Amulettes et cadavres [Enquête dans la Cité]

//Je fais ce sujet pour qu'il y ai un peu plus de clarté. Avec les récentes arrivées, il n'a plus rien à faire dans "Les Saltimbanques". Ceci se trouve dans le "Haut de la Cité", section principale. Retenez
Oh, et tiens...800ème message //

L'homme frappa en direction de Balthazar. Un coup nerveux mais puissant. Le garde avait de plus en plus besoin d'aide !

De son côté, celui dont s'occupait Gildor tenta un mouvement bien osé; qui le mit en facheuse posture. C'était le moment de réagir !

Et Hobasian, lui aussi avait besoin d'aide, mais peut-être l'homme allait-il relâcher son emprise ?

Celui qui attaquait Yrian fonça litéralement sur celui-ci, mais il semblait assez agile pour tenter la manoeuvre.

Les coups d'épée pleuvaient sur Meneldir. Il fallait réagir.

Quelque part, un milicien avait recensé un autre cas et emmenait des renforts pour l'enquête.

Quelque part d'autre, l'esprit d'un homme chauve était embrumé par les fumées d'encens qu'il respirait en permanence. Les nouvelles qu'on lui apportait auraient du le mettre en colère. Il resta sans réaction, planant totalement.

//800 messages //

[Mode Hobasian]


Hobasian était en facheuse posture, l'homme le tenait vraiment bien. Il tenta donc le tout pour le tout, l'homme le ceinturant, Hobasian sauta, et mis ses jambes autour de l'homme qui devait à présent le porter. Il sera les jambes afin de compresser les côtes de son agresseur et de lui couper la respiration. La manoeuvre eut quasiment l'effet esconté, si ce n'est que l'homme lacha Hobasian qui tomba par terre. Il se releva et malgré son vieil âge, frappa l'homme de la garde de son épée sur l'arrière du crâne. Celui-ci resterait là pendant un bon moment.
Hobasian partit ensuite vers Balthazar et flanqua à son agresseur un coup d'épée dans la jambe.

"Essayez de les avoir en vie afin de les livrés au Roy, il faut les assomer et les attacher"
Murmura-t-il à Balthazar.

//Désolé à tous mon ordi était planté Merci quand meme d'avoir fait joué un peu mon perso//
Meneldir avait face à lui une vraie brute et rien ne pouvait l'atteindre.
Tant pis Meneldir dut user de ces artifices et tout en parrant l'attaque de son adversaire il fit un moulinet droit vers le mollet qu'il taillada mettant à genoux son adversaire.Puis il lui assena un coup de garde dans la nuque.
L'ennemi s'éffondra telle une masse.
Meneldir se retourna pour mieux aider ses compagnons dans le combat

Immédiatement après l'intervention d'Hobasian, Balthazar perfora l'épaule de l'homme qui était tombé, d'un coup maladroit car il se tenaitlle bras avec son membre gauche.
Il souffla, et murmura le visage crispé :

-Merci, messire...

Il hésita un moment à achever l'homme mais suivit finalement la suggestion d'Hobasian. A la place, il décocha un grand coup pied dans la face de l'homme, qui s'écroula, le nez en sang.

-Soit...Celui-là est hors course pour un moment. Voyons ce qu'il reste...

Gildor était à terre et l'homme qui l'avait fait tomber fit un grand geste qui ouvrit à une ouverture. Le maître archer lâcha son arc et dégaîna son épée et trancha le tendon d'achille de l'homme, qui s'écroula. Gildor se releva en un éclair et envoya volé son pied dans la tête de son agresseur, l'assomant sur le coup.

"Il serait temps qu'on en finisse!" dit-il avec humour.

Gildor remit son épée au fourreau, ramassa son arc qu'il rangea et récupéra son bâton, se remettant en garde au cas où...

[HRP] Si mes calculs sont bons, il ne reste plus que l'homme à la cape rouge, qui ne peut pas s'enfuir, la porte étany gardée, et l'autre étant verouillée par un sort.[HRP]

[Mode Hobasian]


Il ne restait plus que l'homme à la cape rouge, Hobasian et les autres s'approchèrent de lui.

Hobasian prit alors la parole.

"Qui êtes-vous, et que venez -vous faire dans cette cité? Pourquoi la pillée, pourquoi voler ces habitants ? Donnez moi cette épée que vous avez volé immédiatement. Même si vous êtes habile au combat vous ne pourrez sortir vainqueur d'un combat contre nous tous."
L'homme était à présent encerclé, qu'allait-il bien pouvoir faire ?

L'homme se recroquevilla sur lui même. A son physique et ses habits, on voyait une différence avec les autres et leurs amulettes.

Il dit, d'une voix cassée :

-C'est pas moi...ils nous ont menacés...j'suis qu'un voleur moi...j'ai tué personne...ils ramenaient des cadavres...j'voulais pas finir comme eux, j'lai ai laissé utiliser ma planque...Mais ils y en a plein...ils ont leur base à eux, ils vont continuer !

Un des miliciens dit :

On ne tirera plus rien de lui, allons en faire un compte rendu au Roy, c'est important.

Et qui sait si quelque chose importante n'arriverait pas entre-temps.

Gildor ne comprenait pas qui pouvait être les hommes qu'ils avaient combattu et les informations de l'homme à la cape rouge ne l'aida pas à comprendre plus.

"On va enfin pouvoir aller aux Maisons de Guérison, car mon bras me fais mal, de plus je suis affamé, je n'ai rien mangé depuis hier. Quelqu'un m'accompagne?"

Tout en disant cela il récupéra l'une des deux flèches qui était intacte, car l'autre avait été brisé par la chute de la cible.

Balthazar repassa son épée à sa ceinture, tenant toujours son bras douloureux.

-Moi, je vais vous accompagner, mon bras est mal en point lui aussi.
J'espère que vous saurez raconter l'affaire au roi si vous suivez ces miliciens ? En tout cas, je vous rejoindrai au palais, quand ça ira mieux.

Et il suivit Gildor.

[Mode Hobasian]


"Je viens avec vous, j'ai une épée à remener à quelqu'un aux Maisons de Guérisons."

Hobasian récupéra celle-ci à l'homme à la cape rouge et aida les miliciens à ligoter les survivants.