L'amnésique

Je ne sais guère quand elle arriva exactement, comment savoir, d'ailleurs, les voyageurs de manquent pas à Minas Tirith. Mais croyez-moi, elle n'était pas une voyageuse ordinaire.
Je ne sais pas comment peut-on la qualifier. Et en vérité, elle-même ne le sait pas non plus. J'ai l'impression qu'elle ne se souvient de rien de son passé. Oh non, pas de ces petits trous de mémoires qu'ont les gens de mon âge. Rien de rien. Pas même son nom.
Ceux pour qui les noms ont vraiment de l'importance l'appellent Lili. Les autres, l'amnésique, ou la vagabonde.


Ou bien la voleuse. En effet, personne n'a tenu à s'occuper d'elle. Pourtant, elle est plutôt jolie, si un vieux débris comme moi avait pensé à la recueillir, on m'aurait traité de pervers, à n'en douter.
Mais c'est à peine si elle sait parler. Oh, elle doit savoir, en fait, mais ne l'a pas fait depuis lontemps, alors elle pousse des grognements. Elle marche courbée, regardant le sol.

Rooo, je m'éloigne, je m'éloigne. Je fais un bien mauvais conteur. Ainsi, la voleuse. C'est plus du charpardage de nourriture, mais il faut faire attention. Un jour, elle avait vu un tissu aux joliescouleurs, elle l'a pris.
Franchement, je pense que c'est aux commerçants de faire quelque chose, et pas aux retraités du coin.

A plusieurs ? A coup sûr, elle est nerveuse, c'est dur de la faire tenir en place.
La guérir ? Je n'y crois pas...Essayez...

Enfin, je parle, je parle, mais j'ai la soupe sur le feu.
Monsieur de la milice, je ne sais pas si vous m'avez écouté, mais je vous en prie, prévenez les gens. On ignore assez le peuple dans cette Cité.


Le vieil homme salua l'autre, puis quitta le bureau du milicien, de sa démarcha mal assurée.

L'amnésique, Lili pour ceux accordant de l'importance aux noms, ou bien simplement elle, se promenait dans les rues. A force d'èrer, de se perdre, de se retrouver, elle conaissait plus ou moins les lieux, mais elle ne savait dire si elle y avait déjà mis les pieds avant ou pas.

Ainsi, elle déambulait dans les ruelles, impressionée, sans doute par la Cité elle-même, mais nul n'aurait su le dire.

Et soudain, elle passa devant l'étal d'un marchand, de colliers et autres bijoux, qui brillait fort mais sonnaient faux et ne valaient rien.
Toujours est-il qu'attirée par une bague, elle l'a prit, sous le regard hagard du marhand. Et elle partit, calmement, ne se rendant pas compte de ce que cela signifiait.
Mais l'autre était un homme du sud, au sang chaud.

Il la rattrappa et sans ménagement la frappa, reprit son bien et la laissa à terre, dans un coin.

Personne ne se souciait d'elle...


[Précision : ceci est un scénar uniquement non-combattant]

La jeune fille était en haillons, amnésique d'après ceux qui s'était quelque peu intéressé à elle. Ceux qui s'intéressait à elle, à son bonheur, car il y'en avait d'autres...qui ne s'intéressait pas à ça...c'est vrai qu'elle n'était pas mal cette fille. Mais maintenant, elle se relevait, péniblement, malgré la douleur de ses blessures. Ses blessures apparentes pour la plus part, tellement l'homme n'avait pas retenu ses coups et sur ses bras courraient des echymoses en grand nombre, des coupures zébraient ses joues, encore rouge vif, des débuts de cicatrices alors que sa robe d'un blanc de neige était toute empourpée, tâchée de sang, de son sang...

Et malgré cela, elle tenait debout. Debout ? C'était beaucoup dire, ses jambes ployaient sous la douleur, pas sous son poids et des nausées gagnaient de temps à autre son esprit, l'obligeant à s'arrêter contre un mur, un instant, pour chercher un repos qu'elle ne pourrait trouver.
Si elle avait acquis une certaine connaissance de la ville et de sa disposition, elle étai trop perturbée pour s'en souvenir car elle errait, boitant et haletant, au hasard, comme on tâtonne dans une cave trop noire mais qu'on sait qu'il faut continuer, aller au bout, même si l'objet de notre recherche n'est pas visible.
Mais pour elle, cet objet lui était inconnu.

Et c'est ainsi que ses pas la menèrent à l'auberge. Ce n'était pourtant pas un but si bon pour elle. Qui sait les étranges rencontres, encore pire que la dernière peut-être elle aurait pu faire ? Mais en vérité, elle ne savait pas que c'était là une auberge. Elle ne savait pas non plus ce qu'était une auberge, le plus probablement.
Des regards étonnés convèrgèrent vers elle lorsqu'elle poussa la porte, s'affalant presque sur celle-ci. Déjà dans la rue les passants jetaient un dôle d'oeil sur ses blessures et le sang de ses vêtements - sans vouloir l'aider, cela va sans dire - mais alors là, c'était quarante paires d'yeux fixées sur elle. La plupart ne l'avait jamais vue, pour la plupart, elle était sans intêret. Mais c'est à ce moment, après avoir avancé de quelques pas, toujours chancelante, qu'elle s'écroula.

Et cette fois, ses yeux étaient clos, sa bouche, entrouverte. Seul le soulèvement irrégulier de sa poitrine sur le sol témoignait qu'elle vivait encore.
Mais ce qui marquait les esprit surtout, c'était que du col de sa robe blanche venait de sortir un médaillon. Que représentait-il ? On ne le sait.

Mais ce que quelques esprit avides avaient vu, c'était qu'il était d'or.
Et déjà ils voulaient profiter de son inconscience...
N'y avait-il donc personne à l'esprit droit ici bas ?

L'un des clients, ivre, à ne pas en douter, s'approcha de la jeune fille. Sa main, énorme et velue, se tendait au dessus du corps de la demoiselle, et elle agrippa l'objet d'or tant convoité. Mais lorsque l'individu voulu tirer d'un coup sec pour lui arracher son joyau, il sentit la froideur du métal sur son cou. Balak lui fit lentement tourner la tête puis s'adressa au rustre :

Mon brave, ceci ne t'appartiens pas...

Les chuchotements allèrent bon train dans l'assemblée, certains craignant pour la vie du mercenaire, d'autre encore commentèrent cette chevaleresque interention.

...mais appartiens à celui qui pourra la prendre. Aussi, si tu veux le bijou comme la fille...

Fussent les paroles suivantes ou le sourire carnassier du mercenaire qui glaça d'effroi l'assemblée ? nul ne peut le dire...

Viens les chercher!

L'autre se rassit, penaud, et le bruit cessa complètement dans la salle. Balak pris dans ses bras la jeune femme, inconsciente, et se dirigea vers la maison de guérison. Il adressa alors un regard à l'homme qui le perturbait, et croisa sans surprise un regard froid et dur.

J'espère te revoir bientôt, l'ami...

Déjà pendant qu'il écrivait sa lettre et se perdait dans ses pensées, il avait été troublé par l'impression qu'un regard se portait sur lui. Si bien qu'il tourna la tête plusieurs fois et toujours ses yeux se portèrent sur un seul homme. Car les autres ripalleurs et ivrognes, étrangers et gens étranges de la taverne semblaient tous ternes et dépourvus d'intérêt. Mais l'autre était sombre et la mort se lisait dans ses yeux, autant que sur son corps, au vu de on état sauvage.
Mais il ne lui prêta plus attention jusqu'à son coup d'éclat.

Seul l'air frais qui s'était engoufré par la porte lui fit redresser la tête et il ne remarqua pas la jeune fille. Même si l'instant d'après, la foule pressante agglutinée autour d'elle l'intrigua.
Et sa surprise fut grande quand l'homme à la barbe noire lui porta secours.
Il compris ainsi aproximativement la raison de ce chambard.

*N'est-ce pas pour lui qu'il l'emporte ainsi ?* se demanda t-il.
Mais il avait vu tant d'apparences trompeuses en Harad qu'il ne s'en soucia guère.
Pourtant, quand Balak tourna une dernière fois la tête vers lui, ce fut un regard froid et sévère qu'il vit, maus sûrement pas sans sentiments...

C'est à ce moment qu'on vient lui remettre une missive.
Il l'a lu rapidemment et se leva une nouvelle fois pour se rendre ver la Palais.
Un sourire dur creusa son visage tandis qu'il pliait la lettre dans le repli de son manteau.

Or, il s'avérait que comme Balak se rendait aux maisons de guérison, et que celles-ci étaient non loin du palais.
Ainsi il suivit sans le savoir les pas du mercenaire.

Finalement, il n'eût pas été improbable qu'il tombe sur lui au détour d'une ruelle.

Laemes après s'être rapidement restauré allait sortir de l'auberge quand une personne qui courrait le heurta violemment. Manquant de peu la chute, sous le choc, et absorbé dans le controle de son équilibre, le conteur eu toutes les peines a voir qui était cette personne.C'était la jeune fille qui avait provoqué le remue ménage à l'auberge....

"hola damoiselle, ce n'est pas tellement le fait que vous me tombiez dans les bras qui me dérange, mais un mot d'excuse ne serait pas de trop...Il me semble en plus que vous ne devriez pas revenir ici comme cela, c'est une action fort déraisonnable et peut être même dangereuse..."

D'un geste vif et gracieux, le conteur redressa la jeune fille et l'entourant d'un bras la mena dehors sous le porche de l'auberge, de l'autre main il dégaina partiellement la dague qu'il dissimulait dans ses vétements, rendant le geste perceptible et l'accompagnant d'un regard dur afin de dissuader les autres personnes de venir chercher des noises à la jeune fille.

La jeune fille bien que tendue et nerveuse, se laissa mener dehors sans résistance...

"quel est votre nom damoiselle??? que faites vous ici?"

rien aucunnes réponses ne vint, la jeune fille maintenait le mutisme le plus complet...

Laemes, la fit asseoir, lui recouvrit les épaules avec sa cape et chercha du regard une personne a même de l'aider, il conservait une main sur l'épaule de sa "protégée" involontaire...

Un coup d'oeil rapide. La foule se tiens à l'écart, un homme garde la demoiselle.

Qui c'est celui-là ? je l'ai jamais vu ?

Balak s'approcha doucement du duo, sans gestes brusque pour ne pas faire fuir l'amnésique.

Messire, connaissez-vous cette demoiselle ? en tout cas, je vous remercie d'avoir pris soin d'elle.

Les mots suivants eurent du mal à sortir de la bouche du mercenaire. La personne devant lui lui inspirait confiance mais en général, il travaille seul, et sa fierté en est presque atteinte.

Je l'ai trouvé il y a peu, vagabondant, et je l'ai emmené à la maison de guérison, mais désormais, je m'inquiète plus de son état mental. Je vais... peut-être avoir besoin, tout comme elle, d'une aide exterieur. Je suis un combattant, et je ne me sens pas très à l'aise comme chaperon. Aussi si vous pouviez contribuer à la recherche de son identité avec moi... je vous en serai reconnaisant.

Il regarda la sauvageonne, un joli brin de fille à ne pas en douter, avec un regard aussi curieux que compatissant.

"Vous ne me connaissez pas messire Balak?? bien soit je suis Laemes conteur de la cité.... enchanté de vous rencontrer!! Pour répondre à votre question non je ne connais pas cette demoiselle et son silence n'aide pas a combler mes questions."

Répondit le conteur au mercenaire.

"Je veux bien vous aidez, mais comment comptez vous procéder pour menez vos recherches??"

Hum...content de vous connaître, j'avais en effet entendu parler de vous dans l'auberge. Quand à cette jeune fille...

Il s'arrêta quelques instant, puis continua son discours, d'un ton bien plus sombre.

J'ai déjà vu ce genre de cas... lorsque j'appartenais à ma *tousse* troupe armée, il arrivait que certains soldats, traumatisés par ce qu'ils avaient vu au cours des batailles, sombrent dans l'amnésie et ils s'enfermaient alors dans un mutisme profond. Notre chef avait une méthode pour lutter contre cela, cruelle certes mais efficace. Il leur fesait vivre un traumatisme encore plus grand ou équivalent, ce qui créait un choc pour les hommes. Soit ils sombraient dans la folie, soit il reprenait le service... parfois, c'était les deux.

Balak se mordit les lèvres. Que lui arrivait-il ? pourquoi faisait-il de telle confidence ?


Bien sûr je n'en viendrai jamais à cette barbarie, mais peut-être que la vue d'un objet particulier pourrait éveiller ses souvenirs.

Le visage du vieillard s'éclaira d'un sourire édenté. "Ces bons à rien de miliciens à qui j'ai fait mon rapport ont-ils finalement prévenu quelqu'un", pensa t-il lorsqu'il reconnut la petite entourée de ces deux gens débattant ferme. Il ignorait qu'il se trompait. Mais un phrase en particulier le motiva à intervenir dans la conversation :
°..peut-être que la vue d'un objet particulier pourrait éveiller ses souvenirs...°

Et ainsi il s'avança, et se raclant sa vieille voix décharnée il déclara :

"Holà, gens ! Je pense pouvoir vous aider..."

Mais en vérité, l'air du mercenaire ne l'accomodait guère aussi est-ce d'un ton plus bas qu'il coninua, de manière à expliquer son intervention.

"Héhé, je l'ai juste vu quelques fois, je peux rien pour elle, mais je sais quelques trucs à son sujet, qu'on a pu déduire...
Ouais, pour l'objet, c'est possible, parait que ça marche...Mais faut co' en trouver un !
Car ne possède rien et on sait pas d'où elle vient, la petite, et tout ce qu'elle a, c'est ce médaillon, dont elle semble tenir, et pourtant, ça l'aide pas à retrouver quoi que ce soit...
Mais, en fait, faudrais ptet' y jeter un oeil..."

Le vieux avança sa main, mais la fille, d'un geste agile et rapide lui offrit une jolie giffle et commença à se débattre comme une folle, l'autre main sur l'objet.
Le vieux se retira.

"Messieurs qui êtes vigoureux, plus que moi, je pense que ce sera à vous de le lui empruntez, tout en la calmant et sans la blesser, moi j'ai peur qu'elle ne me brise les os...."

Le médaillon! J’avais complètement oublié!

Balak pris les bras de la jeune fille et serra, sans pour autant lui faire mal. Il lui susurrait des mots à l'oreille, des mots de réconfort, puis il regarda le conteur :

cher ami, j'aurais besoin de votre concours, un simple coup d'oeil suffira, mais il faut que je sache à quoi diable ressemble cet objet. Pas question de lui arracher, elle ne nous le pardonnerait pas.

Elle se débattait et criait, faisant se retourner les clients de l'auberge, avide de nouveauté et de potins. Balak eu une idée étrange. Il se remémora la berceuse que chantait Arianna à l'orphelinat. Pourquoi maintenant ? Parc que la situation l'imposait. Pourquoi pas avant ? Il en aurait été incapable, son coeur était trop froid. Aujourd'hui, il se sent envahi par une émotion jamais ressenti auparavant, presque... paternelle.
Et de sa voix grave, mais devenue étonnement chaude, il commença sa mélodie.

Fleur de vie, fleur d'amour,
tu regardes par delà les champs
mais tu ne vois pas les contours
de cette horizon mourant.
Et tu es bercé
par le vent des années
mais sache petite fleur
que même si tu grandis
je resterais dans ton coeur
et ce, toute ta vie...

Les souvenirs affluèrent, mais grâce aux entraînements de silka sorge, il parvint à les contenir. Une larme, seule, coula le long de sa joue, emportant avec elle les dures épreuves du passé.

restant un moment interdit a contempler ce mercenaire chantonner une berceuse, le conteur ne réagit pas de suite...

Il finit tout de même par ce saisir du médaillon qu'il ammena devant les yeux de Balak afin que celui ci puisse le voir....

Laemes en profita pour l'observer lui même sans en tirer quelques renseignement que ce soit, le médaillon n'évoquait rien pour lui...

Il se tourna alors vers la jeune fille et guetta ses réactions...elle ne semblait pas vouloir se calmait et réagissait ala main portait a son médaillon a la facon de quelqun que l'on aurait bléssé...

Il relacha finalement le médaillon et la jeune fille commenca a se calmer, Laemes se tourna vers Balak:

"j'habite tout près allons chez moi nous y serons mieux qu'ici en pleine rue, si vous le voulez bien..??"

"si vous permetez... je loue vos efforts pour calmez cette demoiselle mais je crois que je serrais plus a même de la maitriser, sans vouloir nullement vous offenser je crois que simplement par mon age j'ai une expérience de la gente féminine supérieur a vous !!"

rajouta-t-il avec un aimable sourire....

Point de soucis, maître Laemes, il est vrai que mes manière sont un peu brusque, car vous le devinez, je suis un guerrier, et non un courtisan. De plus, comme le permet votre race, je suis sûr que vous êtes bien plus éloquent que moi.

Mais ses traits se durcirent lorsqu'il eu achevé ses paroles.

Cependant, n'allez pas me prendre pour un incompétent. Nous irons chez vous, mais avant...

Il relâcha son étreinte, et balaya la salle de son regard perçant, avant de revenir sur le vieillard qui semblait connaître la jeune femme.

Dites-moi, citoyen, dans quel condition avez-vous rencontré cette demoiselle ? elle ne vient pas du néant, que je sache...

L'homme eut un sourire triste et hocha négativement de la tête.

"Pourtant on dirait...Je l'ai vue pour la première rôder autour de l'auberge, et je n'ai jamais entendu qui que ce soit dire qu'il l'ait vu autre part...Cela a t-il un rapport avec son passé ? Je n'en sais rien..."

L'homme leur adressa un signe de la main, avant de s'en aller à petits pas.

Et ils se mirent donc en route vers la maison du conteur.
Or il arriva que la jeune fille, qui les suivait docilement -ce qui était inquiétant d'ailleurs, si elle témoignait la même résistance avec des gens aux mauvaises intentions...- se trouva lasse de ses résistances et tomba endormie dans les bras du conteur.

C'est alors que le médaillon se retourna et qu'il purent voir qu'une insciption était à l'intérieur...
En lettres fort effacées, on pouvait voir une inscription, de deux mots

Le premier se lisait ainsi : S_lè__, car certaines lettres ne s'identifiaent pas. Le second commençait par une étrange calligraphie et était moins lisible encore.
il leur faudrait gratter un peu sans la réveiller pour avoir le symbole en entier, mais le reste disait : u__m_au

Tout cela était bien étrange.

[Editerai avec symbole]

" Loin de moi l'idée de vous prendre pour un incompétent messire Balak...vous avez d'ailleurs déjà prouver votre valeur dans cette affaire!!
Et moi qui pensais justement l'endormir, voilà que le destin nous sourit..."

dit Laemes en soulevant la jeune fille dans ses bras ...

"elle est plus légère qu'un moineau, suivez moi c'est par ici..."

il souffla doucement sur le visage de la jeune fille pour en chasser les mèches de cheveux qui tombait dessus..

Après quelques instant de marche, le conteur poussa du pied la porte de son échoppe ...

"Nous y sommes... entrez...."


[HRP]SUITE DANS MA SECTION??[/HRP]