Une visite de "courtoisie"

Faegum remontait du bas de la Cité...

La bataille était fini et il était resté à l'abris soigneseument placés pour éviter d'être importuné...Puis il avait vu que l'on portait Hobasian sur une civière et il le regarda à peine... Puis ce fut le tour de Milindë et là il regarda avec attention...

Il sortit de l'ombre dans laquelle il se tenait et suivi de loin le cortège... Une belle femme à la noble apprence allait à ses côtés les yeux emplis de larmes et Faegum compris... Il s'informa pour être sur auprès des badauds et ceux-ci le confortèrent dans son idée...

Milindë était morte mais ne souffrait d'aucune blessure... Elle avait donc cédée, mais pour qu'elle raison avait-elle acceptée la mort ? Le mystère était entier... Mais une nouvelle rumeur fit le tour des badauds et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire il fut au courant... on racontait que le Mage de la Cité était revenu, mort, apporté par un aigle et que le corps des trois décédés de sa famille avaient flambés... Faegum resta impassible...

C'est précisement pour ça qu'il remontait à vive allure sa cape noire virevoltant dans le vent frais de la nuit... Il arriva à la cour de l'arnre blanc et ne fit pas attention aux gardes qui le regardaient passer étonnés.

Mais là il fut arrêté dans sa course, les deux gardes qui gardaient l'entrée du palais le stoppèrent net. Il les ergarda avec etonnement et esquissa un pas pour continuer à avancer.
Rien à faire les deux gardes lui barrèrent l'accès.

"Savez vous qui je suis ?"
"Non, mais qui qyue vous soyez il faut un laisser-passer du Mage de la Cité pour pouvoir esperer entrer ici."
"Stupidité, le Mage est mort, alors a moins que vous ne sachiez faire revenir un mort à la vie je vois mal comment je pourrer disposait d'un tel papier."
"En attendant la nomination d'un nouveau Mage de la Cité ou en vous adressant à son secretaire."
"Voyez c'est précisemment le but de ma visite, la nomination d'un nouveau Mage de la Cité, mon temps est precieux faite place ou je le ferai pour vous."

Le ton de sa voie était devenue fort et puissant mes les gardes ne bronchèrent pas...

"Très bien..."

Faegum regarda les gardes tour à tour dans les yeux et là, il s'écartèrent... Il avait instillé dans leur esprit de le laisser passer, comme si c'était eux qui le désirait et pas lui...

Il pénétra alors dans le Palais et avança droit vers le fond de celui-ci... Il preta peu attention aux statues des grands rois et continua sa marche inlassablement.

Il s'inclina alors sur le Ropi assis sur son trône.

"Nôble Mephisto, je me rends à présent a vous pour vous apporteer mon soutien et mon conseil."

Il se redressa

"Ma démarche peut paraître étrange, mais voyez vous, il en va du bien de la Cité elle-même... Mon neveu Mithrandir n'a jamais été capable de reellement diriger, il n'a jamais eu les épaules assez larges pour sa fonction... Mais voici qu'il est mort, paix à son âme. Mais vous ne pouvez laisser le Royaume sans Mage de la Cité... Voilà pourquoi je suis ici... Je suis ici le seul, me semble-t-il, à pouvoir prétendre à ce titre, par mon sange et par mes aptitudes à la Magie... Ne coryez pas que je profites de la situation, mais il faut réagir vite..."

Le Roy fut tout simplement surprit. La venue de cet homme, totalement imprévue, et qui revendiquait la place de Mithrandir laissa le Seigneur des Lieux un instant sans voix, ni réaction. Deux secondes plus tard, il invita Faegum à s'installer, plus à l'aise, sur un petit siège de marbre blanc, en dessous du trône royal.

Mais Méphisto était loin d'être naif, et n'accordait sa confiance qu'en des personnes qu'ils connaissaient ou jugeaient en bonnes conditions et avec qui ils s'entretenaient en bons termes. C'est pourquoi, le souverain souffla :

" C'est vrai, cette bataille fut dure pour nous tous, y comprit pour moi. Mais voilà à peine que je fait votre connaissance, Faegum, et j'ose vous dire que vous ne manquez pas d'initiatives, et de culot."

Un sourire apparut sur les lèvres du Roi, qui continua sur le même ton.

"Au nom du Royaume de Gondor, je ne peux prendre de décisions trop hâtives .."

Meneldir monta les niveaux de la cité sans être arrété.Il passa les passages où les gardes était pour la plupart sous le choc de la bataille.
La cité était en dueil et Meneldir lui aussi l'était.
La cape noire sérré à son coup, il s'avança dans la plus haute place de Minas Tirith.

Aprés un bref entretien avec le secretaire du mage défunt.Il passa et se dirigea vers le Roy là où il parlait avec l'homme queMeneldir' ne pouvait voir à présent, ainsi que Balthazar.

Faegum se trouvait là, pour profiter de la situation, le professeur s'en doutait et pensait que le roy ne pouvait pas se faire dupper par un homme si pitoyable.

Sire, je viens vous demander une requête particuliére.Le sage que je suis aimerais s'occuper de l'enterrement de mon ami Mithrandir, votre mage.
Pour certaines questions de reconnaissance, ils nous faudraient attendre les derniéres personnes que Mithrandir aimerait voir ci.Ceux qu'il considérait comme sa famile.

J'aimerais vous remettre aussi les clefs de la tour Mithrandir qui n'appartieznt à personne tant que nous n'aurons pas trouver son testamen qui doit être bien caché.

Meneldir regarda Faegum à qui il avait coupé la conversation.
Tout ceci lui montrait que seul certains connaissaient vraiment le magicien le plus puissant depuis le grand Gandalf.

Arminas avait beaucoup marché pour arriver en haut de la cité. Rustor avait insisté sur la hate que nécessitait sa mission. Des rumeurs terribles couraient parmis les serviteurs de Manwe. Mithrandir était tombé dans l'ombre.La guerre approchait de la cité blanche.

L'elfe aurait apprécié pouvoir passé au chateau pour se raffraichir mais il préssentait que nul repos ne devrait être pris.
Il gravit un à un les cercles de la cité.
Arrivé au sommet il évita les gardes. Il était connu ici de par ses longues années de résidence.

Quand il arriva au palais il entendit les paroles de Faegum... Il ne connaisait ce sinistre personnage que de réputation mais cela lui suffisait. Il attendit que Meneldir ait fini avant d'intervenir.
Il tapa trois coup sur le sol de son baton. Il lui servait surtout pour la marche mais disposait de capacité parfois surprenantes pour un adversaire non avertit.

L'elfe salua.

- Roi Mephisto, je m'avance vers vous et en réalité mon coeur saigne de chagrin. La guerre approche, le Mage a périt et mon humble personne est le seul renfort que les elfes peuvent vous apporter.

Sa voix chantante résonnait dans la salle du trone.

- Néanmoins, ma précense pourra vous être utile, je dispose d'une sagesse millénaire et de certaine compétences propres à ma race. C'est en toute humilité que je me met à votre service pour toutes tâches le réclamant...

Faegum semblait étonné que tant de monde s'avance dans la pièce...

"Moi qui croyait ne pas être dérangé... Enfin soit, cel n'est aps grave... peu de personne ne m'apprécient dans la Cité, mais c'est parce qu'elle ne me connaissent pas... Je comprends que vous ne vouliez pas prendre de décisions trop rapides, je ne suis pour vous qu'un inconnu... Mithrnaidr ne m'a jamais aimé... et il semble avoir répandu cette haïne un peu partout"

Fit-il en regardant Arminas puis Meneldir.

"Cependant je tiens à vous le dire Nôble Roi, les capacités de Mithrandir ne sont rien face aux miennes, et je ne dit pas cela pour me vanter...Cependant, et désolé de dire cela, mais je ne vois pas en quoi un Elfe pourrait devenir Mage de la Cité... non pas que je trouve cette attitude déplaisante car elle part d'un bon sentiment, mais car les Elfes sont de moins en moins nombreux et de plus en plus tournés vers leurs affaires propres... Aussi mon cher, ai-je du mal a comprendre le but de votre venue... Sachez que Mithrandir n'a pas toujours bien agis... Nous pouvons le voir ici en voyant qu'il a répandu une fuasse réputation de moi chez les Elfes, alors que je suis considérés par ceux-ci comme ami des elfes... J'ai parcouru la Terre du Milieu et me suis liés d'amitiés pour beaucoup, et Mithrandir a commencé à détruire cela, ne vous laissez aps abusez par le masque de la sagesse..."

Alors qu'il prononçait ces mots sa voie se fit envoutante, exhortant ceux qui l'entendait a acquiescer sans attendre.

Arminas fixa Faegum dans les yeux. Il prononca quelques paroles incompréhensibles qui ne produirent rien à des yeux de mortels... Mais le roi avait sans le savoir recouvré ses esprits.

" N'utilisez pas des pouvoirs qui vous dépassent Faegum le déchu.. Nombreux connaisent l'histoire de ce mage qui trahit les Istaris dans leurs espoirs. Quant à mon implication dans la cité, sachez que j'y ai sans doute résidé plus longtemps que vous... Je ne demande aucune charge juste celle d'aider. Cela fait la différence entre ceux qui en premier placent l'interet commun et ceux qui comme vous privilégient leur propre interet."

La voix de l'elfe tonnait à présent.

"Vous ignorez bien des choses quand a ce que fut ma vie...Et poyur une fois les Elfes parlent sans savoir de quoi ils parlent... Vous ignorez beaucoup de choses... qui vous dit que j'ai abandonné la tâche qui fut mienne... je vais à présent reprendre cette tâche et c'est pour cela que je me présente ici devant le Roi...Ne me nommez pas déchu, que devrais-je dire des Elfes ? Vous pensez que je privilégie mon interêt ? Non c'est faux, je viens ici pour occuper un poste vacant qui me permettra d'aider de mon mieux la Cité, mais ce sujet ne vous concerne pas Arminas !"

Son ton avait perdu de sa bienveillance...

"Mon Roi, je ne cherche aucunement à vous abuser... Longtemps j'ai fuis mes responsabilités et me suis montrer malveillant et acerbe, mais je pense qu'il est temps pour moi de racheter ma faute...Serait-il possible de continuer notre conversation ailleurs, et non aps en présence de personne qui ne me connaissent ou ne m'apprécient pas, Mon aide pourrait-être utile à la Cité."

Faegum semblait parler avec sincérité et son ton était a présent normal, et non plus doté d'artifices...

Assis sur son trône, le Roi hésitait. La bienveillance présente auparavant dans la voix de Feagum avait disparue mais il avait cette très nette impression que le mage parlait avec sincérité. Arminas et Meneldir, personnes de bonne foi et de confiance, l'avait pourtant mis en garde face aux stratagèmes de Feagum.
Se levant du trône, le souverain descendit ensuite les quelques marches d'un blanc âcre pour se situer à hauteur de l'elfe et du magicien. Parlant au premier, il déclara :

"Arminas, vous avez ma confiance depuis maintenant très longtemps et je ne serai probablement jamais déçu par vos actes et gestes. Votre est la bienvenue tout comme vous êtes vous-même le bienvenu en ces murs .."

Se tournant à présent vers Feagum, il lui murmura :

"Je ne mets aucunement votre parole en doute. Mais vous semblez faire beaucoup moins d'effets à mes alliés .. Pourquoi parler en privé alors que vous pouvez tout me dire ici, à l'abri d'oreilles indiscrêtes ?"

"Le fait que je désire parler avec vous en privé est dû simplement à mon désitr de servir le Gondor en tant que Mage de la Cité... Ces personnes ne m'apprécient aps et vous donne des conseils qui visent à m'écarter de ce but, aussi je demande a converser avec vous en privée pour vous laisser prendre une décision de façon objective, sans être le oins du monde influencé..."

Il s'arreta, calme et serein avant de continuer...

"Vous avez apprécié, je le pense, le service de Mithrandir pour la Cité... Mais je pourrais faire bien plus que de crée un bureau du Mage pour filtrer les passages et vous être d'une aide plus utile encore... Il existe des tas de parchemins et manuscrits dans les archives qui n'ont aps été consultés et pourtant il recelent un anciens savoir... Mon aide, ma sagesse et mon temps pourrait vous aider... je pourrais lire ces manuscrits en en sortir un savoir plus grand dans le but d'aider cette cité à prospérer et à inspirer le respect ârmi nos ennemis qui se plieraient alors à votre volonté et la guerre n'aurait plus lieu d'être... C'est ce à quoi chaque citoyen aspire...Ne vous basez pas sur des avis et préjugés pour prendre votre décision... car ce ne sont que des opinion et le savoir réside dans la réfléxion..."

Il se tint toujours droit, et il paru à certains voir une certaine noblesse d'âme dans ses traits...

Arminas apprécia la confiance du Roi... Il détesta par contre les préjugés de Faegum.

" Mithrandir n'est pas encore enterré que déjà vous vous battez pour sa place. Mithrandir faisait plus que de filtrer les passages, il effectuait pas mal de travail dans l'ombre. Quant à votre utopie sachez que toute apogée amène son déclin, que tout pouvoir est jalousé et que la guerre est inévitablement inscrite dans le chant des Ainurs..."

"Arminas, vous êtes Sage, mais vous semblez ne pas avoir écouté mes paroles, je ne fait pas cela pour prendre sa place en profitant de l'occasion de sa mort...Je fais cela car il faut se relever de ce décès et continuer à nous battre... Et je pense pouvoir être plus performant pour me battre et aider en occupant cette fonction de mon défunt neveu... Quand à ses activités secrètes je dois avouer que cela m'intrigue, mais pourquopi agir dans l'iombre si l'on agit dans l'interêt de tous ? Pour ne pas être dérangé... c'est peu probable..."

Il s'arreta avant de reprendre avec un ton toujours aussi calme et nonchalant...

"Je sais que toute apogée amène un déclin... est-ce une raison pour ne plus poursuivre ce bonheur pour tous ? Car le déclin n'est jamais total, sauf si l'on s'oppose à certaines puissances... Je sais que les pouvoirs sont jalousés, aussi cette apogée sera faite en accord avec tou et tous en profiteront, reflechissez, si tous vivent dans l'apogée, il n'y aura pas de jalousie et pas de conflit durant un temps du moisn... Vous avancez le fait que la Guerre est inscrite dans le chant des Ainurs, cependant vous avez une vue bien pessimiste, on pourrait croire que vous préconiseriez de ne pas chercher le bohneur car il part vite, mais tout bonheur et bon à saisir, même ephèmère...Chaque mot que je prononce appel une réponse de votre part, comment discutez ainsi avec le Roi si je dois constamment vous répondre Noble Arminas ?"

" Si votre neveu a agit dans l'ombre c'est pour préserver la paix de ceux qui ne voulaient pas être dérangés... Je ne vous demande pas de vous morfondre dans l'attende du mal, non mais je tiens à remettre les choses au clair... La guerre est proche. Elle vient de partout. Le temps n'est pas venu de vous réjouir. Le temps est venu de préparer la guerre. Les elfes se mobilisent et ils ne doivent pas être les seuls roi Mephisto.Préparez vos troupes. Aiguisez vos armes. Le temps est venu de combattre. Votre trone vacille car votre peuple vacille. Il est temps de se préparer au pire. Un fou prétend avoir deux coups d'avance sur vous mon Roi. La folie n'est pas toujours tellement éloignée de la sagesse. "

Le message de l'elfe était clair. Il venait pour combattre. Pour protéger la cité. Non pas pour se disputer avec un pseudo mage orgeuilleux. Il se devait, comme Olorin autrefois, de dire non pas ce que voulait entendre le Roi mais la vérité : il fallait agir.

Faegum regarda l'Elfe étonné...

"Je n'ai jamais prétendu le contraire, nous n'avons guère le temps de nous réjouir, qu'est-ce qui vous fait croire cela ? Nous devons nous battre et comme je l'ai maintes fois dit, je suis ici pour vous aider...Cessons de nous répandre en vaine paroles... Mon Roi, m'acceptez vous à vos côtés pour occuper la fonction que je viens demander ? Il nous faut agir, certes, mais dans la sagesse... la guerre approche comme l'a si bien dit Arminas et nous devons la préparer, laissez moi vous aider dans cette lourde tâche qui vous incombe...Je vous prodiguerai Sages conseils en temps sombre... Cessons de nous quereller opur de mauvaises raisons et agissons..."

Faegum avait l'air déterminé à se battre.

Quand Bargonno entra dans la citée il n'eut le courage d'aller à la tour de son défunt cousin, il décida donc d'aller voir le roi Mephisto. Avant d'entrer dans le palais, deux gardes lui coupèrent la route. Les gardes ne puent voir le visage du mage, car il était dissimulé sous une capuche.

-Halte qui va là?

-Un homme.

-Je m'en doute mais qui êtes vous?

-Cela ne vous regardes aucunement. Je ne suis pas venu parler avec deux gardes mais je suis là pour parler au Roi!

-Pour demander audience au roi, il faut d'abord aller voir le Mage de la citée.

L'homme crut qu'après avoir dit ça l'homme allait partir mais non.

-Le mage est mort, et je ne veut pas aller voir son secrétaire pour demander une audience.

La discutions continua pendant une poignée de minutes, et le mage réussit à rentrer en utilisant un peu de sa magie. Il entra dans la salle du trône, où déjà plusieurs personnes discutaient. Il y avait un elfe, Meneldir , et un homme que Bargonno ne connaissait point, mais cet homme ne lui disait rien de bon. L'apprenti était dans un coin d'ombre, et on ne pouvait voir que ses yeux dans l'obscurité.

-Excusez moi de vous interrompre, mais comme vous savez le Mithrandir est mort, je suis venu pour savoir ce que vous allez décider, et aussi pour vous donner des conseils.

"Encore"

Pensa-t-il...

"Mais qui êtes vous mon brâve pour venir porter conseil au Roy... Mithrandir est mort, certes, mon neveu est mort... Il a oeuvré pour une noble cause... A nous de continuer ce combat... Maisq vous tombez au mauvais moment... Le Roi allait prendre sa décision concernant mon accession au titre de Mithrandir pour que le Gondor se releve de son deuil rapidement... Ne venez pas croire comme crtains que je profite de la situation, mais il faut passer ces morts et se battre en leur honneur... Mephisto qu'elle est votre décision ?"

Faegum l'ignorait mais il s'était adressé à son fils, fils qu'il avait du abandonner dans une forêt durant son enfance...

*Son neveu? Mithrandir son neveu, mais qui est cet homme je ne.... non pas possible!*

-Et vous qui êtes vous pour me parler sur ce ton? Vous voulez devenir mage de Minas Tirith, pffff. Votre coeur est noir je le sent, et après ce que vous avez fait à votre fils... Bargonno regarda le roi. Noble Mephisto, ne le choisissez pas comme mage de la citée Blanche, il ne mérite pas ce grade, je ne dit pas de me choisir, mais je pense que d'autre personnes pourrait faire ce travail mieux que lui, même si les mages son rare. Je ne sais pas si il y a d'autre mage disponible pour cet emploi, mais ne le choisissait pas, la citée tombera dans l'ombre.

L'apprenti restait dans l'obscurité de la salle. Il savait qui était cet homme c'est pour ça qu'il se permettait de dire ces mots.

"Qui je suis ? Je suis Faegum oncle de Mithrandir et mes pouvoirs sont nettement supérieur à ceux que furent les siens...
Ne viens pas me parler de ce que j'ai fait à mon fils, je n'ai jamais rien entrepris contre lui, tu fait partie de ce qui jugent sans savoir, sans savoir ce que j'ai enduré, sans savoir ce que fut ma longue existence, bein qu'elle parraisse courte aux Elfes, repart donc dans l'ombre de cette salle et reste-y en silence avant que la foudre ne t'accable..."

Le ton de Faegum avait changé et a a présent il traduisit la rage dans laquelle il était car toutes ces interventions lui faisait perdre son temps...

"Noble Roi, je ne sais qui est cet individu pour prétendre vous conseiller et pour prédire une chute de la Cité dans les Ombres, il est Mage je le sent, mais ses pouvoirs sont faibles très faibles... Jamais il n'aura assez de carrure et de force pour vous conseiller en tant sombre... Je vous servirai si vous le souhaiter dussé-je même y laisser la vie et rester auprès de vous jusqu'a ce que les ténèbres nous englobent."

Il s'adressais au Roy avec ce qui semblait être un profond respect...

"Ces gens ne sont que racontards médisants qui briquent la place que je viens légitimement vous demander..."

Il se dirigea lentement vers Bargonno et à chaque mot, à chaque pas, sa fureur grandissait...

"En vérité Apprenti, car c'est ce que tu es, tu te permet de raconter des choses fausses sur moi, sans me connaître le moins du monde, sais-tu ce que je t'aurai fait si nous nous étions trouvé ailleurs qu'en ce lieu pour pareilles diffamations ? Je t'aurais fait subir le meilleur chatiment qui soit...Je n'ai rien fait à l'enfant qui fut mon fils, il est mort, alors je l'ai laissé... j'ai déposé son corps dans une forêt demandant aux arbres de le protéger, implorant Yavanna de veiller sur lui qui se tenait dans le domaine des arbres, de la nature verdoyante... Je fut seule un long moment, a poursuivre une route que je ne connaissais pas... et finalement lorsque mon deuil fut fait, je rentrais chez moi... Ne viens pas juger quelqu'un dont tu ignores l'existences car il se pourrait qu'il soit moins clément que moi..."

Ses mots qui durcissait c'était fait plus doux, mélancoliques à l'évocation de sa souffrance puis reprirent le même ton lorsque il en revint à l'offense de l'Apprenti...

L'apprenti sortit de l'ombre et souleva sa capuche. Le visage de Bargonno apparu à Feagum. Il était en colère, et il lui dit d'un ton méprisent:

-Je ne suis pas mort. Vous m'avez abandonné, car je pense que vous pouvez reconnaître un mort d'un vivent. Pourquoi m'avoir fait cela, pourquoi m'avoir rendu amnésique assez pour que dans mon esprit il ne reste plus que mon nom? Le futur mage regarda le roi. Je m'excuse de vous obliger à voir cette scène roi Mephisto. Mes pouvoirs son sans aucun doute plus faible que les sien, mais je pense que je vous guiderais mieux vers la lumière. Par contre lui vous enfoncera dans les ténèbres.

Bargonno regarda son père en le dévisageant du regard, et il fini par dire:

-Vous êtes nettement plus inférieur que Mithrandir, il a fait des choses extraordinaire pour cette citée, et jamais vous pourrez faire mieux!

Le mage remit sa capuche sur la tête, ce qui lui cachait son visage, mais ses yeux luisait dans l'ombre.

"Qui es-tu donc pour oser te prétendre mon fils, laisse le où il est, en paix... Il est mort j'en ai souffert, ne vient pas remuer le couteau dans cette blessure trop mal refermée, sous peine de mourir dans l'instant..."

Le visage de Faegum était a présent décomposé en proie à une grande rage...

"J'ai perdu mon fils et le fait que tu prétendre l'être alors qu'il est mort me revulse et me met hors de moi, n'as-tu aps de respect pour les morts... Tu ne peux être mon fils je l'aurai reconnu..."

Il leva alors sa main en signe de menace pret à jeter un sort quand il se rappela ou il était. Il se tourna vers le Roi attendant sa décision...

-Je suis Bargonno, cousin de Mithrandir, neveu d'Obasian. Je me suis retrouvé dans une forêt je ne sais pas quand, et après quelque années à vivre seul je suis venu à Minas Tirith pour devenir mage et connaître mon passé, ce que je regrette maintenant.

Feagum leva le bras il allait envoyer un sort à Bargonno, mais il arrêta son geste.

-En plus vous me menacez. Je ne sais pas si ça vous dira quelque chose mais regardez.

L'apprenti montra son bras et Feagum vit une tache de naissance qui ressemblait à un dragon.

-Alors ça vous dit quelque chose?

Faegum ouvrit la bouche et la referma et recommença incapable de prononcer le moindre mot...

"Bar...Bargonno ? C'est impossible, tu était mort... Comment est-ce possible ? Mais non, je me trompe tu ne peux être lui, cette tâche de naissance n'est qu'une pale imitattion n'importe quel Mage en serait capable, mais nous reglerons cette histoire ailleur... Si tu es mon fils alors dans ce cas nous aurons énormément de chose à nous dire, mais si tu as menti tu craindra mon courroux..."

Faegum se tourna une fois de plus vers le Roy

"Mon Roy veuillez excuser cette apartée bien trop longue, mais nous attendons tous votre décision ..."

Meneldir s'était reculé laissant les autres parlé en des termes peu élogieux entre eux.

Il était d'accord avec Arminas et puis Bargonno arriva dans la piéce.
Meneldir voulait lui parlé en priorité.Il avait besoin de savoir mais Meneldir laissa parler Bargonno puis commença à s'avancer quand l'apprenti montre son bras.

Meneldir s'avança tout de même et glissa quelques mots à celui-ci.


Retrouvez moi à l'auberge, j'ai en ma possession des clés de la tour, nous avons besoin de parler.


Meneldir sortît las par toutes ces disputes.Il allait se rendre à l'auberge pour savourer une bonne biére et peut être parler à Forlong s'il s'y trouvait.

Eosfel courrait comme à son habitude.

Il connaissait ce chemin par coeur , il passa devant la fontaine et s'arreta devant la porte close.
Les gardes le reconnurent aussitôt et le laissèrent entrer.

Le Chevalier se presenta devant le Roy.

-Sire j'ai quelque chose à vous di... Il s'interrompit , le Roi n'était pas seul.

Eosfel se maudit lui même , bien sùr que rentrer comme ça à l'improviste était risqué néanmoins cette nouvelle le réjouissait.
Il reconnu l'homme qui l'avait sauvé à son Bastion , il le salua en un hochement de tête sollennel.

-Désolé de vous déranger , je m'en vais ?

Il esperait que non.

Le Roi jeta un coup d'oeil à Eosfel qui venait de pénétrer dans la salle royale. Il lui fit signe d'attendre quelques secondes, puis, tournant son regard accusateur vers les mages, il leur dit :

" Mages ! Voyez comme le débat n'avance à rien, vous ne faîtes que parler inutilement et pour votre propre intérêt !"

Il avança vers Faegum, et à mi chemin, il lui déclara d'une voix doucereuse, et de son habituel regard pénétrant :

"Faegum .. J'ose croire que la perte de Mithrandir ne vous laisse pas insensible. Je vous accorde le bénéfice du doute. J'accepte votre aide, mais je vous préviens, vous n'agirez pas sans que je le sache et chacun de vos travers me sera automatiquement signalé.
Aller, maintenant, et si j'ai besoin de l'un d'entre vous, je le ferai quérir .."

Après ces paroles pleine de sens, il invita Eosfel à s'asseoir et son air interrogateur devrait délier la langue du Chevalier ..

Faegum s'inclina respectueusement devant le Roy masquant son sourire...

"Merci mon Roy mais sachez que je ne me réjouis en rien de la mort de mon neveu et que cette demande de ma part n'était qu'empreinte de bon sentiment aucune arrière pensée ne m'agitaient..."

Il s'inclinna de nouveau et parti jetant un regard noire à Bargonno tandis que sur ses lèvres se dessinait un sourire gogenard...