Au fil de l'eau

Le maître archer était venu en premier, durant l'heure froide précédant l'aube. Seul, il avait attendu environ une demi-heure, vérifiant son équipement puis contemplant la beauté du ciel sombre à travers les feuillages. Puis les fabricants d'arcs étaient venus et étaient repartis plusieurs fois, laissant à chaque fois un peu plus de marchandise près de Selegrant. Une fois ce défilé terminé, ce dernier vérifia que tout avait été apporté. Cinq gros ballots de flèches contenant chacun des centaines de projectiles pointus, et quelques cinquante arc de bonne facture, tout y était.

À l'aube, comme prévu, les futurs voyageurs firent leur apparition. Il y a avait là Etheïl et Neitheldir, deux jeunes frères blonds au cœur hardi; Neddor, le plus vieux du groupe, lui-même artisan mais qui était assez fine lame quand le besoin se faisait sentir; Lenelas, maître dans l'art de la navigation; et bien sûr Belegen.

A leur arrivée, Selegrant leur donna une brève explication:

"J'ai réfléchi toute la nuit au moyen le plus rapide et le plus sûr pour arriver à Gar Thulion, et j'en suis arrivé à la conclusion suivante: la voie fluviale est la meilleure option. Nous allons donc suivre le Cours d'Argent à pied pour arriver à la confluence avec le fleuve Anduin. Là, quatre barques rapides nous attendent, et nous n'aurons plus qu'à nous laisser glisser sur les eaux jusqu'à Sarn Gebir et aux Chutes de Rauros. Gar Thulion sera alors à notre gauche, dans les vallées de l'Emyn Muil."

Il sortit une carte et leur indiqua du doigt leur parcours.

"Prêts ? Alors allons-y ! Prenez chacun un ballot et quelques arcs, je porterai ce qui restera."

[HRP: Il y a une carte de la Terre du Milieu ICI, si tu veux.]

Après le départ assez précipiter de Selegrant, qui semblait tout étonné que j'étais le descendant du générale Elen'vanima. Je m'éloignais de l'épicentre du vacarme qui me brisais les tympans, plus je m'éloignais plus je retrouvais le calme de la forêt et mon calme intérieur. Je m'éloignais dans la forêt. Au bout de quelque minutes je trouvais une petite clairière. Je m'étendais sous un arbre et a cette endroit précis je fût emporter par les bras du sommeille.

Autour de mon lit de fortune les oiseaux chantaient, au bout de quelque heures je me réveillais le sommeille ayant fait ses bien faits. Et je commençais une chanson ,qui parlais de princes, de guerrier d'anciens temps, ils contaient l'arrivé des elfes en terre du milieu, les guerres contre Morghot, les êtres et les âmes des soldats tombés aux combats.

L'obscurité de la nuit baisser a vus d'œil, j'enfilais mon armure mit mes armes.
Je me dirigeais alors vers le point de rendez-vous, je m'approchais petit à petit du point que j'avais quitté hier.
J'arrivais au point de rendez-vous, Selegrant était déjà la entrain de superviser les oppérations.

Je m'approchais de Selegrant en le saluant:

_Mae Govanne Maitre Archer Selegrant je suis prêt a partir, mes armes sont affutés et mon arc calibré.

Après avoir vus l'arrivé de nos fières camarades elfes j'écoutais attentivement les commandements de Selegrant je pris un fagot de flèche et des arcs et nous embarquions a bord du bateau qui dirigerai vers la cité de nos allié,:

_ Je tenais a vous dire Maitre Selegrant je suis loin d'être un expert en navigation pour vous avouez je n'aime pas les bateaux, c'est d'ailleurs l'une des raisons qui ma poussé a ne pas entreprendre le voyage vers les terres immortelles.

Je tournais le visage pour fixer l'eau qui défilait sous mes pieds.

*L'eau pourtant j'aime cette élément mais les eaux profondes et troubles mon toujours perturbé, elle sont si profonde si mystérieuse... *

Ils étaient six individus, chargés de cinq gros ballots et de cinquante arcs. Pourtant, seules quatre embarcations restaient à leur disposition. Les autres, comme le leur expliqua le marinier, étaient déjà utilisées pour d'autres manœuvres, voyages, ou missions sur l'eau, aussi le groupe devrait-il se contenter de cela.

Hommes et marchandises furent répartis comme suit: Lenelas le grand navigateur prendrait la tête de cette petite flotte et guiderait leur avancée. Étant plus habile que tout autre, il chargerait deux sacs et une bonne quantité d'arcs dans sa barque. Les frères Etheïl et Neitheldir embarqueraient ensemble, portant un ballot entre eux deux. Selegrant pagaierait sur le même bateau que Belegen afin d'aider ce dernier - qui leur serait plus utile une fois à terre. A l'arrière de leur barque, on trouverait également un sac de flèche. Enfin, Neddor l'artisan serait seul dans la dernière barque, s'acquittant d'un ballot et du reste des arcs.

"Ne vous inquiétez pas, Belegen Elen'vanima! déclara Selegrant. Je suis assez habile sur l'eau, et je peux vous assurer que notre barque ne se retournera point. Vous n'aurez qu'à donner un coup de rame à la même cadence que moi, et tout ira bien. Dans les parties où le courant sera plus impétueux et irrégulier, vous n'aurez qu'à me laisser faire."

Ils embarquèrent donc et quittèrent peu à peu les pontons, filant doucement et silencieusement au fil du Grand Fleuve, sans doute le plus majestueux cours d'eau de la Terre du Milieu. Les rives étaient encore recouvertes d'épaisses forêts d'arbres, le temps était clair et la fraîcheur matinale fouettait leur visage. Le soleil se levait à peine, produisant des reflets rougeoyants sur les vaguelettes. Bref, un spectable splendide et une atmosphère agréable pour naviguer.

"Ah oui, gardez votre propre arc et votre carquois à portée de main, on ne sait jamais. Le voyage durera plusieurs jours, et certains pourraient avoir vent de nous."

Je plaçais mon arc et mes flèche juste a mes côté, comme l'avais conseillé Selegrant.
Je tentais de ramer plus ou moins au même rythme, mais ma main étais instable et assez maladroite pour manier la rame, le moindre des mouvement trop brusque de la braque me faisais sursauter, les barques glissaient sur l'eau, tranquilles et silencieuse.
Plus que de m'acharnais a tenter de ramer, je décidais de de scruter les forêts environnantes, cherchant le moindre des mouvement trop suspect a mon goût...
Rien pour l'instant … rien le calme plat seule les mouvement de la barque me préoccupé.
Mes yeux perçant, le regard fixé sur la forêt, les seules mouvements visibles étaient qu'elle que daim et plusieurs lapins, donc rien d'intéressant en faite …
Un chant des temps passé me venais en tête c'était une chanson composé par un certain Tom Bondabil qui parlait de l'un de ses voyage qu'il avait fait en barque

*Et dire que je vais devoir faire quatre jour de voyage... Quatre jours dans ces braques a sursauter a la moindre secousse... Quatre jours ! … *

_ Rassuré moi maitre Selegrant mais nous allons bien faire des haltes la nuit pour nous reposés et non faire un roulement pour pourvoir naviguer jour et nuit ? ...

"Nous sommes pressés, mais pas au point de dormir à bord des barques et à tour de rôle. Non, c'est sur la terre ferme que nous trouverons notre repos, mais je tiens à avancer jusqu'à assez tard le soir, et à partir à l'aube. Ainsi, nous pourrons espérer atteindre l'Emyn Muil en un peu moins de quatre jours."

La première journée de voyage se déroula sans anicroche. Le bagage rendait les embarcations moins maniables, mais ne les faisaient pas sombrer, cela grâce à leur habile architecture et au savoir-faire des artisans-Elfes qui les avaient construites. Ils ne virent âme qui vive ce jour-là, que ce soit sur la rive occidentale ou sur celle de l'Est.

"Peut-être ne trouverons-nous personne pour nous faire obstacle, je l'espère tout du moins. Mais nous ne pouvons en être sûr. . . les terres sauvages sont, eh bien, sauvages, et nul ne sait ce qu'il y trouvera. Quelque tribus orque belliqueuse, des brigands avides de butins, ou peut-être pire, des ennemis ligués délibérément contre nous. Ce soir, au campement, nous instaurerons un tour de garde."

Il en fut ainsi. Lorsque la Lune fut assez haute dans le ciel, ils accostèrent sur un petite plage caillouteuse, tirèrent leurs barques sous le couvert des arbres, mangèrent du lembas avec parcimonie, puis tombèrent dans le sommeil: tous sauf Neddor, posté en sentinelle. Après une heure de service, il réveilla Belegen comme prévu...

Il était plus de minuit lorsqu'un bruit se fit entendre un peu plus loin, comme un craquement dans les branches. Peut-être n'était-ce qu'un gibier nocturne, mais peut-être pas... Que faire? Aller voir, et ainsi se séparer du groupe contre les ordres? Réveiller les autres en sursaut, et subir leurs remontrances s'il ne s'agissait finalement que d'une bête sauvage ? Ou faire comme si de rien n'était, au risque de laisser s'échapper un éventuel espion?

Ayant entendu un craquement de branche dans la forêt, inquiet j'essayais d'en entendre plus, mais rien... un craquement puis plus rien ...
Je dégainais mon épée, je regardais les alentours rien un silence imperturbable, ne voulant pas réveiller mes compagnons
*ce ne serait pas très judicieux de réveiller ses compagnons pour rien.*J'allais juste réveiller Selegrant:
_ Maitre Selegrant, dit sais-je en chuchotant J'ai entendus un bruit dans la forêt surveillé le campement pendant ue je vais voir de quoi il s'agit.Je m'éloignais dans la forêt en quête de la source du bruit, je courais entre les arbre le pas léger jusqu'à trouver l'endroit d'où provenait le bruit étrange, je regardais le sol pas de trace rien, je m'étais asser éloigné du camp,je jetais un dernier coup d'œil au alentour étrange, les animaux laisse des traces normalement.

*Je vais me plonger un peu plus loin dans la forêt pour être sur *
et je partais ainsi vers l'inconnue mais en essayant d'être toujours a distance d'écoute du camp ...

L'estime de Selegrant envers Belegen grandit depuis cet instant: le fils du général Elen'vanima n'était ni sot ni irréfléchi. Là où certains auraient tenté quelque chose de leur côté, lui prévenait, prenait des précautions, agissait avec sagesse et compromis. Le maître archer se maintint éveillé, prêt à donner l'alerte si Belegen ne revenait point.

Un peu plus loin, le silence s'était presque rétabli, à présent. Plus aucune branche ne craquait. Quelques pas étouffés se firent entendre à bonne distance, où peut-être était-ce simplement quelque bruit nocturne.En tout cas, lorsque Belegen retrouva le chemin du camp, Selegrant l'invita à prendre son repos et, il prit lui-même le tour de garde. Plus rien ne vint troubler cette nuit.

Ils repartirent à l'aube, plus prudents que jamais. Durant la journée, Selegrant accorda quelques instants de répit, durant lesquels ils ne pagayaient pas et se laissaient tranquillement glisser sur le fleuve. Pendant l'une de ces haltes, le maître archer s'entretint à voix basse avec son compagnon de barque:

"Vous savez, pour la nuit dernière, je n'ai point de certitude. Il me semble qu'un individu d'engeance orque aurait fait plus de bruit. Une bête sauvage, se sentant poursuivie, aurait déguerpi à toute allure, et aurait également fait davantage de tintamarre. Et si vous avez entendu des pas feutrés, il ne s'agissait pas d'une simple branche qui aurait craquée sous l'effet du vent. Enfin, s'il s'agissait d'un éclaireur ou d'un espion, il nous a sans doute localisé. . . pourquoi dans ce cas n'aurait-il pas prévenu le groupe pour lequel il travaille, si c'est notre butin d'armes qu'ils veulent? Nous voilà devant une belle énigme."

Rien ne se produisit durant le deuxième jour de navigation, non plus que le troisième - bien qu'ils crussent voir une silhouette noire, loin à l'Ouest, se détachant sur les montagnes. Mais ils n'en surent pas mieux. Les arbres devenaient de plus en plus rares; le temps se réchauffait.

"Demain, nous pourrons poser les bateaux et commencer le voyage terrestre, si je ne me trompe pas." avait déclaré Selegrant avec entrain.

Ils accostèrent une dernière fois sur la rive Ouest, bien avant qu'il fasse nuit, cette fois: leur avancée ayant été rapide, il fut décidé d'arrêter avant que le soleil ne soit couché. Les six compagnons pourraient alors déguster un repas autour d'un bon feu, puis se coucher l'esprit léger. Les deux frères amassèrent des brindilles, Neddor sortit sa mèche et son silex, et bientôt des flammes jaillirent.

Tous sortirent alors leurs victuailles, et les langues se délièrent.

Pendant que mes compagnons discutés de chose et d'autre, moi je mangeais en silence, je réfléchissais:

* La nuit des pas feutré ce font entendre dans la forêt, quel que jour plus tard on ombre passe sur l'une des berges qui longe le fleuve, étrange si il nous voulait du mal il nous aurait déjà attaqué, en nous égorgeant dans notre sommeille ou s'ils étaient plusieurs il nous aurait aussi déjà attaqués...mais la rien *
Alors à ce moment une idée me viens en tête, je fit un signe de la main pour faire stopper les elfes qui m'accompagnaient:

_J'ai repensé a ce que pourrais être l'être qui nous sut depuis plusieurs jours, je ne sais pas de quoi il s'agit mais je ne pense pas qu'elle nous veillent du mal, mais je pense plutôt qu'elle nous surveillent …
Je ne sais pas ce que vous en pensé mais moi je ne vois guère d'autre supposition qu'en pensé vous ?


Je regardais les alentours a la rechercher de l'ombre qui nous suivais, pour l'instant je ne voyais rien .
Dans le ciel le soleil déclinais petit a petit.

La pluie fine qui s'était mise à tomber n'avait pas terni leur enthousiasme: pas assez conséquentes pour éteindre le feu ni pour mouiller profondément les vêtements, les gouttes jouaient de la musique en atteignant la surface à présent étoilée du fleuve, et ce pour leur plus grand plaisir.

Les discussions s'arrêtèrent un instant lorsque Belegen fit part de son intention de parler. Il conjecturait sur le ou les individus qui les suivaient, et ce fut Lenelas qui répondit le premier au fils du général Elen'vanima:

"Aucune réponse claire ne me vient en tête. . . mon crâne est plutôt rempli de questions. Si on ne nous veut pas du mal, pourquoi nous surveillent-on de loin ? Pourquoi la personne que vous avez entendu l'autre nuit a-t-elle fui en vous entendant arriver ? Et surtout, qui est-ce précisément ? Une silhouette humaine encapuchonnée de noir, ce n'est pas ce qui manque, et quand on se cache ainsi le visage, c'est qu'on ne souhaite pas se f. . ."

La fin de la phrase ne vint jamais. La lame d'une dague avait brillé un court instant dans les airs, à la lumière de la lune, avant de venir se ficher dans le dos du locuteur. Ainsi finit Lenelas, le grand marinier.

Ce fut la stupéfaction dans le groupe: on entendit de grands cris s'élever autour d'eux, comme en un cercle, sauf du côté de l'eau, et on devina une dizaine d'hommes qui convergeaient vers les Elfes, épées au clair. Le campement était attaqué. Pas le temps de s'échapper, pas le temps de reprendre les barques, il fallait prendre une arme et défendre sa vie!

Après avoir vus succomber Lenelas, a cette instant plus aucune questions ne me passèrent par la tête une seul chose m'obnubilais: survivre...
Je prenais l'arc posé a mon côtés et je décocha une flèche sur la première silhouette qui passas dans ma ligne de mire, le tire fût rapide et précis, la flèche alla ce planté en plein cou, il s'éfondras sur les genou et après quels que bruit de gorge mêles de jet de sang qui partaient en toutes directions...
j'encochais une autre flèche mais dans la précipitation je ratais ma cible, la flèche lui frôlas le côtés de la joue gauche le coupant légèrement, et elle alla ce perdre dans le lointain...
Les ennemis étais trop près pour tiré encore une ou deux flèche qui toucheraient au but, je me levais car j'étais alors agenouillé en sortant mon épée je criais :

_Chargez avec moi et le choque n'en sera que moins dure !!

Puis je m'élançais face a l'ennemie en ayant jetés mon arc sur ma couche, heureusement pour moi je ne quittais quasiment jamais mon armure, elle brillait d'éclat de cuivre et d'or, mon épée a deux mains s'abattit sur le crane du première homme qui passa a ma portés...

Le maître archer, occupé à alimenter le feu lors de la soudaine attaque, n'eut pas le temps d'encocher une flèche, et se contenta donc de dégainer son épée pour venger son compagnon tomber et défendre sa propre vie. Dans la demi-obscurité, il ne vit pas grand chose des ennemis, sinon qu'ils étaient féroces, vêtus de sombre et de blanc, et qu'ils portaient des casques de guerre. Il ne put cependant en voir davantage, car le combat s'engagea.

La mêlée fut grande, les coups furent âpres. Selegrand trancha la tête de son vis-à-vis d'un mouvement fluide mais, surprise, dès que ce dernier tomba à terre, il ne resta pas neuf ennemis, mais six. Où étaient donc passé les trois autres, il l'ignorait et n'avait pas le temps de chercher davantage.

Déjà un autre adversaire le chargea, et cette fois-ci l'Elfe n'eut pas le temps de l'occire, ni même ne parer sa manœuvre: il fut renversé sur le sol, dos au sable pierreux, son ennemi par-dessus lui.

"A moi !" cria-t-il en désespoir de cause.

Il ne pouvait en effet compter que sur une aide d'autrui: sa lame elfique avait chu à terre lors du choc, et il ne pouvait atteindre le couteau caché le long de sa cuisse, bloqué sous le corps de l'assaillant. L'épée de ce dernier s'éleva dans les airs tandis que sa main retenait le coup de Selegrant plaqué contre terre. La vie du maître archer de Lòrien ne tenait plus qu'à un fil...

Après avoir Occis et percés la ligne d'ennemie, j'entendais les appelles a l'aides de Selegnrat en tournant la tête en sa direction je vis l'homme le charger, a ce moment je m'élançais en sens inverse ,vers le maitre archer Selegrant, quand j'arrivais a auteur de Selegrant je planta ma lames elfique au milieux du dos de mon adversaire ,je tournais la lame dans son dos pour être sur de son trépas, en retirant la lame le cadavre tomba sur maitre Selegrant, et je n'est pas eux le temps de le retirais car un assaillant arrivait dans mon dos.
Ayant entendus ses pas lourd dans mon dos je me retournais en parrant l'attaque qui visait e ma tête, malheureusement pour moi, je pris un coup de point au beau milieu de mon sternum....
sous le choque j'étais tombés a genou ma lame a mes pieds je recherchais mon souffle l'homme leva ca lame pour mettre fin a mes jour.
Dans un mouvement fluide et rapide je pris une des flèche de mon carquois et je la plantais entre ses côtes...
un liquide vermeille en sortit il recolas lâchant sa lame...
En me relevant dans un bon, ayant trouvés un second souffle, je le frappa au visage avec un bon coup de point...
L'homme tomba sur le dos,a ce moment l'adrénaline était a son plus au niveau, je pris sa lame sur le sol et je lui trancha la tête avant qu'il puisse ce relevé, puis je dégagea le corps qui bloquait Selegrant, tellement excité par le combat, je ne sentais plus aucune douleur a mon sternum même si la respiration était difficile puis je partis en quête d'autre ennemie …

Selegrant se releva péniblement. Levant la tête, il s'aperçut que trois ennemis restaient encore debout, le sang des quatre autres souillant de vermeille le sable gris clair de la petite plage. Il chercha son épée, saisit le manche, et rejoignit la combat. Neddor venait de terrasser un nouvel adversaire, et les deux frères plantèrent leur fer de lance dans un autre après l'avoir pris en tenaille. Il ne restait plus qu'un assaillant vivant, entouré par les cinq Elfes...

"Attendez ! ordonna le maître archer. Il nous le faut vivant !"

Mais le forcené se débattant avec acharnement, il faillit fendre le crâne de l'artisan Neddor dans ces mouvements de hache désespérés, et celui-ci dut en finir pour ne pas mourir lui-même. A présent, plus d'espoir d'interrogatoire, plus d'espoir de découvrir quoi que ce soit sur ces gens en uniforme noir et blanc. A quelle organisation appartenaient-ils? On ne le sauraient jamais.

"Ils étaient une dizaine lors du déclenchement de l'attaque; je vois sept de leurs cadavres joncher le sol. Où sont donc passé les trois autres ?"

Il n'eut pas à attendre longtemps la réponse: en allant voir près des barques, ils s'aperçurent à regret que deux ballots de flèches et une vingtaine d'arcs manquaient.

"L'attaque avait donc pour but de grossir leur stock d'armes. J'ignore ce qui se trame, mais ils semblaient avoir eut connaissance de notre voyage. En y repensant, faire un feu a été imprudent, et, sans votre aide, Belegen Elen-vanima, je ne serais plus de ce monde. Je vous dois une fière chandelle, et j'espère m'acquitter de cette dette avant la fin. Hélas, notre marinier, Lenelas, n'a pas eu cette chance. Que Manwë prenne pitié de son âme."

Ils laissèrent sur place les dépouilles des vaincus, mais se posèrent longtemps la question de ce qu'ils allaient faire du corps de leur compagnon assassiné.

Après avoir vus et inspecter le sol autour des ballot et des arcs volé, j'approchais de Selegrant:

_Je pense que il serait possible de les rattraper en prenant une allure rapide et silencieuse et ainsi récupérer, mais il faut alors perdre le moins de temps possible avec la dépouille De notre compagnons Lenelas le marinier... Aura-t-on encore besoin des barque sinon on pourrais le laisser aller sur le fleuve...

*De toute facon étant mort que l'on lui face un long hommage ou qu'on le face longuer la rivière …
la seul différence c'est l'avance que l'ennemi va prendre sur nous *

Je regardais les traces pour pister les ennemi étant partis dans la présipitation il n'était pa sdure de voir la direction des ennemi …

_Je vais les traquer seul ou si Selegrant veut me faire le plaisir de m'accompagnais pendant ce temps je propose que un autre brave avec nous et les autres occupé vous de Lenelas puis continué votre chemin, je pense que c'est la meilleur chose a faire …

Je partais en direction et en suivant les trace des ennemi qui s'enfuiyait en mportant avec eux les précieuse flèches et arcs...

a partir de ce moment les chasseur devenaient les chassés et les proies les chasseurs ...

Dans sa course précipitée, Belegen faillit se cogner contre l'individu qui s'avançait face à lui, en direction du groupe. Il ne portait pas d'armes, et ne semblait pas avoir d'intentions malfaisantes envers eux.

"Attention, dit-il en évitant la course d'Elen'vanima. Holà! Où allez-vous ainsi ? Rejoignez plutôt vos camarades, j'ai à vous parler."

Ces mots étaient sortis de la façon la plus naturelle du monde, comme si pour lui, administrer des conseils et des ordres à des inconnus était monnaie courante. Il ne tint pas compte de la réaction de Belegen et se hâta vers la compagnie, comme mû par la précipitation.

"Cela fait deux jours que je vous suis, et que je veille sur vous, bien que mon but est tout autre. La première nuit, je me suis un peu trop approché de votre camp, et j'ai failli être repéré. La vieillesse sans doute. Mais il me fallait continuer seul, afin de prélever mes renseignement. Des rumeurs circulent, que ce soit en Moria ou un peu plus à l'Est, que d'étranges activités existent dans cette région depuis quelques temps. Je suis donc descendu pour vérifier par moi-même, comme à mon habitude. Hésitant entre le Nord et le Sud, je choisis le Sud, en lisière de votre forêt, et la choix s'est révélé fructueux: j'aperçus un groupe de dix-huit guerriers, dix hommes et huit nains, parés comme ceux-ci, de noir et de blanc. D'après ce que j'entendis, ils préparait un mauvais coup. Je les ai suivi à distance sûre jusqu'à ce soir même, et, lorsqu'ils entamèrent leur marche vers votre campement, je me suis montré à eux. Les nains me suivirent, car ils m'avaient reconnu, moi, Gamil-aznân, toujours à fureter dans leurs royaumes. Aussi, si vous avez survécu, c'est peut-être en partie grâce à mon aide."

Il arrêta un instant son récit, comme s'il se remémorait les faits.

"J'ai réussi à semer les huit nains, et me suis dépêché pour vous retrouver. J'ai croisé en chemin trois humains chargés d'une partie de votre armes; elles sont perdues. Vous ne pouvez les rattraper, à moins de vouloir les reprendre à huit nains et trois hommes particulièrement remontés. Il vous reste encore du stock, vous pouvez continuer votre route. Avec une barque en moins je présume, car je ne vois pas d'autre moyen pour le malheureux qui est tombé. J'ignore pourquoi cette organisation voulait si ardemment ces fournitures, bien que pas mal d'idées me viennent en tête. Quoiqu'il en soit, je n'avais jamais connu de trahisons chez les Khazad, cela n'annonce rien de bon pour eux, croyez-moi."

Et il disparut aussi vite qu'il était venu.

Après avoir écoutés le discoure du rôdeur: * Je n'aime pas que l'on m'observe, cette homme qui a l'aire inoffensif ne m'inspire pourtant pas confiance … *

_ Bon loins d'avoir confiance en l'homme qui viens de nous parler, je pense qu'il n'a pas l'aire sot et que son plan n'est pas fou. Le tout est de savoir si nous continuons à pied ou en barque...
Personnellement la terre me parais la plus rapide et la direct et permettrais de voir l'ennemi plus loin et pour les camps il faudrait un minimum de deux voir de trois garde nuit et même jour pour éviter que d'autre de nos compagnons tombe au combat … Je pense que nous devrions partir et mettre le plus de distance entre nous et cette endroit …

Je me levais en regardant l'horizon, la main sur le fourreau, après qu'elle que instant, je me mit a aidés les autres elfes pour rendre les derniers hommages de notre compagnon, on le mit dans la barque et nous le laissons avec ses armes et ses objets personnel dérivés sur le fleuve vers l'horizon.

Et tandis que le mort prenait, comme le fit jadis Boromir des Neuf Marcheurs, le chemin de la grande Mer, les cinq compagnons restants reprirent les barques, transportant les armes et les précieuses munitions qui n'avaient pas été volées. Ils continuèrent ainsi pendant quelques milles, se rapprochant de plus en plus de la rive Est. Enfin, ils l'atteignirent et accostèrent, juste avant les rapides de Sarn Gebir.

"Il nous faut à présent nous en remettre à nos jambes: marcher plein Est pour atteindre le labyrinthe d'Emyn Muil dans sa partie la plus septentrionale, puis tâcher de trouver la ville que nous recherchons. L'on dit que nul ne peut découvrir Gar Thulion qui n'y a jamais été auparavant. Fort heureusement pour la mission, j'y suis né et y ai passé une partie de mon enfance, aussi me reste-t-il quelques souvenirs tenus. S'y j'avais laissé ma vie lors de l'attaque de notre camp, la tâche dont on nous a chargé aurait été vouée à l'échec. Mais, même ainsi, la quête peut s'avérer ardue."

Ils cachèrent les bateaux du mieux possible dans des fourrés de ronces et autres épineux. Personne au moins n'irait les chercher là, et ils ne seraient pas visibles de loin. Leurs poursuivants, s'il y en avait encore, seraient semés. Mais il était peu probable qu'ils soient de nouveau inquiétés: ce vieux Gamil-aznân prétendait que le champ d'action de cette étrange organisation se bornait aux territoires frontaliers de la Moria...

"Vous n'aviez pas confiance en ce vieil homme, Belegen ? Il ne me paraissait pourtant pas dangereux. Ses manières sont certes mystérieuses, et il n'a guère parlé de ses buts et de ce qui l'a poussé à s'intéresser à nous, hormis la relation entre notre groupe et nos assaillants. Méfiez-vous, et ne pensez pas du mal de quelqu'un avant d'en savoir plus long, car certains agissent dans l'ombre pour le bien et ne recherchent ni les louanges ni la gloire. Peut-être était-il de ceux-là."

Ils se mirent ensuite en route, portant à présent leur chargement de leur seule force physique. Mais, après un court instant, Selegrant tourna la tête vers Belegen et lui demanda:

"Mais, je ne vous ai pas questionné à ce sujet : vous êtes-vous déjà rendu à Gar Thulion ?"

Je marchais avec mon fardeau avançant a grand pas a la question de mon compagnon je me retournait pour répondre a sa question:

_Non je n'est jamais eux l'occasion dans ma longue vie de passer par cette ville pourtant j'ai énormément voyagé pourtant j'aurais adoré voir cette ville mystérieuse qui je n'en doute pas dois être magnifique...

Comme vous devez vous en doutez je n'aime rester longtemps a la même place, l'aventure est pour moi l'essence de mon âme si je reste longtemps au un même endroit de lointain souvenir parviennent à me rattraper...

Heureusement sue vous êtes avec nous car sinon nous n'étions pas près de pouvoir emmener notre cargaison.
Je continuais mon chemins a grands pas regardant l'horizon. Mes pas était grand, rapide, et agile je regardais des traces sur le sol …
Ce n'était rien de spéciale rien de moins que qu'elle que petit gibier tel que des lapin...
Nous continuons vers l'horizon qui paraît si loin mais aussi si proche.

Je repensais au vieille homme et au parole de mon camarade

* On ne saura j'aimais vraiment ce que voulais vraiment cette homme, Seul l'avenir et notre destin nous le dira … *

"Il me semblait bien. Peu de gens ont jamais foulé les rues de Gar Thulion, elle est trop bien cachée aux yeux de ceux qui ne connaissent pas son emplacement exact. Peut-être aurais-je dû en demander plus à notre mystérieux bienfaiteur; peut-être y était-il déjà allé, lui, plus récemment que moi. . . Mais j'en doute fort: il n'avait pas l'air d'être du genre elfique, rien qu'à voir la barbe sur son menton. Or, fort peu d'étrangers sont admis dans cette cité, et, même si cela était le cas, il paraissait trop empressé pour s'occuper de notre convoi d'armement. Sans doute travaillait-il à une autre tâche bien plus importante. . ."

Les contreforts de l'Emyn Muil était tout proches à présent. Il n'y avait plus qu'à marcher en ligne droite pour arriver dans leurs bras: les difficultés commenceraient après.

"Vous dites que l'aventure est l'essence de votre âme. . . Je l'ai bien vu durant ces derniers jours. Mais on apprend à tout âge, et, quoi qu'il arrive désormais, vous ressortirez grandi de cette mission: vous aurez ajouté à votre solide expérience du voyage terrestre celle du déplacement par voie fluviale, et avec un peu de chance, vous compterez bientôt parmi les privilégiés qui ont eu la chance de voir Gar Thulion la Secrète une fois dans leur vie."

Après une demi-journée de marche, ils arrivèrent au seuil des labyrinthes d'Emyn Muil, et y pénétrèrent. Pour tout voyageur empêtré à l'intérieur, cette contrée semblait être une suite sans fin de chemins caillouteux sans issue, de collines rocheuses grises et ternes, et de paysages ressemblants et sinistres.

"D'après mon souvenir, notre but se trouve vers le Nord-Est, là où la nature est moins terne qu'ici. Elle se situe au point de rencontre de trois vallées profondément encaissées."

Je marchais plus ou moins silencieux au pas rapide suivant au pieds de la lettre les instructions de mon compagnon et soudain je rompis le silence en entonnant un chant de marche.


"La Route se poursuit sans fin
Descendant de la porte où elle commença.
Maintenant, loin en avant, la route s' étire
Et je la dois suivre, si je le puis,
La parcourant d' un pied avide,
jusqu' à ce qu' elle rejoigne quelque voie plus grande
Où se joignent maints chemins et maintes courses.
Et vers quel lieu, alors? Je ne saurais le dire."

Je répétit plusieurs foix ce chant avec une voix relativement mélodieuse qui faussait rarement.
Le soleil ce couchait au loins, pour commencais a l'assez place a l'obscurité.

Je me retournais vers Selegrant:

_ Cette nuit camperons nous ? Car si cela ne consairenait que moi je continuerais la hate de voire cette cité caché me donne des ailes...
Je continuais à avancer attendant une réponse de Selegrant.
Après mes chants le silence retomba lourd il était pesant.

* Le silence est une mort en soit mais étonamant il est parfois si appaisant après les bruit sourd des combat ou des querelle ... *

Ils se trouvaient à présent devant la dernière étape de leur quête. Le souvenir de Lenelas, leur compagnon tué d'une lame de poignard, hantait toujours leurs pensées lorsqu'ils se trouvaient dans l'oisiveté, c'est-à-dire au moment des haltes. Mais comme elles étaient rares, leur tristesse fut bien souvent noyée dans leur affairement: ils marchaient durant de longues périodes, cherchant à remonter vers le Nord tant bien que mal, et essayant d'apercevoir l'entrée de la vallée dont ne cessait de parler Selegrant.

Le chant de Belegen avait eu l'effet bénéfique de détendre l'atmosphère, mais, maintenant qu'il avait cessé, les marcheurs n'entendaient plus que le sifflement sinistre du vent et les cris étranges d'oiseaux inconnus. Nul n'aurait pu se douter qu'à quelques lieues de cet endroit grisâtre se trouvait une florissante ville elfique.

"J'ai moi aussi hâte de rencontrer les belles gens de notre race résidant dans la Cité Cachée, et hâte de quitter ces rochers nus et froids, cette brume oppressante, et ce silence qui fait froid dans le dos! Mais nous ne pourrons nous risquer à évoluer après le coucher du soleil, car alors nous risquerions de manquer le bon chemin et de nous perdre complètement. Nous avons assez de difficultés à nous orienter pour chercher la misère. Hélas, oui, si nous n'atteignons pas notre but, il nous faudra monter un camp pour la nuit. Et sans feu de surcroît: je ne veux pas que d'autres bandes de mercenaires nous tombent dessus et volent ce qui nous restent d'armes."

Mais il n'était qu'un peu plus de midi, et de nombreuses heures les séparaient encore du crépuscule. Leur moral remonta un peu durant l'après-midi, le brouillard se désagrégeant et laissant place à quelques trouées de soleil pâle. De plus, quelques arbres rabougris et végétations basses apparurent comme ils cheminaient. Ils arrivèrent bientôt devant un étrange paysage, une curiosité de la nature: parmi les pierres, un pic rocheux s'élevait à une dizaine de mètres de hauteurs, comme un montagnes miniatures aux parois raides et vertigineuses, mais rugueuses et pourvues d'aspérités.

"Si l'un de nous arrivait à monter à la cime de ce pic, il pourrait peut-être voir, de là-haut, le point de rencontre des trois vallées que nous cherchons. Mais l'escalade semble ardue. . ."

*L'escalade semblait effectivement assez ardue * Je regardais mes compagnons, :

_j'y vais cela ne semble point être une escalade facile mais vous verez que je suis beaucoup plus efficase sur la terre ferme que sur le long des fleuve éternelle.

Je posais mes bagages sur le sol ne gardant que mon épée, mon arc quel que flèche, je commençais à escalader ce mur de pierre ...
Ce n'était point chose facile... Et mon armure n'alléger en rien la difficulté de la tache.
Je montais petit a petit ce mur de roche dur et froide qui par moment m'entaillais les mains.
Je me le pieds sur une roche mal fixés qui ce déroba sous mon pieds , si ma main gauche n'avais pas trouvé une aspérité dans la roche j'aurais fait une chute de plus de 20mètres qui m'aurais surement brisé les os.
Arrivé en haut de ce pic j'observais le lointains.
Au bout d'un certains temps je remarquais peu loin de moi le croisement des 3 vallée.
La descente fut étonnamment plus rapide et aisé que la monté.

Arrivé en bas je me dressait assez fièrement devant mes compagnons, je repris mon fardeau et m'approcha de mes compagnons :

_Nous somme très proche de la rencontre des 3 vallée nous devons être a vus d'œil a peu près 2 a 3 heures de marche sans plus.

"Bien. . . Très bien. . . commenta Selegrant. Alors en marche pour la dernière ligne droite!"

Sans la vue dégagée offerte à Belegen par ce pic rocheux, le groupe aurait très bien pu passer à côté des trois vallées et les dépasser sans savoir que, non loin d'eux, les attendait la cité qu'ils recherchaient. Ainsi, ils se mirent en route en espérant arriver à Gar Thulion avant la fin du jour. Si le maître archer parlait métaphoriquement de "ligne droite", il n'en fut pas de même dans la réalité: ils durent contourner bien des obstacles naturels avant même de trouver l'entrée d'une large vallée qui donnait vers le Nord-Est.

L'atmosphère n'était plus du tout la même. Les rochers n'étaient plus nus, ni froids, mais parsemées de plantes de plus en plus odorantes et agréables à regarder; alors qu'un jour avant tout était gris, maintenant la verdure avait repris ses droits, et un soleil éclatant avait mis le brouillard en échec. Après tout ce qu'ils avaient traversé, tous sentaient venir la fin du voyage.

Le groupe descendit donc dans la combe, en prenant bien garde de regarder où ils marchaient: il aurait été dommage, dans la précipitation et l'euphorie, de risquer un accident, chargés comme ils l'étaient... mais tout se passa bien.

Un peu avant le soir, les cinq marcheurs atteignirent l'endroit le plus bas de la vallée, et débouchèrent devant deux autres vallons profondément encaissés. Selegrant sourit:

"J'aperçois les murs extérieurs de la Cité Cachée, nous y sommes enfin, nous avons réussi!"

Et, plein d'entrée, il se dirigea en direction du flanc d'une colline, entourée d'arbres énormes. Les autres membres de l'équipée ne virent rien jusqu'à ce qu'ils pénètrent dans le cercle des arbres et débouchent devant les remparts même de la Cité. Telle était la magie de ce lieu que seuls ceux qui y avaient déjà pénétré pouvaient voir la ville de loin...

Une grande porte aux battants de bois élégamment sculpté leur faisait face.

[HRP: Je te laisse ouvrir le sujet final à Gar Thulion.]

[hrp: lien du sujet de gar thulion] https://jeuderoles.forumactif.com/gar-thulion-f89/livraison-pour-gar-thulion-au-fil-de-l-eau-t4675.htm