Les Murailles.

Forlong sortit du palais etse dirigea vers les murailles. C'etait une belle matinee. Le soleil brillait et les oiseaux chantaient comme si rien ne s'etait passe. Cependant la longue colonne des refugies prouvait le contraire.
Loin, on pouvait voir des feux: c'etaient les villages qui brulaient.
Une famille des paysans entrait justement par la Porte. Les visages des parents etaient pales d'epuisement, le petit garcon pleurait. Forlong descendit des murailles et se dirigea en leur direction. Il prit son sac et sortit quelques affaire.
-Tenez, vous avez l'air 'avoir faim. J'ai du vin et du pain. Ce n'est pas grand chose, mais ca devrait vous suffire jusqu'au moment ou les gardes vous distribuer des provisions.
Le paysan regarda Forlong et lui remercia.

Alruyd et son armée avançaient rapidement. Ils n'étaient à présent plus très loin. Ils virent au loin une soixantaines de Rohirrim qui se dirigeait vers Edoras.

"Nous sommes attendus on dirait. Et bien j'espère qu'ils ont peur car ils vont se faire massacrer ! Ha ha ha ... !!! ".

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De son côté, Eoseld réveilla Firion. Celui-ci se leva. Il se fit aider d'Eoseld pour lui mettre son armure, il prit son épée, son arc, son poignard et son bouclier puis il mit son casque. Il sortit de sa chambre et quand il entra dans la salle du trône, il vit tous les villageois d'Edoras réunient. Les portes se fermaient, signe que tout le monde était entré. Eux sortirent. Firion alla saluer Jolane et Forlong qui leur prêtaient main forte. Des trompettes se firent entendre. Les ennemis approchaient...

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Alruyd vit au loin les murs de bois d'Edoras. Son armée se mit en branle et ils arrivèrent devant les murs peu de temps après. Alruyd s'écria :

"Alors, sans roi, arriverez-vous à vous résister ?
-Hélas pour vous, Alruyd, le roi est toujours vivant et prêt à vous tuer, traître ! s'écria à son tour Firion.
-Vous êtes encore vivant ? Tenace ! Et bien de toute façon, avec ou sans vous, le Rohan tombera !"

Son armée lança toute les torches sur les murs qui se mirent à brûler. Firion savait que si un jour Edoras était attaqué, les murs ne serviraient à rien. Les Rohirrim tirèrent une volet de flèches. La bataille commençait...

Losque Forlong entendit le son de la trompette, il dit aux paysans:
-Allez vous refugier en haut du village.
Lui meme se precipita vers l'arsenal;il y avait laisse ses armes. A part son epee, son bouclier et son poignard, il prit aussi deux arbalettes et un carquois des fleches. Pendant son chemin de retour, il vit un rodeur et le roi. Il alla les rejoindre:
-Bonjour mon Roi, bonjour a toi, rodeur... Tu m'as l'air d'etre mon compatriote. Je suis Forlong, mercenaire du Arnor.

Jolane vit le Roi et nombre de ses hommes enfourcher leurs mearas, il sauta sur son destrier du Rohan et partit à la charge avec eux son épée trancha quelques têtes mais ce n'était rien face a la charge et à la tactique des Rohirrims dont les chevaux bousculaient et piétinaient tout sur leurs passage.

Au bout d'un certain temps il se sépara du Roi et se retrouva avec une quinzaine de cavalier du Rohan, ils longeaient les murailles qui brûlaient, empêchant les orcs d'entrer dans la forteresse, Jolane ciblait le moindre montagnard qui semblait tenter avancer dans l'enceinte d'Edoras à l'aide de son arc.

La bataille continua dans l'acharnement...

Forlong sauta sur son cheval. Il n'avait pas l'habilete des rohirrims au combat a cheval, mais c'etait le seul moyen de passer par la foule des dunledings.
Il degaina son epee, prit en main son bouclier de Rohan et chargea, suivi par 5 cavaliers. Ils traversent les 3 premieres lignes des ennemis, mais leurs chevaux ralentirent, xar la foule etait trop grande pour passer. A cote se battait le Roi. Forlong cassa le crana d'un orque en deux d'un coup de son epee, qui brillait maintenant agitee par une presence aussi nombreuse des orques. Il prit l'etendard du Rohan qui est tombe par terre lorsque le cavalier
qui le portait fut blesse. Il le leva au dessus de sa tete et cria:
-Chevaliers du Rohan. Rassemblez vous autour du Roi, creez un mur des boucliers! Il prit l'etendard du Rohan qui est tombe par terre lorsque le cavalier qui le portait fut blesse. Il le leva au dessus de satete.

De loin, Jolane entendit l'appel de Forlong, il vit alors la bannière du Rohan se mettre à flotter de nouveau au vent, les montagnards venaient de plus en plus nombreux, on ne savait d'où ils apparaissaient, Jolane galopa en direction du Roi pour former la défense, mais son cheval trébucha et Jolane fut projeté par terre.
Après la chute, lorsqu'il ouvrit les yeux, deux orcs et trois montagnards l'attaquère, le premier tentant de le frapper se fit couper les jambes par Gleal l'épée de Jolane. Ce dernier se releva d'un bond, et égorgea le deuxième montagnard qui l'attaquait. Sa dague elfique vin faire connaissance avec le coeur du dernier montagnard, les deux orcs peureux fuirent mais les flèches de Jolane ratent rarement leurs cibles et les deux moururent malheureusement sans souffrir.

Le temps de remonter sur son cheval, la plupart des cavalier du Rohan décrivaient une formation de défense devant les portes de la ville et près du Roi...

Durant que Anduil était en visite à Édoras, après avoir faite une ronde dans le coin de la Troué du Rohan. Il alla dans une auberge, voir des amis Rohirrims, c'était sourtout des guarde de la Guarde Royal, et lui informait de tout se qui se passait dans les environ d'Édoras, même la hausse et les baisse du prix du blé. C'est lorsque qu'il discutèrent du château d'or de Meduseld, ils entendirent le bruit long et fort d'un cor. Des orc était dans la cité et il fonça dans la mêlée. Après un bout de bataille il entendirent un cri disant de se réunir autour du roi. IL courra et remarqua le nombre d'homme autour de ces cavaliers. Il fonça vers les sauvages. Le premier dunleding reçu un coup de cimeterre dans la jaret qui mourra sur le coup. Un Uruk-Haï se dirigea vers lui. Anduil le laissa frapper le premier et l'évita, puis lui rentra son arme dans les rein et lui vola son arme et lui trancha la tête. C'était une belle lame, un cimeterre probalement orientale. Il arriva vers un troupes d'orcs et leur firent une dance de la mort qui les tua après quelque coup de lames bien visé. Il prirent une petite hache d'un des orc qu'Il avait tué et l'envoya vers un sauvage qu'i était non loin, il ne su même se qui lui arrivait qu'il mourru. Puis il vit un grand homme qui fesait près de deux mêtres, il avait la force d'un orc et il avait la laideur d'un Olog-Haï.

-Alors pauvre homme du Rohan, qui vient me défier en combat singulier! Dit Alruyd
-Mon nom vous est inutile car je vais vous tuer, dit Anduil en tournoyant ses lames.

Furieux de se qu'il venais d'entendre, il envoya deux Ouku de sa guarde personnelle. Il bloqua le premier, mais il décida de ne plus essayer, car la force d'un Ouruk de cette force risquait de lui briser le bras juste en bloquant. Il fit une roulade entre les deux balourds et une de ces deux coupa le pied de son partenaire. Anduil se leva et finissa le premier tout en tranchant le genou de l'autre. Il hurla de douleur puis fini aussi atrocément, il tomba par terre raide mort. Anduil prit une des sabres des Ouku et le lança à Alruyd tout en s'avança vers lui. Il para bien évidament et se fit entailler la cuisse.

-Pourquoi essait tu de me tuer pauvre vermine! lança Alruyd.

Anduil ne prit guère la peine de répondre et il se concentra à son adversaire tout en voyant que les rohirrim se battait pour leur roi.

Firion vit la bannière du Rohan se lever près de lui, il prit son arc et décocha deux flèches qui atteignirent deux orques qui s'approchaient de la bannière. Firion retrouva de vue Alruyd qui se battait avec un inconnu. Firion décoha une flèche, puis une autre, puis encore une autre, ceci pour tuer tout ceux qui étaient sur le passage. Une fois fait, il chevaucha rapidement et bouscula Alruyd qui tomba. Le roi lança à l'inconnu :

"Laisse-le moi ! J'ai un compte à régler avec lui !"

Alruyd se releva tant bien que mal et appela les derniers ouruk-hai de sa garde. Ceux-ci étaient au nombre de cinq, Firion en tua deux avec ses flèches, mais il n'en avait plus et dû donc y aller avec son épée. Il s'avança rapidement et en tua un premier, lui tranchant la gorge. Les deux autres s'approchèrent mais furent tués par deux Rohirrim qui avaient décocher leur flèche. Alruyd se retourna et courut hors de la bataille, Firion essaya de le poursuivre mais de nombreux montagnards et de nombreux orques l'empêchèrent de passer. Firion vit au loin Alruyd s'en aller, les flèches ne pouvant plus l'atteindre. Firion se reconcentra à sa tache première, défendre sa cité.

Les cavaliers du Rohan se rassemblerent autour du etendard. Certains d'entre eux, surtout la garde royale, se mirent tout de suite en formation.
D'autres, des villageois convoques pour servir dans l'armee pas encore prets a se battre, avaient la terreur dans les yeux. En voyant ca Forlong dit:
-Ecoutez moi Rohirrims. Que les meilleurs guerriers restent avec moi et se battent, les autres allez aux puits et essaiez d'eteindre le feu.
Les villageois partirent vite en direction du puit, pendant que la garde royale formait un mur des boucliers. Lorsqu'ils finirent, Forlong cria:
-Feu! Montrez leur que le Rohan sait encore se defendre!
Les cavaliers lancerent leurs javelots et tirerent avec leurs arcs courts. Forlong tir une fleche sur un orc qui s'approchait. La premiere rangee des ennemis tomba par terre, ecrasee par la salve. Alors les Rohirrims prirent leurs epees et se lancerent sur les ennemis desorientes. Ils ecraserent la deuxieme rangee. Mais sur les autres fronts le combat ne se passait pas si bien. Parmis les nomb\reux Rohirrrims dans la cite, seuls une centaine etaient des gurreis professionnels.

[Hrp] Merci de respecter certaines choses. Les cavaliers Rohirrims sont plus de mille. Aucun villageois n'a été appelé pour se battre. Ils sont tous partis. Il n'y a plus de rangs dans les armées, ils ont été défaits. C'est la mélée. [/Hrp]

Firion regarda alentour le feu se répendait et bientôt, la moitié des murailles flambait. Certaines maisons étaient touchées mais Meduseld ne risquait rien pour le moment. Firion décocha ses deux dernières flèches sur des montagnards. Chaque camp avait subie de nombreuses pertes. Firion dégaina son épée et se lança à la poursuite d'une dizaine de montagnards qui se dirigeaient vers Edoras. Il croisa un Rohirrim en possession d'un arc. Il lui demanda de tuer les montagnards. Il tira ses sept fèches restantes, il manqua un montagnard et il ne restait donc plus que quatre montagnards. Ils atteignirent Edoras et entrèrent. Firion fit de même et vit que déjà plusieurs autres étaient entrés. L'un de cela lança une torche dans une maison qui n'avait pas encore été touché. Firion lança son poignard sur celui-ci et il alla rapidement le récupérer avant que les autres rappliquent. Firion tua un montagnard non loin de lui, puis il arriva enfin à hauteur des quatre entrants. Il planta son épée dans le dos de l'un d'eux puis il retira son épée et para un coup de hache. Il lui coupa le bras et l'acheva en lui tranchant la gorge. Le cheval renversa les deux autres et Firion les tua. Il allait maintenant en direction d'autres qui étaient entrés. Eoseld entra à son tour et vit le roi. Il le rejoigna et l'aida à combattre deux orques. Trois orques arrivèrent dans leur dos mais ils furent tués par des flèches. Firion vit d'où les flèches avaient été tirées : Theneor. Celui-ci vida son carquois sur les montagnards restant. La cité avait été nettoyée. Tous les trois sortirent d'Edoras où ils virent que le combat battait toujours son plein.

Dans la mêlée, Jolane avait été complètement séparé du Roi et du mercenaire, il tuait tout ce qui semblait être un ennemis. Malgrès son endurance, il était très fatigué et s'éloigna comme il put du combat. Il descendit de cheval, et tira toutes ses flèches le temps de reprendre sa respiration. Après avoir vidé son carquois, il se jeta sur un groupe de sept montagnards, ces derniers attaquaient trois rohirrims. Jolane décapita le premier tandis que les rohirrims en avait tuer deux autres. les montagnards n'étaient plus que quatre, ils éventrèrent un homme du Rohan. La haine envahis Jolane et il attaqua les trois montagnards. Sa dague elfique se planta dans le front du premier, il para à l'aide de son bouclier la frappe du deuxième qu'il dénuqua et dégaina son épée d'une vitesse incroyable pour l'enfoncer dans le ventre du troisième, les deux rohirrims ayant tuer le dernier ennemis.

Voyant arriver le roi du Rohan foncer sur Alruyd, sa paressait que le roi n'était guère ami avec le chef ennemi et qu'il avait des compte à rêglé.

-D'accord, je vous le laisse!

IL lui donna un coup de pied au traite, pui alla se battre contre d'autre ennemi moins égale. Après quelque ennemi tué avec ses lames meutrière, il remarqu'a que le roi n'avait guère eu le temp pour se battre et il vit Alruyd fuir pour sauver sa peau. Anduil lui fonça dessus, mais le nombre d'ennemi était énorme. Il couru avec célérité en évitant les rohirrims et tranchant au passage quelque orcs, même s'il fesait que les blesser. Rendu près de la porte, il le vit bien comme il faut, Anduil plante une des cimeterres dans le corp d'un qui lui fesait dos et lui prit son arme, une masse, et le tira à Alruid, qui tomba, assomer. Il reprit son arme sur le corp du mourrant et alla rejoindre Alruid, pour protégé son butin. Plusieurs montagnar venirent à sa rencontre, mais leur coups était bien trop prévisible et il en massacra quelque un avant qu'il voit arriver des rohirrims en cheval qui fonça vers le petit groupe ennemi.

-Amener se fuyard et amener le plus loin possible!

Puis il alla rejoindre le roi pour se battre auprès de lui et de lui éviter la mort pas n'importe quel opportuniste.

Forlong mit son bouclier sur le dos et prit son epee a deux mains. Il etait separe de ses compagnons par une foule d'ennemis. Heuresement que avant de se lancer dans cette aventure, il s'est entraine chez Silka Sorge. Il fit une pirouette et trancha la tete d'un Uruk-Hai. Puis, voyant en face de lui un dunleding, il fit l'enchainement dernierement apprit et le desarma puis assomma avec un coup de poing. Mais certains des attaquants avaient des arbalettes. Lorsque la premiere fleche lui toucha le bras, Forlong se jeta par terre; une dizaine des fleches vola au dessus de sa tete. Lorsqu'il se relevait, il vit un Uruk juste en face avec une epee levee; il pensa: "C'est au Rohan que ma vie s'acheve." Soudain un jet de sang noir sortit des levres de la creature, et elle s'ecroula sur le cote sans vie.
Derriere l'Uruk se tenait Anduil, tenant un poignard dans la main. Forlong dit:
-Merci! Sans vous je serais deja mort! Mais il faut que je me presente: Je suis Forlong, mercenaire du Arnor.Quel est votre nom?

Anduil venait de tuer un Ouruk qui allait tuer un homme, puis il serra son poignard dans sa ceinture, car il l'avait trouver par terre, et il sortit son deuxième cimeterre.

-Enchanter Forlong d'anor, moi je suis Anduil Eithel- il donna un coup de cimeterre à un orc qui se tennait derrière lui et qu'il avait entendu venir- le Dinim,rôdeur du nord. Et si on continuait la conversation plus tard!

Il parra un coup d'un dunleding et lui tranperça ses rein et il finit son mouvement dans la gorge. Il recula vers Forlong, épée en guarde.

-Ou est le roi! Dit-il à Forlong.

Ils se battaient maintenant cote a cote, contre une horde d'ennemis. Tout en frappant avec son epee, Forlong dit:
-Le Roi? Je ne sais pas, peut etre qu'il est devant la porte, c'est la que le combat se dechaine le plus. On pourrait essayer d'y parvenir...
Il coupa la gorge d'un Uruk, et enfonca sa lame dans le ventre d'un autre.
Mais celui ci, un berserker, ignora la douleur et essaya d'etrangler Forlong.
Celui ci rassemla ses force, et donna un coup de genou entre les jambes du Uruk. Lorsque la creature lacha la gorge de Forlong, il lui coupa la tete avec son epee. Puis il dit avec une voix etouffee:
-Ces Uruk-Hai ne sont vraiment pas faciles a tuer!

Anduil essayais de l'écouter tout en se combattant, mais son attention était sur le combat, car une seul erreur pouvait le tuer. Il désarma un Uruk-hai, mais le monstre ne se laissa pas faire et essaye de l'agripper et de l'étouffer, mais il le prit de vitesse et lui trancha un artère pulmonaire de chaque bras avec chacune de ses lames et il enchaîna en lui tranceperça le genou et lui coupa nette la jugulaire.

-Oui, tu tout a fait raison, dit-il en tranchant la colonne vertébral d'un orc qui s'envenait vers Forlong, et tu devrais peut-être un peu plus te concentrer mon gars!

Eleriol regarda la bataille qui se déroulait devant lui. Il était monté sur Niphredil. Durant le voyage, elle avait été comme Sombre-chêne l'avait préidt:docile, rapide et endurante.

Bien sûr, Edoras n'était pas sur la route de l'elfe. Mais il venait d'entrer en Rohan quand une fumée avait attiré son regard. Il s'était rendu à son origine pour y découvrir un village qui finissait de se consumer. Un homme, seul, cherchait dans les décombres de quoi manger. Il avait appris à Eleriol que les orques avaient envhis le Rohan. et s'étaient dirigés à Edoras. L'elfe evait réfléchi quelques secondes, réfléchissant à la conduite à adopter. Il devait se racheter. Après avoir remercié l'homme, il avait lancé Niphredil au galop et s'était dirigé vers le Château d'Or, Meduseld.

Eleriol se trouvait à présent sur une colline et regardait la bataille qui se déroulait sous ses yeux. Cela fasait longtemps qu'il n'avait pas sorti les rames. Son épée n'avait pratiquement pas quittéson fourreau depuis... Mieux valait ne pas y penser. Il relança donc la jument vers le combat. Lorsqu'il fut à une vingtaine de pas des lignes ennemis, il descendit. Il n'avait pas l'habitude de comattre à cheval. Il sortit son arc, encocha une flèche, et décocha. Encore et encore. Puis, lentement, il dégaina son épée. Il s'approcha, fit quelques moulinets avec sa lame pour se remémoriser les gestes, puis se lança dans la bataille. Sas se préciter. Les orques tombaient. L'épée de Eleriol dansait. Cela faisait si longtemps...

[Hrp] Je suis désolé Anduil Eithel le Drinim, mais j'ai tout fait pour que Alruyd reste en vie et dans mon message j'ai dit qu'il s'était enfui et que même les flèches ne pouvaient plus l'atteindre. J'ai encore besoin de ce personnage et je souhaiterai que tu modifies ton message. Merci de ta compréhension. [/Hrp]

Firion, Eoseld et Theneor se battaient côte à côte. Leur épée frappant celle des orques avant de les pourfendre. Firion avait chaud. Sa blessure le faisait souffrir. La pensée qu'Alruyd s'était enfui le faisait encore plus souffrir. Au loin, il vit plusieurs personnes qu'il ne connaissait pas mais qui se battait pour lui et cela le réjouit. Il frappa un montagnard de son bouclier avant de le transpercer de son épée. Firion tenta de rassembler le plus de Rohirrim possible. Chose faite, tous chargèrent les orques et les montagnards. Ce fut un carnage, du sang noir jaillissait de toute part. Firion en était recouvert. Les ennemis non touchés commençaient à reculer. Il ne fallait rien lacher, c'était le moment où il fallait tout donner pour pouvoir vaincre. Certains montagnards fuyaient. Les rohirrims possédant un arc les tuèrent. Les montaganrds, les uns àprès les autres, fuyèrent, laissant les orques sur place. Une compagnie de Rohirrim allèrent poursuivre les fuyards tandis que les autres allaient continuer à se battre contre les orques. Firion en décapita un qui venait vers lui puis il esquiva le coup d'un autre. Celui-ci revint à la charge mais il fut tuer par une flèche rohirrim. Firion remercia celui qui avait tirer et continua son avancée. Eoseld, à ses côté, tomba au sol. Firion se retourna brusquement et vit que son cheval était mort, tué par un orque. Ce dernier s'avançait vers Eoseld qui essayait de reprendre ses esprits après sa chute. Firion ramassa une lance plantée par terre et la lança sur l'orque qui fut projeté à terre. Eoseld se releva, ramassa son épée et chercha un cheval dont le propriétaire serait mort. Il en trouva un non loin et il alla le prendre. Il monta dessus et revint vers Firion. Celui-ci cria :

"Pour le Rohan, tuez-les tous ! Pas de quartier ! Achevons-les !!!"

Et tous les Rohirrims reprirent courage.

Forlong et Anduil se battaient toujours contre les nombreux ennemis. Les duledings n'etaient pas des adversaires de taille pour affonter les deux guerriers. Par contre les berserkers uruk-hai n'etaient pas faciles a battre; heuresement ils etaient peu nombreux. Le Roi se battait devant la porte, soutenu par plusieurs de ses cavaliers.
Soudain un cri resonna; Forlong se retourna apres avoir acheve un ennemi et vit quelque chose de terrible. Un groupe d'Uruk-hai profita du chaos general et passa par derriere pour attaquer Meduseld, le chateau d'Or. Un berserker achevait justement le dernier garde, les autres betes entrerent deja dans le batiment. Forlong n'attendait pas. Il cria juste a Anduil pour que celui ci le suive et se lanca vers le palais. Il enfonca sa lame dans le ventre du berserker, qui mourut, avant de savoir qu'est ce qu'il lui est arrive. Lentement, tenant une arbalette dans une main, l'epee dans la'autre, il entra dans le palais.

(HRP) Désolé, jirai le changer quand j'en aurai le temp, mais de toute façon, sa ne dérange pas, ton Alruyd est toujours vivant et en liberté pour le moment

Il suivit Forlong, en tuant quelque montagnard en passant et il vit dans le chateau, les berserkers dans le chateau. Dès son arriver, il lança sa dague orc sur un Ouruk qu'il le reçu dans le coup. Il reprit son cimeterre qui était en repos dans son foureau et trancha nette un bras qui allait le frapper d'une lame à deux mains et il enchaîna le tranperça le coeur du monstre. Il renversa le cadavre sur d'autre orc qui arrivait et firent assomé ou pris au piège par le poid immense. Puis, il alla rejoindre Forlong.

La danse de la mort oppérée par Eleriol continuait, implacable. L'elfe ne pensait plus, ne réléchissait plus. Tout n'était plus que répétition et mort. Cela paraissait si simple, était si simple. Aucune émotion n'apparaissait sur le visage de l'elfe. Tout en combattant, il reprit peu à peu conscience du monde qui l'entourait. Il aperçut les Ourouks qui s'infiltraient dans le Château d'Or. Il fit mine de les suivre, mais vit deux humains y aller. Ils semblaient assez forts pour contrer l'offensive. De plus, Eleriol avait à traverser toute la mélée. Il se fraya donc un chemin vers le groupe de Rohirrims se battant contre les orques. Le sang coulait. Les reflexes revenaient peu à peu à l'elfe dont la danse n'en était que plus meurtière. Lorsqu'il arriva près des humains, il reprit son souffle. Les cavaliers étaient étonnés de la présence de l'elfe. Ils n'avait pas souvent l'occasion d'en voir un, mais en plus celui-là était si étrange... L'interressé leur accorda un regard, puis tourna un instant le roi qui se tenait à côté. Puis l'elfe repatit combattre. Il se rachetait. Les orques tombaient, un à un. La lame courbe d'Eleriol était noire du sang ourouk. Les ennemis étaient de moins en moins nombreux.

D'un coin de l'oeil, Forlong vit une ombre dans le coin du couloir. Il se retourna et tira sans penser avec son arbalette. Lorsqu'il s'approcha, il remercia les Valars pour ses reflexes. L'Uruk mort tenanit en main une arbalette qu visait dans la poitrine de Forlong. Le mercenaire continuait son chemin, ayant jete l'arbalette inutile. Il vit un Uruk, en train de massacrer le corps deja mort d'un serviteur rohirrim. Le visage mort de celui ci montrait la peur qu'il eprouvait avant que l'orc ne le tue. Forlong regarda le cadavre et pensa, qui etait cet homme, comment il s'appellait, et pourquoi sa vie s'est finie aujourd'hui. Sans doute c'etait un bon homme, qui servait son Roi comme il le pouvait, vivant en paix, sans connaitre les horreurs de la guerre. Une rage froide s'empara de Forlong. Il pouvait tuer l'Uruk d'un coup dans le dos, mais cette creature a fait trop de mal dans sa vie pour mourir rapidement, sans douleur. Forlong cria, l'Uruk se retourna et charga sur le mercenaire. Celui ci esquiva facilement le coup du Berserker, se baissa et lui enfonca son poignard dans la jambe. Losque la creature se retourna, avec un cri de douleur, il lui coupaun bras avec son epee antique,pui enfonca la lame dans le ventre. Il prit ses armes et s'en alla, laissant la bete mourir lentement.