A l'approche des Montagnes

Le mage continuait de combattre les montagnards, mais Bargonno vit Eosfel tomber du champ de bataille, avant de le rejoindre l'apprenti donna un violent coup dans le ventre d'un montagnard. Quand le mage fut prét du blessé il son le coeur, le fils du Baron des montagnes était encore en vit, il le tira donc de la bataille avec l'aide de ça seul main disponible, Bargonno et Eosfel etaient protegé par les deux chiens de garde que chaque hommes énnemis maintenant creignaient. Bargonno retira l'armure et la cotte de maille du bléssé et Le mage compressa sa blessure qui saigné beaucoup, ensuite Bargonno macha des plantes medicinal qu'il avait toujours sur lui pour les compresser sur la blessure, l'apprenti fit un bandage, et avant de repartir à la bataille il chargea les trois chiens qui ne combattaient pas c'est à dire; Lenwë le doux, Aerandir la féroce et Gilthoniel l'obeissante, à veiller sur Eosfel. Mais avant de repartir il vit son loup, la bouche pleine de sang, tirer un cavalier:

-Bon un autre homme à soignier.

Bargonno allongea l'home à côté d'Eosfel, Taurnil ne voulut pas quitter son proteger, Le mage l'obligea pour aider d'autre personnes, mais rien à faire, il voulait rester. Bargonno fit la même chose au cavalier qu'il avait fait à Eosfel, or Bargonno n'avait plus de plante de soin, il quitta vite les bléssés pour voir s'il ne pouvait pas trouver de quoi soigner le cavailier, et par un miracle des valars il trouva une plante qui pourra le guérir, il retourna voir l'homme et le soigna aussi, mais là Bargonno ne quitta pas les deux hommes, il resta avec eux pour d'éventuel problème.

Une lourde carcasse s'échoua dans une gerbe de sang sur le sol. Le Roy n'eu aucun regard pour le parjure à qui il venait d'ôter la vie. Il regarda autour de lui : ses hommes étaient dominateurs dans les combats, et les traitres reculaient de plus en plus. Plusieurs de ses chevaliers avaient été blessés, d'autres gisaient inertes sur le sol maculé de rouge.

Après plusieurs de combats acharnés, les Gondoriens avaient très nettement pris l'avantage, en toute logique car ils étaient meilleurs guerriers, mieux organisés et ils se battaient avec leur foi en Gondor. Un autre montagnard tomba sous Anduril qui brillait désormais de milles feux. Le Roy se tint sur une marcha et il cria à ses hommes, pour leur redonner des forces, qu'ils poursuivent la victoire bientôt acquise:

"Gondoriens ! Ces traîtres tombent comme des feuilles sous notre vengeance. Bientôt il n'en restera plus aucun ! En avant, frères d'armes, pour un dernier effort !"

Et sur ses belles paroles, il se rua en haut d'un escalier pour atteindre la Citadelle du bastion. Déjà, deux rebelles dévalaient les marches, projetant du sang aux alentours. Le combat approchait de son inévitable issue, et les traitres semblaient de plus en plus enclins à déposer les armes et se rendre ...

Orandar revenait de l'écurie et il était bie content de son achat. Le cheval était super, il avait réussi à lui apprendre quelques tours. Par contre, il n'avait pas encore trouvé son nom.

Ce matin, Orandar avait entendu dire qu'il y avait bataille entre le Gondor et des rebelles. Il se decida d'aller leur donner un coup de main.

Il galopa et galopa à toute vitesse et arriva sur les lieus. Il mania son épée convenablement, mais moins bien qu'à la dernière bataille au Rohan. Il transperça des corps et menaça quelques rebelles, certains même se sauvait.

"Ouais, c'est ça, sauvez vous pauvre fou!"

Puis il en tua un autre.

Il regarda les autres soldats et chevaliers.

"Quel belle journée pour se battre, non?"

Bargonno avait continué à s'occuper d'Eosfel, il était assé mal en point. Le mage se releva pour faire un tour aux alentours et quand il revint le cavalier était parti:
*Il voulait sans doute se faire utile, moi aussi j'irais bien combattre mais bon Eosfel a encore besoin de moi.*
Ensuite Bargonno vit que son loup était aussi parti, peut-être a t'il acompagné le cavalier. Les rebelles étaient trés mal organisés, ils combattaient trés mal, l'issue de la bataille était prévisible. Le mage de temps en temps lanssait des sorts, comme diriger une épée au sol dans le corp d'un énemi, ou bruler les montagnards trop prét d'eux. Ces dernieres batailles lui avaient apportées beaucoup plus d'experience. Tout d'un coup l'apprenti se souvint que la guilde attendait sans doute des nouvelles, il s'asseya prit de quoi écrire et quand il eu fini le mage appela un de ses oiseaux, il acrocha la lettre et l'envoya à la tour de Mithrandir.
En attendant la guerre faisait toujours rage, le nombre de montagnards qui pouvaient encore combattre diminuaient par dizaine toutes les minutes, il restait encore peut de temps avant la fin de la bataille.

Ce soldat n'avait pas l'air adorer ce qu'il venait de dire.

"Tu n'est pas fière cher cavalier de ta battre ainsi contre... contre ces traîtres. L'air sens la victoire. C'est pour ça que c'est une belle journée..."

*Aumoins, je me comprend...*

Puis lui aussi retouna à la charge.

Orandar aimait tuer, aimait se battre pour une raison, ou même sans raison.

*Peut-être qu'il ne savoure pas la bataille de la même façon que moi...?*

L'homme se reveilla aprés plusieurs lourdes minutes empreint de doute il se hissa sur ses pieds...puis il chuta.

Il enleva difficilement son armure de sa main gauche mais un homme qu'il ne connaissait pas vint l'aider.
Il le remercia d'un sourrire forçé et contempla sa blessure...Elle n'était pas infectée et aucun signe de pourriture, elle allait guérir trés vite grâce au soin du magicien.

La tête vide , il regarda un instant le champ de bataille puis il refoula ses larmes d'un geste brusque.

Il repensa a l'étrange chevalier et son rictus sadique...

"L'air sens la victoire..."

Eosfel rememora cette phrase de longues minutes.

-L'air sens la pourriture , l'air sens la mort , l'air sens le charnier et le fumier ! L'AIR SENS TOUT SAUF LA VICTOIRE ! Hurla t-il.

Puis toujours le bras pendant , il attrapa son drapeau , il cassa la hampe en deux et en fit une attelle puis il se rassit et nettoya sa plaie.
Il dit au mage de partir se battre et que lui ne risquait rien ainsi en retrait... Il regretta de c'être fait surprendre ainsi par ses sentiments , jamais il n'avait pleuré comme ça , jamais dans toute sa vie...C'était un guerrier , un meurtrier dont on avait besoin et non d'un sentimental... Son coeur se serra encore une fois puis il s'allongea , écoutant d'un air distrait le fracas de la bataille et le cri des mourrants.

"Relève-toi, Eosfel !"

La voix de l'homme était sèche. Se retournant, le chevalier pouvait voir en face de lui le Roy qui le regardait d'un air sévère. Au loin, la clameur des combats avait cessée : les Gondoriens venaient de mettre à sac le Bastion et seuls quelques rebelles continuaient à se défendre. Mais Gondor avait reppris le Château et par la même ocassion, remporter la victoire et mettre un terme à la rebellion qui fut instaurée dans les Montagnes Blanches.

Le Roi de Gondor tendit sa main au chevalier et celui-ci put apercevoir que son Souverain saignait du bras gauche. Ils allèrent un peu plus loin s'asseoir sur quelques marches vides de sang tandis que la plupart des soldats entreprenaient la mise en un tas des corps des morts.
Méphisto sortit de sa veste une petite boite à tabac, et deux pipes venant tout droit de Comté. Il en donna une à l'autre et tira une première bouffée sur la sienne.

"Après une telle épreuve, fumer est une vraie détente. Crois-moi, ça te fera du bien, aussi bien moralement que physiquement !"

Puis plongeant son regard dans les yeux d'Eosfel, le Roy lui dit :

"Chevalier, n'ayez crainte. Vous n'avez fait que votre devoir, Gondor vous en sera toujours reconnaissant. Il est vrai que dans un combat, les sentiments n'ont qu'une toute petite place ... mais aussi minime soit-elle qu'elle peut tout de même vous faire perdre tout vos moyens ! Ne te laisse jamais distraire, n'aie jamais une pensée pour celui à qui tu viens d'ôter la vie. C'est comme cela Eosfel, tu apprendras la dure loi de la vie, alors que celle de la mort l'est encore plus ..."

L'homme accepta volontier la pipe , cela faisait trés longtemps qu'il n'avait pas fumé et c'était un des plaisirs qu'il appreciait le plus.

Puis aprés les paroles de son Roi il se tourna vers lui , fixant ses yeux d'un calme serein.

-C'est fou comme vous me rapellez mon père... Il se détourna un instant puis repris d'une voix égale. Je suis désolé d'avoir faillit comme ça Monseigneur...Ce sont ces lieux...Il balaya la cour d'un regard. Ils me rapellent tellement de choses...de mauvaises choses comme de bonnes. Il s'arreta un instant , tirant longuement sur sa fine pipe puis il repris : Je ne crois pas être prêt...enfin pour tout ça... Il désigna le charnier de son bras valide , où les soldats entassaient les corps sans vie. Pour tout...Sire je n'ai pas trente ans et me voila a assumer des responsabilitées que des hommes ayant deux fois mon âge seraient effrayées.

Il baissa les yeux un instant puis repris encore une fois.

-Je suis un guerrier Sire et pas un politicien , on m'a appris a tuer et non à gouverner.

Bargonno aprés que le Gondor ai gagné, il tria les mort des vivants, soignait les bléssés, mais il fallait partir, le mage fit un dernier petit tour il vit le roi, il était bléssé, Bargonno s'avença pour aller l'aider, or il le vit avec Eosfel, il devait être dans une discussion assé importante il ne prefera pas les deranger, et en plus des guerriseur allés sans doute venir le soigner. Bargonno se dirigea ensuite voir Gredis pour le saluer:
-Bon je vais partir à Minas Tirith, je viens vous dire à bientôt.
Aprés que Gredis lui rendit son salut, il parti avec ses chiens et son cheval.

L'homme s'offusqua.
Qui était cet éffronté qui osé le stopper dans une discussion de la plus haute importance ? Pire encore , son discours était intolérable.

Il se leva d'un bond et saisit la garde de sa lame faisant jouer l'épée dans son fourreau , de toute sa hauteur il dominait le garde pourtant imposant.
Sa figure a quelques centimètres de celle de son interlocuteur il dit les lèvres crispées.

-Les executer ? Oui , c'est moi qui vais t'executer. Il se tut un instant scrutant les yeux de Trinir. Tu ne connais rien de cette Terre et tu m'insultes , tu nous insulte tous avec ton discour qui n'a pas lieu d'être ici , alors maintenant file , casse toi de mon chemin car la prochaine fois que je te vois je te ferais regretter amérement tes paroles.

Il se tourna vers son Seigneur puis toujours fulminant il balbutia un mot d'excuse et partit en claudiquant a cause de sa béquille artisanalle.

Avant de rentrer dans la cour il se tourna vers Gedris qui empilait des cadavres.


-Vous êtes sage et fort , souhaitez vous m'accompagner afin de savoir si quelque chose à survécu a l'intérieur de cet édifice déchu ?

Sans attendre la réponse du cavalier il s'engagea dans la cour intérieur.

L'homme ne fit pas attention a ce que son compagnon lui disait.
Il se conteta d'hocher brievement la tête , puis il se remit en marche , scrutant tous les passages , les murs les portes et les fenetres. Ils arrivèrent dans la cour intérieur , autour d'eux en carré c'était formé les murs du Bastion , comme un cerceuil tentant d'engloutir ses adversaires.

Devant eux il y avait le long donjon. Enfin plus qu'un donjon c'était plutôt un manoir a cinq étages alors que les autres n'en comportaient que trois.

Sans ralentir l'allure ils s'engagèrent dans le porte principale du sois disant donjon.

Ils gravirent un grand escalier de marbre , jetant un coup d'oeil distrait Eosfel s'apperçut que les peintures de ses ancètres avaient étaient éventrées ou déchirées. La colère monta en lui mais il l'étouffa tandis qu'ils poussèrent la grande porte en chène de la salle du trône.

Là , au milieu des grands tapis sur un table rustique se trouvé un cor , d'un blanc éclatant il resplendissait de milles feux.

-Je t'ai enfin trouvé. Murmura le chevalier , le souffle coupé.

[Hrp : Un cor ! PAs un corps ^^ [/Hrp]

-C'est une relique, elle est dans ma famille depuis le premier Baron...Il est à moi maintenant.

Il sourit et pris le cor , semblable a celui du Gondor il l'installa dans son dos et sortit du chateau.

Plus rien n'avait de valeur dans le Bastion , il restait même pas assez de lit pour loger tous les soldats dans les dortoirs de la garnison.

Il fallait surement partir , mais où ? Et surtout , pourquoi ils n'avaient laissé si peu de soldats ? Pendant son année d'observation Eosfel avait compté cinq fois plus de rebelles, et surtout aucunes traces du grand cavalier Noir.

[Désolé des jours d'absences, ma connexion m'a lâché !]

Soudain, la porte s'ouvrit derrière eux et laissa apparaître le Roi et quelques hommes. Le premier s'avança jusqu'à Eosfel, regarda un instant la relique et souffla à son chevalier :

"Nous partons, Eosfel. Nous allons chevaucher vers Minas Tirith au coucher du soleil. Je comprendrais que tu veuilles rester ici et t'occuper de la restauration du lieu de tes ancêtres.. D'ailleurs, elle te revient de plein droit il me semble... Je te laisse réfléchir, maître Harkonnen."

Et le Roy partit à l'écard des deux hommes, parlant tout bas avec ses soldats sur leur retour vers la Cité Blanche..

L'homme fut pris au dépourvu.

Il ne savait que faire , puis il se résigna.

-Sire , si je suis toujours votre chevalier , je viens avec vous. Il s'arreta quelques secondes , scrutant la salle. De retour à Minas Thirit j'irai recruter des mercenaires et des soldats pour traquer les rebelles , cette défaite sera cuisante pour tous les mauvais hommes des Terres du Milieu.