L'autel

Un Autel représentant un aigle aux elles déployés. L'autel est entierement fait de marbe blanc avec une magnifique table rouge. Des vitraux éclairent cet autel à différente heures (6h, 12h, 18h).

Donc c'est ici que je prend vos demandes.

Silka arriva devant la cathédrale et s’émerveilla de la beauté architecturale de celle-ci. Elle c’était doutée qu’elle trouverait un bâtiment digne de son emplacement dans la capitale, mais resta tout de même en niaise contemplation devant sa magnificence plusieurs minutes avant d’oser un nouveau geste. Alors qu’elle s’approchait de la porte, elle remarqua d’anciennes marques sur un des murs prouvant de récents actes de vandalisme, générant une petite boule de dégout dans sa gorge : elle aurait tôt eut fait de leur apporter un jugement divin, celui de sa lame, il elle avait vu les vils auteurs de pareille blasphémies.
Elle pénétra les lieux d’un pas lent, n’effectuant aucun geste trop brusque afin de ne pas faire offense à la spiritualité des lieux étant elle-même fort croyante.
Elle découvrit l’évêque qui finissait une prière et alors qu’il se retournait et qu’elle découvrit son expression, elle devina bien vite qu’il était fort chagriné : elle s’imagina que c’était pour ce qu’elle avait découvert sur les murs extérieurs. Elle s’approcha de lui afin de lui prouver qu’elle désirait un contact avec ce dernier.

"Mon père…"

"Salutation mon enfant, puis-je t’aidée ?"

"Oui… Mais j’aimerai avant tout savoir si ce n’était pas moi qui pourrais quelque chose pour vous ?"

"Vous êtes bien aimable ma fille, mais des gens inspectent déjà sur cette innommable affaire. En ce moment, ses criminels ont plus d’attention de la part de la populace que les Valars eux-mêmes… Je me retiens d’en être attristé."

"Pardon mon père, je comprends…
Je suis nouvelle dans la cité blanche. Je me nomme Silka Sorge, Maître d’Escrime. J’aimerais être baptisé d’après Vairë la fileuse afin qu’elle m’accorde sa clémence dans ce nouvel épisode de ma vie, ici à Minas Tirith, j’aimerai me montrée assez digne pour figurée dans sa mémoire et ses toiles…"

"Voici de belles paroles que l’on entend plus souvent… Suivez moi à l’autel mon enfant et prions en attendant midi, que le ciel prouve à quel point il est clément avec ses enfants croyants."

La Maître d’Escrime approuva d’un silencieux hochement de tête. Ils patientèrent tel que prévu quelques temps, priant avant d’arrivée à l’heure clé. Alors que rien ne semblait n’avoir changée, l’évêque vint la voir et la sortit de sa contemplation.

"Venez mon enfant, il est l’heure…"

Elle se leva et emboita le pas au religieux. Alors qu’ils approchèrent de l’autel, la lumière apparu enfin et traversa les vitraux, rependant sur leur chemin de magnifiques couleurs qui lui donna l’aspect de marché sur un tapis éthéré… La scène avait quelque chose de magique bien qu’en soit ce n’était qu’un banale jeu de lumière, pour ceux qui avait la foi il y avait toujours d’autres explications.
Emue par cette déclaration des Valars, Silka fut baptisé en bonne et dut forme par l’évêque qui avait retrouvé son sourire : visiblement, il ne voyait pas souvent de croyants dans les parages.
Une fois l’étape accomplie, Silka sentit comme un doux picotement sur toutes les parties de son corps baignés dans la sainte lumière. Elle remercia de milles mots l’évêque qui ne lui demanda rien en retour. Elle lui promit de revenir, promesse qui le fit resplendir d’autant plus de joie. Elle eut du mal à partir des lieux, tant à cause de l’emprise qu’il avait sur elle que la présence de l’évêque qui refusait presque de voir partir une croyante aussi vite. Elle s’excusa une dernière fois après un flot de gratitudes et continua sa route, la morale haute et le corps saint.

Silka arriva sans un bruit à la cathédrale... Dumoins, son pas était silencieux, tout son attirail guerrier l'était un peu moins. Pour la peine et sous le regard insistant de l'évèque, elle abandonna son attirail dans un ratelier spécialement concu à cet effet.

" Bonjour mon père "

" Salutation mon enfant. Que puis-je faire pour toi ? "

" Et bien, j'ai quelques doutes et j'aimerais avoir l'assurance de Vairë pour la suite de mes entreprises... "

" Très bien. Es tu bien sur que ceci est la seule chose qui te tracasse ? "

" Non mon père... J'ai également cette étrange épée que je me suis procurée... Elle est d'origine Galgal et réagit étrangement en mon contact... Si vous pouviez l'exorcier, histoire d'être sur... "

" Laissez la moi que je l'étudie. L'exocirsme n'est pas à prendre à la légère, c'est un rituel qui n'est pas bon de gaspiller... Il faudra en avoir le coeur net avant. "

" Oui mon père. "

L'évèque invita la bretteuse à prendre le chemin de l'autel. En chemin, le duo continua de discuter :

" Outre ma propre personne, j'aimerais¨demander l'attention de Vairë sur ma propre batisse à laquelle j'irais très prochainement travailler avec mes élèves... "

" C'est d'accord. D'ailleurs, ma fille, quand comptez vous faire votre confirmation ? "

Silka sembla troublée, prise de cours. Elle avait déjà réfléchie à la question mais n'ossait pas donner une réponse immédiate.

" Pas tout de suite... "

" Il serait bon que vous l'organisiez... Pour vous même. "

" Oui mon père. "

Arrivés à l'autel, Silka reçu une bénédiction pour elle même et sa batisse.
Sur le chemin de la sortie, elle légua son épée galgal à l'évèque ainsi que 400£ pour ses bénédictions.

(si un admin pouvait me dire prochainement ce que découvre l'évèque de cette inspection. S'il découvre quoi que ce soit bien sur)