Blessés

L'évacuation des blessés et les premiers soins se faisaient à l'intérieur même de la Cathédrale de Minas Tirith, où des cierges avaient été allumés afin d'illuminer les sombres pièces et réconforter les soldats mourrants.
Dans la soirée, la porte s'ouvrit et un officier pénétra dans l'antique bâtiment. Il avait l'air fort essouflé, il devait croulé sous le boulot, bien que lui n'était pas au combat. Il s'approcha d'un prêtre et lui chuchota :

"Les guérisseurs ont beaucoup de boulot aussi là-haut, les maisons de Guérison se remplissent à une vitesse alarmante. Faites tout ce que vous pourrez ...Bonne chance, mon prêtre."

Laemes pénétra dans l'église, il s'essuya le sang et la sueur qui se mélangeait en ruisseaux rosâtre sur son front d'un geste rapide avec sa manche et apercevant Firion, le salua: " Seigneur êtes vous bléssés? je peux vous aidez? je suis en train d'essayer de gérer le flux des bléssés, tache ardue en ces temps de guerre!!"

[Hrp] Firion est reparti à la guerre, seul Eoseld est encore présent. [/Hrp]

Je parti donc de la forge afin de me rendre à la Catrhédrale afin d'aider tant bien que mal, j'entrais donc dans la magnifique cathédrale, et la je vit l'ampleur des dégats, je me dirigeais donc vers l'homme qui semblait être le prètre et lui dit " Bonjour, j'ai eu vent de ..... ça "dit je en cherchant mes mots " Et je suis venu me rendre utile et vous aider d'un quelconque façon "

hrp//Le problème est que le prètre est pas la, tant pis je propose qu'on se débrouille \\hrp

-Moi aussi je souhaite me joindre à vous pour aider les blessés! dit Ad-Kar en pénétrant dans la cathédrale.

Je me dirigeais donc vers le premier bléssé que je vit afin de lui faire bandage et lui procurer quelques soins sommaires, il y avait vraiment beaucoup de monde
" La bataille doit vraiment être violente pour que les blessés soient obligés de se rendre ici" dit je en me tournant vers Ad-Kar

Après mettre occupé de plusieurs bléssés, je parti vers la forge, le forgeron m'ayant en effet fait parveni un parchmein m'informant que mon bâton été fini. Je parti donc pour revenir quelques minutes plus tard. Voyant que le prètre semblait arrivé à s'occuper de tous les blessé je prix congé et partie en direction de l'auberge, j'avais en effet très faim et soif.

Le reveil était douloureux.
Toutes ses blessures étaient bandées , mais malgrés celà , Eosfel grimaça de souffrance.
Une grande cicatrice avait était recousu sur son flanc gauche et son crane , l'ecuyer avait aussi un bras en écharpe.
On lui avais retiré son armure de fer , et tous ses équipement , il n'était vétu que d'une simple tunique au blason gondorien.

A son réveil , un homme vins le voir , vu sa tunique blanche eclabousser de sang , c'était probablement le médecin.

_Il ne faut pas bouger messire... Dit ce dernier.
_Est-ce ainsi que doit faillir un héros ?
_Je... Le médecin sembla hésiter , une lueur passa dans ses yeux qui avait vu trop de souffrance. C'est un ordre du roi lui-même messire !
_Le Roy ne me fait plus cofiance , j'ai un honneur de soldat a racheter.

L'ecuyer sembla chercher quelque chose du regard , soudain il ordonna au docteur.

_Allez me chercher la vouge la-bàs.

L'homme en blanc rammena l'arme d'hast promptement.

_Sire , il me semble qu'elle soit trop lourde pour vous.
_Trop lourde ? D'un mouvement sec , l'ecuyer cassa la vouge en deux.
Il mit tout son poid sur le baton adapter en canne , et essaya de ce lever.
_Ecuyer Eosfel , je crains pour votre vie si vous retournez au front. Le guerisseur toisa le jeune homme , il semblait avoir une quarantaine d'année.
_Ne soyez pas stupide medecin , je vais me rendre au palais pour gerer quelques affaires , et aprés j'observerais la bataille probablement du rempart Est.


Sur ce , l'homme descendit le parvis de la cathédrale par un pas claudiquant de sa troisième jambe , de bois.

Horgeon se réveilla... Encore... Ces subites incontiences dû à sa comotion lui jouait des tours... Il se leva maladroitement. Il était sonné et voyait double mais cela ne l'empêchait point de se rendre à un guérrisseur.

-Pouvez vous faire quelque chose? J'ai la tête lourde et j'ai envie de... *Boueuarrrgh!!!!* . Ho! Je suis certain de n'avoir pas mangé ça... , Il se retourna et remarqua que le guérrisseur pelait quelque chose dans un bol de céramique.
-Tiens voilà des herbes spéciales. Elles vont te guérrir de ton mal de tête mais tu serait mieu de rester ici qu l'ont bande ta tête. Tu peux retomber dans le commas n'importe quand.
-N'importe quoi! je suis le chef de GdKs! Je suis solide moi Monsieur!!!
Baf!!! Horgeon s'écrasa sur le sol on le transporta sur un banc.
- Bon les somnifère que je lui ai donné ont marcher... Une chance qu'il est naïf! On va pouvoir s'occuper de lui!

Hrp: pour voir pourquoi je suis ici, allez voir dans le Rp dans la guerre au champ de pelennor (page /hrp

Nabz arrivait maintenant à marcher. Aprés avoir aidé quelques personnes, il sortit de la cathédrale et se rendit chez lui. En arrivant devant sa porte, il essaya mechaniquement d'ouvrir. Il avait oublié qu'il avait prété ces clés à Derïn.

C'est alors qu'il aperçu une bosse a coté d'une plante et un petit mot où étaient écrit des remerciement. Il creusa avec ses doigts et trouva la clé. Heureux, il ouvrit sa porte d'entrée. Il trouva ce qu'il cherchait dans son unique pièce: posés sur une armoire, des livres.

Il prit celui qui concernait la guérison et il le lut. Le bouquin était trés épais, mais aussi trés utile. Quelques heures plus tard, il avait lut quelques petites choses importantes dans le domaine de la médecine. Il reposa son livre, sortit de chez lui, ferma sa porte, et mit la clé dans sa poche. Il repartit en direction de la cathédrale.

Une fois là, il retourna aider les guérisseurs plus efficacement.

Horgeon se réveilla lourdement. Il était encore sur l'effet du somnifère que le guérisseur lui avait donné. Il se gratta la tête un bandage de tissu la recouvrait *Au moin il a fait son travail, ce crétin! Merde! Il m'a volé des pièces cet (censurer)...* Il rammassa son équipement près de lui. Il remarqua plusieurs de ses hommes près de lui, les blessés devait être groupé par races. Il alla voir un de ses confrères.

-Dit-moi soldat, comment ce passe la guerre?
-Quand j'ai été transporté les ennemis reculaient, nous prennons du terrains. Mais nous avons perdus les gdks, ils se déplaçaient trop...
-Enfin on prend de l'avance... Tout vient à point à qui sait cogner comme le disait la vieux Gurdil...

Sur ce Horgeon se dirigea vers la porte à près avoir saluer le soldat et taper le guérrisseur... Qui vole un nain se prend un pain comme le disait toujours Gurdil!

Quand le nain sortit de la cathédrale , il ce gogna a un grand homme.
Eosfel toisa le chef des gardes de Khazad , d'un regard mauvais.

_Alors comme ça les nains ont faillis ?

L'Ecuyer soupira et entra dans la cathédrale en poussant le nain.

Un médecin l'acceuila d'une mine fatiguée et d'un regard inquiet.

_Encore des autres bléssés Seigneur ?
_Non , mais j'ai compris la tactique de notre armée , quand l'assaut au fleuve sera donné , preparez vous a recevoir des centaines de soldats.
_Nous n'avons presque plus de place Sire.

L'homme des montagnes blanches observa son interloccuteur en se gratant machinalement sa barbe naissante de trois jours.

_Instaurer un ordre de trie , les plus graves iront aux maisons de guérisons , tandit que les bléssés légers je les transfererais au Palais.
_Au Palais ? Le Roy sera d'accord ?!
_Le Roi n'est pas là pour l'instant... Dit-il avec une esquisse de sourire.
_Et vous , vous tiendrez le coup ? Demanda le medecin en observant les blessures de l'homme.
_Il en faut plus que ça pour tuer un Ecuyer de la cour du Gondor.



Aprés avoir donné d'autres directives aux différents medecins , l'ecuyer remonta au Palais pour mieux obeserver la bataille.

Un vieillard pénétra à l'intérieur de la Cathédrale. A l'intérieur, les cris de douleurs des blessés faisaient place à une odeur de sang séché. Cet homme était en fait un ancien Guérisseur, et il venait proposé son aide, et son expérience.

"Je ne peux malheureusement aller tâter nos ennemis de ma canne, par contre, je peux vous aider à guérir ces braves soldats ! Bien plus utile, vous ne trouvez pas ?"

Nabz courait partout. De plus en plus de soldats arrivaient, plus ou moins bléssés. Certain avait des membres en moins, d'autres étaient dans le coma total... C'était un véritable enfer.
Le ranger était en train d'aider un jeune femme à enlever l'armure d'un soldat, quand il vit entrer un vieil homme qui tenait sa canne.
L'homme parlait avec une personne, un guérisseur surement ...
Nabz regarda le vieil homme quelques instants et retourna à son travail.

L'homme à qui il venait d'enlever son armure était couvert de trace ... Comme des traces de brulures... La peau avait surement dut être déchirée par un coup de marteau dans le dos, car l'armure était légèrement rentrée dans la peau. pour l'enlever entierement, le ranger dut la couper. Heureusement que ce n'était qu'une armure de bronze, sinon, la tache aurait été plus dure.
Une fois le soldat débarassé de son armure, Nabz dit a la femme qui se tenait à coté:

- Allez aider d'autres personnes ! Je m'occupe de lui.

La dame acquiesça et alla donc s'occuper d'un nain qui venait d'arriver, la tête en sang et une longue et profonde blessure dans le bras.

Nabz donna au guerrier, dont il était en train de s'occuper, un onguent de soin, que le guerrier s'appliqua sur le bras pendant que le ranger lui en mettait là où son armure l'avait déchiré.

- Cette onguent fait cicatriser plus vite et fais passer la douleur un petit peu.

Voyant que l'homme grimaçait encore de douleur, il partit et revint quelques minutes aprés avec un verre rempli d'une mixture étranger dans les mains. Il la donna au soldat:

- Tenez, buvez ça. La douleur passera mieux. Ensuite, dormez. Vous n'êtes pas en état de combattre pour l'instant.

Nabz repartit, laissant l'homme boire sa mixture d'herbes et de plantes.

Il alla ensuite aider un homme qui avait une blessure légère. Puis un autre... Et ainsi de suite.

Nabz maitrisait de plus en plus la médecine à force de soigner les bléssés. Certains guérisseurs qui avaient de l'éxperience lui donnait des conseil. Nabz venait de finir de s'occuper d'un jeune homme qui avait une main en moins. Il réussit à faire arreter les saignements.
Il alla alors voir là ou on avait besoin de lui. Il apercu le Roi du Rohan. Nabz avait combattu à ses cotés auparavant. Il regarda alors le pauvre homme qui gisait sur le sol. Un guérisseur était à ses cotés, il faisait du mieux qu'il pouvait.

- Avez-vous besoin d'aide ? Demanda la ranger à l'homme qui s'occupait du roi du rohan.
- Pas de refus, repondit celui-ci. Amenez moi quelque chose que l'on pourrait appliquer là ou sa peau a été arrachée.

Nabz se dépécha de retrouver le grand peau d'onguent qu'un anthicaire avait fait. C'était cette même onguent que Nabz avait donné a un soldat dont l'armure lui était rentrée dans la peau. Il le donna alors au guérisseur qui l'appliqua là ou il y en avait besoin.

- Il a un morceau de métal qui lui est entrée dans la hanche. Il est petit, mais il faut l'enlever maintenant si on ne veut pas que la peau ce cicatrise par dessus.

L'homme prit alors une sorte de petite pince. Il prépara un morceau de chiffon avec un autre onguent.- Tenez ça, dit-il a Nabz, en lui tendant le chiffon imprégné.

Nabz prit le chiffon et regarda faire l'homme. Il retira lentement le morceau de métal de la hanche du roi. Une fois celui-ci hors du corps, le guerisseur prit des mains le morceau de tissu que Nabz tenait et l'appliqua sur la blessure.

- Ca devrait arreter de saigner. Tenez le comme ça, je dois aider des autres personnes maintenant. Chargez vous de lui pour les blessures qu'il reste.

L'homme s'éloigna rapidement et alla s'agenouiller un peu plus loin.
Nabz restait le bras tendu, en appliquant le chiffon sur la plaie où le morceau de métal avait été enlevé.

Quand le saignement prit fin, Nabz essaya de soigner les autres blessures du roi. Il allait avoir du mal à s'en remettre, mais il pourrait surement repartir d'ici quelques jours... Si ce n'est pas des semaines.

Nabz dit à Firion:

- La guérison totale sera longue et pénible, mais vous vivrez. Je suis désolé de ne pas pouvoir faire plus, mais ici, nous sommes surchargés...

Hrp: Ca te gène pas mon Rp, Firion ? si ça te géne, iniore le ! pas de probleme ^^ /hrp

____________________________________________________________________________________________

Quelques temps plus tard, le poison n'avait plus aucun effet sur Nabz. Ce dernier se sentait pret à repartir au combat. Il voulait s'équiper quand il vit que son armure était inutilisable.
<<Bien ... Ce n'est pas grave, je ferais sans ! se dit Nabz.>>
Il mit ses habits en panhère noire, histoire d'être moins voyant. Il mit alors son le foureau qui contenait son épée autour de sa ceinture, son arc et ses fleches dans le dos, et partit. Il se demandait toujours ce qu'était devenu son cheval ... Il éspérait le retrouver sain et sauf.
Au pas de course, Nabz coura vers le champ de bataille. Il essentait toujours une petite douleur dans l'épaule gauche, mais pas suffisante pour le faire abandonner les siens. En passant, il s'arréta quelques instants chez lui et mit son armure dans un coin. Maintenant, le pas léger, il courrait vers le combat qui se déroulait non loin de la...

Hrp: désolé pour ce Rp un peu pauvre ^^ (2eme partie) Mais j'avais envie de retourner taper des gens de l'est ^^ /hrp

[Hrp] Non, ça ne me dérange pas. Il y a juste sur la durée que je verrais par moi-même. ^^ [/Hrp]

Firion se réveilla, il eut envie de crier de douleur mais il se retint tant bien que mal, d'une part pour ne déranger personne et d'autre part parce qu'il était roi. Il souffrait énormément de ses blessures. Il regarda autour de lui et ne vit point Eoseld ; il le regretta. Il ne pouvait pas se lever, ni bouger et il avait peine à parler. Il ne peut faire mieux qu'un cadavre, c'est affreux. Le roi jura, dans ses pensées. Il était mécontent et triste de son état et se promit de ne plus jamais être comme ça. Il allait s'entraîner s'il le fallait mais il ne retrouvera jamais cet état-là, au non jamais. Il jura encore, toujours dans sa tête. Celle-là le fit souffrir aussi, il avait un mal de crâne affreux. Il essaya de se rendormir pour oublier son malheur. Il y arriva enfin...

Un nouveau blésée était arrivé... Tous le regardèrent avec des yeux plein de reproche, surtout les brulé...

Berund, fils de Berunda. Le capitaine de la flotte etait dans un mauvaise etat, mais le medecin refusé de s'occuper de lui

"C'est un meutrier... Je ne le soignerai pas...."

Certain homme entendirent ces parole et s'indigna...

Berund se reveilla. Il etait la et le regardé. Son ami de toujours, Trawn le renard blanc.

Berund l'avait apprivoisé au alentour du l'Amon Hen il y a une demi douzaine d'année; et celui-ci l'avait toujours suivi...

Mais c'était le seul dans la salle a faire attention a lui. Tous fuyait son regadrd. Tous lui en voulait, car suite a ses ordres, chacun avait perdu un frere, un ami..

Si le roy lui aussi lui en voudraut, il partirait. Il s'enfuirait vers un autre pays.

Son bras lui faisait mal. Berund se leva et s'approcha de sa bete, mais un medecin la chassa; disant que l'endroit etait interdit au animaux...

Chancelant sur ses jambes, il regarda les blessés. Il savait soigner, ou tout du moins, savait un peu... En cherchant dans sa memoire, il arriverait a les aidez...

Mais tous lui refusé de l'aide... Il s'assit alors au chevet du roy du Rohan et parla avec Eosfel..

Mais oui, cela pouvait etre une idée... Si personne ne voulait de lui; il pourrait peut etre partir au Rohan... On ne sait jamais, il faudrat y reflechir...

Un nouveau blessé arriva... Il etait bruler... Un sentiment de culpabilité envahie Berund... Il pourrait peut etre se tuer pour... Non, il tenait trop a la vie...

Firion se réveilla à nouveau. Il vit au près de lui Eoseld. Il essaya d'articuler quelques paroles mais sans succès. Eoseld parla à sa place :

"J'ai passé commande auprès du forgeron pour une nouvelle épée et une nouvelle armure. J'ai acheté le même arc que vous possédiez, il faudra le récupérer avant de partir. Je ne sais rien à propos de la bataille, j'irais voir des murailles tout à l'heure. Je vais beaucoup mieux. Vous, par contre, ça n'a pas l'air d'aller vraiment mieux. Il aurait fallu cette bonne vieille bouteille de foncombe, qui soigne. Le marchand aurait été là, je serais aller vous en chercher une mais il est absent, dommage. Il faudra aussi que je vois si on a besoin de moi dans la cité et si j'ai le temps, je ferais les boutiques, voir s'il n'y a rien d'intéressant. Voilà, je vais vous laisser vous reposer.
- Mer... ci, articula avec difficilement le roi.
- Ah, c'est un bon début. Aller, reposez-vous bien. Je repasserai."

Sur ces mots, Eoseld fit ce qu'il dit et quitta la cathédrale.