'un autre du moins d'une auberge pensant qu'il pourrait à la fois obtenir des vivres et trouver des informations.
-Bonjour, pourrais-je avoir une gourde d'eau ainsi que de la nourriture, une sacoche de pain.
-Je vais vous chercher sa, répondit le marchand. Il sortit quelque minutes et revint avec la commande de l'haradrim. Sa fera 10 Pb.
Amilith posa le paiement et alla questionner une personne :
-Avez vous vu des gens passer, avec des armes ou bien des brigands si vous préférez ? Il étaient 7.

Le village n'était guère accueillant. On pouvait voir des traces de vieux combats contre les murs et sur quelques vielles personnes. Les jeunes, eux, regardaient avec plus de bienveillance Amilith. Ils étaient sans aucun doute plus ouvert que leurs parents.
Lorsquil entra dans la seul auberge du village, ou plutôt une cabane ou des tables avaient été placées accompagnée par des chaises, avec au fond un bar improvisé. Il était probable que la taverne avait été autrefois ne simple maison...
L'aubergiste devait avoir les trentaines. Il portait une dague au flanc et était assis sur un tonneau. Il salua le nouveau venu et prit la commande. Il se retira sans se pressé dans la réserve ou il revint avec les choses demandées. Il ne souriait pas. la seul chose qu'il dit fut le prix.
Lorsqu'il fut payé, son visage s'éclaira quelques instants avant de regarder de droite à gauche. Puis il fixa Amilith et dit d'un ton énervé:

-Des brigands vous dites?....Non je ne pense pas, notre village ne les a pas vu passer....Maintenant si vous voulez bien finissez votre verre et je vais fermer....ma femme m'attend

L'aubergiste semblait un peu tendue...Un bruit se fit entendre dehors, et un cris....

Amilith trouvait le comportement de l'aubergiste étrange, et l'haradrim n'avait guère l'impression d'être apprécié dans le village, il n'aimait pas ça les gens le fixait tout le temps.
Puis un cris retentit dans la rue, un cris énergique à en glacer le sang réaliser avec une voix qui semblait froide et grave. Amilith tourna la tête vers la porte ou du moins les ruines de la porte attendit quelques secondes pendant lesquelles il plaça sa main droite, près à dégainer l'épée au moindre signe de danger, avant de s'élancer à toutes vitesse vers la sortie. Dans le chemin qui servait de rue à se petit village, par terre était étendu, inanimé sans vie un corps l'on avait l'impression que cette personne n'avait même pas eut le temps de réaliser que s'était sa fin.

Amilith se tourna vers la taverne et dit d'une voix grave :
-Cela ressemble à l'œuvre de brigands non ? Vous n'avez pas l'impression ? On dirait qu'il font sa pour tuer, je les traques de façon à pouvoir les éliminer.

Pourtant le tavernier lança un sourire morbide à Amilith...Puis baissa les yeux, comme s'il réfléchissait, puis il lâcha avec un semblant de peur dans la voix, tout en parlant il recula vers son comptoir, ou était rangé, cachée derrière le comptoir, une hache.

-Je ne sais rien de particulier!!!...Mais des fois...des hommes passent ici, ils s'arrêtent jamais....on sait rien d'eux....Hier ils sont passés et ils riaient...pourtant certain semblaient blessés...

Il fit un bond et s'assit son arme, il dit alors avec détermination:

-Partez d'ici, nous ne pouvons rien pour vous....allez donc voir vers Umbar, le bruit court que c'est là leur destination...

L'aubergiste regardait l'étranger, arme en main, et semblait prêt à le faire sortir de force. Dehors des gens observaient par le coin de la porte la scène. Il était sûr que si Amitlith tenait une action, tout le village prendrait les armes...
Dans les montagnes un village était comme une grande famille qui s'en prend à un villageois s'en prend au village en entier.

Amilith fit un pas en arrière et dit :
- Je ne cherche pas la guerre, mais des renseignements, je ne m'attarderais pas.
Amilith sortit de l'auberge et se dirigea vers la sortit du village mais avant de quitté le petit patelin il aperçut une écurie et habilement il se faufila entre le chevaux et les regarda tous il en trouva un à son gout, un beau cheval qui lui faisait pensé à celui de son père, qu'il avait trouvait en Arnor pendant une mission. Vérifiant que personne ne l'observait il se mit en selle et coupa les liens qui retenait le cheval il s'enfuit à toutes allure vers les Sud en direction d'Umbar.
Après des heures de chevauché où il avait remarqué l'endurance et la vitesse de son cheval il l'appela Vent-du-Nord. Ainsi il continua vers Umbar la traque des brigands même si l'argent l'intéressait la vengeance était sa principale occupation de retournait dans la ville.

Amilith n'était pas le seul à avoir un cheval endurant. Les quelques traqueurs du village si fraîchement partit se rendirent vite compte qu'il manquait un cheval à leur écurie. Qui plus est celui d'un des hommes les plus puissant du village. Sans attendre, ils prirent en poursuite l'étranger, n'ayant que comme seul projet de le tuer.
Nul de pouvait voler Ark, le Champion du village, sans encourir la peine de mort. Ce dernier mentait la petite troupe de traqueur tel un véritable chef du Nord. Il n'eut aucune peine à suivre le voleur car il n'avait même pas tenter de dissimulé ses traces, trop sûr de lui.
Grave faute.
Ark faisait chevaucher sa compagnie aussi vite qu'il le pouvait. Ils n'avaient que quelques heures de retards, ils pouvaient encore le rattraper.
Durant une semaine, la course poursuite se fit sans que quiconque ne puisse se voir. De sorte que jamais Amilith ne se rendit compte qu'il était poursuivit.
ce fut vers midi qu'Ark vit la silhouette de sa cible, poussant un cri de joie, il talonna sa monture, suivit de près par ses fidèles compagnons. Chacun avait sortit leur arc, et étaient prêt à faire feu. Leur chef dit:

-Ne le tuer pas, je le veux vivant, tuer la bête....Elle est aussi fautive que l'homme en l'ayant accepter comme cavalier.

Le groupe de sept traqueurs furent bientôt à plus de trois lieues, lorsque l'étranger sembla les apercevoir...
Alors la chasse commença véritablement. Celui qui gérera le mieux les capacités de son cheval rattrapera l'autre. Il était certain que le sang coulera d'ici quelques heures....

Ark sourit....

Amilith avait c'était aperçut qu'il étaient pris en chasse, n'aimant pas être la proie il réagit avec force, il sortit son arc en tira une flèche. Cette dernière fusait tel un aigle ayant aperçut une proie, la flèche alla se plantait devant les poursuivant de l'haradrim. N'étant pas visé pour tuer car telle n'était pas son intention, elle suit suivit par d'autres touchant également le sol de sorte à effrayer ses poursuivant ne semblant pas décidait à s'arrêter.

Après plusieurs heures de course Amilith en avait marre d'être gibier et non chasseur, il attendait que dans les vaste plaines du gondor fasse face un rocher pour pouvoir ajuster complètement un tir pour tuer, car même si il était Haradrim et donc adapter à tirer en mouvement, dans une course à cette allure il lui fallait être sur des son coup, après les flèches épuisait pour les dissuadé de poursuivre il ne pouvait se permettre d'en perdre plus.

Après une heure de cavale ses assaillant se rapprochait, désespérant de trouver un rocher il avait accélérer le pas. Il arriva sur une plaine ou de nombreux rocher étaient éparpillé, il monta sur un bien haut et d'un geste vif dégaina une flèche ajusté vers le corps d'une cavalier!

La poursuite semblait prendre fin, et le combat devenait de plus en plus inévitable. Amilith perdait du terrain, mais était un excelent archer ce qui risquait de faire crouler bien des traqueurs. Mais ce n'était pas ça qui allait arrêter Ark. Le champion sourit lorsque la première flèche fut tirée. D'un geste rapide et ample, il ordonna à ses homes d'accélérer le pas et de chevaucher en zigzag pour rendre plus ardue la tâche de l'étranger.
Bientôt le premier tir fatal traversa la plaine et happa un des cavaliers au niveau de torse. Ce dernier bascula en arrière sous l'impacte et mourrut en touchant le sol.
Là toute forme de sagesse déguerpit d'Ark il hurla de rage:

-Deux têtes de sangliers à celui qui me tue ce chien!!!! je veux que sa tête soit plantée au bout d'un pieux avant ce soir, et que son sang souille cette terre!!!!

Les cavaliers furieux se rapprochaient à grande vitesse et aucun ne semblait prêt à traiter. Ils arrogèrent, en visant grossièrement, Amilith de leurs flèches.
ce dernier tira encore deux traits, qui firent mouche, mais contrairement au dernier, les cavaliers tinrent bon.
Le combat était imminent, et inégal. Rester était folie, mais partir aussi. Cela étant dit la fuite pouvait être la solution la plus logique....

Durant la poursuite s'apercevant de l'inévitable combat l'haradrim fit un virage sec et rapide pour les faire ralentir et décocha un tir en direction de ses adversaires. Accélérant l'allure mais n'étant pas assez bon cavalier il ne tenait pas la route fasse à ses adversaire. Il décocha de nombreuses flèche pour la mort des traqueurs. Malgré sa qualité d'archer le combat ne pouvait tourner en sa faveurs, cherchant désespérément une solution il commença à se rendre à l'évidence le combat allait se faire!

Malgré le handicape de deux des chasseurs le combat était en la faveurs de ses adversaire. Il rangea son arc et ses quelque flèche puis dégaina son épée et pensa :
" C'est ici dans les vastes plaines du gondor que sera la fin d'Amilith l'haradrim! Mais je ne me laisserai pas abattre! Si je meure j'emporterai plusieurs des ennemis qui me suivent! Je suis un haradrim après tout!"

Regardant désespérément ses ennemis se rapprochaient et sentait arrivé inévitablement son heure, le dénouement approchait. C'est dans les plaines verte du gondor qu'un combat allait éclaté!

Amilith s'était donc résigné à mourir dignement, tel un vaillant guerrier. C'était une noble fin pour un homme comme lui. Se faire tuer dans une vaste plaine, verdoyante, comme dans les anciens temps, seul, une mort cachée à tous. Les rapaces s'acharneront sur la dépouille de l'haradrim. Hô combien de fois ce scénario était déjà arrivé. Hô combien de combattant était mort, et leur nom perdu dans l'oubli?
Nul ne compte ces choses là....

Pourtant le monde voulut que ce ne se passe pas ainsi. On dit que certaine personne attire les secours inattendus et salvateurs. Amilith devait en faire partir. Des cavaliers apparurent au loin, ils n'étaient que des silhouettes dans cette fin d'après-midi. Les sabots de leurs chevaux ne s'entendaient pas encore, mais d'ici une vingtaine de minutes, ils seront clairement audible.
Il fallait simplement que l'étranger survive durant moins d'une heure pour que les cavaliers ne rejoignent le combat....Mais à qui allait leur allégeance? Là était la question.
Ark et ses hommes arrivèrent sur Amilith. Le combat commençait, toujours aussi inégale. L'un des cavaliers fut tué par la dernière flèche que tira l'Haradrim. Alors il dut tirer son épée et faire face à la conséquence de son acte aussi peu glorieux qu'un vol.

Les chevaux galopant dans le vent au loin se rapproché petit à petit Amilith dégaina "Anerdvial" sa lame obtenu dans les montagnes blanches, pour gagner du temps il allait devoir rusé, il ralentit l'allure jusqu'à un rocher étroit où il monta pouvant ainsi limité le nombre d'attaque à la fois. Il se tourna vers ses ravisseurs et dit :
" Le destin de chaque hommes est de mourir et quitte à le faire ce jour je préfère mourir au combat qu'une flèche dans le dos en tentant de m'enfuir"

Ici dans les grandes plaines verdoyantes, où le vent soufflait avec puissance, ce jour ci la verdure allait devenir rouge Amilith le savait mais rougit par le sang de qui ?

Il voyait se rapprochait ses adversaires leva son épée il dévisagea tout les cavaliers son cheval était immobiles, le vent soulevé sa chevelure faisant apparaitre sur son visage la haine qu'il avait envers les habitants du gondor. Ses yeux était noir comme les ténèbres de son âme.

Ses ennemis arrivait vite, son espoir était envers les cavaliers qui approchait derrière.

combats n’étaient pas, par définition, des choses calmes. Les coups fusaient de toute part. Des cris, que ce soit de couleur ou de guerre emplissaient les oreilles des guerriers. Les lames sifflaient. Ce fut ces bruits-là qui remplirent la plaine si paisible d’ordinaire.
Ark n’était pas du genre à se laisser aller, et n’avait peur de rien, étant venu à bout de chose bien plus dangereuse qu’un simple haradrim. Il engagea le combat avec deux de ses hommes, les autres se tinrent de côté prêt à intervenir.
Le champion frappa une fois, puis une deuxième. L’étranger para plusieurs de ses attaques avant de se faire toucher par un coup en traître porté par un des acolyte de Ark. La blessure déversa directement un flot de sang. Il dut pousser un cri de douleur, pourtant dans un mouvement instinctif, il réussit à toucher, fatalement, son avdersaire qui s’écroula.
Mais directement un autre homme prit sa place. Ark sourit et lâcha avec un air supérieure et assuré :

-Tu vois, tu vas mourir comme un chien….Sale voleur.

Et il attaqua une nouvelle fois avec férocité, oubliant toute précision. Ses camarades eux assaillaient Amilith de toute part. Ce dernier avait un bon niveau dans l’art de l’escrime, mais dans cette situation même un excellent combattant aurait de la peine à survivre….S’en sortir indem n’est même pas envisageable. Un tel combat était perdu d’avance, mais nulle fuite n’était possible. Il s’agissait donc de se battre jusqu’à ce que mort s’en suive de manière héroïque….

Les cavaliers approchaient à présent et seraient de la partie d’ici dix minutes…Allait-il tenir ? Allait-il être de taille à rabrouer trois adversaires durant dix minutes ?.…

Amilith ne devait pas perdre, sa vie en dépendait il plaçait ses derniers espoir envers les cavalier galopant au loin, il passa donc sur la défensive parant les coups mais ne contre-attaquant pas. Le combat était déloyale mais il tenait plus en parant plutôt qu'en frappant.

Après une dizaine de minutes de combat le bruite d'un sifflement vint à l'oreille des guerriers une flèche fendit l'air tellement qu'un des assaillant fut toucher avant même de voir la flèche. Il tomba au sol du un bruit de craquement d'os.

Les cavaliers de l'horizon étaient là, arme à la main.
Le combat fut sanglant du fer s'entrechoquèrent, des flèches sifflèrent, des boucliers se firent fracasser, les traqueurs ne semblaient pas de taille, certains tombait une épée dans le ventre d'autre le corps à côté de le tête.

Le combat durant environ dix minutes, la supériorité des alliés de l'Haradrim était grande si bien que tout les chasseur moururent. Tous sauf Ark qui réussit habilement à s'enfuir.

Amilith regarda ses sauveurs et dit :
- Merci de votre aide mais qui êtes vous ? Et que me vaut l'honneur de se sauvetage ?

Un rapide sourire parcourut le visage du chef des cavaliers encore inconnus qui ne revêtait aucun tabars, nul signe d’une quelconque alliance ou appartenance. Le mystère régnait sur toute leur personnalité. Il sauta de son destrier et dit d’une voix haute et forte pour que tous entendent :

-Tu ne sais donc pas qui je suis….

Il rie en ajoutant :

-Mais personne ne me connaît vraiment ici…C’est normal.

Il enleva son casque dévoilant une chevelure noire matte et un tint basané. Une cicatrice traversait son front, donnant un air de voyou. Qui donc Amilith avait-il rencontrer ?

-Tu t’en fiches de qui nous sommes….Ce qui importe à présent c’est que tu viennes à Umbar avec nous….Tu n’as pas vraiment le choix en réalité….Nous te sauvons pour mieux te tuer plus tard….Les gens sont friands des….combats….à mort….Surtout ceux qui sont illicite….Tu monteras avec Sahar.

Un cavalier s’approcha, menant avec perfection sa monture. Un regard amusé se posa sur l’étranger. Sahar sourit, ou une chose qui y ressemblait et tendit sa main pour l’aider à monter….
Le Chef était déjà remonté à cheval et était quasiment déjà en route. Personne ne semblait se soucier qu’Amilith était encore armé, mais d’un autre côté que pouvait-il faire ? Rien, ils étaient une dizaine, lui seul et épuisé. Il devait les suivre, et ainsi repousser sa mort de quelque temps.
Ces cavaliers étaient en quelque sorte des chasseurs d’homme, et ramenaient leurs prises à Umbar pour les faire combattre. Ils gagnaient 100pièces par homme vivant, et en gagnaient encore s’il se battait bien…