Quand l'acier mord nos chairs

La perte du général adverse causa la perte de leur armée entière. Dorin voyait déjà les lieutenants du défunt officier se battre pour avoir le commandement, les soldats ennemis, sans ordres, fuyaient dans certains cas ou se battait sans coordination ni plan. La bataille touchait donc à sa fin, les hommes de la cité blanche, les rohirrims, les elfes et les nains continuaient à combattre, il fallait finir l'armée adverse, car bien qu'en déroute celle-ci restait grande et avoir une armée ennemi de cette taille dans son royaume n'est jamais bénéfique. Un homme d'imposante stature chargea Dorin. Celui-ci évita le coup de marteau qui lui était porté et assena un énorme coup de hache dans le ventre de son adversaire Celui-ci tomba Dorin continua à avancer à l'aide de son attelle (je suis toujours blessé^^) constitué d'une hache à une main et de corde d'arbalète. Le combat était de plus en plus aisé et clairsemé mais des hommes mourraient toujours...

La Pluis avait redoublé d'intensité et Morgoth toujours en transe etait en train de chargé Veliaf Hurtz au moment ou le roi l'abattait. Dans son esprit primitif a se moment la il fut pris d'une haine incomparable pour Mephisto et Hurla :
-IL ETAIT A MOIIIII!!!!! GRAAAAAHHH.....NUMENORË EDAIN!!!!!
Mais le mal partit car morgoth etait a bout d'energie, la faim la fatigue des combats, sa blessure.......
Dans son restant de course Morgoth tomba a genoux face au roi et ses trait etait redevenu les siens et faiblement il dit au roi :
-Je devait...le tué....moi meme........
Morgoth s'affaissa dans la boue, inconscient.....

Radamanthe vit la bannière de Khand s'affaisser au loin.
Ainsi les bruits d'un duel lancé au Roy étaient fondés.
Plus encore, l'Etat-Major ennemi ne devait plus qu'être un souvenir.

Le Bourreau continua donc sur sa lancée.
Il terassa un ennemi qui semblait plus préoccuper de sa fuite que de sa survie. Fatale erreur. Il tomba dès que la hache eût pénétré sa chair.

Un deuxième homme bloqua le chemin du Bourreau.
Celui-ci ne cherchait pas à fuir, et brandissait une lourde épée.
Ces yeux, bien qu'entourés de cernes profondes, témoignant de l'effort déjà fourni dans la bataille, brillaient encore d'une lueur féroce.

Il'élança vers Radamanthe, brandissant sa lame.
Bien qu'il sécarta le plus vite qu'il le pouvait, l'épée lui érafla le bras gauche, déjà endolori.
Le Bourreau grimaça, mais réagit immédiatement, sortant son poignard et l'enfonçant entre les cotes de l'homme.
Celui laissa échapper un râle de souffrance mais repoussa Radamanthe violemment.
Alors qu'il levait son épée, un habile coup de hache l'atteint au bas ventre.
Il s'effondra et Radamanthe l'acheva au sol.

Malgré la souffrance qui se faisait plus grande, il fallait continuer.
La fin de la bataille était proche, les ennemis le sentaient depuis longtemps déjà, alors autant en profiter.

Mes fleches tombent sur les fuillards courant devant moi, j'en vise un puis je tire, la fleche se plante dans l'arriere de son crane.
Mais je suis tellement absorbé par ces fuillards que je ne remarque l'oriental qui s'approche derriere moi que lorsqu'il trébuche sur une pierre. Je me retourne juste á temps pour tenter d'esquiver le coup qu'il me porte avec son cimeterre( une belle arme d'ailleur...) cependant la lame fais plus que de me froler et mon bras gauche est profondément entaillé (Aie!). Je dégaine mon cimeterre de bronze puis attend son prochain coup, il me charge á la facon d'une grosse brute et j'évite son coup avec grace puis lui tranche la tete avec mon cimeterre.
Avant de me tourné vers les fuillards je lui prend son arme ( en acier orné d'un saphire) "Tu n'en as plus besoin maintenant..."
Mon bras me fais atrocement mal, l'entaille faite n'est pas assez profonde pour mettre á jour l'os mais elle n'en est pas loin, je déchire un bout de ma tunique elfe deja presque en lambeaux pour me faire un bandage rapide.

- Douleur, range ton arc et sort les bandages. J’ai l’impression que notre employeur aurait besoin d’être recousu . Souligna Silence, tout en offrant un clin d’œil complice à Mephisto avant de se retourner.

Ils causeraient plus tard, quand l’armée serait réorganisée et que le Roy pourrait penser à autre chose. Et puis il y avait encore l'elf, là, inconscient une fois de plus. Ceux qui vont au délà de leurs capacités en paye le prix. Qu'il traine un peu dans la boue pour l'instant ne lui ferrait pas de mal, ils le soigneraient plus tard, il s'était montrer assez endurant pour survivre quelques minutes.

Le champ de bataille était aussi plein qu’au départ, seule la vitalité des présents était différente. Personne n’avait disparu, tout le monde était là. Les morts semblaient vouloir faire acte de présence en émanant leurs inconfortables odeurs. Les tripes, la boue, le sang, l’urine… Profondément désagréable.
Il fallait vraiment en vouloir pour continuer de rester sur le champ de bataille.

Les fuyards pouvaient s’en aller, ils avaient compris la leçon. Les frontières seraient bientôt consolider, ils n’opposeraient alors aucune résistance en petite bande au sein du royaume.
De toute manière, pour les mercenaires, la piétaille ne valait pas plus qu’une poule malade.

Silence et Sentier se mirent à fouiller les cadavres, sans gènes, imperturbables par la disposition morbide du tableau. Leur foulard ne couvrait rien à l’odeur tant elle était forte, mais l’habitude fait que…
Cette aise semblait quelque peu dérangeante pour les spectateurs. Semblables à des charognards, les mercenaires ramassaient leurs sinistres butins parmis les ennemis tombés.
Etrangement, ils ne s’attardèrent pas sur les objets personnels, fardeaux inutiles qui apportent souvent malheur à ceux qui ossent se les appropriés. Et puis, le butin récupéré par l’armée composait leur prime à tous, à quoi bon prendre maintenant ce qu’ils allaient recevoir plus tard…
Les mercenaires se concentrèrent à collectionner divers apparats. Quand un habit était endommagé, trop banale ou tacher de sang, ils allaient au prochain pour chercher la pièce manquante. Ainsi, au bout de plusieurs minutes, les massives épaules de Sentier quadruplèrent de taille sous l’accumulation d’habits. Silence l’apostropha, lui-même en pleine recherche :

- Trois de chaque et toi ?

- Pas encore compter. Tu parles du royaume ou de la classe ?

- Royaume.

- Bah… Alors, six de chaque.

Un large sourire carnassier se dévoila sur le visage du grand blond. Silence soupira, visiblement abattu par la résistance de son compagnon face à autant d’encombrement. Le capitaine mercenaire se tourna vers Yrian pour voir comment il vivait l’après-bataille et en profiter pour évaluer son état physique. Qu’il soit en vie était une étape primordiale de passée. Restait à savoir si le bonhomme avait les tripes pour soutenir psychologiquement des scènes qui étaient courantes dans leur métier.

La rage destructive des nains continuait à faire des ravages. Horgeon avait vêtit un casque Oriental et gesticulait comme un imbecile sous l'acclamation amusée des nains. Il enleva le casque pour retourner au combat. Les orientaux avaient mal réagis aux petite blague d'Horgeon beaucoup plus d'homme était sur lui. Horgeon n'était pas trop dérangé car si un homme de khand avançait, il se faisait émidiatement déscendre par un carreau d'arbalète dans la cervelle. Le nains frappait tous ce qui bougeait. 5 hommes morts pour 1 nains.

Au loin Horgeon vit un type aracher le doigt d'un capitaine, le nain sourit, surement les mercenaires dont il avait entendu parler à l'infirmerie...
*beau souvenir!*
Ceci lui rappelant quelque chose, il n'avait pas de trophée. Il regarda autour de lui. Une cape? Un sabre? Une tête?. Un truc luisant attira son regard. Il s'approcha et vu une magnifique broche pour cape en forme de mumak en Ivoire (devinez de quoi!) de Mumak, les yeux étaient en jade.
- JOLIE! Bah Voilà qui m'incite à acheter un cape!

Horgeon retourna se battre, fier de son trophée

hrp: Je fais comme Nabz et son amulette... Bonne idée en passant!!

Le général, regardant le Roi, lui tint ce language :

Bien maintenant que la guerre est terminée, je vais devoir m'en aller... je serai absent pendant environ 2 semaines.
J'espère que d'ici mon retour il n'y ait plus de problème

Il se retourna et dit alors à un soldat :

N'oubliez pas de prendre soin de mon petit prisonnier fétiche, il me véra venir mais dans 2 semaines... nourrissez le, je veux qu'il soit au meilleur de sa forme...


Adieu...

Il continua d'avancer dans la brume qui s'était formé et disparut peu à peu dans celle-ci

[hrp] je pense que vous avez compris : VACANCES ! [/hrp]

L'acier de ma lame déchiqueta le bas-ventre de mon adversaire, avant que celui-ci ne meurt, étouffé dans la boue. C'est alors que des cris retentirent par-ci et par-là et que les hommes blessés relevèrent la tête. Les ennemis eux étaient défaits, la plupart gisaient sur les plaines du Pelennor et finiraient probablement oubliés. Certains avaient réussi à fuir, mais qu'importe, nous avions remporté là une magnifique victoire. Nos bras avaient été fort et nos coeurs solides.

Je remonte sur mon cheval blanc et me dirige vers les portes de Minas Tirith, en tâchant de rallier le plus de compagnies possible. Une réunion avec l'Etat Major de la Cité Blanche n'allait sans doute pas tarder...

Morgoth r'ouvrit les yeux. Il etait allongé la sur le dos.
Aucune douleur rien, le vide de pensée.
Les cris, les pleurs...Morgoth les entendait mais il s'en contre-fichait.
La seul chose dans son esprit etait se qu'il etait devenus durant quelque minutes... Une choses horrible. Ce qu'etait devenu la plupart des autres Avari...l'ancetre des orques...
Des larmes coulèrent le long de son visage, la tristesse, le terreur, la honte, le dedain, la haine, et bien d'autres sentiments se melèrent en lui.
Il avait du mal a les supporter, meme le fait de pleurer ne le soulageait pas, l'elfe noir resta allongé dans l'eau, le sang et la boue mélé enormement de temps, n'ayant plus la force de bougé...
Il avait trouvé un nom pour son mercenaria........"Colère"...

Yrian n’avait aucun problème à soutenir le choc son seul problème était l’odeur : cela puait et pas qu’un peu !

Il s’activa rapidement à dépouiller les cadavres regardant leur bague enlevant des veste pour les essayer, pour peut l’on se serait cru au marché. Puis il s’attela à tuer les survivants incapables de parler et prit ceux qui le pouvaient encore. Il les fit s’asseoir et leur coupa une jambe pour ne pas qu’ils s’enfuient.

Leurs cris firent retourner les trois autres mercenaire qui le regardèrent un instant puis retournèrent à leur besogne. Peut être que le roi leur demanderait de débusquer les survivants et les prisonniers seraient utiles, sinon cela donnera du travail au bourreau.

Il partit ensuite collecter des flèches, son carquois dans le dos et celui pour son cheval sous le bras, il remplit ainsi ses flèches. Dégainant son épée il partit à la recherche de tissu propre pour essuyer son épée, il en trouva un sur le corps d’un archer suderon, il lui prit aussi son arc et celui de son voisin, cela ferrait des cannes pour les blesser.

Lorsqu’il rencontra silence il lui demanda :

– on sera payé combien a ton avis ?

Les chasseurs de drapeau n’étaient plus qu’une poignée, une dizaine environ. Ils s’affairaient à leur tour à rechercher de l’argent ou autre chose jusqu'à ce que Mennetor ne les stoppe. Il lui fallait rencontrer le roi pour lui remettre les 4 drapeaux capturés.

Il marcha sur un blessé suderon pas encore mort qui hurla de plus belle, mais Mennetor s’en fichait il fallait trouver le roi. Le roi sur son magnifique cheval blanc était visible de tous et Mennetor se dirigea vers lui encourant suivi de près par les onze survivants.

L’endroit avait été vidé des cadavres et les officier affluaient pour demander conseil au roi, mais les douze soldats jouèrent des coudes et se placèrent devant le roi.

– Monseigneur, je vous prie d’accepter ce cadeau : quatre des drapeaux ennemis que nous avons capturé nous souffrons actuellement de trente-deux soldat morts quatre disparus et douze blessés. Il nous faudrait un nouveau chef de régiment. De plus le chevalier pour lequel j’étais écuyer est mort je demanderais donc à être muté à ce régiment d’infanterie

[HRP] Je vais faire ma demande de changement dans la section métiers mais la c’est pour trouver une raison fluffique [/HRP]

Silence dévisagea la nouvelle recrue d’un air suspicieux :

- Pourquoi ne vas-tu pas lui demander toi-même ? ... Il faut être patient avec ce genre de sujets, cela sera négocier plus tard quand j’aurais eut audience avec le Roy… Seul.

Visiblement, le chef des mercenaires essayait de soulignés certains détails pour le nouveau. Son regard s’attarda sur les butins qu’Yrian avait ramassés. Il s’exclama d’un ton froid à leur propos :

- Et que vas-tu faire de ça ? Revendre les possessions des morts au marché ? Si tu as un trafic là-dessus fait le passer à ton nom. Les Griffes d’Ammoth ne jouent pas avec les souvenirs des morts. Cela porte malheur.

Il semblait étrange que cet énergumène puisse être suspicieux, surtout vu le tas d’habits qu’il avait récupérer sur les cadavres et qu’il portait sur chaque épaule pour équilibrer le poids. Il tendit son bras, la paume ouverte vers Yrian :

- Redonne moi mon foulard maintenant. On rentre.
Puis, presque pour lui-même
Le Roy semble presser de rentrer… Cet homme est trop bon, il ne peu soutenir un lieu pareil… Accompagnons le, il serait ennuyeux qu’on fasse partit de ceux assignés au nettoyage des lieux…

En effet, la plaine était devenue une véritable éponge ayant absorbant le sang de tous les morts… Sa couverture était devenue molle, boueuse… S’y déplacer s’avérait de plus en plus difficile au fil de l'averse.
Leurs butins vestimentaires sur le dos, le groupe de mercenaires se joignirent à la suite du Roy qui s’empressait de retourner à la cité. Aucun regard ne fut accordé au champ de bataille. Le passé n’avait aucune importance, c’était une règle primordiale pour les mercenaires.

Nabz était en train de marcher quand il se souvint de son cheval qui était parti au début de la bataille. Il siffla le plus fort qu'il put et quelques secondes plus tard, le cheval de Nabz arrivait au galop. Il était intact et n'avait pas eu une seule blessure.
Nabz monta dessus et partit au galop vers le roi. Une fois arrivé a ses cotés, il lui demanda:

- Mon roi, j'ai combattu de mon possible dans cette guerre, j'ai soigné des blessés quand je ne pouvais pas me battre, et j'ai participé à la victoire, ainsi que tout homme, nain, ou elfe, qui se battait à mes cotés. Si c'est possible, je souhaiterais monter en grade. Le grade qui vous conviendra le mieux. Si vous souhaitez réfléchir davantage, je serais chez moi. Envoyez moi un message rapidement où je pourrais prendre connaissance de votre réponse. Merci, Ô mon Roi.

Nabz s'éloigna alors, incertain de la réponse de son Roi. Avant d'aller chez lui, il décida de faire un tour à la maison de guérison pour voir si quelqu'un peut faire quelque chose pour son bras endommagé et pour ses multiples coupures. Il ésperait de tout coeur que le Roi accepterait sa demande, malgré sa jeunesse.

Je toisai le ranger du haut de mon cheval. "La bataille vient à peine de se terminer, de nombreux actes m'attendent, partout sur les plaines des hommes gisent, morts. Et voilà que ce soldat demande déjà à être promu..."

J'haussai les épaules.

"Nous parlerons de ça en temps voulu. En attendant, pour toute réclamation, veuillez passer au Palais mais ne vous inquiètez pas, je n'oublirai pas vos faits d'armes ..."

La pluie s'était subitement arrêtée.

-Ni ceux des elfes Mephisto j'ose éspèrer...Beaucoup son tomber...Souviens t'en...

Les conversation cessèrent...Quelqu'un osait parler au roi comme un égal...Pire on pouvait discerner une lueur de reproche dans sa voix..
Tous les regard convergèrent vers l'importun...Rustor Gelmiron.
Les elfes on ce pouvoir de parler à n'importe qui d'égal à égal.Surtout les elfes influents et puissant comme lui.