Le Bretteur

Les cloches sonnaient à la Cathédrale, signe que Midi et son repas n'était plus très loin. La neige, toujours présente par endroit, scintillait d'éclats couleur argent sous les rayons du Soleil. Un grand elfe franchit la foule abondante qui allait manger et s'arrêta au milieu d'une ruelle bondée. L'air hautain, les oreilles fines et pointues, l'elfe était grand et élancé. Son visage était beau, ses traits fin et précis.

Une bourrasque de vent lui lêcha le visage, le décoiffant car ses longs cheveux blonds virevoltaient. Ses yeux bleus étaient percants et il fallait une bose dose de courage pour oser tenir son regard. Avec quelques gestes exécutés avec précision et adresse, il dégaina une longue lame recourbée. Un certain charme émanait de lui, comme s'il le dégagait intérieurement. Quelques femmes s'arrêtèrent, dans leur empressement pour regarder cet étrange individu.

Son nom était Morkas. Ancien Marin elfe sans srupules, ni remords d'ailleurs, il était devenu bretteur et passait son temps à s'exercer avec sa lame, ne refusant jamais un défit. De tout ceux qui l'avaient défier, aucun n'avait jamais réussi à le vaincre.

Son regard s'arrêta sur un homme de corpulence moyenne.

"Toi, siffla-t-il. Un duel, ça te tente ?"

Un sourire rusé s'étira sur ses lèvres. L'autre pâlit, pinça les siennes et s'enfuit par une ruelle adjacente. Morkas lui jeta un regard de dédain et se mit à la recherche d'un adversaire...certain de sa supériorité.

"Et toi, tu me regardes depuis un bout de temps, maintenant...Qu'est ce que t'en penses , hein ?"

Keldaran sourit , le vieux guerisseur n'avait touché une lame depuis longtemps.
A vrais dire , depuis qu'il avait été infirmier du Gondor dans l'armée , il devait avoir une vingtaine d'années.

Cinquantes hivers c'étaient passés depuis , mais le vieux sage avait toujours cette rage de vaincre et de combattre.

_En deux passes , sans toucher les points vtiaux , le premier qui saigne a perdu. Un petit sourrire s'afficha sur la face ridée de Keldaran , et dans un élant il alla chercher une lame dans le publique, il soupesa l'épée grossière et aprés trois coup dans le vent il ce mis en position de combat.

L'elfe avait la fougue et la vitesse de la jeunesse , mais peut-être que la dexterité de l'experience parlera ?

Morkas était agile, et évitait les coups de l'ancien. Il se défendait admirablement bien pour son âge, mais la vieillesse se sentait dans ses coups et ses mouvements, trop rigides, trop réguliers. L'elfe avait analysé les mouvements de son adversaire, se contentant d'éviter et esquiver les coups trop dangereux.

"Ce vieux tas d'os m'impressione, pensa l'elfe. Quelle souplesse et quel talent pour un type de son âge ! J'ai quand même trouvé une faille dans sa défense..."

Morkas ricana et se lança à l'attaque. Il fit un pas à droite, emmenant son adversaire avec lui. D'un rapide coup de haut en bas, il fit reculer Keldaran qui souffrait sous la pression adverse. Ensuite, en balançant son corps, il parvint à déjouer la defense adverse et frappa la jambe droite du viel homme avec le côté non aigisé de sa lame.

Keldaran s'effondra sur le sol, un rictus de douleur sur les lèvres. Morkas, profitant de sa victoire, regaina sa lame bleue dans son fourreau et félicité malgré tout le vieux Keldaran.

"Tu te bats bien, vieillard, je l'avoue. Mais un adversaire encore plus combatif ne serait pas de refus..."

Nabz s'avança pour se distinguer de la foule et répondit à l'elfe:

- Ca serait un honneur pour moi que de combattre un adversaire aussi talentueux. Mon épée est vieille et abimée, mais je m'en contenterai. Acceptez vous le défi que je vous lance ?

Aprés avoir aidé le vieillard à se relever, Nabz enleva sa cape noire et la mit sur le coté. Il prit le pommeau de son épée et la retira de son fourreau. Des traces de rouille apparaissaient, et on pouvait facilement voir que l'épée était de faible qualité, voire médiocre. Elle était abimée, mais tenait bon, malgré les multiples coups qu'elle reçut au cours des nombreuses batailles du ranger.

Nabz sautilla sur place pour réchauffer ses articulations. Il savait que les plus important, c'était le jeu de jambes. Il leva alors son épée et la mit à hauteur du visage de son adversaire.

Hrp: Meph, je te laisse la suite du combat /hrp

L'elfe le regarda son nouvel adversaire droit dans les yeux. D'habitude, c'est lui-même qui lançait les défis, mais combattre un homme courageux était une excellente opportunités. Au fil des combats, Morkas avait apprit à ne pas sous-estimer ses adversaires, et la rouille se trouvant sur l'épée du Ranger ne signifiait rien quant à la dextérité de ce dernier.

Morkas cracha. Les personnes aux alentours étaient tendues mais impatientes de voir ces deux personnages se battre.

"Il sera ainsi. En garde, Ranger du Gondor !"

L'elfe pivota et attaqua directement vers la poitrine de son adversaire, mais retenant son intention sur les manoeuvres de l'autre, le jugeant et analysant la situation afin d'en tirer l'avantage...

Après avoir traîné longuement dans les rues de la cité en quête de...enfin bref...Balak aperçut une sorte d'altercation entre plusieurs personnages.

On dirait qu'il vont combattre...un duel à mort ? j'en doute, je connais le visage de ceux qui vont mourir, il est beaucoup plus crispé. Autant les observer, je pourrait peut-être en retirer d'intéressantes leçons. Et peut-être même, je pourrais enfin vérifier si les exercices de perfectionnement en épée du maître d'arme sont si aboutis...

Il prit une gorgée d'alcool, qu'il avait trouvé près d'un endormi dans une ruelle.

ça va devenir intéressant...

Morkas répondit par un sourire. Il avait déjà un retard sur son adversaire.

Mais c'était ce qui l'intéressait. Une éraflure dans le dos. Habile...mais sans plus.

Il haussa son jeu. Bientôt, Nabz fut dépassé et dû peu à peu dévoiler ses points forts. Mais Morkas semblait ne pas avoir de limites.
Il rétablit l'égalité par un coup rapide à l'épaule.

Il sourit. La deuxième touche était à sa portée.

Mais il semblait vouloir en faire plus...Il multiplia les mouvements suicidaires mais incroyablement impressionnants. Son visage débordait de sueur et il avait un regard de dément.

Alors qu'il avait l'occasion de remporter l'affrontement, il explosa.
Ou plutôt, sa folie explosa.

Il désarma le ranger d'une passe rapide, le projeta à terre d'un coup de pied, et s'aprrêta à l'achever.

Un spectateur s'interposa. Morkas lui lança un regard haineux. Il le décapita.

Deux coups circulaires firent couler le sang à nouveau dans la foule.

Il s'enfuit, une lueur de folie dans son regard, bousculant violemment le mercenaire Balak.

Plusieurs cris se firent entendre dans les rues.
L'expert soudian prit de folie semait le chaos dans les rues. Il fallait l'arrêter.

//Morkas est un expert. Une bête de combat. Il surpasse tout le monde.
Il faudra être plusieurs pour l'arrêter.
Aux deux personnes déjà présentes, si elles veulent participer (Nabz et Balak) je peux conseiller à Earendal de faire son retour par ce scénar, et éventuellement à Eosfel, sauf s'il préfère rester ligoté sur sa table^^(même si il est déjà engagé dans un scénar, enfin...). Mais évidemment, tout le monde est bienvenu.//

Le sang du passant l'avait éclaboussé. Ses mains en étaient toutes tâchées.

Tout ce sang...Je...non...ce n'est pas moi. Je n'y suis pour rien. Je ne l'ai pas tué! elle non plus! ce n'était pas moi! c'était...quelque chose d'autre! non! je ne veux pas! Arina, non ne revient pas me hanter! va-t-en! VA-T-EN!!

Balak chuta à terre. La crise était encore plus violente que celle qu'il avait ressenti chez le maître d'arme. La douleur le paralysait, un visage de femme hurlait, il vit l'orphelinat en flamme, les corps des enfants éparpillés, tranchés, éviscèrés. Puis un noir absolu. Et le retour à la réalité.
Il releva la tête, et vit l'horrible personnage qui tailladait les passants. C'était lui. C'était l'incarnation de sa propre bestialité. Il devait le tuer! tuer la bête! tuer ses souvenirs, pour qu'ils ne reviennent plus jamais le hanter.
Cet homme si fort soit-il, était le bouc émissaire parfait. Il allait se libérer, connaître enfin une existence normale, sans haine, sans violence, où le sang sera banni.

Il releva le duelliste au sol puis se retourna vers le monstre.
Tu vas mourir...que la mort me délivre, que la folie me prenne, et que meurs la bête!

Après ces mots il lâcha un hurlement guttural, et bondit sur l'homme, la bave aux lèvres et les yeux injectés de sang.

Morkas s'écroula à cause du choc. Et si Balak, qui semblait d'une force bestiale était effrayabt à voir, avec son regard de fou. Ce n'était rien par rapport à l'elfe. Il lutta un moment avec le mercenaire fou furieux puis le repoussa. Il se releva d'un bond agile et lui lança un coup de pied, au cas où il serait revenu à la charge.
Puis menaçant toujours quiconque de son épée, il s'engouffra dans une ruelle sombre, s'enfuyant à toutes jambes.

Peu après, on entendit des cris. Cela se trouvait dans la ruelle, qui était très longue. Si il tuait tout ce qu'il rencontrait, ils pouvaient le ratrapper.

Nabz courrait du plus vite qu'il pouvait pour arreter l'elfe et en même temps arreter le massacre que ce-dernier faisait dans les ruelles. Balak suivait le ranger de prés, lui même suivit par Ëarendal.

L'elfe courrait vite mais ne connaissait apparement que trés peu la cité blanche. Il s'engouffra dans une ruelle sur la droite de la rue principale.
Nabz se retourna et arreta les deux personnes qui courraient aprés l'elfe.

- Nous pourrions le rattraper bien plus vite si nous passons par la grande rue ... Je connais la ruelle qu'il a emprunté, elle conduit aux quartiers marchands. Faites comme vous voulez. Pour ma part, je continue tout droit et je pense pouvoir le rattraper, malgré qu'il court plus vite qu'un humain.

Sur ces paroles, Nabz s'élança dans la rue bondée de monde. Il devait courir vite et en même temps eviter les maintes personnes et les quelques charrettes qui venaient en sens inverse.

Ils arrivèrent finalement dans les qurtiers marchands. Etant donné que tout paraissait calme, ils purent déduire que Morkas n'était pas encore arrivé. Ils repérèrent vite fait la ruelle par laquelle celui-ci n'allait pas tarder.
Mais a la place d'y touver un fou, il y virent cinq cadavres. Neuf hommes à la mine patibulaire s'avancèrent. Ce n'était pas vraiment d'honêtes marchands, plus des contrebandiers. Le genre de gens qui apportent plus de mal à la Cité.

-C'est vous qui les avez tués ? Z'allez voir...Ouais...Z'allez payer, z'allez crever !


Il s'élancèrent. Ils ne semblaient pas enclins à discuter.

A la droite, une porte était défoncée.Il y avait des traces de sang. Nul doute que Morkas était dans la masure.
En effet, devant le cadavre du veiux propriétaire, il était appuyé contre le mur, suffoquant, perdus dans le chaos de ses pensées.

//Voilà, z'avez assez d'éléments pour faire ce combat, retrouver Morkas, et entamer le combat. N'hésitez pas à prendre des p'tites initiatives.//

je suis la mort.

Balak précéda ses compagnons, et commença son ballet sanglant.Sa lame virevoltait au rythme de son coeur, sombre et hargneux.

Je suis la haine.

Le chaos de son esprit guidait ses gestes, les gerbes de sang ne faisait que raviver la flamme de la folie.

Je suis le sombre dément. J'ai tué, je tue et je tuerai.

Deux hommes à terre. Les autres reculèrent un instant. Les yeux du mercenaire luisait d'un éclat malsain. Il ne ressentait pas la douleur qui aurait du le prendre, vu ses quelques blessures.

Son regard de jais était celui du prédateur. La noirceur de ses yeux faisait penser au grand rien, au néant absolu, qui ne rêvait que d'une chose : emmener les âmes vers les profondeurs ténébreuses de son être. La Faucheuse et sa fille, Démence, durent sourire ce jour-là, car leur jouet était au sommet de son art.
Un rire s'éleva alors des ruelles. Un rire qui n'avait rien d'humain. Un rire de chasseur qui avait capturé sa proie. Le rire terrifiant du meutrier. Et tout en continuant de rire, il se jeta une nouvelle fois sur ces hommes, qui était , contrairement à leur compagnons défunts, parés à contrer le flot de hargne de cet individu. Balak le savait, il ne les vaincra jamais seul. Mais qu'importe, il avait déja vécu tant de choses en si peu de temps...qu'est-ce que la vie, pour lui ? La sainte mort va aujourd'hui récompenser son fils pour toutes ses offrandes. Le récompenser par la plus belle des morts. Du moins, c'est ce qu'il croyait, il oubliait un peu vite ses compagnons...

Quatre morts, deux mutilés et tous blessés. Le bilan était lourd pour ces hommes, la peur commençait à gagner leur esprits. Les êtres qui se battaient contre eux virevoltaient, et à trois, ils mettaient en difficulté une bande entraînée et hargneuse.Et cet homme...l'homme en noir, couvert de blessure, mais qui courait encore comme un jeune faon. C'en était trop, il fallait cessé le massacre.
Les hommes les plus forts de la bande gisaient désormais au sol. Les gros bras, sans doute. Les trois survivants étaient moins aguerris, et il ne fallait pas compter sur l'aide des deux autres, l'un se tenant le genou, pleurant sa jambe disparue, ou l'autre, un gros pachyderme qui se tenait fermement l'entrejambe en sanglotant. Dans un élan de frayeur il demandèrent grâce.
Balak terminait son mouvement de lame, mais le suspendit au dernier instant, lorsqu'il entendit les mots qui revenaient tant de fois dans ces cauchemars.

pitié.

Il termina son acte meurtier, envoyant l' homme qui avait imploré sa clémence contre le mur, la gorge tranchée.

Arania...je...je n'ai pas le choix!

Une larme coula sur les joues du mercenaire. Il recula, laissant ses compagnons décidés du sort des malandrins restant à sa place. Les mots l'avaient sortis de sa transe furieuse. Il observa à ces pieds, la quantité de cadavres qui souillaient la ruelle. Une impression de dégoût le pris mais il n'eut pas le loisir de s'y attarder. La douleur reprenait ses droits sur son corps. Il était percé de toutes part et le sang coulait de sa tunique noire. Il avait froid...si froid. Il s'adossa au muret, éreinté. Il capta le regard du ranger et sourit malgré ses souffrances:

Qu'est-ce qu'on leur à mis...

Alors qu'il restait peut-être un homme ou l'autre encore en vie, dont s'occupaient Nabz ou Earendal, un rugissement, plus terrible que ceux de Balak quand il devenait furieux, se fit entendre.
Cela distrait les derniers combatants, et soudain, la porte de la masure la plus proche, qui était déjà défoncée, vola litéralement en éclats par un coup de pied. Dans l'embasure, les cheveux défaits, les vêtements déchirés, un regard haineux...Morkas, le bretteur elfe, devenu fou furieux se tenait là.

Il s'avança. Il fixa un instant les différents combattants. Ils ne se souciait pas de leur état d'âme. Que ce soient des brigands agressifs ou des officiers de la Cité ne l'intéressait pas.. Il voulait du sang.

Il chargea.

Non loin, deux silhouettes encapuchonnées surveillaient sur les toits. Elles portaient une étrange amulette et regardaient les cadavres avec intérêt.

//Rappel : Morkas est un expert du combat, attention à lui J'interviendrai quand le combat sera engagé.//

//Bon...Plus d'Earendal ? Soit...ceci sera donc un post décalé pour permettre de continuer. Je vous invite à jouer le dur combat avec Morkas dès que possible. Un tel expert doit sûrement avoir des chose inéressantes sur lui.//

Morkas finit cependant par s'écrouler. Le dangereux bretteur était enfin mort.

[...]

La pauvre femme habitant là accourut avec de grands cris.

-Oh par Eru, merci, merci, vous êtes des héros !

Et après qu'elle leur aie parlé un instant, ils jetèrent un oeil vers le cadavre de Morkas. Le corps n'était plus là !

-Oh bon sang, dit la femme, les rumeurs sont vraies...des voleurs de cadavres dans la Cité...quelle horreur.

Deux silhouettes s'enfuyaient par les toits.

A ce moment, une patrouille de la milice passait par là.

"Oh, par l'arbre blanc...qu'est ce donc que ça ?"

Le sergent désignait tous ces cadavres.

[...]


"Ainsi, cela arrive ici aussi. Nous avons déjà des gens sur cette affaire. Libre à vous de les rejoindrent."

Un gars arriva.

+Chef; chef, les gars qui s'occupent de ça se sont battus dans une taverne et on en a vu d'autres filer vers une maison, vers le haut de l Cité.+

"Bien, soldat. Suivez le et aller jeter un oeil si vous voulez continuer cette affaire jusqu'au bout."

[quote="Radamanthe"]//Bon...Plus d'Earendal ? Soit...ceci sera donc un post décalé pour permettre de continuer. Je vous invite à jouer le dur combat avec Morkas dès que possible. Un tel expert doit sûrement avoir des chose inéressantes sur lui.//


Si si c'est juste que je suis moins libre ces temps-ci ^^



Le cadavre avait disparu en un rien de temps , et apparemment c'était l'oeuvre de quelques "voleurs de cadavre"...

Je dit tout haut sans m'adresser à quelqu'un en particulier :

-Maintenant c'est fini ?

Puis me retournant vers mes deux compagnons .

- On continue ? On suis le soldat ?

Hrp: J'ai pas beaucoup le temps de venir sur le forum donc vous inquiétez pas, je continue de guetter la quete ^^ /hrp

- Allons-y ! Il faut retrouver ces voleurs de cadavres, quelque chose se cache surement derriere tout ça !

Nabz fit un mouvement de la main pour indiquer à ses compagnons d'y aller. Ils se mirent ensemble en marche vers la direction prise par les voleurs.

- Nous les rattraperons peut etre si nous forçons l'allure, dit-il.

Sur ce, ils accelerèrent le pas.

Au bout d'un moment les trois héros, suivis d'une petite patrouille de la milice arriva devant une maison.
Là, deux silhouettes dans l'embrasure de la porte, traînant un sac.
Elles étaient surprises par ce qui se passait dans la baraque. Plusieurs batailles se déroulaient là.
Ils descendirent par une trappe, laissant les autres à leur destin.

Quand Nabz, Earendal et Balak arrivèrent là, ils virent de plusieurs hommes de la Cité avaient besoin d'aide.


//Suite ici ==>https://jeuderoles.forumactif.com/Minas-tirith-c3/Minas-Tirith-Le-Haut-de-la-Cite-f5/Amulettes-et-cadavres-Enquete-dans-la-Cite-t1639.htm //