Investigations

Eleriol faisait partie du groupe chargé de l'enquête sur cette étrange brèche. Il ne voyait pas comment se rendre utile autrement et ne voulait rester inactif. Le petit groupe arriva rapidement devant l'auberge. Le nettoyage avait commencé, mais les dégâts occasionés par le combat étaient encore visibles. Le corps du troll était toujours présent, étendu sur le sol. L'elfe se tourna vers ses compagnons et leur dit :

Je ne sais où se trouve cette fameuse brèche. Est-de que l'un d'entre vous pourrait nous y conduire? Est-ce que quelqu'un a participé au commbat qui a eu lieu non lion d'ici?

//Désolé c'est court mais j'ai pas trop de temps//

Darkblade se redressa,alors qu'l éxaminait son oeuvre(le cadavre trollesque).Il s'approcha d'eleriol.

-J'étais venus me saouler la gueule a l'auberge quan ils sont apparus.Je puis vous montrer éxactement où se trouve la breche.

Il poussa la porte défoncé de l'auberge,la traversa au milieu des décombres,descendu un escalier et accéda a une cave.Il alluma une torche qui éclaira la petite pièce.
Il montra du doit une brèche béante dans le mur.

-Voila la brèche.On y va?

Sans attendre la réponse,il s'y engouffra.


hrp//qui m'aime me suive!//hrp

Je rapelle que cette brèche n'est pas dans l'auberge mais dans un batiment non loin !!
Rada'

Le Haradrim dont Eleriol ne connaissait toujours pas le nom s'engoufra dans un trou béant dans un mur. Eleriol le suivit à pas tranquilles. Il esclada un petit éboulis de pierres et de briques et entra. Ses yeux s'accoutumèrent peu à peu à l'obscurité. Une volée de marches dont la fin était invisible s'enfonçait sous terre. La lumière du jour éclairait quelque peu le tunnel, mais lorsque qu'ils finirent leur descente, un coude du chemin plongea les compagnons dans l'obscurité la plus complète. Comme les étranges personnes avant eux, ils prirent une torche accrochée au mur et tentèrent de l'allumèr. Après un léger grésilement du à l'humidité, elle s'enflama. Tous se gidèrent à cette unique lueur le long du couloir.
Ils rencontrèrent plusieurs mécanismes de pièges désamorcés. Ceux-ci avaient du être installés par la milice et enlevés par ces hommes en noir. Cela facilitait la progression, mais il n'y avait aucune preuve que le parcours serait sans danger. Ainsi l'elfe marchait aux côtés de l'homme défiguré en mettant tous ses sens en alerte. Il avait eu raison : alors qu'il avançait son pied, il sentit une infime résistance. Il arrêta brusqement le Haradrim et lui montrale sol. Un filin minuscule courait sur toute la largeur du passage. Eleriol retira doucement don pied en remerciant les Valars de lui avoir permis de stopper son geste et de ne pas briser ce fil. Que ce passait-il si quelqu'un d'inscouciant marchait sans le voir? L'elfe leva les yeux et vit deux couteaux dont le lame ne créait aucun reflet pendre dans le vide. La chance avait été ave eux. Eleriol dit au Haradrim en mimant l'ironie que celui-ci avait souvaient dans la voix:

Dites-moi votre nom monsieur. Je ne pourrais pas vous sauver une deuxième fois la vie sans le connaitre.

Orzer avait entendu Eleriol parlait. Il se dirigea vers. Il était en combat contre deux hommes ! Orzer se jeta dans la bataille, Mais tous les hommes était pris...
*Dommage*, se dit-il.
Mais un autre poignard surgit de nul part.
*Ouais je commencer a desespérer !* se dit-il encore.
Il parait un coup de couteau, que si il n'avait parer, il se serait retrouver avec une ouverture béantes dans le torax !
Alors que l'homme enchainait les coups, Orzer parait de plus en plus dificilement. Il se fit blesser légerrement a la cuisse.
-Mort a toi ! Avait dit l'homme d'une voie froide.
C'est alors qu'Orzer blessat a son tour son agrésseur, mais cette fois au visage. Un filet de sang s'echappait de son visage. Il tomba a terre. Orzer allait l'achevait, lorsqu'un soldat interpella Orzer :
- Ne faites pas ça ! Il n'ait plus en état de combat, avait-il dit.
-Tu as raison... tu est noble de coeur pour tes enemis... avait répondu Orzer.

ET TU PEUX ME DIRE OU TU AS VU QUI QUE CE SOIT COMBATTRE !?!?!
IL N'Y A PAS D'AGRESSEUR ICI !!

Vous allez arriver dans une grande salle circulaire. Si certains on participé au démentèlement de la secte des amulettes, vous y avez déjà été.
Je préciserai dès que vous aurez posté en ce sens.
Rada'

Le pillard jeta un regard furieux a l'elfe.

-Tu te foutrais pas un peu de ma gueule,là?Je me nomme darkblade,pillard du harad,tueur de troll et d'émir,ca te suffit?

Puis il se retrourna vers l'architecte.Il avait apparament oublié son coup de gueule après eleriol.

-Et bien,voit tu,petit architecte,dit il avec une vanité qu'il ne tenait pas de cacher(ou alors il s'y prenait trés mal),j'arrivais a l'auberge lorsqu'ils sont sortis.Je me suis vaiilament jeté dans la mélée,tel un héros des temps perdus,puis ai massacré a tour de bras.Puis je défie le troll par derriere.Il tourne sa facer putride a peine défiguré par les ridicules sort des ces hum hum...mage.Je m'agrippe a une chaine qui le retient,monte sur son dos et enfonce ma vaillant lame dans le cou de l'affreux.Et tout cela,bien sur,au péril de ma vie...

Il était maintenant tout content.Il continuèrent leur progression.Ils arrivèrent,après maint pièges trouvé par l'elfe et maint regard furieux du pillard,dans une gigantesque salle abandoné.

-Eyh,l'elfe,tu conais ct'endroit ou pas?Ou alors personne est jamais venus?

La salle est ronde et large. Les murs sont décorés de motifs étranges aux signification qu'il vaut mieux ignorer pour sa conscience personnelle.
Au centre, c'est un espace vide, mais il restedes bouts de fer rouillé, des amulettes, des morceaux de tissu déchirés, des taches de sang voir des os.
Des petits cratères rendaient le sol inégal par endroit. C'était là le témoignage d'une grande bataille passée.
Sur le côté, des autels avec d'étranges choses posées dessus, la plupart étant cassées.

Mais c'est l'arrière plan qui marque le plus. Là est une grande idole de pierre aux formes étranges, détruite par endroits à cause d'une explosion.
Une explosion récente.
Derrière se trouvait jadis un trou. Maintenant, une galerie desecendait dans la terre.

Ah,j'aime cette odeur de bataille et de mort...

Le pillard eut un immense sourire malsain qui lui parcourait tout le visage.Il se sentait étrangement bien.Il regarda le trou béant,bouscula sans ménagement le hobbit et l'elfe,puis commenca a descendre ans la galerie éclairé de sa seule torche.Il marchait d'un pas étonnement rapide.Et du coup,il trébucha,se vautra.Et gueula,cela va de soi.Rien de trés nouveau.

-Pouah,sa pue le troll!!

Il passa un foulard rouge au étrange motif autour de sa tete afin d'atténuer un peu l'immonde puanteur.Il continuait a avancer,sans se soucier d'un éventuel piège.

Si ils sont passés,ils ont tous désactivés...

D'un coup,il trébucha sur une corde tendu,puis tomba une nouvelle fois.Un couteau passa au dessus de sa tete.Et se planta jusqu'a la garde dans la paroi de granit.


Fait chier d'avoir toujours tort.

Eleriol regardait la salle ronde avec apréhension. Hormis ce sinistre décor, il s'élvait de cette endroit une aura malveillante. Des combats... du sang... des morts... Le silence, seulement brisé par les paroles de la jeune elfe, du hobbit et de Darkblade, renforçait cette aura. Un grand mal avait été ici. Mais à quelle échelle? Elerioo ferma les yeux et se représenta la scène : le cliquetis de armes, les cris de douleur et de rage, le sang qui coule, et enfin la délivrance. Mais pouvait-on dire que cette histoire s'était bien terminée? Des enfants sans pères, des maris sans femmes. Les conséquances psychologiques. Certains avaient du être affectés à vis par ce combat, en bien ou en mal. Certains avaient été forgés aux épreuves dures, d'autres complètement anéantis. Le mal...
Sortant subitement de sa méditation, Eleriol se rendit compte qu'il était seul. Une lumière devant lui lui indiquait la direction. Il pressa alors le pas pour rattraper ses compagnons. Une odeur pestinentielle lui assaillt les narines, mais il n'y pris pas garde. Il pensait, il pensait simplement. Lorsque le couteau se planta dans le granit avec un bruit mat, il prêta sa main au pillard, puis continua sa course. Ils n'avaient que deux torches. Cela suffisait. Ils continuèrent à avancer.

NB : Il n'y a plus de pièges.

Ils continuèrent leur chemin, doucement, le chemin étant étroit. Au moins ici, dans ces couloirs tracés à coup d'explosions et de coups, il n'y avait de risque de voir le moindre piège. Par contre, autant éviter de crier trop fort, ou de heurter les parois, un éboulement n'étant pas impossible.

Ils arrivèrent à un endroit insolite, où il semblait qu'il y en avait eu un, d'éboulement. Mais un passage avait été aménagé, à coup de marteau, de pioche, d'explosif et peut être de troll.
Ils le passèrent, comme leurs ennemis l'avait passé auparavant.

Ils arrivèrent là en un endroit étrange, où une rivière coulait.
On voyait sur le côté l'eau qui avait été jadis empoisonnée mais purifiée, et les restes d'un corps. Il était là depuis longtemps.

Ils étaient en vérité dans les canalisations qui servianet à alimenter la Cité en eau. Peut-être certains étaient-ils déjà venus à l'occasion d'une enquête ?

Oh,un cadavre.

Le pillard s'approcha du corp sans vie.Il fit un bond en arriere.Le corp était dans un état de décomposition avancé,et meme a travers le foulard on sentait son odeur.Des mouches voletait et rentrait se nourrir dans le mort.Il passa son chemin s'approcha de la riviere.

-On ne peut pas passer,la riviere est pleine de pierre tranchante comme du mithril et le courant est bien trop fort.Il faut qu'on passe par dessus.

Il prit une corde dans sa sacoche et fit un noeux coulant au bout.Il lanca la corde qui s'accrocha a une stalagmite sur l'autre rive,puis tira pour serrer le noeux.
Puis il accrocha l'autre bout a une stalagmite qui se trouvait a coté,puis grimpa sur la corde,cala ses jambes et entreprit de se faire glisser le long de la corde a l'aide de ses bras et jambes.

-Un par un sinon la corde va lacher!

Ce fut au tour d'Orzer de passait. Il prit la corde... elle ne tenait plus beaucoup... s'elança. La corde allait craquer si il restait plus lomgtemp. Il averti les autres qui était derrier lui :
-Faites attention, la corde va bientôt lachait ! avait-il criait.
Il rejoignit Darckblade qu'il avait déja vu plusieur fois. Il était assez imprésionnant, mais un peu arrogant, enfait comme tous les pillard venant du Harad.
-Comment t'appelle tu ? lui demanda Orzer d'un ton sec.
Il connaissait la profession de Darkblade, mais on nom lui était inconnu.

Au loin, ils pouvaient apercevoir comme une lumière, un fin faisceau doré qui courait le long de la paroi inégale de roche grise, traversant les ténèbres et les brisant par sa clarté.
Ce n'était pas tout près, mais ils pouvaient facilement y arriver en remonant la rivière. En effet, le cours d'eau était bordé d'un petit sentier étroit, tapissé de gravillons, tellement peu large que parfois il fallait s'aggrppier à la paroi pour ne pas tomber.
En un endroit, il apparut que la rivière était divisée en deux, mais il était logique de suivre la piste où on apercevait le flament de lumière.
Il y avait moins de courants à cet endroit, et même avant, il ne devait pas y en avoir tant que ça, ni de profondeur. Pas assez pour empe^cher une créature massive d'y avancer.
Mais finalement, la piste débouchait au grand air quand on ateignait la lumière qui était lointaine auparavant.

Là, ils comprirent que cette rivière alimentait la Cité en haut, et qu'elle prenait sa source dans la forêt où ils se trouvaient, non loin de la Cité.
L'herbe y était piétinée de partout, de traces de cendres étaient là, et elles venaient du nord. Mais il n'y avait plus personne, et si ils remontaient les traces, ils se perdraient.
Il n'y avait rien.

Sauf...un morceau de parchemin, sur le sol, à moitié déchiré.

Eleriol avait suivi les autres sans un mot. Il touchait la paroi rugueuse du tunnel de sa main. Chaque irrégularité prenait une importance. Après quelques minutes de marches, ils arrivèrent devant une rivière et un corps sans vie. L'elfe en avait vu énormément durant sa vie, et pourtant il prêta à celui-ci une attention toute particulière. Hormis le fait de sa présence insolite ici, Eleriol se posa des questions sur la vie de cet homme. Pas si il avait choisi d'être ici ou une autre question sur les préludes à sa mort, mais dans l'ensemble. Tout cela pouvait se résumer en une seule phrase : qui était-il? Question anodine, mais dont la réponse pouvait nécessiter de longues paroles selon les points de vue.
Eleriol regarda devant lui. Les autres l'attendaient. Il s'était encore une fois laissé emporté par ses pensées. Il franchit agilement la rivière grâce à la corde, puis suivit ses compagnons. Il remontèrent la rivière en se guidant grâce à une petite lueur au loin. Le sentier, étroit, rendait difficile la marche, et Eleriol dut s'agripper aux défauts de la paroi pour ne pas basculer. Encore une fois il apprécia le contact de la roche sur sa main.
A la bifurcation, Elreiol continua son chemin vers la lumière. Tout en marchant, il nota que la profondeur et le courant permettait sans difficulté à l'éventuel troll de passer.
Finalment il atteignirent la sortie. Le vent leur fouetta les visages, tranchant avec le calme plat de la grotte. Des cendres et des traces de pas jonchaient les sol, mais à première vue, aucun indice n'était suffisant. En tout cas, tous étaient à présent sûrs que les hommes noirs et le troll étaient entrés par là. Eleriol regarda à nouveau le sol et y vit un parchemin quelque peu déchiré. Intrigué, l'elfe le prit et le regarda...

// Je ne continue pas, je ne peux pas le décrire //

Le pillard se retorna vers ozer.

-Eyh,tu me demande mon nom plus poliment,le nabot,ok?Je suis pas ton clebs!J'm'appele Darkblade,et on serait pas en mission je t'aurais déjà étripé!

Il avanca sur la paroi rugueuse.Il s'écorcha une main,puis arriva au coté d'élériol.Il le vit qui tenait un parchemin.

-C'est quoi ce truc?Ta liste pour les courses ou un papier que t'a trouvé dans les ordures?


L'elfe ne releva pas ces sarcasmes idiot et prépubères,les penssées fixé sur les notes sur le papiers.

Eleriol en effet ne releva pas les propos emplis d'ironie. Il ne sourit même pas. Il resta plongé dans l'étude du parchemin quil venait de ramasser par terre. Il répondit cependant au Hobbit, sans faire de distinctions avec les autres :

Suivre ces traces ne me semble pas une idée appropriée à notre mission. Celle-ci avait pour but simplement de trouver l'endroit par où sont rentrés ces étranges hommes. Nous l'avons fait. De plus, nous n'avons aucune idée de l'endroit où mènent ces empreintes : ce peut être à une centaine de mètres comme à plusieurs lieues. Je pense qu'il est simplement nécessaire de noter qu'elles partent vers le Nord. Nous venons de découvrir un morceau de parchemin qui pourrait avoir toute son importance. Je propose que nous rentrions au plus vite à Minas Tirith pour informer de nos découvertes les dirigeants de la Cité Blanche de façon à ce qu'ils puissent envoyer dans les plus brefs délais, s'ils le veulent, des éclaireurs qui seront beaucoup plus aptes que nous à suivre ces traces. Qu'en pensez-vous?

//Si Rad' tu pouvais poster pour nous donner une description du papier...//

Le pillard tapota négligeamment le haut du crane du hobbit comme a un enfant de bas age,puis regarda eleriol avec une expression moqueuse sur le visage.

-Non mais tu crois que je vais retourner a minas tirith,cette ville de lache et d'humain geignant,au lieu de continuer la piste et de me couvrir de sang et de gloire?T'a fumé du hashich de l'haradwaith ou quoi?

Il partit d'un grand rire sardonique vers la rivière où,apparament,le troll aurait pu passer.

//Je vous préviens que comme je l'ai dit, les traces ne mèneront nul part...Maintenant si vous voulez quand même continuer...//

Amos de Godillon, lieutenant de Gondor, qui accompagnait cette mission après avoir le premier à réagir parmi les gradés quand l'attaque était survenue, jeta un oeil au pillard.

"Mais que fait tu ici, alors, mendiant ? Prend garde à tes paroles, tu n'es pas chez toi ici..."

Mais le papier que tenait l'elfe était bien plus intéressant que cet abruti prétentieux.
Dessus, on pouvait lire, en Commun, d'une écriture brouillée par les intempéries,
Demain, à midi, comme convenu. Le passage est dégagé. Nous ne pouvons souffir aucun contre-temps, nous risquons d'être trahis.

C'était évident à présent. C'était là un projet de longue date, et il était orchestré depuis la cité même. C'était là qu'il fallait chercher les responsables, terrés dans leurs ruelles.

Eleriol répondit à l'elfe :

Comme vous voudrez. Mais je mintiens mon opinion. je vais donc rentrer à Minas Tirith, continuez votre route si vous voulez.

Sur ces paroles Eleriol se retourna et réentra dans le tunnel. Lors de son chemin de retour, il médita quelques instants ce qu'il avait pu lire sur le parchemin. Un informateur existait dans la Cité Blanche, un traître. Cette information ne pouvait attendre. Eleriol pressa le pas, n'hésitant pas à de mouiller pour avancer plus rapidement.