Blessés de l'auberge

Cécilia suivait non loin de là. Tout le monde était en plein effervescence. Elle s'approcha de Lianole et lui demanda
- Puis je vous être utile à quelque chose ?

Elle regardait autour d'elle et se sentait quelque peu désemparée. Ou plutôt elle ne savait pas par quoi commencer. l'étendue des dégâts se voyait plus à présent et le travail à accomplir pour soulager tout le monde semblait de taille

[HRP, on considère ton post comme se déroulant deux jous après ou comme le jour même où les blessés sont arrivés ? HRP]

Deux jours à présent été passé depuis la mort de Balthazar, les blessés était tellement nombreux que'Hobasian n'avait pas encore reçu de soin. Cependant il était difficile de voir que celui-ci en avait besoin. Il ne parlait pas et avait son capuchon sur sa tête.

Un aigle entra dans la pièce et alla vers le vieil homme, il se posa sur ses genoux.
Hobasian le regarda fixement, personne ne semblait se rendre compte de la présence du volatile. Puis il se murmura à lui même.

"Mithrandir est ici.

Deux jours qui avait été si fatigant, les guérisseurs n'étaient pas trés nombreux et Lianole avait du s'occuper des bléssés qusiment seule.
Elle s'assit un instant et remarqua un homme, à l'air sombre. Il n'avait pas dis un mot depuis plusieurs heures. Elle se demanda même si elle avait déjà entendu le son de sa voix.
Elle s'approcha de lui.
-Monsieur, vous allez bien? Enfin excusez moi, je suppose que non, puisque vous vous trouvez là. Laissez moi regardez vos blessures, si vous permettez que je m'en occupe?

Sombre-chêne regarda le père du mage.Son visage était brûlé et par endroit tuméfié. Il n'eut pas itié, car il pensait que une personne fière comme Hobasian ne voudrait pas que l'on éprouve ce sentiment pour lui. Il se tint à l'écart, ne voulant pas gêner ls retrouvailles. Que pouvait-il faire? Il n'avait presque aucune conaissance en médecine. Il dit cependant à la personne qui se nommait Lianole:

Je ne suis ni médecin, ni mage. Mais si par une façon ou une autre je peux aider, comptez sur moi.

Tous ces gens qui se pressés autour d'elle, alors qu'elle n'avait pas pour habitude de parler avec des gens du village.
Elle avait manquée le combat et n'avait pu assister qu'à la fin, mais elle se dit qu'il avait du être rude.
Elle sortie de ses pensée et regarda gentillement ses deux hommes

-Votre aide sera précieuse, en effet voilà deux jours que je me presse autour des malades et je ne dispose pas assez de mains ni de soins adéquates.
Le maître de la maison de la guérison étant absent, je le remplace comme je peux... vous avez des soins appropriés pour soigner les brûlures, j'utilise des cataplasmes à base d'Aralia, mais ça ne paraît pas assez efficace.

Sombre-chêne enleva rapidement sa cape et posa ses armes dans un coin de la pièce. Il prit une carafe d'eau et un chiffon. Il s'approcha d'Hobasian et sans parler, imbiba le chifon d'eu, l'essora pui l'appliqua lentement sur le visage du professeur. Ce dernier, souffla longuement. Cela lui faisait du bien.
Le ranger déposa le tissu et rajusta Hobasian sur sa couchette du mieux qu'il put. Il se releva, la regarda quelques secondes puis fit de même pour un autre blessé. Ce qu'il faisait était peut-être inutile, mais au moins il avait l'impression d'être utile.

Lianole regarda autour d'elle, les deux hommes lui paraîssaient fieble et dévoués. Il y avait aussi quelques guérisseurs qui s'occuper des autres malades.
Il était temps pour elle d'éclaissir le mystère de la brindille de Belladone qu'elle avait trouvée dans la forêt.
Il fallait qu'elle prenne contacte avec quelqu'un de fiable.

Elle n'avait jamais trouvée de Belladone dans la forêt, et cette puissante drogue pouvait s'avérer trés dangeureuse dans des mains maléfique... l'alchimiste pourrait peut-être l'aider.
-Messsieurs, j'ai une affaire urgent à régler, je vous laisse vous occuper des malades du mieux que vous pouvez. En cas de problème n'hésitez pas à deamnder de l'aide aux guérisseurs. Votre dévouement est admirable.
Je vous salue.

Elle sortie et se dirigea vers le magasin de l'alchimiste.

Sombre-chêne hocha la tête. Il marca entre les civières, regardant autour de lui, ses ustensiles toujours dans les mains. La magie de Mithranir était incroyable. Les visages ne portaient que quelques traces, malhereusement éternelles. La pluaprt des blessés étaient à present guéris. Il reéra cependant deux personnes gardant quelques séquelles.

Mithrandir, ces deux personnes ont encore besoin de vos soins.

Tansdis que le mage approchait, le ranger fit boire ceux qui étaient guéris. Puis je dis au mage.

Je vais me restaurer à l'auberge. Venez me retrouver quand vous aurez finis.

Forlong croisa les autres dans la porte. Ils l'inviterent a l'auberge. Il deposa Balak a la maison de guerison et mit des pansements sur sa jmbe et son bras puis s'en alla en direction de la taverne.

Elle...elle s'approche...non, laisse-moi, laisse-moi en paix...non...NOOOON!

Balak se réveilla en sursaut, suant à grosses gouttes. Son réveil brutal raviva alors ses blessures, mais la douleur fut bien moins désagréable que quelques heures auparavant. Une femme se pencha vers lui.

Bonjour, monsieur, je suis l'une des assistantes de la maison de guérison, je vous est mis quelques bandages et lotions. Vos plaies sont assez impressionantes, mais aucun points vitaux n'ont été endommagés, C'est une chance.

Elle le regarda d'un air amusé...

Ou peut-être est-ce autre chose que de la chance...bref vous devriez être sur pied dans peu de temps. Je dois avouer ne pas rencontrer souvent de personne avec une telle faculté de régénération. Les plus petites plaies sont déjà cicatrisées!

Balak fut rassuré. Il ne craignait plus rien, et on s'occupait bien de sa santé.

Tout va bien, Balak, tout...va...bien...

Puis il se rendormi sur ces réconfortantes pensées. Mais tout allait-il si bien que cela? Seul l'avenir nous l'apprendra...

Revenez! revenez immédiatement! vous n'êtes pas encore guéri, je dois vous garder ici en observation pendant au moins une sem...
LA PAIX!! j'ai pris des pansements et des lotions, ça fera l'affaire! laissez-moi tranquille, et occupez-vous donc des autres blessés. Ma présence ici n'a plus lieu d'être!
Sur ces paroles incisives, Balak claqua la porte de la maison de guérison.

Et bien, il est au moins aussi têtu que moi celui-là!
La jeune assistante se retourna finalement pour soigner d'autres blessés.
Que vais-je dire à l'apothicaire, moi...

Sombre-chêne entra. La pluaprt des blessés semblaient aller, mieux, quoique encore fatigués et secoués. Malheureusement, certains n'avaient pu être sauveés, comme le rager put en juger par les draps blanc recouvrants certaines dépouilles. L'elfe regarda la pièce, mais ne vit pas ses armes. Il ne ne souvenait pas où il les avait posées. Il soupira.

Elles ne se sont tout de mêmes pas envolées...

Il marchait entre les civières, scrutant la salle, lorsque qu'une voix l'interpella:

Elfe, approchez-vous je vous prie.

Sombre-chêne se retourna. Il vit devant lui un homme d'apparende robuste, mais cette carrure ne l'avait pas sauvé. Ses cheveux étaient frisés, noir d'encre. Sa tête était rectangulaire et sa machoire carrée. Malgré ces traits peu fins, il inspirait la confiance. Contrairement aux autres blessés, le soldat semblait à l'agonie.

Oui, je ne me trompe pas, vous êtes un elfe. Quel est votre nom?

Sa voix était presque un murmure. Sombre-chêne dut se rapprocher.

Je me nomme Sombre-chêne.

Voilà un beau nom. Le mien est Fergil. Moins poétique. Je sais que je vais mourir. Je voudrais cependant avoir une mort heureuse. Etes-vous déjà allé en Lothlorien?

C'est là un de mes voeux les plus chers voeux, mais je n'ai pas eu cette chance. Je viens de la Forêt Noire.

Ce n'est pas grave. Pouriez-vous me décrire cette forêt? Je veux entendre des histoires pour mourir, et non les paroles inteligibles des prêtres.

Alors le ranger décrivit sa forêt. Combien de temps? Il ne le sut. Il contait touts les détails dont il se souvint. Puis, dans son élan, il parla des balades qu'il avait faites avec Iriön. Les animaus, les arbres, les ruisseaux... Tout fut raconté au soldat. Quand le ranger eut fini, Fergil le ragardait toujours. Un regard sans vie, inanimé. Le rager rabattit le draps sur le visage du défunt soldat, puis se leva. C'est alors qu'il vit son arc et ses couteaux, posés dans un coin de la salle. Il alla les chercher, puis sortit. Si quelqu'un l'avait croisé, il aurait vu une larme couler sur la joue de l'elfe.

Lianole avait fini sa matinée au marché

Elle se rendit à la maison des guérisons, pour s'assurer que tout se passait bien.
La maison des Guérison était encore pleines de bléssés en convalescences et de morts. D'ailleurs l'odeur commençait à être insoutenable.
-Je me suis absentée une journée et il n'est pas venu à l'esprit de lui de vous, de faire venir le fossoyeur afin qu'il emporte avec lui ses malheureux? dit elle en s'adressant aux deux jeunes guérisseurs.

Elle écrivit une missive pour le fossoyeur et envoya l'un des deux guérisseurs auprès de ce dernier.
Puis elle regarda attentivement le registre des entrées et des sorties.
-Hobasian: brûlures cicatrisées, sortie enregistrée.
-Balak:plaies importantes mais début de cicatrisation, observation souhaitée d'une semaine.

Aparement les deux hommes avait bien aidés à la tâche. Elle se di qu'elle allait regardait ce certain Balak. Elle fit le tour des lits.. à enfin son nom était encore inscrit dessus. Mais il n'était pas dessus...
Elle s'adressa de nouveau au guérisseurs:
-J'ai lu sur le registre qu'un certain Balak souffrait de blessures grave et que vous aviez convenu de le gardait en observation une semaine.
-C'est exacte Melle Lianole.
-Bien, où est il alors? Je souhaiterait l'examiner
-Nous avons été forcé de le laissé repartir. Il ne voulais plus rester ici, il a pris quelques bandage et quelques lotions... vous comprenais je ne pouvais pas l'y forcer..
Lianole compris le regard du jeune guérisseur et acquiessa, il était en effet difficile de forcer un homme fort à resté enfermé dans un endroit aussi sordide que la Maison des Guérisons.. l'auberge paraissait plus acceuillante.
Elle rassura le jeune guérisseur et continua l'observation des malades.