Réunion de crise au Palais.

Radamanthe et moi entrâmes dans le Palais. Il émanait de la pièce une étrange impression, une atmosphère morbide. Au sol on pouvait voir des mares de sang, c'était là qu'Alira avait surement abbatu son employeur... Le sol blanc du Palais été souillé du sang de ce traitre qui vivait dans la Cité blanche. Trempé du sang de l'intigateur même de ces troubles, le Palais devait acceuillir une discussion des plus brèves et importantes concernant les récents evenements. On nous apporta des chaises afin de nous permettre de nous reposer quelque peu.
Une fois installé, je regardais l'intendant et lui dit.

"Que faire à présent ? Nouqs les avons battus, mais il nous ont volés... Nous allon surement devoir mener bien des enquêtes avant de retrouver la bannière. Et ces Elfes ... Ont-ils tous perdu la raison ? Sont-ils devenus fous ? Ils agissent d'une bien étrange façon envers leur anciens alliés ... Ceux qui nous ont attaqué n'agissent pas de leur propre initiative je pense. Même la personne qui a organisé ça dans la Cité n'était surement qu'un pion... Des grands desseins sont en marche, et nous ignorons qui est véritablement à l'origine de ces vols... Après le Palantir, c'est la bannière d'Arwen Undomiel qu'on nous vole, c'est forcément lié... Quand à notre armée, elle ne fut aps assez bien formée pour ce type d'attaque... Il faut qu'il subisse un entrainement intensif pour leur apprendre a stopper convenablement une assenscion telle que celle de nos ennemis, ils sont montés bien trop haut dans la Cité..."

Je m'arretais un instant, plongé dans mes reflexion personnelles. Je pensais alors à voie haute.

"Avec tous ces evenements je n'arriverais jamais a épouser Milindë et d'ailleurs, avec l'état d'Hobasian il est possible que cet evenement soit repoussé..."

Puis, me rendant compte que je pensais tout haut...

"Pardonnez moi, je me suis quelques peu égaré ..."

L'Intendant suivit le Mage, lentement, traînant les pieds, plongé dans de sinsitres pensées qui lui embrumaient l'esprit.
Le Roy, lui, semblait encore plus confus. Il n'avait dit mot jusqu'à présent. Heureusement que sa présence rassurait les foules.

Ses yeux se posèrent sur l'homme vêtu de vert. Il retint un sursaut d'étonnement. Cet homme était un véritable géant. Heureusement qu'il n'embêterait plus personne.
Mais Mithrandir le tira de ses pensées.

"Evidemment...J'ai entendu d'étranges histoires sur les elfes, ces temps-ci. J'espère que Nidnama pourra nous éclairer...
Et vous avez raison, si leur meneur est mort àquelques pas de nous, et qu'ils ont quand même emporté cette bannière, il paraît évident qu'il y a quelque chose d'autre..."

Il s'arrêta, fixant le sol d'un regard grave.

"Cette intrusion était la diversio parfaite. Nos ennemis disposent de grands moyens.
Mais nous ne pouvons blâmer nos soldats. Jamais quiconque n'avait imaginé telle incursion dans nos murs mêmes, avec notre système de cercles si efficace contre une attaque extérieure.
Ils nous privent des symboles anciens marquant le retour du roi Elessar...Ils veulent semer le doute dans notre esprit."

Puis il s'arrêta, interpelé par les dires de Mithrandir.

"Oh..Voilà qui est intéressant...Dommage que tous cela soit arrivé..."

Puis il tournason regard vers la porte, le lointain, là où des gens enquêtaient.

"J'espère qu'il y aura des résultats à la brèche. Il faut absolument que nous en sachions plus...c'est une enquête difficile qui commence..."

Silka qui, néttoyant son épée Galgal dans un extrait de cuir, passait à proximitée du lieu de rendez vous du mage et de l'intendant de la cîté.
Elle avait accompagner Radamanthe dans tout leurs combats, faissant profiter de son talent de bretteuse sans pour autant prendre de gros risques en jouant au héros. La prudence fait vivre plus longtemps, dit on.

Elle salua les deux hommes d'un hochement de tête, souligner par un radieux sourire qui avait pour don de faire ressortir un peu de féminitée dans ce personnage si martiale.

N'ayant l'esprit à faire l'intrus, elle continua sur son chemin, encore troublée par la soudaine apparition des récents intrus.

Murdock, ne sachant trop ce qu'il devait faire, jugea qu'il devait s'assurer de la sécurité de la réunion de crise avant d'envisager de soigner ces blessures.

Lorsqu'il vit l'intendant et le mage s'installés et commencés à débattre, il se mit légèrement en retrait et écoute attentivement tout ce qui se dit, ne sachant s'il pouvait intervenir.

Quoiqu'il en soit, il déposa contre un pilier de la salle son bouclier et sa lance pour mieux tenir son épée prête à l'emploie au cas où.

Il est alors complétement surpris en apprenant la perte du Palantir, nouveau venu dans la cité, il n'avait pas été mis au courant. En tout cas, tout cela éclaire les événements sous un nouveau jour. Mais il se garde encore d'intervenir car ces idées ne sont que des hypothèses qu'il ne peut prouver.

De toute façon, si ces seigneurs souhaitent qu'il parle et fasse part de son avis, ils lui feront savoir.

Douleur apparue comme par magie dans la piège, suivit de plusieurs griffes toutes aussi silencieuses dans leur approche.
Leurs tuniques qui étaient poussièreuses et parfois tâchés de sang en disait long sur leur absence durant les récents évenements.

La jeune femme fit rouler un objet blanc vers l'intendant et le mage. Etrangement, l'objet ovale laissa une trainer danss on sillage... Une trainée rouge, de sang.
La "chose" s'immobilisa à quelques centimères du pied à Radamanthe et dévoila sa sinistre identitée... Un visage partiellement recouvert d'un masque blanc semblait échanger un regard vide de vie avec l'Intendant.

- Il y en a eut deux autres des similaires... Et surement beaucoup d'autres si nous les avions pas interrompue dans leur besogne. Ils accompagnaient les autres intrus. Mais tout cela est reglé désormais...

Douleur fit une pause avant de reprendre, comme si elle doutait d'elle même en abordant le sujet :

- Intendant, certains de mes hommes m'assurent avoir reconnu le croassement d'un corbeau au palais... Un bruit très familier et reconnaisable d'un animal nous appartenant... Avez quelque chose à me dire à ce sujet ?

Les autres griffes restaient de marbre derrière la nommée "Douleur", capitaine par défaut des Griffes d'Ammoth depuis la disparition de Silence.

Les yeux de l'Intendant suivirent doucement la masse qui roulait vers lui.
Il eut un sourire malsain quand il découvrit ce qu'elle était vraiment.
Ainsi, les compagnons de Silence (car leur foulard parlaient, comme toujours, pour eux quant à ce qui était de les indentifier) aimaient toujours rappeller ce qu'ils étaient.

Mais ce nétait pas tant la tête tranchée qui intéressait l'ancien bourreau plutôt que ce qu'il y avait dessus. Encore un de ces masques blancs !

"Personne n'a parlé d'hommes masqués de blancs qui soient sortits de la brèche...Cela veut donc dire qu'ils ont plus d'hommes sur place que nous ne le pensions...Cela peut vouloir dire qu'il y a plus de chance qu'on les trouve..."

Il n'acheva pas sa phrase. Cela voulait également dire qu'ils n'étaient pas en sûreté. Heureusement que des gens comme Murdock ou miss Sorge restaient sur leur garde. Quand l'équipe de la brèche rentrerait, on aurait besoin d'eux.

"Un corbeau ? Je n'ai rien entendu de tel. Mais ce n'est pas courant en la Cité Blanche...Peut-être d'autres en savent-ils plus ?"

Les portes du Palais Blanc s'ouvrirent et toutes les personnes présentes se retournèrent... Milindë vit Murdock se lever serrant son épée. Elle lui fit un signe de la main, lui indiquant qu'elle ne menaçait personne. Ce n'est que lorsqu'elle fut plus proche qu'il la reconnu.
Je me retournais vers les portes et vis arriver Milindë, quelles nouvelles d'Hobasian allait-elle apporter ? Etait-il mort ? Sa magie et ses dons avaient-ils réussi à l'empêcher de mourir ? Elle arriva a hauteur du groupe de discussion. Elle jeta un regard aux Griffes présentes et s'inclina devant le Roy. Je me levais de mon siège et me dirigeais vers elle. Nous nous dirigeames un peu plus loin afin de pouvoir discuter sans déranger et sans être dérangé.

"J'ai réussi à le mener en dehors du monde des Ombres... J'ai utilisé plusieurs contrepoisons puissant et les vertues de l'athelas et de plantes cicatrisantes. Je pense pouvoir le dire sans risque, il est tiré d'affaire... Il est encore convalescent et inconscient, mais il dort d'un sommeil réparateur..."
"Merci"

Fis-je ne trouvant rien d'autre à dire avant de l'embrasser comme véritable remerciement.

"Meneldir et Belgarath sont actuellement à son chevet ... Elessarion les a rejoins."
"Tiens dont, as-t-il dit où il était ?"
"Non, mais j'ai perçu quelque chose... Je pense qu'il a fait des choses peu avouables ..."
"Une fois cette réunion terminée, j'irai lui parler... Esperons qu'il ne se soit pas fouré dans un sale pétrin."

Milindë m'adressa un sourire. Puis elle sortit le linceul blanc et me montra la flèche.

"Voila la flèche qui a failli tuer ton père, je n'en ai jamais vu de semblables, elle est très complexe, on dirait une sorte de mélange entre différentes flèches ... Je ne sais d'où elle vient, peut-être cela interessera-t-il quelqu'un ici..."

Nous revînmes dans le groupe qui débattait des récents evenements.

"Voici une flèche que je n'avais jamais vue utilisée par nos ennemis, en avez vous déjà vut de pareil ?"

Milindë me regarda pui vit mes blessures... Elle me dit par la pensée.

"Tu as perdu beaucoup de sang, tu devrais venir aux Maisons de Guérison... Tu risques de sombrer dans les brumes de l'inconscience... Il faut te soigner."

Je lui répondis que je viendrais dès la réunion finie... Elle avait raison, les blessures me fatiguaient, il faudrait que je fasse un tour aux Maisons de Guérison sous peine d'une aggravation. Avant de partir, Milindë m'adressa un langoureux baiser, faisant fi de la présence du Roy et de ses Généraux. Elle tourna ensuite les talons vers les Portes du Palais qui s'ouvrirent pour la laisser partir.

Un messager arriva et chuchotta à l'oreille de Mithrandir :

-Je suis désolé de vous interrompre mais le mage Tanarith dit Ambremage souaiterait s'entretenir avec vous. Il dit qu'il attendra le temps qu'il faudra à votre tour.

Le messager partit sans attendre la réponse du mage car il comprenait le caractère important de cet réunion.

Alors que le messager partait je lui dis.

"Dites lui plutôt de passer aux Maisons de Guérison, je ne reviendrais pas tout de suite à la Tour."

Il se retourna et acquiesça. Je m'adressais alors à la petite assemblée présente.

"Allons-nous suspendre cette assemblée ? Je pense que nous avons évoqué les points principaux... Pour résumer, il faut que nous menions différentes enquêtes pour trouver les coupables et les instigateurs du vol et de l'attaque. Peut-être que si nous agissons promptement nous pourrons retrouver els objets volés, mais rien n'est moins sur. Cependant tous ces événements doivent nous avertir, des troubles se font de plus en plus sentir, nous devons avoir une armée prête à partir et a se battre à la moindre alerte... Nous ne pouvons nous permettre le même type d'échec... Nous avons réussi à sauver la Cité, mais à quel prix ! De nombreux morts et de nombreux dégâts... Il faudra inspecter chaque cave et chaque souterrain afin de repérer d'éventuelles autres bèches qui permettraient à des ennemis d'entrer en toute impunité ici. Radamanthe, concernant l’affaire du vol du Palantir, je ne saurais que suggérer une rapide tentative avec celui qui reste. "

Je me dirigeais vers le Roy et lui murmurais à l’oreille.

"Je voulais vous faire part d’une chose mon Roy, quelques personnes et moi-même avons formé une Guilde qui agit dans l’intérêt des Terres du Milieu, j’estime qu’il est temps que vous en soyez mis au courant … La Guilde est alliée à la confrérie de Rustor Gelmiron et l’un des membres de celle-ci n’est autre que Méakil oth Harad, l’Emir d’Harondor… Les autres dirigeants de royaumes seront mis au courant de l’existence de ladite Guilde. "

Une fois ce petit aparté avec le Roy terminé et après mettre assuré que personne d’autres n’avait entendu, l’Intendant étant au courant de l’affaire de puis peu et les Mercenaires présents ne m’inspirant pas la plus grande confiance, je retournais m’assoir sur ma chaise, l’air exténué…

Radamanthe ne dit mot pendant un instant. Le Mage avait bien résumé la situation.

"Oui bien sûr. Je pense que dès nous aurions pu nous soigner, je réunirai un groupe d'enquêteurs, et qu'il faudra envoyer des patrouilles, eh bien, patrouiller, mais avec plus d'efficacité que tous ce qui a été fait.
Je ne pense pas qu'il puisse y avoir d'autres brèches, mais il nous faudrait le rapport de ceux qui sont partit examiner ça.
Mais il me semblait que l'endroit d'où ils sont apparus ait été comblé par une explosion. Comment sont-ils arrivés ?"

Il avait dit ça bien haut, et les mercenaires purent l'entendre, bien que ne soit pas le but qu'il recherchait spécialement.

"Mithrandir, vous êtes dans un état épouvantable. Notre souverrain également. Son héritier est partit. Il faudra remettre l'utilisation de l'autre palantir à plus tard, je le crains...Vos dons seront aussi précieux si nous devons repérer un groupe précis de gens dans la multitude de bâtiment qu'est cette Cité...Il faudra aussi que j'aille voir ce qu'on fait nos espions durant tout ce temps..."

Il semblait temps que tous prennent au moins une heure de repos, même si certains auraient besoin de plus.

"Vous avez certainement raison Radamanthe, ill va nous falloir remettre ça mais chaque minute d'attente nous éloigne de la bannière... Bon et bien, je vais m'en aller me faire soigner aux Maisons de Guérison et dès que je serais remis sur pied, j'essayerais de prendre par aux enquêtes."

Je m'appretais à sortir quand Elessarion vint me voir.

"Oui, en effet, j'ai à te parler... Milindë ta croisée et a eu un étrange préssentiment te ... vous concernant."

Fis-je en rectifiant ma phrase en me rappelant de la présence de Gaur.

"Pour tout te dire elle a peur que toi et Gaur vous soyez fouré dnas un sacré pétrin... Et quand je dis peur, c'est vraiment peur..."

Je me levais de ma chaise, saluait l'Intendant et le Roy avant de saisir l'épaule d'Elessarion d'un geste amical.

"Allons discuter aux Maisons de Guérison, une fois sur place, je te demanderais de me raconter tout ce que tu as fait et sans mensonges... Je prèfère, si tu as fait quelque chopse de répréhensible l'entendre de ta bouche plutôt que de l'entendre de la bouche de quelqu'un d'autre."

Je pensais au fond de moi et esperais qu'il ne me mentirais pas et que Gaur ferait de même, je ne comptais pas utiliser mes pouvoirs pour lui soutirer des informations. Soudain, je me fis chancelant... Je m'étais surestimé et mes blessures avaient raison de moi. Il fallait que j'aille aux Maisons de Guérison promptement.

//Elessarion, je te laisser poster pour répondre, préviens moi si tu postes ici ou aux Maisons de Guérisons//

Mithrandir eu un mauvais présentiment... mais cette fois ci au sujet de Morgoth.

Il ne sentait plus l'Ombre dans celui ci...Ou dumoins plus la même, par contre La ville en était remplis, spirituellement elle était devenu sombre, aussi sombre que Minas-Morgùl!

Quelque chose est sortit, et cette chose a un pouvoir trop grand pour être arrété par de simple personne... Mithrandir lui même en eu un pincement au coeur en ayant un fraction de seconde la vision de l'arbe brulant, et de la cité noir et rouge de braises et de ténèbres!
L'OMBRE et LA FAMME!!!!

Murdock avait pris le soin d'écouter tout le monde et il se dit qu'il se devait d'intervenir car personne n'avait parlé du point qu'il avait en tête depuis qu'il avait appris le vol du Palantir.

"Intendant, si je puis me permettre, il me semble que la clé pourrait être le vol du Palantir. Pour utiliser les pierres de visions, il me semble qu'il faut deux points : avoir une affinité avec la magie et avoir un autel sur lequel repose le palantir. Hormi celui du Mordor, il me semble qu'en Isengard, il y avait une telle pierre. Des rumeurs circulent dans la cité sur des problèmes importants dans le Rohan, les deux faits pourraient avoir un lien bien que je ne vois pas bien encore ce lien.

Sinon, je vous propose de me rendre à la caserne au plus vite pour y réunir le maximum de membres de l'armée et de nous tenir prêt à intervenir selon vos ordres."

Radamanthe se tourna alors vers Murdock, qu'il avait trop longtemps ignoré.

"Non, il ne faut ni l'un ni l'autre. La pierre d'Orthanc n'est plus en Isengard. Elle demeurait dans la cité jusqu'à ce qu'elle soit volée. Le palantir d'Anor, seul nous restant, est maudit et il ne sera pas facile de l'utiliser.
J'espère qu'il n'y a pas de rapport avec le Rohan..."

Puis il s'adressa à tous.

"Bonnes gens, une enquête va partir, immédiatement, dès que l'autre équipe sera revenue. Il ne serait pas déplaisant que ceux qui se sont le plus illustrés soient ici dans une heure. En attendant, j'ai à faire..."

Et il partit.

*Hum, pensa t-il, il faudra encore distribuer les conpensations, nommer des remplaçants, et bien d'autres choses encore...et cette enquête qu'il faut mener d'urgence, en même temps...*

Eleriol entra d'un pas assuré dans le palais. Il regarda autour de lui et contempla la beauté du lieu. Même si ce n'était pas le moment, il ne put s'en empêcher. Les grandes statues de rois anciens encadraient un parterre de marbre blanc et noir. Au fond se dressait le trône, magnifique, du roi du Gondor. Pendant une trentaine de secondes, l'elfe resta muet dans sa contemplation. Il fut ramené à la réalité par une quinte de toux gênée d'un garde qui s'était approché. Eleriol se tourna vers lui et dit d'une voix précipité :

Veuillez m'excuser. Je suis l'elfe Eleriol. Je faisais partie du groupe qui est parti à la recherche d'indices concernant le mystère de l'entrée de ces hommes en noir et du troll. POur ce faire, nous avons décendu le un tunnel qui menait à une salle circulaire. Peutre-être que je me trompe, mais il me semble que c'est dans lieu même qu'ont euent lieu les affrontements entre les soldats du Gondor et ceus de cette secte aux amulettes. Là, nous avons aperçu une autre faille qui conduisait sous la montagne. Elle nous a mené à une rivière, puis à l'air libre. En ce qui conserne cette rivière, je crois savoir que c'est celle là qui alimente la Cité en eau et qui a subi une tentative d'empoisonnement. Ces deux affires, ou plutôt trois, doivent donc être liées. Mais ce n'est psa tout : à la sortie de la grotte, j'ai trouvé ceci.

L'elfe présenta à tous le papier où était écrit:

Citation :

Demain, à midi, comme convenu. Le passage est dégagé. Nous ne pouvons souffir aucun contre-temps, nous risquons d'être trahis.

Eleriol reprit la parole d'un ton neutre :

Vous en tirez le mêmes conclusions que moi : cette attaque était planifiée. Mais pas seulement par des personnes exterieures, aussi par des personnes à l'interieur de Minas Tirith. La dernière phrase peut laisser supposer plusieurs choses : soit l'un des leurs à failli les trahir, soit un des votres vous a trahi et a hésité à revenir de votre côté. Les enquêtes ne sont pas finies.

L'elfe avait volontairement uilisé le pronom "votre" pour désigner les défenseurs de Minas Tirith. Il ne se sentait dépendant de personne et ne voulait pas l'être.

Radamanthe s'était esquivé un instant jusqu'à sa maison. Ce n'était probablement pas un endroit digne d'habiter pour un Intendant, mais il tenait à garder cette pièce à l'extérieur du palais, souvenir de ses anciennes activités. Là, il n'était pas opressé par toutes ses obligations.
A peine arrivé, il faillit s'écrouler sur une chaise, se ratrappant à temps.
Finalement, peut-être ses blessures étaient-elles assez graves pour justifier un passage aux maisons de guérisons.

Néanmoins, un petit mot griffoné à la hâte, signé "Neige" sur la table le remis de bonne humeur. Alors finalement, les services de la Cité étaient tout de même compétents. Il aurait vraiment dû les prévenir plus tôt. Ah, merveilleuse fille. Peut-être apporterait-elle la solutionà à l'affaire. Mais il chiffona le papier, cela devait rester le plus secret qu'il soit.
C'est à ce moment que Sorente, sa soeur, entra.

-Jolie promotion...Ainsi tu n'es plus bourreau...Il en aurait été fier...

Le sourire de l'Intendant ne tarda pas à se changer en grimace. Tout heureux qu'il était qu'elle soit saine, il aurait dû se soigner avant de tenir cette réunion.
Elle le comprit et s'en occupa. Après tout, elle aussi était guérisseuse.
Puis vint le moment où elle eut fait tout ce qu'elle pouvait, et s'en alla aux maisons. Elle aurait à faire là.
Toutefois, sonn regard était inquiet, et cela n'échappa pas aux yeux de l'Intendant.

"Je vais bien, ne t'en fais pas..."

Mais cela n'était pas tout à fait vrai. S'il était vrai que ses souffrances physiques s'étaient vues allégées, son esprit restait confus.
Alors il resta affalé sur un fauteuil miteux, l'esprit embrumé par ses pensées elles-mêmes et par les fumées de sa pipe qu'il n'avait pas rallumé depuis son retour en la Cité.
C'était un temps où les Ombres revenaient.

Mais il ne resta pas ainsi.
Il reprit finalement la direction du palais. Là il fallait enquêter et tout organiser.
Il voyait au fond deux huissiers s'activer, avec des servants portant de lours sacs. Il faudrait sans doute qu'il supervise également ça.

Mais déjà il remarqua l'elfe elerion qui revenait et il entendit ses paroles.

"Ainsi vous êtes revenus. Il n'y a donc plus là-bas...heureusement.
Mais ces nouvelles sont graves. J'ai bien une idée sur la signification de la dernière phrase, mais j'ignore s'il n'y a que ça...
Dès que le reste de l'équipe sera là, et que d'autres se serons montrés, cela commencera."

(HRP// Didju ! M4semblait avoir répondu à ce post l'autre jour, ca n'a jamais été enregistrer... Super... //HRP)

Douleur répondit à Radamanthe (on imagine que cela a eut lieu quelques post plus tôt...), de propos auxquels ont s'attendait tout naturellement qu'elle exprime. Mais l'attente de ses acolytes semblaient espérer autre chose...

- Nous vous tiendrons informer si des dangers similaires se reproduisent.
Dès que le Roy sera disponible, qu'il nous libère de notre crébain... Il est devenu une sorte de masquotte pour nous...

La capitaine-remplacante des Griffes tourna les talons suit à cela, toujours aussi froide et insondable. Ses hommes ne s'attardèrent pas d'avantage et la suivirent dans ses moindres pas. L'arrivée de nouvelles personnes les fit presque accélérer le pas.
En tant que mercenaires, les Griffes avaient un sens très aigu du devoir envers leur employeur mais fuyaient parprincipe les autorités dès qu'ils en avaient l'occassion.

Elessarion. Gaur.

Chacun était décidé à ce qu’il allait faire même si cela n’enchantait ni l’un ni l’autre.

Ils allèrent côte à côte au palais, Elessarion demanda à voir l’intendant précisant que cela était urgent.

- Tu crois qu’il accepter de nous voir ? Demanda Gaur

- Je l’espère, je me vois mal débitez tout ça au roy.

- En plus il est bourreau non ? Il comprendra.

- En tout cas on lui dit, car on lui doit, la vérité.

- Toute la vérité ?

- On répondra vrai à toute ses question. D’accort ?

- Pas de problème. Affirma Gaur.

- Attends. C'est pas lui qui parle là bas? Allons y.

Eleriol répondit à l'intendant de Minas Tirith :

Mes compagnons ont préféré continuer et suivre des traces qui partaient vers le Nord. J'ai jugé plus important de revenir dire ce que je savais et laisser cette tâche à plus experimentés que moi. Par conséquent, je ne saurais dire quand reviendront ceux qui m'accompagnaient.

L'elfe se tut, et voyant deux autres personnes prendre la parole, il se recula. Encore une fois, il admira la palais. Minas Tirith, cette citée en même temps imposante et gracieuse, avait été construite par des Hommes à la sueur de leur front. Ils avaient du affronter les aléas du temps, les risques. Ils avaient crus en ce qu'ils construisaient. Ils construisait cette Citée pour le Gondor, pour le destin des Hommes. A cette pensée, Eleriol fut envahi d'un doute : quel serait son destin?

Pouvant a présent apporter son aide, le guérisseur retourna au château ou devais se tenir une réunion de crise. Il vit devant un groupe de personnes parmi lesquels certains de ceux auprès de qui il avait combattu.
- Bien le bonjour. Je vient vous apporter mon aide pour les éventuelles recherches.
Un homme inconnu lui résuma rapidement ce qui avait été dit avec une marque de gratitude dans la voix. Sans doute un des homme qu’il avait sauvé lord de la bataille.
- Et bien voilà qui est inquiétant mais guère surprenant. Voyons le bon côté des choses : si une telle puissance avait pu être levée sans planification l’ennemis pourrais raser la citée n’importe quand… S’il se décidait a planifier son attaque… Mais bon. Un réseau organisé peut toujours être infiltré. Il devrais être possible de remonter la piste qu’ils ont laisser pour le démanteler. Je me porte volontaire pour toute action dans ce sens : la bannière doit être retrouvée. Elle symbolise l’alliance entre nos deux peuples.

Radamanthe jeta un coup d'oeil sur le côté, apercevant l'alchimiste avec un autre homme. Mais il ne fit pas attention à eux. l'arrivée du guérisseur était plus intéressante.
Néanmoins, il répondit d'abord à l'elfe Eleriol.

"Très bien...j'espère qu'il ne vont plus tarder..."

Ensuite, il se tourna vers le guérisseur.

"Très bien. C'est toujours une bonne chose d'avoir de l'aide en plus.
Mais sachez tout de même que, finalement, ils n'étaient pas tant que ça. Sans l'effet de surprise, rien de tout cela n'aurait pu marcher.
Enfin, quant au réseau, je pense que le service de l'ombre de la Cité n'est pas si inefficace...Un agent serait dans la place, mais je n'en ai plus de nouvelles..."

Le pillard rentra dans le palais.Toute la futilité de ces décorations,de ces statues,le faisait ricaner.

Ils préférent fabriquer des statues inutiles plutot que de s'enterainer au combat!Un bon stage au harad leur fairait le plus grand bien!

Un garde s'approcha de lui a grand pas.

-Et c'est interdit au mendiant,ici,dégage!
-Non mais oh,tu me cherche,petit gondoréens?!Je suis darkblade,pillard haradrim,et tueur d'un troll qui a failli ravaer ta "cité",et je viens au rapport de mon enquete dans le soutterains,alors t'es prié de me causer autrement!Petit soldat,va!

Il repoussa violement le soldat et entra dans une pièce où se trouvait déjà eleriol,l'elfe.

L'intendant du palais venait de dire:
"Très bien. C'est toujours une bonne chose d'avoir de l'aide en plus.
Mais sachez tout de même que, finalement, ils n'étaient pas tant que ça. Sans l'effet de surprise, rien de tout cela n'aurait pu marcher.
Enfin, quant au réseau, je pense que le service de l'ombre de la Cité n'est pas si inefficace...Un agent serait dans la place, mais je n'en ai plus de nouvelles..."

Le pillard s'approcha de lui.Il lui dit,avec une intonaton pour le moins étrange:

-Mon seigneur,je ne puis vous rapporter plus que ce qu'eleriol vient de vous dire,mais j'ai entendu un bout de la conversation,et me propose pour éssayer de démasquer le traitre...J'ai une certaine...affinité avec le monde des truands,et je pense pouvoir facilement avoir leur confiance et pouvoir m'infiltrer dans cette organisation...Il faudrait avec moi,par exemle...Des condamnés a mort,a qui vous prommetez l'amnstie si jamais ils m'aident et ne ma trahissent pas...Qu'en dites vous,seigneur intendant?

Eleriol, même s'il resta impassible, ne put s'empêcher de remarquer combien Darkblade méritait son appelation de pillard. Ses paroles rustres, presque vulgaires parfois, et son attitude. Il préférait le sang au réjouissances de la vie. Il devait être né comme cela. Mais il défendait la Cité. Il était étrange de constater les différences qui existaient au sein d'un même camp. A ces pensées, l'elfe repensa à ce qu'il avait entendu il y a fort longtemps :

Unis dans la diversité.

Il ne se souvenait pas de l'auteur de cette maxime, mais la trouvait cependant fort adaptée à la situation. Si elle pouvait l'être à toutes, la vie serait magnifique.

Eleriol se reconcentra sur la situation présente. Il avait trop tendance à s'égarer en ce moment. Il se mit donc à méditer sur les problèmes, et tout à coup une idée lui vint:

Monsieur l'Intendant, peut-être cette proposition est-elle superfitielle en conséquences des mesures déjà mises en places et celle qui le seront prochainement // sur ces mots il regarda le Haradrim //, mais je pense pouvoir me rendre utile. Vous avez sûrement remarqué la présence d'elfes dans les combats, et vous savez sûrement aussi que ce n'est pas là leur première intervention. En effet, ces Rénégats sont déjà intervenus dans le Nord près de la Moria lors de la tentaive de construction d'une tour, puis par la suite lors de la tentative d'enlèvement du roi nain Thror. Nos alliés pensaient alors que la menace avait disparu. Mais ces "Fidèles", cette fois accompagés d'orques ont aussi attaqué d'autres elfes au Sud de la Forêt Noire et ont failli tuer mon roi Echtelion, qui n'était heureusement que blessé. Pour finir, les rénégats ont aussi participé à l'assaut sur Dol Amroth. Ils ne semblent pas avoir de point fixe, ils sont partout. Peut-être êtes-vous au courant de l'élimination d'un camp d'esclavagistes dans la Forêt Noire. Avant cela, pour sauver les membres de l'xpédition précédente, je me suis fait passé aux yeux de ces Hommes de Rhun pour un allié. Pour un Rénégat précisément. J'ai réussi à construire une haine entre les esclavagistes et ces étranges elfes, donnant ainsi un répit à mes amis nains. J'ai réussi ce tour de main grâce à des... affinités que j'ai eu dans le passé avec les Fidèles.

Eleriol avait prononcé cette dernière phrase de façon à ce que seul Radamanthe puisse l'entendre. L'elfe continua ensuite en élevant la voix:

Je vous propose donc mon aide pour renouveler ce que j'ai fait pour les nains. Mais comme dit précédemment, peut-être que cette proposition est inutile.