Berund salua son adversaire. Il l'entendit murmurer, mais il ne comprit aucun des mot dit...
Son adversaire chargea...D'un simple coup d'épée, Berund le para. Il frappa de toutes ses forces au niveau de la hanche, mais l'épée noire rencontrât la blanche...
Ils sautèrent en arrière et se remirent en garde.
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Elle ne voulait pas le regarder. Ce combat ou elle risquer de perdre celui qu'elle aimait.
Elle avait déjà perdu son beau frère sous les tirs des trébuchets de la flotte, et maintenant son mari défier cet assassin.
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Elle ne voulait pas le regardait. Ce combat ou elle risquer de perdre celui qu'elle aimait.
Elle l'avait déjà perdu durant 9 années. Non, il vivrait. Elle ne pouvait le perdre un deuxième fois. L'honneur n'est rien comparé a la vie.
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Les lame s'entrecroisèrent. Son épée manqua de lui tomber des mains... Son adversaire se battait bien, pour un Rohirim... Ce peuple de cavalier osait se dire meilleur que les chevaliers de Dol Amroth...
Non. Il sentit le fer touché sa peau. Juste un égratignure au niveau du bras...
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Il avait réussi a passer la garde de son adversaire. Celui-ci le regarda plein de haine... Il s'avança et d'une botte inconnue au maréchal de la marche, il le désarma.
Berund était sans son épée. Toute l'assemblé retint son souffle... Non! il ne pouvait mourir.
La lame blanche fusa dans l'air. Directement vers le cœur.
Berund vit venir la fin...
Dommage. Une vie si bien commencer. Il la regretterai, sa femme...
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Une partit de la foule s'en aller, la mort dans l'âme... Comment avait il put mourir. C'était un des meilleurs guerriers de ce temps.
Son épée gisait dans l'herbe et sa femme pleurait sur lui.
Sur ce prince de Dol Amroth.
En effet. Au moment ou la lame allait toucher Berund, celui-ci avait sortit Mort-bleu; le poignard de l'océan.
D'un simple mouvement de bras il avait dévier la lame. Puis un coup; un simple coup dans le bras, et son adversaire avait jeter son arme.
L'ancien capitaine de la flotte s'était tournée vers le Roy pour savoir si il devait achever le prince de la citée du cygne; blessé à ses pied.
Et le Roy avait répondu négativement.
Or quand Berund se retourna; son adversaire avait ramasser un petit couteau et tenté de tuer Berund. Le mari d'Eléonore ne dut sa survit qu'a un réflexe. Il avait planté son couteau dans le cœur de son ennemi...