Une fois que vous aurez eut l’audace de franchir les veilles portes de la bâtisse à l’allure mal entretenue et délabrée, vous arriverez dans cette petite pièce. Il y a là dans un coin, juste à coter d’une seconde porte menant à l’intérieur, une table vide avec chaise tiré don l’usage semble fréquent à la vue du manque de poussière.
Dès que vous faites un pied en avant, le plancher râle à cause du poids exercé et deux silhouettes apparaissent par la porte. Un petit gaillard à l’allure mesquine prend place derrière la table et demande la raison de votre venue ici pendant que son compagnon, un robuste bonhomme recouvert d’une armure complète de plate vous regarde à travers la fente de son casque, prêt à vous virer par la force si besoin.
(cf.
Innocent et Blason)
Une immense salle ouverte qui fait plus de la moitié du bâtiment, c’est la seconde pièce dans laquelle vous pénétrez, si vous passez la réception. Vous comprenez désormais comment les deux autres types sont arrivés aussi rapidement jusqu’à vous. Il y a une spectaculaire palette d’équipement mis à disposition pour les diverses personnes s’entrainant ici. Il y a là de nombreux mannequins d’entrainement pour l’arme blanche, divers appareils de musculation, torture, pièges, de nombreuses armoires au contenu dissimulé et pleins d’autre matériel que vous n’arrivez pas à identifier car un nouveau duo vient vous accueillir… Deux hommes puissamment bâtis, l’un au crâne rasé et un autre portant une barbe sophistiqué et soignée qui se fait passer pour le maître d’arme (cf.
Etreinte et Ronce). Si vous êtes là pour un entrainement, chacun à son domaine assigné et ce sera à eux que vous aurez à faire.
C’est la partie est du bâtiment, là où comme partout au premier étages les fenêtres ont étés scellés et où il est nécessaire de se balader avec une bougie… Mais attention de ne pas trop s’approcher de trop prêt des étagères car ici vous ne trouverez que des… Livres ! En effet, cette pièce comporte les archives de la ligue : que ce soit les annales ou les recueils d’arts martiaux… C’est ici que vous passerez vos heures de lectures aux stages nécessitant un temps de lecture sur ses ouvrages spécialisés. Vous êtes cependant surveillé de près par une jeune femme don la vigilance n’égale que son irrésistible charme. (cf.
Plûme)
C’est la partie ouest du bâtiment, là où l’on est préparer la nourriture et que les étudiants viennent s’y servir à tour de rôle, selon leur souhait. Personne n’y est assigné mais tout le monde sait cuisiner (pour les nouvelles recrues, c’est souvent une nécessité d’aller étudier les bases de la cuisine aux archives !) ainsi, quand l’on a faim, on va s’y servir ! (On considère que la nourriture est acheté grace à l'argent accumulé par les services des membres)
C’est à l’étage, l’on y accède par l’escalier dans le hall (la salle d’entrainement).
On y trouve tout les lits ainsi que le matériel personnel de chaque membre. Cependant, tout est quasiment coffré, car personne n’est à l’abri d’un vol… Même entre camarades.
Quand l’on ne monte pas les escaliers pour aller à l’étage, on peu les prendre pour descendre et ainsi arriver dans la cave. Elle est immense, quasiment aussi grande que le hall. Il y a très peu de lumière mais si vous avez pensez à vous procurez une lanterne ou une torche avant de descendre, vous remarquerez que c’est ici qu’est stocker une bonne partie du matériel de la ligue : de nombreuses armes et armures, divers matériel de bricolage, de charpenterie, des habits, les réserves de nourritures, divers coffres et compagnie. Si vous êtes ici tout seul, c’est qu’il y a un problème !
Il y a une grande trappe dissimulé sous un épais tapis dans un coin de la cave. Il mène à un accès direct aux égouts qui à été construit il y a bien longtemps mais qui reste tout de même relier au reste du réseau de la ville. Il y a cependant des escaliers à descendre avant d’y accéder et l’accès en lui-même est barré par un grillage qui bien que vieux et rouiller par endroit à garder sa résistance d’antan. Un gros cadenas sécurise l’unique porte de ce grillage don la clé sera en possession d’un des officiers.