Espionnage d'Uruk-Haï

Il aurait pourtant été clair à n'importe quelle elfe normalement constitué que les uruks testaient la machine pour voir si elle était bien mise pour tirer directement dans la passe...Les uruks n'étaient pas du tout stupides et avaient du repérer depuis longtemps ce point faible!Mais Sombre-chene n'avait pas beaucoup dormi...Aussi ne pensa il pas tout de suite à déplacer le rocher pour faire croire au succès du tir et éviter un réajustement qui pourrait à l'avenir se réveler catastrophique pour les elfes...Peut-etre allait il y penser???Peut etre allait il voir que les machines étaient groupées au milieu du camp???

Le groupe se rapprochait de plus en plus. Le caporal ne vit aucun mouvement à l'autre bout du camp uruk et espéra que les deux rangers étaient conscients du danger qu'ils courraient. Même si le caporal avait confiance en eux, il s'enfoncerait dans la tristesse si deux des siens mourraient à nouveau. Il contempla à nouveau le camp, à la recherche d'indices. Un autre bruit s'éleva, lui aussi puissant, mais cette fois au milieu du camp. Un autre engin s'apprêtait-il à tirer? Le caporal l'ignorait. Il dit à Hataldir :

Je pensais auparavant que les Uruk-Haï allaient utiliser la passe pour fuir en cas de nécessité et n'avait même pas pensé un seconde qu'elle pourrait nous servir pour les attaquer sur un autre flan. J'ai été d'une bêtise considérable. j'espère qu'Erkhil et Olryx ont receuilli assez de renseignements...

//Désolé pour ce post pas très bien mais c'est pour relancer ce topic. je sais d'expérience que l'on préfère attendre que quelqu'un poste lorsqu'une situation se bloque et et c'est la première réaction que j'ai eu. Même si ce message n'avance pas beaucoup, il remet l'action à jour si je puis dire//

// Je règle ce topic avec l'accord de Rustor pour faire avancer un peu le scénario//

Sombre-chêne leva la tête vers le ciel. Les deux heures données auparavant allaient bientôt s'écouler. Il se leva donc et fit signe à Hataldir de le suivre. C'est alors qu'un autre bruit se fit entendre. Et un autre. Et plusieurs autres. Du centre de l'armée se dressaient à présent de nombreuse machines de sièges. Le caporal, un instant immobilisé par la stupeur, vit des rochers projetés dans les airs. Tous atterirent à peu près au même endroit : la passe. Le doute que s'était permis le ranger un poignée de minutes auparavant n'était plus permis. Les tirs n'étaient pas seulement pour savoir si les machines fonctionnaient bien mais pour être prêt à tirer sur l'étroit passage en cas de nécessité. Sombre-chêne détourna le regard et continua sa route vers l'endroit du rendez-vous. Il y parvint et constata l'absence des deux autres rangers. Sombre-chêne laissa passer une minute, puis deux. S'il se conformait à ses paroles, il aurait du partir et laisser ses compagnons. Mais il ne pouvait d'y résoudre. L'elfe ne put s'empêcher de sourire à ce paradoxe. Il se leva et dit à Hataldir :

Restez ici, je vais chercher Erkhil et Olryx. Je ne peux les laisser.

Et sans attendre il partit. Il marcha à vive allure sur quelques centaines de mètres, dérapant parfois sur des gravats dans son empressement, puis put enfin voir les rangers. Il observaient tous les deux la passe et ne semblaient par se rendre compte du danger qu'ils couraient. Le groupe Uruk n'était plus qu'à cent mètres. Bien que partis avant le ranger, ils avaient du traverser toute l'armée avant d'arriver à destination. Des dixaines de rochers étaient tout autour du passage, et s'il eut été facile de leurrer les arrivants avec lorsqu'il n'y avait qu'un seul rocher, c'était à présent impossible. Mais la Providence dut intervenir ce jour là : sous les impactes des projectiles, un pan de la paroi du passage s'effondra. Les uruks s'arrêtèrent, stupéfaits, puis repartirent. Un de leurs problèmes venaient d'être résolus. Sombre-chêne, quant à lui, fut légèrement dépité. Une des cahnces de victoire venait de disparaître. Il sauta et se réceptionna souplement sur le sol. C'est alors qu'un nouvel espoir gallit : à ce niveau du chemin qui s'enfonçait dans la montagne, une pente se faisait sentir. Certes elle n'était pas forte, mais elle existait. Le caporal escalada le monticule de gravats et examina sa srtucture. Il comprit alors que l'éboulement avait été une chance pour lui et les siens. En effet, tous les rochers n'étaient retenus que par un seul. Ce-dernier, certes gros, pouvait être bougé sans trop de difficulté. Mais cet acte entrainerait sans aucun doute la chute des autres pierres qui rouleraient le long de cette pente. L'équilibre était certes précaire, mais ne romperait pas sans une intervention exterieure. Cela semblait régler tous les problèmes. le sourire aux lèvres, le caporal revint vers les deux rangers. Tous trois revinrent vers Hataldir. Le caporal dit:

Venez, rejoignons Hataldir. Nous avons à présent toutes les informations nécessaires, sauf une : où commence sentier. Nous longerons la montagne à la recherche de son origine. Puis nous reprendrons notre route vers Edoras.

Et c'est ainsi que tous les quatre partirent.

Les quatres rangers rangerscontournèrent le camp par le nord puis longèrent les Montagnes Blanches. Au loin, on pouvait encore entendre les cris Uruks et de Wargs. Sombre-chêne ne cessait de se retourner et à chaquun de ces mouvements pensaient voir une de ces monstrueuses bêtes les poursuivre. Heureusement il n'en était jamais ainsi. Le caporal n'eut l'esprit tranquille seulement lorsque les seuls bruits audibles étaient ceux du vent dans les herbes et des animaux sauvages.
Ce calme retrouvé fut perturbé par l'absence de ce qu'il cherchait : le début du passage dans la montagne. Il avait beau regarder partout, il ne voyait rien. Après plusieurs heures de chevauchée, les cavaliers arrivèrent en vue de Dunharrow. Un doute assaillit alors l'elfe. Etait-ce possible? IL espérait que non. Il arrêta Niphredil et regarda au-dessus de lui. Un chemin escaladait la montagne puis débouchait sur le camp.

Attandez-moi là, dit le caporal.

Il talonna sa jument qui commença l'ascencion. Arrivé en haut, l'elfe vit plusieurs Rohirrims le regarder avec curiosité. Il n'étaient q'une cinquantaine pour garder dette place et savaient que si leurs ennemis attaquaient, toute chance de survie était écartée. La venue de cette elfe leur redonnait espoir. Mais ce-dernier ne fit pas attention à eux. Son regard était fixé sur l'entré d'un chemin dans la montagne, ce chmin qu'avait emprunté logtemps auparavant Aragorn, Gmili et Legolas : le Chemin des Morts. Bien que ceux-ci soient disparus, la peur de ce lieu hanté exisatit toujours. Sans se poser plus de question, Sombre-chêne entama sa progression dans ce chemin. Il avança sur une centaine de mètres et apperçu une bifurcation vers l'Est. Il s'y engoufra. Le chemin était rectiligne, passant à travers les obstacles les plus grand. Rien ne lassait prévoir qu'il irait dans une autre direction. Le caporal avait trouvé ce qu'il cherchait. Bien que peu large, ce passage permettait à cinq hommes de marcher de front. L'elfe fit demi-tour et rejoignit ses hommes. Ensemble, ils continuèrent leur route vers Edoras.