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Nouveau concours exclusif ! | |
| Radamanthe Emir de Harondor - Prince d'Ithilien
Nombre de messages : 3587 Localisation : Minas Tirith
~ GRIMOIRE ~ -: Homme de Gondor -: 53 ans -:
| Sam 22 Déc 2007 - 12:28 | | Après notre deuxième édition du concours de poésie, nous vous proposons maintenant un tout nouveau concept exclusif ! Le Concours de Personnage Mauvais vous proposera de rédiger la fiche personnage d'un méchant comprennant, comme d'habitude, son histoire, sa description, son caractère, son armement, tout ce que contient normalement une fiche perso. Ainsi, la fiche devra faire inclure tout ce qui est demandé normalement dans ce post-it, avec donc un minimum de 25 lignes, et, pour l'occasion, un maximum de 100. D'éventuels ajouts (images, etc...) sont évidemment bienvenus ! Maintenant, me direz-vous, et l'enjeu ? Eh bien celui qui aura créé le meilleur PNJ aura l'opportunité de le voir se faire ajouter à un grand scénario du staff et à le faire agir. C'est donc une occasion unique de jouer les MJs le temps de quelques messages et d'en apprendre un peu plus sur ce que prépare le staff, et ce, avant tout le monde ! Dès lors, quelques précisions s'imposent. Il est impératif que votre personnage soit réaliste, avec des qualités et des points faibles. Signalons aussi que le fait qu'il soit facile à intégrer à un scénario où des ennemis plus importants sont déjà définis est un avantage. Ces deux critères font que ce qu'on peut définir comme "grandes créatures" sont prohibées. Les participations des membres du staff ne seront pas prises en compte, mais pourront toujours servir d'exemples. Les animateurs peuvent concourrir normalement. Clotûre : Samedi 5 Janvier 2008 Si vous voulez être pour quelque chose dans les prochains problèmes que connaîtra la Terre du Milieu, à vos claviers !
Dernière édition par le Dim 23 Déc 2007 - 17:42, édité 2 fois |
| | | Hadhod Croix-de-Fer Ancien seigneur de la Moria
Nombre de messages : 3220 Age : 33
~ GRIMOIRE ~ -: Nain de la Maison des Longues-Barbes. -: 190 ans. -:
| Dim 23 Déc 2007 - 11:19 | | ~¤L'histoire de Dûr-Amarth¤~ ~Nom: Dûr-Amarth ~Ethymologie: "Dûr" signifie "sombre" et "Amarth" signifie "destin": Sombre-Destin, selon la langue des Noldor. ~Race: Numénoréen Noir.~Age: 62 ans, mais Dûr-Amarth est un Numénoréen, il est donc tout à fait viril et aussi fort qu'un Homme qui serait plus jeune mais de moindre lignée. ~Métier: Dûr-Amarth est Maréchal du Mordor. ~Critères Physiques: Dûr-Amarth est un Homme assez grand, atteignant presque la taille d'un mètre quatre-vingt cinq, pour un poids de 81kg. Il a une importante carrure, des muscles noueux, et son teint de peau tourne très légèrement au gris, ce qui lui donne un aspect sinistre et à la fois important, comme une grande statue de pierre. Ses yeux sont marrons, très foncés, de sorte qu'on dirait q'ils sont noirs. Il a une longue chevelure brune, raide, qui lui tombe sur les épaules, et une petite barbe de la même couleur. Son visage porte une expression ferme et déterminée. Dûr Amarth est gaucher, mais l'annulaire de cette main a été tranché lors d'un ancien combat, si bien qu'il ne lui reste plus qu'une phalange à ce doigt. Dûr-Amarth ~Habitation: Dûr-Amarth est au service des sombres desseins du Seigneur de Mordor, si bien qu'une des tours de la grande forteresse de Barad-Dûr a été mise à sa disposition. Il dort dans la partie la plus haute de sa propriété, qui est tout à l'image du maître de maison: sombre et lugubre. Ses quelques serviteurs vivent dans les caves bien en dessous du niveau du sol, mais ce ne sont que des esclaves: il n'a pas d'autre ami et n'a ni femme ni enfant, et il s'est détourné de ses parents il y a fort longtemps. Il aime se tenir vers sa plus haute fenêtre et contempler le Pays Sombre, et au-delà de l'Ephel Duath, la cime des Montagnes Blanches qu'il peut apercevoir. Cependant, il est souvent absent de son habitat, étant au service du Mordor: il lui faut souvent partir en campagne militaire dans de lointaines contrées, et il lui arrive souvent de dormir dans une simple tente, ou à la belle étoile. Sa tour à Barad Dûr ~Histoire: A Annùminas, près du lac Evendim, naquit un soir Eglarion, fils d'Ergalrad le Rôdeur et d'Estelian, sa femme. Ergalrad était un des Dunedains qui avait bonne réputation en Arnor, un homme solide et loyal. Mais Estelian ressemblait davantage aux Elfes, quoique étant une descendante des Numénoréens, comme son mari. Eglarion était le fils unique de cette famille, et il grandit heureux jusqu'à ce qu'il eut quinze ans. Son père, ErgalradSa mère, Estelian A cette époque, son père l'emmena avec lui parcourir les étendues sauvages du Nord, pour lui apprendre le métier de Rôdeur et l'entraîner à évoluer dans la nature. Ces voyages les menèrent un jour à Foncombe, qui était devenu un point de ralliement temporaire pour les guerriers d'Arnor. Mais les Elfes de cet endroit, bien qu'ils firent bon acceuil à Ergalrad, se méfièrent plus de son fils Eglarion, qu'ils trouvaient mystérieux et sombre. Les Noldor avaient de curieux pressentiments à son sujet, et ils voyaient en lui une menace, si bien qu'ils le surnommèrent Dûr-Amarth, "Sombre-Destin", et firent part de cette inquiétude à son père, qui ne les écouta point. Mais Dûr-Amarth avait entendu cette conversation, et depuis ce jour, il voua une haine implacable pour les Noldor, et les Elfes en général. Le père et son fils retournèrent à Annùminas pour retrouver Estelian. Ergalrad parla alors à sa femme des paroles des Elfes, lui disant qu'il ne fallait pas en tenir compte. Mais Estelian était plus sagace que son mari, et elle savait que les Elfes étaient dignes d'être écoutés. L'idée que son fils puisse être un danger pour les Gens Libres la tourmentait. Mais elle se garda bien de révéler ses pensées autour d'elle, et elle continait d'aimer son enfant. Elle espérait que ce Mal ne se produirait jamais. Six années passèrent, durant lesquelles Ergalrad et son fils ne voyagèrent que très peu. Dûr-Amarth devenait plus mystérieux; il se retirait parfois de grands moments, seul, réfléchissant à ce présage dont les Elfes avaient parlé. Il venait d'avoir vingt-et-un ans quand la Cité fut la cible d'une soudaine attaque nocturne d'Orques au service du Seigneur d'Angmar. Annùminas fut mise à sac et en partie brûlée. Ergalrad et Estelian réussirent à s'enfuir à temps, mais leur fils fut capturé par les sbires de l'Ennemi, et conduit dans la forteresse d'Angmar, avec quelques autres prisonniers. Les pertes furent lourdes du côté des habitants d'Annùminas, mais les Rôdeurs et les soldats d'Arnor eurent finalement le dessus. La ville fut reconstruite; ainsi Ergalrad et Estelian revinrent loger dans leur maison. Mais ils n'avaient aucune nouvelle de leur fils, et ils désespéraient, le croyant mort. Annùminas mise à sac Pendant deux ans, Dûr-Amarth fut retenu en Angmar, dans le repaire du terrible Seigneur de ce Royaume. Nul ne sait ce qu'il endura durant ces longs mois, mais il fut relâché et revint voir ses parents à Annùminas. Son père fut ravi de le retrouver, mais sa mère trouva cela étrange, qu'il fut libéré, et elle s'inquiéta. Sa peur était malheureusement fondée, car, en vérité, Dûr-Amarth avait été perverti par les sbires de l'Ennemi, qui avaient su utiliser sa haine des Elfes pour le rendre mauvais. Estelian et Dûr-Amarth ne se parlaient plus, au grand malheur d'Ergalrad. Son fils était devenu renfermé, arrogant, et orgueuilleux. Le Seigneur d'Angmar Une nuit, Dûr-Amarth entra en catimini dans la chambre de ses parents, s'empara de l'épée que son père laissait à côté du lit, et lui transperça le coeur avec la lame. A ce moment, Estelian surgit d'un coin sombre de la pièce. Elle savait que son fils pouvait commettre quelque action maléfique, et elle l'avait attendu hors de son lit, mais Ergalrad n'avait pas voulu la croire. Et maintenant elle devait sauver sa vie et venger son mari. L'épée au poing, elle avait assez de courage pour défier son fils en duel, mais trop peu cependant pour le tuer. D'un coup particulièrement précis, elle trancha le doigt de son fils, passant la lame en dessous de la garde, ce qui lui fit lâcher son épée. Dûr-Amarth sortit en hâte de la maison, ensanglanté et maudissant Estelian. Il s'enfuit de la Cité en jurant de se venger. Pendant plusieurs années, il erra en Arnor, recherchant sa mère pour la tuer, mais jamais il ne la trouva. Certains disent qu'elle est partie la nuit du meurtre, allant en sécurité à Fondcombe. Dûr-Amarth retourna en Angmar et prit la tête d'un petit groupe d'Hommes corrompus, l'élite des guerriers des Ténèbres. Avec eux, il parcourut le Nord, traquant les Rôdeurs isolés. Nul ne leur avait jamais échappé, sauf un. Il s'appelait Halbarad Dunàdan, et il était le cousin de Dûr-Amarth, bien que tous deux l'ignoraient. Puis il se rendit en Mordor, sur ordre du Seigneur d'Angmar. Les deux Royaumes étaient alliés, et il avait pensé que ses talents au combat pourraient être utiles au Pays de l'Ombre. Il débuta en temps que simple soldat, utilisé pour les petites escarmouches entre les guerriers du Mal et les Gondoriens. Mais bientôt son intelligence stratégique fut repérée et il monta en grade, dirigeant une armée de quelques centaines de soldats. Il attaqua sans répit la Cité Blanche de Minas Tirith, où se trouvait son plus grand rival, le Roi Méphisto de Gondor. Il fut ensuite promu au poste de grand Maréchal du Mordor, et son Seigneur lui parla longuement. Il lui apprit le parler noir et des incantations de sinistre augure, si bien qu'il devint l'un des rares Numénoréens Noirs, comme le fut la Bouche de Sauron avant lui. Son coeur était à présent totalement corrompu. Dûr-Amarth se rendit en Harad, en Rhûn, et au pays de Khand, afin de soumettre les Hommes de ces contrées à la Volonté du Mordor, ce qu'il réussit en partie. Et les paroles des Elfes de Fondcombe se vérifiaient avec le temps. "Sombre-Destin", l'avaient-ils appelé; ce nom convenait tout à fait à son histoire. Celle d'un Homme qui aurait pu vivre honorablement mais qui a préféré s'enfoncer dans les Ténèbres... ~Caractère, signes particuliers: Dûr-Amarth est très orgueuilleux, il aime qu'on parle de lui, aussi bien parmi ses serviteurs que ses ennemis. Il se montre cruel et sans pitié. Son bonheur se trouve dans les grands duels à l'épée, et les hauts faits au combat. Il est courageux, bien qu'il puisse se montrer lâche et traître dans le besoin, comme quand il tua son père dans son sommeil. Il est d'une loyauté fanatique à son Seigneur, et rempli de haine pour les peuples libres, nottement les Gondoriens. Son plus grand défaut est qu'il a une peur affreuse qu'un de ses serviteurs le trahisse et prenne sa place, ayant lui-même été un traître. Et cette pensée obsédante l'empêche parfois de prendre les bonnes décisions. De plus, il n'hésite pas à éxécuter ses sbires lorsqu'il a un doute sur eux. Par ailleurs, il a totalement oublié son vrai nom, Eglarion, et ne répond plus qu'à son surnom, Dûr-Amarth.The Half Cop
Dernière édition par le Dim 23 Déc 2007 - 13:59, édité 2 fois |
| | | Hadhod Croix-de-Fer Ancien seigneur de la Moria
Nombre de messages : 3220 Age : 33
~ GRIMOIRE ~ -: Nain de la Maison des Longues-Barbes. -: 190 ans. -:
| Dim 23 Déc 2007 - 11:27 | | Voilà, j'ai fait de mon mieux, j'espère que ça vous plaira. En tout cas je me suis bien amuser à faire cette fiche. C'est une bonne idée, ce concours, un personnage maléfique, ça change des héros bon et loyaux. The Half Cop |
| | | Sombre-Chêne Seigneur de Fondcombe - Sage Elfe
Nombre de messages : 1908 Localisation : Edoras
~ GRIMOIRE ~ -: Elfe de la Forêt Noire -: Plus de 250 ans -:
| Mer 26 Déc 2007 - 20:19 | | Tout commença un matin brumeux de l'an 2250, par un été glaciale. Ces étranges circonstances allaient-elles jouer dans ce qu'allait devenir l'enfant qui naquit ce jour-là, dans une maison décrépie d'Osigiliath? Impossible à dire, car là nous entrons dans un sujet qui n'est pas du tout celui traité ici. Revenons donc à notre histoire. Le petit garçon, lors de son arrivée au monde, pleura très peu. Sa mère, une certaine Salla Merna, prostituée de bas quartier, le tenait serré dans ses bras et le berçait lentement, tout en le regardant avec peine. Le p'tit d'homme, résultat d'une de ses aventures avec un voyageur du Sud. Celui-ci, s'étant fait un devoir de payer une petite-fortune à la jeune femme, avait demandé en échange certains... services en plus, qui avaient conduit à la grossesse de Salla. L'argent qu'elle gagnait, fruit du succès de sa longue chevelure sombre et de l'éclat noir de ses yeux, elle le mettait de côté, ne prenant que le strict nécessaire pour subvenir à ses besoins. Ainsi, elle vivait dans la misère tout en possédant des économies considérables dont elle seule connaissait la cachette. Pourquoi cette avarice? Elle même ne le savait pas, put-être dans l'attente du bon moment pour dépenser tous ses deniers. Ce moment semblait être arrivé, la prostituée n'en doutait pas, mais elle ne pouvait s'empêcher de penser à la façon dont son rejeton avait été conçu. Mais deux ans plus tard à peine, les économies n'étaient plus qu'un vague souvenir : dépenses excessives, vol suite à l'exhibition de pièces dorées, et surtout aucun moyen de revenu, Salla ayant stoppé ses activités, qu'elle dut reprendre lorsque l'argent se fit rare. Mais son corps se faisait vieux, et ses ébats pas assez vigoureux pour satisfaire ses clients, qui se firent de moins en moins nombreux et généreux. Ainsi, l'enfance de l'Enfant, qui n'avait pas de nom, fut bien étrange. Sa mère, qu'il ne voyait que rarement lorsqu'elle lui rapportait une ou deux pièces ou un quignon de pain noir, ne pouvait entretenir un relation normale, et un fossé se creusa très tôt entre le jeune garçon et la femme, qui jamais ne fut appelée "maman". L'Enfant développa un indépendantisme puissant, qui l'amenait parfois à passer des nuits dehors, sans que Salla ne s'en inquiète (quand elle s'en rendait compte). Ces excursions l'amenèrent aux quatre coins de la ville qu'il finit par connaitre par cœur. Pour subvenir à ses besoins, il prenait parti de tout ce qu'il pouvait trouver, sans cesse à la recherche d'astuces, de combines pour trouver, faire ou fabriquer ce qu'il voulait. Mais jamais il ne volait... ...Jusqu'au jour ou à l'âge de cinq ans, de passage sur la Grand' Place, il entendit un troubadour chanter, s'accompagnant lui-même avec un luth. L'Enfant, captivé se faufila à l'intérieur de la rond de curieux qui s'était formé pour voir de plus près le spectacle. Il fut tout suite captivé par le jeu des doigts sur les cordes, et lorsque le musicien commença un autre numéro, le jeune garçon se faufila derrière lui et sans que personne ne le remarque réussit à dérober l'instrument. Désireux de ressembler à l'homme, il se plaça au carrefour de deux rues passantes et commença à jouer en passant simplement sa main sur les cordes et en chantonnant l'air qu'il avait écouté tantôt. Mais à son grand dam, personne ne fit attention à lui, et quand certains posaient leur regard sur lui, c'était pour le relever aussitôt. Cet épisode, peut-être comique à vos yeux, fut le plus marquant de sa vie : il n'avait pas réussi ce qu'il avait voulu faire. Assis sur un toit à regarder la Cité Blanche au loin, il réfléchit longtemps. Sa longue méditation l'amena à cette conclusion : on ne peut tout faire, et il nous appartient de savoir ce dont on est capable et incapable, et dans ce dernier cas de tout faire pour y arriver. Les jours qui suivirent, et ce durant de longs mois, il resta seul dans un coin le long du Grand Fleuve à s'entrainer, testant les différentes positions de ses doigts sur le manche, développant son oreille, accordant les notes en allant écouter les ménestrels, puis en répétant leurs gestes. Et ce durant de longues heures chaque jour ou jamais il ne prononçait un mot. Durant cette période, le fossé entre l'Enfant et Salla se creusa, lui jouant et elle passant toutes ses journées dans les bordels pour attirer des clients rétissents et rares. Le garçon, au fur et à mesure qu'il grandissait, accroissait sons sens de l'observation, de la critique et de la déduction. Il analysait les situation, regroupait des éléments pour en tirer des conclusion. Ainsi, n'ignorant rien du travail de la femme qu'il ne considérait pas comme sa mère (ce mot, en dehors du lien du sang, signifiait-il quelque chose?), en conclu les conditions de sa naissance et en tira une leçon qu'il appliqua le restant de sa vie : dépendre de quelque chose est synonyme de pauvreté. Lorsque Salla tomba gravement malade et que la fièvre l'immobilisa, elle appela l'Enfant à rester à son chevet. Elle lui dit qu'elle l'aimait plus que tout au monde, qu'elle était désolée d'avoir été une si mauvaise mère... Mais son fils, désormais jeune gaillard de quinze ans, n'éprouva aucune compassion, même s'il ne perdit pas un mot du récit. Aimer? Il n'avait jamais eu personne à aimer, personne ne lui avait jamais montré d'affection... jusque maintenant. Il ne lui en voulait pas, il comprenait parfaitement qu'elle veuille se faire pardonner, et il croyait même ce qu'elle disait. Mais il n'avait pas besoin de ces preuves d'amour, il n'avait pas besoin d'amour, il était indépendant. Le temps passa, et ses talents musicaux évoluèrent en même temps que son physique ses cheveux, aussi sombre que ceux de Salla tombaient sur ses épaules en d'innombrables boucles, tandis qu'il entretenait aussi bien que ses moyens lui permettaient une barbe et une moustache sombres. Bien que pas imposant, ses muscles avaient été endurcis par ces longues heures de marche dans la ville à se donner en spectacle, art dans lequel il excellait désormais. Ses yeux, identiques à ceux de sa mère, avaient attendris plusieurs jeunes femmes dont les avances étaient toujours reçues par une froide indifférence. C'est alors que ses vingt ans approchaient que sa vie rencontra un deuxième tournant et qu'il découvrit un nouvel art, dangereux, auquel il pouvait se vanter d'être bon : la parole. Un homme, alors que l'Enfant achevait un morceau de sa composition, vint voir le musicien. Il était désespéré et lui demanda de lui apprendre à jouer, en échange d'aide financière. Le jeune homme accepta, et au fil des rencontres, se rendit compte d'une chose : son élève dépendait de lui, de sa musique pour vivre. Une idée pointa alors dans son esprit : était-il possible d'utiliser cette dépendance pour un but quelconque? Un jour, après un cours l'Enfant par simple curiosité, s'informa de la situation de l'homme par d'habiles tournures de phrases, et apprit que le fils unique de son employeur était décédé. Puis, sans laisser paraitre dans sa voix aucun affront, déclara que la musique ne pourrait l'aider qu'à cacher sa souffrance, pas à l'oublier. le lendemain, on annonçait le sucide d'un riche commerçant, d'un nom de Sernir. C'est ainsi que l'Enfant, peut-être uniquement par jeu, décida de prendre le nom de sa victime. sa situation, grâce à sa paie gnéreuse, s'était considérablement amélioré et il passait désormais dans la rues avec son luth et vêtu avec gout. Son talent fit sa renommée et son nom fut vite connu dans le ville entière. Il se rendit compte plus tard de son erreur. En effet, un été, une triste affaire ébranla la cité : un haut dignitaire avait été assassiné, et de nombreuses pistes désignaient un troubadour, Resti, comme coupable. Son innocence fut prouvée plus tard, mais le Mal était fait. Il n'y avaient plus que quelques rares personnes pour jeter une pièce devant les musiciens qui jouaient leurs airs sans grande conviction. C'est de cela que Sernir tira sa dernière leçon : la célébrité ne peut que nuire. C'est ainsi qu'il quitta la première fois Osgiliath pour marcher à travers les terres sauvages pour jouer dans les châteaux ou les auberges sur son chemin. Parfois il reste plusieurs mois, voir un année entière pour arriver à ses fins, mais jamais éternellement. Chaque fois il était acclamé, et chaque fois un évènement tragique arrivait : un aubergiste fermait son établissement, un conseiller était condamné mort, une jeune femme était violée par un chevalier, et parfois même des disputes se transformaient en guerre entre deux seigneurs. Une seule personne régissait tout cela, mais jamais on ne pouvait la condamner : l'Enfant, Sernir. Par une phrase habilement placée, des sous-entendus jamais blâmables, des dépendances utilisées avec "précision". Toujours en quête de ce qu'il ne peut pas faire, toujours dans l'idée de faire plus parfait, plus compliqué, toujours indépendant, toujours inconnu. Et cet homme, si terriblement intelligent, agit toujours, à 50 ans. Il est la cause d'incidents dont personne ne pourrait le soupçonner, et à raison : après tout, il n'est jamais coupable de quoi que ce soit directement. Mais si dangereux... Hehe! Je suis tout près des 100 lignes! Une des plus longs posts du forum, je sis fier de moi. Bravo à tous ceux qui ont eu le courage de lire jusqu'au bout, je les félicite. |
| | | Eorlund Ambassadeur du Rohan
Nombre de messages : 124 Age : 37
~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim -: 25 ans -:
| Jeu 27 Déc 2007 - 14:08 | | « Pour triompher, le mal n'a besoin que de l'inaction des gens de bien. » Edmund Burke
Le mal atteint toute son horreur quand sa pratique est faite par des gens ordinaires; c'est ce qu'Hannah Arendt nous a apprit: la banalité du mal.
Melen et Faolia Meodred étaient heureux. Par une douce nuit d'été, l'accouchement s'était bien passé. La sage femme du gouffre de Helm avait fait un travail remarquable et peu de sang avait été perdu. Melen avait la double joie de voir sa femme vivante, en pleine santé et de voir sa fille découvrir le monde de ses jeunes yeux. Puisque cet enfant était né de l'amour de Melen et de Faolia, il se nommerait Melenia.
Melen était un riche commercant du Rohan. Son père était marchand et les hommes des générations antérieures eux-aussi. La fortune était de famille et Melen ne comptait pas que cela s'arrête. Aussi , il avait épousé Faolia, fille d'un riche et vieux marchand du gouffre de Helm. Mariage d'argent certes; mais très vite, les deux jeunes gens étaient tombés amoureux. Un amour qui avait donné la vie à Sired, leur fils. Et puis par cette nuit, venait s'ajouter à cette heureuse famille Melenia.
La famille vivait confortablement dans une belle demeure sous la protection du gouffre. Les affaires avait bon train et Melen conservait le patrimoine des ancêtres, prêt, un jour à le leguer à Sired. En attendant, cet argent servait à faire vivre la famille. Une famille heureuse. Peut être trop d'ailleurs. L'amour qui unissait Melen et Faolia transpirait presque et agassait bon nombre de voisins. Et ces enfants! Lui, Sired, grand, beau, fort, doué pour la monte et les armes. Elle, Melenia, trois ans de moins que son frere mais aussi grande et belle. A cela s'ajoutait une inteligence hors norme et un quasi-don pour le calcul. Cette famille avait de quoi agacer par son bonheur. Mais le mal frappa, non pas par les voisins jaloux et envieux mais, de l'intérieur. Les années passèrent et l'heureuse famille semblait toujours sous la bonne étoile. Les affaires de Melen, quarante ans, battaient leur plein. Faolia, trente-sept ans, était comblée, maitresse d'une belle maison et mère de deux beaux et heureux enfants. Sired, vingt ans, plaisait aux filles et aux femmes. Il se détournait des affaires marchandes de son père pour embrasser la carrière de armes. Melenia, dix-sept ans, belle comme le printemps, n'accordait que peu d'attention aux commentaires des hommes sur son passage. Elle s'interessait plus aux affaires du père et à la gestion des marchandises. Melen ne voyant pas la possibilité de faire suivre les affaires par son fils, se réjouissait d'avoir une fille pour prendre sa suite quand le moment serait venu. Vint le jour où Sired partit pour Edoras afin de se présenter au roi et integrer ses armées. C'est là que la dechirure débuta. Melenia aimait son frere plus que tout et le voir partir lui fendit le coeur. Son compagnon de jeu, son complice, son protecteur était loin d'elle. Elle se sentait mal. Les années passèrent moins vite désormais. Les nouvelles de son frere étaient trop rares à son goût. Il lui manquait et elle resentait un grand vide. Elle supportait de moins en moins l'amour de ses parents. Ces deux là exposaient leur amour à la vue de tous, ne se souciant guère de ceux qui en manque. Et du soucis, s'en faisaient-ils pour Sired leur fils ? Elle pensait bien que non, il s'était détourné du commerce pour vivre sa vie alors son père devait n'en avoir cure! Et sa mère, aveugle de son amour pour Melen ne devait n'en avoir rien à faire non plus! Elle se complaisait dans le luxe de sa vie sans se préoccupée de savoir si son fils allait bien! N'y avait-il donc qu'elle pour se préoccuper de Sired? Elle en vint à le penser et ce fut bientôt sa seule pensée. Elle rejetait tous les hommes qui l'approchaient, elle parlait de moins en moins à ses parents. Elle ne leur parlait sourtout pas de Sired, ils ne le méritaient pas. Eux de leur côté, pensaient à une peine de coeur ou à une crise passagère dû à l'age de la jeune fille. Aussi, décidèrent-ils de laisser faire mais d'être toujours présent et d'offrir tout leur amour, comme ils l'avaient fait en tout temps, le jour où elle irait mieux. Et ce jour faillit arriver. A l'automne, ils reçurent une lettre de Sired, annoncant qu'il rentrerait d'Edoras à l'Hiver avec trois surprises. Melenia se sentit revivre et recommenca à sourire. Ses parents, heureux de ce constat, furent grandement apaisés. Tous attentdaient avec impatience le retour de Sired. C'est dans une froide matinée d'hiver que Sired arriva à la demeure. La première surprise était que Sired était capitaine des gardes royaux. Melen qui avait toujours revé de faire de son fils un marchand, éprouva de la fierté d'avoir un tel fils. Faolia, voyait le bonheur de son fils et de son mari et cela faisait le sien. Melenia, heureuse de revoir son frere, fut également ravie de la nouvelle fonction de Sired. La seconde surprise lui parut en revanche la fin du monde. Sortant d'un chariot baché, une jeune femme vint se blottir aux cotés de Sired. Il était marié depuis un mois à Eonia, ravissante femme d'Edoras. Les parents furent heureux. Melen prit son fils dans ses bras. Faolia essuya quelques larmes. Mais Melenia, elle, était restée de glace. Le monde s'écroulait autour d'elle. Son frere, avec cette becasse! En plus elle avit l'air niaise! Cette pauvre fille que pouvait-il bien lui trouver ? Elle ne le méritait pas! Pas elle! La troisième et dernière nouvelle , fut comme un coup de poignard : Eonia était enceinte. Melenia, ferma les yeux sous la douleur. C'était impensable. Elle devait rever, cauchemarder. Ne tenant plus, elle s'enfuit en courant dans sa chambre e tn'en ressortit que bien après le dapart de son frere qu'elle aimait tant. La vie de la famille devint alors une horreur. Melenia ne parlait plus du tout à ses parents où alors pour les insulter, leur dire qu'isl avaient laisser partir Sired et se mettre dans les pattes de la première mégère venue! Elle nourrissait désormais pour ses parents une quasi haine. Les voir lui était insuportable. Son seul reconfort était que désormais, ils n'était plsu le couple heureux d'autrefois. On ne les voyait plus main dans la main. Les voisins, eux, jubilaient. Voilà la justice, on ne paut pas être autant heureux! Il faut bien que ca se paye un jour. Six mois aprés sa première visite, Sired revint. Il avait amené sa garce et son batard fraichement né. Ils devaient rester au gouffre pour une semaine. Un soir, Faolia du sortir de la demeure pour veiller sa mère mourante. Melen, seul, lisait dans la grande salle de la demeure. Melenia passa à coté de lui pour rejoindre sa chambre. Se décidant à parler à sa fille, il lui agrippa le bras pour la retenir. Mais Melenia, folle de rage de ce contact, se débattit de toutes ses forces malgrés les appels au calme de son père. Elle saisit alors un chandelier qui était à portée de bras et fracassa le crane de son père. Il s'écroula sur le sol, dans une marre de sang. Hors d'elle, Melenia continua de frapper son père. Elle arreta aprés une vingtaine de coups. Machinalement, elle se releva et prit le chemin de la chambre de son frere. Elle poussa la porte sans faire de bruit. Elle se dirigea vers l'épée de son frere. Elle sortit la lame de son fourreau puis s'approcha du lit où Sired et Eornia dormaient si proche l'un de l'autre. Melenia leva l'épée et frappa un grand coup. Eornia, avait la gorge tranchée. Le sang n'u pas le temps de se rependre que Sired s'était relevé. Toujours assit dans le lit, son regard se porta sur sa soeur, pleine de sang, son épée à la main puis sur sa femme, agonisant, les mains sur sa gorge béante. Sired reposa son regard sur sa soeur; un regard d'incompréhension. Melenia ne pût supporter ses yeux plus longtemps. Les larmes aux yeux, elle plongeat l'épée dans le coeur de son frere, qu'elle aimait tant. Le regard vide, elle marcha vers le berceau où le nouveau né, le batard, pleurait. Elle leva l'épée puis ... elle ne pût pas. Elle rabaissa sa lame et quitta la chambre. Le lendemain matin Faolia rentra aprés une longue nuit à avoir veillé sa mère qui était morte sur le petit matin. Sa peine fût énorme en découvrant le massacre. Seul l'enfant avait survecut. Faolia quitta cette demeure avec l'enfant pour s'installer dans le Snowbourne, loin des souvenirs de son ancienne vie. Melenia, quant à elle, a fuit le gouffre de helm et arpente la terre du milieu. Elle a une horreur de tout ce qui ressemble de près ou de loin au bonheur et deteste les familles heureuses. Elle est à la tête d'une troupe de guerrières cavalières sans pitié. Elle a conservé son incoyable beauté, une beauté froide, glaciale. Elle se fait nommer Sired. Mais si vous croisez son chemin , sachez aussi qu'elle aime à se faire appeler Desir. |
| | | Forlong Tribun Militaire d'Arnor
Nombre de messages : 3430 Age : 33 Localisation : En Arnor Rôle : Vieux loup au service du Royaume du Nord
~ GRIMOIRE ~ -: Dunadan d'Arnor -: Quarante Ans -:
| Jeu 27 Déc 2007 - 17:31 | | Nom: Inconnu Prenom:Selden Age:Une quarantaine d'annees Metier: Chasseur des primes, assasin, mercenaire.
Histoire: Selden est ne il y a quarante ans, a Esgaroth. Son pere, un homme cruel, mourrut dix ans plus tard, lors d'un combat dans une taverne. Ni le garcon, ni sa mere, nommee Melliath, ne regrettaient pas beaucoup cet homme qui passait plus de temps avec sa choppe de biere qu'avec sa famille ou au travail. Mais avec sa mort, les problemes financiers commencerent a apparaitre. Au debut, la mere de Selden gagnait un peu d'argent en vendant les fromages qu'elle fabriquait, mais cela ne suffisait pas. Elle essaya de trouver un travail, mais personne ne pouvait lui offrir un emploi digne. Elle refusa de travailler dans un bordel. Selden avait environ douze ans, et etait encore un peu trop jeune pour trouver un emploi. Melliath ne voyait qu'une seule solution. Elle est allee preter un peu d'argent chez leur voisin, nomme Kallad, un homme tres riche, proprietaire de trois grands bateaux pecheurs sur le Grand Lac. Malheureusement une seule chose etait plus grande que sa richesse: son avarice. Il recut Melliath chez lui, mais lorsqu'elle lui demanda de l'argent, il lui repondit qu'il acceptera seulement si elle s'offre a lui. Lorsque la pauvre femme refusa, il se mit en colere terrible, et dit a trois de ses hommes de la chasser de sa maison avec des coups de baton. Les serviteurs effectuerent l'ordre, et frapperent fort. La femme, blessee et epuisee tomba dans la boue en dehors de la maison de Kallad, et mourut de chagrin, de froid, et de douleur. Lorsque Selden revint du lac, ou il pechait des poissons, et vit sa mere, morte, il tomba dans une colere terrible. Il se promit de venger sa mere. Le garcon partit dans la grande foret et y roda pendant trois jours, se nourrissant de fruits et de poissons. Finalement, il fut retrouve par un groupe d'hommes, des bandits qui gagnaient leurs vies en s'attaquant aux marchands qui allaient a Esgaroth par les chemins de la foret. Les hors la loi donnerent a manger et a boire au garcon, et commencerent a discuter qu'est ce qu'ils allaient en faire. La plupart voulait le vendre aux esclavagistes qui passaient parfois dans les alentours. Lorsque Selden entendit cela, il se leva, et dit aux bandits: -Vous allez gagner beaucoup d'argent si vous me vendez aux esclavagistes, mais vous en gagnerez cinq fois plus si vous me permettez de rester avec vous. Je connais un homme a Esgaroth, il se nomme Kallad. Il est riche et digne, et ne s'attend pas a une attaque. Je connais le nombre exact de ses hommes, les heures ou ils mangent et dorment. Kallad a trois coffres remplis d'or et d'argent, ainsi que beaucoup de bijoux et des objets de valeur. Attaquons le pendant la nuit et vous serez riches. Le chef des bandits demanda au jeune garcon: -Que veux tu en echange?! -Laissez moi plonger ma lame dans le coeur de Kallad.
Apres une longue discussion, les bandits deciderent de faire confiance au garcon. Celui ci leur dit tout sur la maison qu'ils allaient attaquer, et proposa que l'attaque ait lieu la nuit apres le Festival de la Vie, une des plus grandes festivites locales, lorsque tout le monde sera ivre. Et c'est ce qu'ils firent. Ils s'approcherent de la maison pendant la nuit, et tuerent les deux gardes qui dormaient. Ils ouvrirent ensuite la porte, et quelques uns d'entre eux se precipiterent dans la piece ou dormaient les serviteurs, pour les neutraliser. Le chef des bandits alla avec Selden dans la chambre de Kallad. Celui ci etait couche sur le lit avec une jeune femme a ses cotes, qui se reveilla, et s'enfuit par la fenetre, en voyant l'homme et le garcon. Kallad se reveilla a son tour lorsqu'il entendit le cri de la femme, et sentit sur sa gorge l'acier froid du poignard du chef des bandits. Le hors la loi leva le bourgeois par le col de sa chemise de nuit, et le jetta par terre. -Qqui etes vous?! -demanda Kallad. -Tes meurtriers. -repondit Selden, en montrant son visage, puis enfonca sa courte lame dans le coeur de Kallad. Les bandits trouverent beaucoup d'or, d'argent, et d'autres objets de valeur dans la maison de Kallad. Aucun habitant d'Esgaroth ne vint au secour de leur voisin, car personne n'aimait Kallad. Les voleurs partirent tranquillement vers la foret, a present riches et heureux. Depuis cette nuit Selden devint un membre respecte de la bande, et grandit dans la foret. Ensemble, lui et les voleurs eurent beaucoup d'aventures, trop longues a raconter ici. A l'age de dix-neuf ans, Selden etait deja un des plus grands et plus forts dans la bande, il avait des cheveux noirs, et des longs bras. Il decida d'affronter le chef des bandits dans un duel, et prendre le pouvoir du groupe. Il gagna le combat, en tuant son precedesseur, et devin chef des bandits. Pendant plusieurs annees la bande ravagea les routes et les villages, jusqu'a quand un jour ils furent encercles par la milice. Tous les hors la loi furent tues apres un combat feroce, a part Selden qui reussit a s'enfuir sur un cheval, apres avoir tue deux soldats qui essayaient de l'arreter. Il decida de changer de region, car il etait un homme recherche. Pendant trois ans il voyagea au Arnor, au Harad, et au Dunland. La bas il ameliora encore ses capacites de combattant, et devint un des meilleurs lanceurs de javelots. C'est la aussi qu'il commenca a effectuer des contrats en tant que mercenaire et chasseur des primes. Il assasinait, combattait, ou protegeait pour de l'or. Rapidement il devint un des plus celebres parmis les hommes de son genre. Il etait considere comme la meilleure lame a louer, et tous ceux qui avaient l'argent pour, choisissaient ses services. Il partit du Umbar apres avoir assasine un des princes locaux, contre une grande quantite d'or, car il etait chasse par la milice et par une bonne vingtaine de cousins et freres enrages du defunt prince. Il dirigea alors ses pas vers Minas Tirith, la Cite Blanche, qui pourtant cache dans ses ruelles des affaires tres noires. Parmis les dizaines d'offres qu'il recoit, il choisit seulement les mieux payes. Description physique: Selden est un homme tres grand et tres fort, car il a passe sa jeunesse dans les forets du Nord, a chasser et combattre. Il a des tres longs bras, capables de casser tous les os dans le dos de son adversaire. Il a des yeux gris froids, et une barbe noire. Il porte des tuniques noires decorees avec des fils d'argent, crees par les meilleurs couturiers de Minas Tirith, ainsi qu'une cape et des bottes en cuir. Il ne quitte jamais son poignard et sa courte epee en mithril. Sur les doigts de sa main gauche il porte trois anneaux en argent, un d'eux contient une poudre blanche, un poison meurtrier. Signes particuliers: Une cicatrice sur le front, cachee sous ses longs cheveux noirs, un souvenir d'un combat contre les gardes du Umbar, et une autre sur sa main gauche, que lui infligea le chef des bandits lors de leur duel. Description psychologique: Depuis qu'il venga sa mere, Selden peut etre considere comme un homme sans coeur. Il eprouve rarement du plaisir a tuer, sauf si il s'agit d'une affaire personnelle. Lors du combat, il garde le sang froid. L'argent est la seule raison pour laquelle il tue. Il s'habille d'une facon riche, mais elegante. Il eprouve de la meprise pour les pauvres, probablement suite a sa jeunesse malheureuse dans la pauvrete. Mais il n'aime pas non plus les riches incapables de combattre et de resoudre leurs propres problemes. Il n'aime pas les femmes, il les considere comme des jouets agreables. Qualites: Il est un excellent bretteur, peu de gens savent eviter la mort lorsqu'ils se battent contre lui. Son javelot ne rate jamais sa cible. Il garde le sang froid au combat et est tres intelligent. Defauts: Il a tendance a mepriser ses adversaires, se considerant comme le meilleur combattant. Il ne sait pas se servir d'un arc ni d'une arbalette, le javelot est la seule arme a distance qu'il maitrise. Il a tendance a accepter les contrats tres risques, du moment qu'ils soient bien payes. Equipement: Selden porte toujours sur lui un poignard ainsi qu'une courte epee en mithril. Il possede egalement deux javelots avec des lames en mithril et des manches en bois de cerise. Habitation: Selden habite dans les meilleurs auberges des villes ou il se trouve. Membre des Orange Brothers aka The Good Cop |
| | | Eaque, frère d'Eaquem Haut Conseiller du Roi
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~ GRIMOIRE ~ -: Gondorien -: 23 ans -:
| Jeu 27 Déc 2007 - 20:15 | | Corwen, l’Empereur Astral Nom:Corwen Age : 48 ans Titre : Ancien Amiral du Gondor. Il est maintenant nommé : « L’empereur astral ».Critères Physiques : D’une taille assez petite pour un descendant des numénoriens, Corwen n’a jamais eut la force d’un combattant acharné. Il avait une chevelure noire, qui avec l’age a viré au blanc gris. Son regard est resté quoi qu’il en soit perçant et il lit aisément au fond des âmes. Historique : Sorti major de sa promotion des troupes de marine, ce fut surtout son savoir maritime plus que son talent aux armes qui lui valurent ce titre. Il choisit de continuer dans une école d’officier de la flotte et devint donc aspirant. En tant qu’élève officier, il se fit reconnaître par tout ses supérieur comme un dirigeant d’homme hors du commun, un maître de navire incontesté. Malgré tout, son manque de talent dans les armes ne lui permit pas d’être classé dans les dix premiers de sa promotion, et reçut, alors qu’il espérait diriger un vaisseau contre Umbar, le commandement des navires chargé de défendre Osgiliath. Ce poste lui assurait de ne jamais voir le combat, car aucun navire pirate ne pouvait passer Pelargir, et les rares qui y arrivé étaient stoppé devant le port de Minas Tirith. Or un jour, L’assaut pirate fut si inattendu qu’il perça les défense du Gondor. Le port de la cité blanche était submergé par une dizaine de vaisseau de guerre d’Umbar. Corwen lança donc l’assaut avec ses cinq patrouilleur pour éviter au Gondor une catastrophe. Il utilisa les trébuchet d’Osgiliath qu’il monta sur ses navires, et le rétrécissement du fleuve pour vaincre. Il reçut, en récompense de son action, le titre de Commodore de l’Ouest, qui lui assurait la direction des tous les ports et tout les navires depuis Pelargir à la mer. Seul au dessus de lui se trouvait l’Amiral du Gondor. Tous s’accordait à dire que c’était une bénédiction pour le royaume de Mephisto d’avoir cet homme au commande de la flotte. Il reçut le titre d’Amiral quand le précédant quitta ses fonction. Certains, mauvaise langue ou non, l’on ne sait, affirmèrent qu’il l’avait forcé à quitter ses fonctions pour obtenir le poste. Certains parlait de lui comme le futur Intendant du Gondor. Il dirigeait presque toute l’armée, les Maréchaux écoutant ses conseils tactique. Le Roy lui même s’en remettait à son talent. Mais ce fut Radamante qui reçu le titre d’Intendant. Et à cette période, on commençait à parler d’un Prince de l’ancienne numénore, Berund, fils de Berunda, seigneur de Dor-lomin et Prince de Brethil. En tant que capitaine de la flotte, nombreux le voyait comme un futur amiral. Il avait mené avec brio un assaut contre une des cités vassal d’Umbar. Or il advint que des troupes réussirent à pénétrer dans le Pélenor. Une bataille s’engagea. L’amiral du Gondor était à Dol Amroth ou il combattait l’ennemi. Berund eut donc le commandement de la flotte. Il dut sacrifier de hommes de Gondor et les rumeurs le firent passer pour un traître. Corwen sauta sur l’occasion, et le fit fuir la cité blanche. « Je n’ai fait que mon devoir, amiral.-J’en suis conscient, mais le peuple n’est pas de cette avis. Vous avez tué leur père, leur frère, leur maris. Et le Roy est sollicité pour ce jugement. Il est assez gêné. Vous pouvez encore quitter le royaume. Je me débrouillerai pour retenir les hommes lancé à vos trousse. »Il restait le seul maître de la flotte. Malheureusement, pour lui, il fut capturé deux mois plus tard dans une bataille naval à l’embouchure de l’Anduin. par le pirate Myzka. Or, aucune rançon ne vint pour le racheter. « Aucune ambassade pour vous récupérer, dit Myzka. Pas de rançon. Rien du tout. J’en suis navré. Un homme si grand que vous abandonné par ses semblable… Vous devriez nous rejoindre… -Allez au diable capitaine.» Persuadé d’avoir était abandonné, il eut de la rancœur contre le Roy et sa cité. Or tous le croyait mort. «Ils sont mit Berund sur le trône de Dol Amroth. A croire qu’ils sont heureux de votre situation. Les négociateurs que j’avais envoyé ne sont jamais revenue… » -J’accepte votre proposition. S’il ont refusé de me sauver, je me vengerais… -Bienvenue dans le camps des gagnant, Amiral… » Il se lia d’amitié avec Myzka, leur amour de la mer les unissant. Puis il monta dans l’estime des pirates, à tel point qu’il prépara une grosse parti du plan visant a faire tomber Dol Amroth et son ennemi, Berund. « N’utilisez pas « L’Empire Astral ». Son fort tirant d’eau ne vous aidera pas quand vous remontrez le fleuve. Par contre, le navire de ce Reznor, ce « Joyeux Requiem » devrait faire l’affaire. Débrouillez vous pour l’avoir… » A la mort de Myzka, on l’envoya avec un navire dans le nord pour diriger les colonies d’Umbar et mettre le Nord à feu et à sang. Son navire se nomme « L’Empire Astral », d’ou son nom… Possession : - « L’Empire Astral », son vaisseau, équipé de nombreuses armes de guerres, -Le sabre des officiers de Gondor, dont il a effacé l’arbre. Famille : Sa famille est une simple famille de commerçant. Son père travaille dans les vêtements, et sa mère, fille de minier, l’y a rejoint. Fils unique, il a toujours été choyer par ses parents. Par contre, son père était un rustre qui pensait aimer la mer. Mais il l’aimait comme l’on aime un plat à manger.Cela a toujours marqué Corwen, et heureusement que sa mère avait compris cette amour de l’océan et lui permit de quitter la tutelle paternelle… Caractère : Calme et posé, il réfléchi et prend des décision rapidement. Travailleur, son coté audacieux prend souvent le dessus, mais, malgré tout, il est avide de pouvoir et de conquête. Il place l’honneur au dessus de tout, mais son incapacité à gagner un duel, suite à son manque de talent à l’épée. C’est ce qui lui a fait détester Berund, car celui-ci était homme de talent aux armes aussi bien que dans le commandement. Le fait que tous l’ai cru mort et n’ai tenté de le libérer lui a donné une haine envers le Gondor que personne n’a eut… Enfin, son ego pense que personne n’a jamais autant hais la cité blanche.
Dernière édition par le Mer 30 Jan 2008 - 16:38, édité 1 fois |
| | | Laurelin Seigneur des Havres Gris - Maître d'Elostirion
Nombre de messages : 1299 Localisation : dans la lune, comme d'hab ... Rôle : Seigneur d'Elostirion, gardien des trois tours Blanches d'Emyn Beraid.
~ GRIMOIRE ~ -: Elfe -: Fin 1er age -:
| Mar 1 Jan 2008 - 20:43 | | Ancanarë - Mage de Lothlórien - Printemps 3309 - Age 4 - journal - La connaissance est mon eau, ma nourriture, ma vie. Cette soif de savoir m' a conduit sur de bien étranges chemins, m' a offert de bien curieuses rencontres, et m' a permis de faire de multiple découvertes, chacune d' entres elles m' envoyant vers de nouvelles voies inexplorées, me poussant à chercher encore et toujours ... Il y a plusieurs années de cela, alors que je fouinais dans une bibliothèque perdue, j' ai découvert un message sur un antique parchemin dont les mots étaient partiellement effacés. Il m' a fallu de long mois pour réussir à déchiffrer ce qui y était inscrit : { Libère la lame perdue de l' étoile~De l' oubli vaporeux ôte le voile~De l' épée corrompue, la force se levera~Le noir esprit de l' esprit faible se jouera~Substance alors il retrouvera~ Obscurs ténèbres il exhalera } Sur l' autre face se trouvait une carte indiquant l' endroit où je devais me rendre pour comprendre cette énigme mysterieuse. Je me suis mis en route quelques jours plus tard, suivant les indications du plan. je foulais des chemins perdus, oubliés de tous, lugubres et effrayants. Je finis par arriver près de l' endroit recherché : Un énorme rocher en forme de serpent. Je creusais à son pied comme me le suggérait un dessin grossier de la carte, mais il n' y avait rien, rien de rien ! J' étais bloqué, si près du but. Je frappais alors de mes poings sur la roche, hurlant ma frusration lorsqu' une pierre se détacha au dessus de moi, puis une autre. Je me rendis compte avec horreur que mes cris et mes coups répétés provoquaient un éboulement et une pierre vint heuter ma tête, je tombais là, inanimé. Lorsque je repris connaissance, je remarquais dans la roche une ouverture suffisante pour laisser passer un homme. Je m' y engouffrais et pénétrais dans une grotte circulaire. En son centre trônait un puit noir et inquiétant. Je sortais ma longue corde elfique que j' attachais solidement à un rocher saillant avant d' enflammer une torche et entamer la descente. Enfin mes pieds touchèrent le sol. J' étais dans une nouvelle grotte et le halo de lumière de ma torche éclaira soudain un squelette traversé par une magnifique épée noire. A ses côtés, trainait un vieux grimoire poussièreux et au dessus gravé dans la paroi, une supplique : De grâce, fuyez, laissez reposer l' ombre oubliée !! Glacé d' effroi, j' aurais voulu quitter ce lieu maudit mais une force irrésistible m' attirait. Je ruisselais de sueur mais, surexité par ma découverte, aveuglé par je ne sais quelle folie, j' oubliais toute prudence. Approchant ma main du pommeau de la grande épée, je m' en saisit. j' aurais juré sur les valar avoir aperçu une lueur bleutée éclairer le fil de la lame alors que je la retirais de l' ossature. J' ouvrais ensuite le manuscrit usé et commençais à décrypter les écritures anciennes, souillées et par endroit effacées. -Volyía - Conseiller du Roi Turgon - Hiver 510 - Age 1 - Journal - * L' horreur s' est abattu sur la belle cité ! Le noir ennemi nous a découvert et gondolin n' est plus. Moi, Volyía, conseiller fidèle du Roi Turgon, je dois mon salut à un passage secret par lequel j' ai suivi Tuor et Idril pour m' échapper. Le traitre a été tué par Tuor et jeté à bas d' Amon Gwareth, qu' il soit maudit ! J' ai en ma possession l' épée noire que l' infidèle a laché avant de tomber dans l' abîme, je l' ai ramassé à l' issu du combat. * Une attaque soudaine d' orque nous a obligé à nous séparer. J' espere que Tuor et la belle Idril sauront trouver leur voie. Il ne reste que moi, mon jeune assistant et l' épée noire. Nous souffrons du froid, nous ne savons où aller. Heureusement, nous avons decouvert cette grotte et nous allons tenter de subsister le reste de l' hiver avant de tenter de retrouver notre peuple ...... * C' est étrange, l' épée noire brille d' un halo bleuté, elle ne me laisse que peu de repos ces temps çi. Elle occupe de plus en plus mon esprit, comme si ...
La suite est illisible, je tourne quelques pages dont certaines s' effritent au contact de mes doigts, avant de pouvoir à nouveau lire quelques feuillets : * J' ai failli tuer mon assistant aujourd' hui, l' épée s' empare de moi, je sens une force maléfique s' insinuer, un pouvoir étrange, un esprit malfaisant l' habite qui cherche à me dominer, à me soumettre !!... * Mon assistant a peur de moi ! Moi même je me fais peur , je change ! Mon corps se renforce alors que nous ne mangeons presque rien depuis plusieurs semaines ... * L' esprit de l' épée commande de plus en plus souvent mes actes. Il m' a obligé à noter sur un parchemin l' endroit de notre grotte ainsi que quelque vers, il veut qu' un autre trouve l' épée et le libère. Je lui resiste plus qu' il ne l' avait prévu, il doute !... * L' esprit finit par me soumettre, il m' a forcé à congédier mon assistant ! De toute façon, il était sur le point de s' enfuir. J' étais heureux de le voir partir vivant même si l' esprit m' a contraint à lui remettre le parchemin avec la carte accompagnée des rimes énigmatiques ... * Il ne me reste que peu de temps, j' ai entamé la fermeture de l' entrée de cette grotte. Je compte m' emmurer vivant. Je combat l' autre à chaque minutes mais il gagne du terrain, mon esprit ne m' appartient presque plus. Mon corps et mon visage sont devenu les siens, je sais ce qu' il veut, je partage ses sombres pensées ....... Pourquoi résister ? Pourquoi lutter ? Tu es faible ! Ne serait-il pas plus sage pour toi de cessez de me combattre ? Allons, libère toi de la souffrance qu' engendre mon intrusion au plus profond de ton être ... ce n' est qu' une question de temps, tu le sais bien. Abrège ton supplice ! OUVRE MOI TOTALEMENT TON ESPRIT !!!!* NOOOOOOON !!!!!!! Non non non, je dois rester moi !! quelques heures encore ... je dois finir .......... Laisse moi esprit malfaisant !!!!
* Enfin !! J' ai terminé, une dernière pierre et la lumière quittera à jamais ce lieu maudit ... je ne puis détruire l' épée !! C' est au delà de ce qu' il me reste de volonté, il ne me laisserait pas faire ! Je vais faire autre chose, je ne peut en parler, je ne peut l' écrire ... Je ne dois même pas y penser, non, surtout ne pas y penser !! ... * J' ai fermé mon esprit sur mon dernier acte, il cherche mais il ne sait pas, pas encore ... Je vais le faire ... J' ai l' épée dans les mains ... Il arrive pour me prendre définitivement ... j' ai posé la pointe sur mon coeur ... Je suis calme, je vais le faire ... MAINTENANT !!!!!!
Je refermais le livre et restais là, atterré par ce que je venais de lire. Une sensation étrange m' étreignait, sortant de ma torpeur, je remarquais une lueur bleutée m' entourer puis soudain, le flux de lumière pénétrer en moi. Je compris immédiatement, ce n' est pas moi qui m' étais saisi de l' épée, c' est l' épée qui venait de se saisir de moi, où plutôt ... L' esprit délétère qui dormait en elle. Je sortais de ce lieu maudit, titubant, crachant. Je vomissais comme si mon corps tentait d' extirper le mal qui venait de s' introduire en lui, commençant à s' étendre,cherchant mon esprit. Je tenais toujours fermement l' épée noire que je plantais d' un coup dans le sol poussant un cri de défi. Alors je l' examinais. Tournant autour d' elle comme un animal en cage quand brusquement, à la lumière du soleil, gravé en lettres noires, apparu le nom : Anguirel Je rentrais au manoir et retrouvais mon laboratoire. Je cherchais à le dominer, mais il est bien trop fort ! Il sait ce que je pense mais je partage aussi ses pensées, je sais tout de lui : Il est né dans les geôles du noir Morgtoh après que sa mère elfe fût enlevé puis séquestrée à Utumno. Elle fût tuée juste après et il passa des centaines d' années en compagnie de créatures féroces et terribles, élevé par et pour le mal, entrainé par et pour le mal, perverti, avili, pour devenir un guerrier implacable. Dans la noire forteresse il fût nommé ... NARAUKO !!Anguirel, l' épée d' Eöl a été corrompue par les créatures de Melkor lors de la captivité de son fils Maeglin. Devenu l' un des meilleurs guerriers de la forteresse, rusé et intelligent, Narauko fût choisit pour servir les sombres desseins d' Utumno. Son esprit fût emprisonné dans l' épée noire pour lui permettre de s' emparer d' un esprit hôte et renaître encore et encore pour la gloire du Vala déchu. Il possède la puissance d' Anguirel. Rusé, subtil, son impatience cependant peut lui faire perdre son sang froid et le plonger dans des états de colère incontrôlées. Sous ses longs cheveux blanchis par ses longues années de calvaire, son visage trahi sa haine pour les peuples libres. Même si il réussi à la transformer pour lui donner une apparence robuste à forte musculature, il dépend de l' enveloppe charnelle dans laquelle il se trouve et comme beaucoup d' esprit, Il craint le feu ! Pour mettre fin au maléfice, il faudra terrasser Narauko mais également détruire l' épée noire, afin que l' esprit de ce noir guerrier elfe ne puisse revenir. Voila mon histoire. Je cesse d' écrire car L' heure est venu !! Il est temps pour lui, pour nous, de quitter le manoir, rejoindre ceux qui combattent pour la ruine de la terre du milieu ... Il m' attend. Je vais lui ouvrir mon esprit entièrement, je m' offre à lui à jamais !! La connaissance est mon eau, ma nourriture, ma vie, vous comprenez ??? Je veux savoir, je vais savoir !! ... MAINTENANT !!!!!!! |
| | | Méphisto Administrateur Principal
Nombre de messages : 3189 Localisation : Minas Tirith, la Cité Blanche Rôle : Souverain de Minas Tirith et de Gondor
~ GRIMOIRE ~ -: Homme de noble lignée. Descendant d'Elessar. -: Age où force et sagesse se côtoient -:
| Mar 1 Jan 2008 - 23:57 | | Je signale qu'il vous reste jusqu'à Samedi pour créer, grâce à votre clavier, un méchant pas bô prêt à tout pour pourrir les journées des gens libres et s'adosser le trophée du *pire chieur de début 2008*. C'est bien connu, les défenseurs des peuples libres ne seront jamais tranquilles ! Plus sérieusement, c'est l'occasion de faire une fiche personnage qui change de l'ordinaire, et de se lâcher tout en restant crédible, bien entendu. Je rappelle que le personnage gagnant interviendra dans les futures actions de votre Staff adoré (qui a dit qu'on chômait hein ?). N'hésitez pas ! "Tout ce qu'il nous reste à penser, c'est décider que faire du temps qui nous est donné .." |
| | | Nidnama Intendant de Lothlórien - Maître Guérisseur
Nombre de messages : 803 Age : 34 Localisation : Ailleurs sans doute puisque tu ne me vois pas... Rôle : Guérisseur, Elnaith de la maison de la harpe (et accessoirement Elaïne)
~ GRIMOIRE ~ -: Elfe -: 172 ans -:
| Mer 2 Jan 2008 - 12:51 | | Nom : Gorwath ("terreur des ombres". Tel est le nom que lui donnèrent les elfes dans les temps anciens. Son nom véritable reste caché au monde) Age : Oublié. Sévissait déjà sous les ordres de Melkor avant la guerre de colère. Race : vampire. Les vampires sont des créatures de l’ombre apparues pendant le première age du Soleil. Nul ne sait si Morgoth les à créés mais il est sur qu’ils sévirent sous ses ordres… Physique : Sous sa forme humaine, Gorwath à l’aspect d’un grand homme au teint blanchâtre, les yeux d’un bleu si clair qu’il semble parfois virer sur une invraisemblable teinte rouge. Le visage du vampire est par ailleurs plutôt séduisant malgré ses canines anormalement développées et ses joues creusées… Il est toujours vêtu d’une longue cape noire, brodée d’argent. Malgré son apparence frêle au possible (il pèse moins de 40 kg pour 2 mètres) Gorwath est doté d’une condition physique peu commune : fort, agile, endurant… Sa condition de mort vivant lui offre aussi une grande résistance à la douleur physique… Il dispose de l’étrange faculté d’emprunter la forme d’une chauve sourie d’une taille dépassant de loin celles qui sévirent longtemps dans la forêt noire : prés de 2 mètres d’envergure… Il est à noté que comme tous les représentants de sa race, il voue une haine sans pareille à la lumière qu’il fuit plus encore que les trolls. Equipement : outre sa cape, Gorwath apparaît sous sa forme humaine vêtu d’une armure lourde d’ithilum dont le reflet corrompu luit d’une lueur cadavérique sous la lune. Sur ses hanches reposent une arbalète à répétition armée de carreaux empoisonnés et deux épées légèrement recourbées dont jaillit une lueur semblable à celle de l’armure. Il les manies simultanément. Histoire : Gorwath était un vampire de bas étage servant sous les ordres de Sauron pendant la guerre de colère. Alors que la défaite ne faisait plus aucun doute, et que Morgoth allait se faire emprisonner dans le vide infini, Gorwath décida de trahire sa maîtresse : Thuringwethil (la plus puissante des vampires). Il lui déroba la cape qui lui offrait le pouvoir de se métamorphoser en chauve sourie et se réfugia au fin fond de la forêt noire. La tempête passa, Thuringwethil mourut, Sauron devint trop faible pour étendre son pouvoir jusqu’au cœur de la forêt noire. Pendant des centaines d’années, Gorwath vécut dans la plus grande discrétion possible au cœur de la forêt. De cette époque naquirent les grandes chauves souris hantant la dite forêt. Lorsque Sauron s’effondra et perdis le maître anneau, il se réfugia en forêt noire. Là il rencontra le vampire et profita de son aide… Lorsqu’il fut a nouveau chassé, Gorwath fuis à nouveau pour disparaître dans les contrés sauvages. A présent, il ne vit plus que dans l’espoir de se venger des êtres vivants de toute sorte, rêvant qu’une force supérieur vienne quérir ses services… Caractère : Gorwath est un véritable monstre de haine et de fourberie : agissant sournoisement dans l’ombre pour se révéler au dernier instant, lorsqu’il est déjà trop tard… Dépourvu de toute vaillance, il fuiras dés que possible. Il hait la vie dans son ensemble, il hait la lumière, il hait l’ombre qui l’a mené à sa perte, il se hait de ne pas être assez rusé pour se venger de tout… Opportuniste au possible reste prêt à suivre quiconque lui offrira la possibilité de se venger… Style de combat : Son principal avantage en combat est de régner sur les trois dimensions. Il préfère cependant éviter le combat singulier : il n’y a qu’une vie à la clef… Lorsqu’il combat, c’est au cœur d’une mêlée ou il fait le plus de dégâts possible… Signes caractéristiques : C’est un vampire, sans doute dernier représentant de son espèce… outre sa capacité de métamorphose, Gorwath sait voler sur de courtes distances sous sa forme humaine. Il dispose d’un pouvoir de fascination qui en fait un adversaire redoutable : lorsqu’il blesse, il lui arrive de prendre le contrôle partiel de son ennemi (il semble se métamorphoser partiellement en vampire). Ces blessures peuvent être soignées et se dissipent naturellement en quelques jours. Enfin, sa peau est terriblement sensible à la lumière du jours et il n’agira que la nuit sous peine de souffrire de vives brûlures… hrp : Voili voilou… Je n’ai pas trop développé l’histoire pour qu’il soit aisément adaptable. (pour l’existence des vampires, je ne fabule pas. Ils sont bien cités par Tolkien… mais ils sont censés avoir disparu comme les loups garous) [img][/img][img] |
| | | Galathor Informateur de l'Arbre Blanc
Nombre de messages : 271 Age : 30 Localisation : A Minas Tirith, avec Tior Celebdîn Rôle : Collégien en classe de 3°
~ GRIMOIRE ~ -: Homme du Gondor -: 26 ans -:
| Mer 2 Jan 2008 - 18:05 | | Tout commença à Fornost en l'an 1975 du Troisième Age. Le Cité n'est désormais que ruines. Toutefois, quelques Dùnedains y vivent encore. Sur l'un des murs, un Capitaine se promène, malgré l'épaisse brume qui est présente. Soudain, un cri retentit. Les Dùnedains affolés se levèrent malgré le fait qu'ils ne puissent rien voir à plus de 3 mètres. Cependant, on peut apercevoir au loin, sur un des murs extérieurs une silhouette noire, aussi grande qu'un Elfe mais néanmoins possédant une armure de fer faite de pointes et de plaques de métal. Une épée large monte vers le Ciel, et d'une main gauche l'individu lève la tête tranchée du Capitaine Bergir. D'une voix rauque le personnage dit en criant: * Tous tomberont et s'inclineront face au pouvoir qui s'est élevé à l'Est. Craignez la terreur de Sauron. Car l'Ombre sera éternellement triomphante de la Lumière. Tous se sacrifieront pour le Seigneur Noir. Après Fornost, Osgiliath devra tomber, puis les autres grandes citées de la Terre du Milieu se soumettront à SAURON!!!!*
Tous les archers tirèrent en sa direction mais il eut disparut. Plusieurs années auparavant, 32 précisément, un village d'Arnor est attaqué. Des soldats aux armures de plaques noires, et aux épées larges tuent toute la population de ce modeste village. Les maisons furent incendiées, le sol des rues était jonché de cadavres. Les Hommes Corrompus avançaient vers le donjon, brulant toutes les maisons, tuants hommes, femmes et enfants. Dans une des maisons encore épargnée, une famille de 5 personnes s'activait pour échapper aux bandits. Mais cela fut trop tard. Le groupe de soldats entra dans la maison. La femme fut la première à mourir. Le mari, fut un guerrier d'Arnor, alors il prit son épée pour défendre ses enfants mais les soldats n'eurent guère de problème à le maîtriser. Les gants de pointes des soldats trouaient le visage du père de famille à mesure que celui-ci se faisait frapper. Il tenta de tuer son agresseur en prenant son épée, mais l'homme de fer la rejeta au loin. Ils soulevèrent l'homme et lui montrèrent sa fille en train de mourir. En effet un autre de ces soldats prit la fille de l'homme et avec un couteau lui trancha la gorge. Puis il tua le père. Toutefois, ils n'avaient pas vus qu'une enfant se cachait dans le coin de la cheminée. Rempli de haine, cet enfant de 10 ans, prit l'épée de son père et sauta sur l'un des meurtriers. L'armure de ces hommes de fer était réputée comme impénétrable, mais cet enfant réussi à tuer un soldat. Sur les épaules de celui-ci il prit l'épée à deux mains et l'enfonça à l'endroit ou l'épaule et la nuque se rejoignent. L'homme tomba à terre, mais cet enfant fut vite repris par les maraudeurs. Néanmoins, ils ne le tuèrent point. Ils le ligotèrent et l'emmenèrent avec eux. Les yeux bandés l'enfant ne savait où il marchait. Il savait qu'il avançait depuis plusieurs heures. Soudain, plus un bruit. Ni celui du vent, ni le ruissellement des eaux, ou le doux chant des oiseaux. Juste un silence oppressant. Enfin, on lui débanda les yeux. Lorsqu’il les ouvrit, il vit une pièce sombre. Quelques chandeliers imposants éclairaient la pièce de pierre. Puis il vit un homme. Celui-ci lui posa une question: * -Qui es-tu, jeune homme? -Mon nom est Daedor, fils de Madrathir et de Beriël. -Oh, mais quelle courtoisie voyez-vous. Bien tu as donc des parents. -J'en avaient, avant que vos soldats ne les tuent. Ma soeur Meledräel à été tuée aussi. -Mes plus plates excuses, mais je ne peut être tenu pour responsable des ordres que reçoivent mes soldats. Sincèrement, comment aurais-je pu savoir que ta famille comptait tant à tes yeux. dit le vieillard avec un sourire ironique - Vieux fou, vous n'avez aucun honneur. Oser tuer des civils désarmés. C'est déloyal.
- Tout à fait. A homme déloyal, méthodes déloyales.
- Vous n'êtes qu'un vieillard trop orgueilleux, Puisse les Valars vous maudir jusqu'a votre mort.
- Tiens un adepte de ces créatures appelées Valars. Tu es cultivé dis-moi.
- Effectivement, vieillard. Je le suis bien plus que vous, même si être plus cultivé qu'un fou n'est pas chose difficile.
- Tu paieras pour ton impudence, gamin. Gardes !! Saisissez-vous de lui et jetez-le aux fers. Qu'il ne revoie la lumière du jour que lorsque ses yeux seront ravagés par la folie.L’enfant resta en prison durant cinq années, ne buvant qu’un nectar nauséabond, et ne mangeant que du pain rassis. Aucune lumière ne pénétrait dans la prison souterraine. C’est alors, que dix soldats de fer, pénétrèrent dans la Cité des Bannis, c’est ainsi que l’on appelait la prison. Ils reprirent l’enfant, qui avait bien grandi. Il se retrouva face au vieil homme en noir qui lui dit : • Bien, te voila calmé. Mon nom est Algaändir, le sage des Ombres. Est-il vrai, que tu eus réussit à tuer un de mes Hommes de Fer ??
Oui.
Bien, tu es le premier. Je t’ai recueilli ici pour approfondir tes connaissances de combat, mais aussi sur les peuples de ces terres. Nous t’apprendrons à manier, l’épée et la lance, l’arc et le javelot. Mais il y a une chose qui sera plus importante encore. La magie.
C’est pour cela que m’avez capturé ?
C’est pourquoi nous t’avons épargné. Tu as un grand potentiel jeune Homme. Gardes qu’il s’entraîne à toutes les disciplines que nous proposons. Qu’il sache manier des épées lourdes ou légères, qu’il puisse combattre sous une armure de plomb. Qu’attendez-vous !!L’enfant travailla, sa visée, sa précision, sa force d’attaque, durant 10 ans. Puis il apprit tous les langages de Terre du Milieu, ou d’Arda. Le Noir Parler, le Quenya, le Sindarin, l’Avarin, le Vanayarin, le Doriathrin, le Westron, l’Adunaîc, le Rohirric, le Hobbitique. A l’age de 25 ans, Daedor, était le plus fier combattant et le plus sage de tout Arnor. Le vieillard révéla son nom. Malgré qu’on ne puisse voir son visage hormis une longue barbe, il dit s’appeler en vérite Uvatha et non Algaändir. Son heaume altier, ne laissait voir son visage. Seule une barbe, dépassait. Daedor se dit alors avoir face à lui, un vieux sage. Uvatha lui dit qu’il était désormais temps d’aller combattre. Daedor fit partit de raids, sur des villes d’Arnor. Durant 15 ans il avait apprit à n’avoir aucune pitié, aucun remords et incendia plusieurs cités en tant que soldats de l’Armée de Fer. C’est alors qu’après 5 années d’attaques, de raids, Uvatha le fit convier dans une salle de pierre noire, de marbre précisément. Toute l’Armée de Fer se tenait là face à Daedor. Uvatha fit un discours : • * Soldats, l’heure est venue pour vous d’avoir un chef des Armées. C’est enfant Daedor, le sera !!!!! Il a prouvé qu’en 20 ans, il avait bien plus de capacités que n’en avez acquises en plus de 35 ans. Daedor se nommera Mogash Le Ténébreux, chef des Armées de Fer du Nord. Il n’éprouve aucun remords à massacrer son peuple. Il n’hésite point à brûler des demeures d’Arnor. Et ce grâce à un conditionnement. Soldats, tous s’inclineront face à la puissance de Sauron. L’Ombre envahira les terres des Hommes et tous seront corrompus par la puissance de l’Est !!!!! Il est temps pour moi de m’en aller dans les contrées sombres de Dol Guldur.* Mogash Le Ténébreux devint le chef suprême de ces soldats sans peur, ni faille. Les villes d’Arnor durent essuyer de nombreuses attaques des Hommes de Fer. Mogash voyageait sur un destrier aussi noir que la nuit, possédant une armure de plaques. <-Armée de Fer Mogash sur son destrier La crainte s’installa dans les contrées environnantes. Rhudaur, Cardolan, Arthedain. Tous redoutaient l’attaque de ces Hommes Corrompus. C’est alors que Mogash entendit parler d’une forteresse au Nord, Carn Dûm. Il s’y rendit et vit un homme, que l’on surnommait le Roi Sorcier d’Angmar. Mogash s’allia avec cet homme, toutefois, il garderait sa forteresse et son titre. Lors de l’attaque d’Arnor, Mogash aida le Roi-Sorcier aux Hauts des Galgals en envoyant une infime partie de son armée. Ce fut à Fornost que Mogash, alla combattre aux cotés du Roi-Sorcier. Personne n’entendit parler des Hommes de Fer, car nul ne vivait assez longtemps pour en parler. Mogash était sage, et connaissait tous les langages de Terre du Milieu. Il combattait avec rapidité, et son épée large ne l’encombrait point. Toutefois, son orgueil l’avait trahi maintes fois. Lors d’une bataille, il décida d’envoyer toute son armée pour exterminer une Grand Général d’Arnor et son armée. Les Hommes de Fer étaient certes plus puissants cependant, alors que le flanc gauche du Bloc de Fer était percé, Mogash poursuivit le Général .Son armée était désorganisée, et indisciplinée, et il avait tout de même poursuivi le Général. Sans une aide de la part du Roi-Sorcier, il serait mort. Il éprouve tout de même une certaine attirance pour l’Arnor ce qui fait de lui une personne qui peut être clémente. En l’an 1974 du Troisième Âge, Fornost tombe. La même année, le Roi-Sorcier d’Angmar prend le contrôle des Hommes de Fer, et banni Mogash Le Ténébreux de Carn Dûm. Mogash erre désormais dans les vestiges d’Arnor, et rejoindra Sauron à Dol Guldur. Mogash |
| | | Hèrmes Palefrenière
Nombre de messages : 22 Age : 30 Localisation : Forêt noire Rôle : Palefrenière
~ GRIMOIRE ~ -: Elfe -: 22 années -:
| Mer 2 Jan 2008 - 23:25 | | Histoire :___ Aphal est né dans un vieux château elfique de la forêt noire. Ses parents, Ouranos et Gaïa étaient fiers d'avoir mit un garçon au monde. Son père l'entraînerait pour le combat et sa mère lui apprendrait les sorts de guérison. Après cela, le enfant deviendra un grand guerrier. L'entraînement d'armes fut long, celui de magie fut difficile. Ses parents ne lui laissèrent que deux jours de repos pendant un mois. Une fois que l'enfant soit en âge, il apprit à monter. Les étalons qu'il montait n'étaient pas dressés comme des chevaux de rois. Non, ce n'était que de vulgaires chevaux du nord. ___ Un matin de jour de repos, Aphal se leva plutôt que son habitude. Il descendit à la salle à manger et engloutit son déjeuner le plus vite possible. Dés qu'il eu finit, il s'habilla et sortit à toute vitesse dehors. Gaïa le surpris juste devant l'entrée des jardins. - Aphal? N'est-il pas tôt pour que tu te balades? Un de ces jours de grand repos dois-je citer. - Non mère. Un grand guerrier est venu me dire dans mes rêves de me rendre au village le plus proche, il m'attend sur la place.La femme resta bouche bée. - Souhaites tu quitter ta demeure sans armes ni défenses? Sans prévenir quiconque de ta destination?Le jeune elfe leva sa grande cape verte et laissa à grande vu deux grandes lames d'argent. - Je ne comptais pas partir sans elles. Parcontre j'aurais sûrement oublié de vous tenir informé.___ Sur ces derniers mots, l'adolescent se hissa sur un grand cheval de froid et le lança au grand galop à travers les bois. La journée allait être mauvaise. Des nuages sombres recouvraient le ciel. L'étalon galopait sans peine. Lorsque l'animal et son cavalier arrivèrent à l'entrée du village, le jeune garçon passa sa capuche sur sa tête. Les villageois venaient et partaient d'endroits à d'autres. Les femmes allaitaient leurs nourrissons devant le seuil de leur porte. Sur la place, un vieil homme vêtu d'un cap à capuche noire fixait le cavalier. Ce dernier s'approcha de l'infime. Le vieil être se mit à parler. - Tu as entendu mon appel. Tu es venu à moi. Maintenant il faut que nous parlions. - Qui es tu vieillard?L'ancien se redressa sur le bord de la grande fontaine. - Tu es le descendant de la famille des nobles elfes noirs, mais tu ignores la chose la plus importante. Je suis Maître Aziak, j'enseigne l'art du combat sage à de jeune futur champion.Aphal fut sceptique. - Mon nom est Aphal, fils d'Ouranos. Pourquoi m'as-tu appelais si tu n'es qu'un simple maître d'armes? - Non, je ne t'ai pas appelé pour cela. Descend de ta créature et suis-moi.Le jeune elfe mit pied à terre et confia son cheval à un écuyer. Les deux hommes entrèrent dans une auberge grise et allèrent dans une salle privée. Le plus âgé se mit à parler. - Je t'ai fais appelle pour sauver mon village, je… - Pour sauver votre village? Mais c'est absurde! Vous pouviez demander à un seigneur plus puissant si vous savez entrer dans les rêves!L'homme se tu. Quant à l'elfe, il essaya de chasser sa forte colère. - Non, plusieurs seigneurs ont envoyaient quelques escadrons, mais tous ont étaient tués. - Vous croyez que si plusieurs hommes ont péris qu'un seul peut vous aider?L'homme soupira. - Tu es jeune, mais écoute moi jusqu'au bout. Il marqua un temps d'arrêt. - Mon village est au nord de cette forêt, tous les habitants y sont emprisonnés, je suis le seul qui a réussi à m'en échapper. Malheureusement les autres y sont encore, sans eau, ni de quoi se nourrir. S'ils y restent encore deux jours ils mouront. Les plus jeunes ont déjà commençaient à nous quitter.- Qu'est ce qui les tiens? - Ce sont des orcs. Oui, cette race sale et vulgaire, cette… - Que font ils? - Ils nous tuent. Ils commencent par les hommes ensuite par les femmes et après pas les bambins. Il y'a une créature dans la forêt qui peut les faire fuir, je suis trop faible pour marcher et chercher aussi longtemps. Tu es un elfe, un elfe de la nuit, tu connais cette forêt mieux que personne, trouve la bête qui sauvera mon village et en échange tu pourras savoir ce qu'est ton destin. Tes parents ont du longuement t'entraîner, mais désormais, tu pourras savoir pourquoi. Tu sera prêt une fois cette mission accomplie. Les deux continuèrent à discuter sur le destin d'Aphal, l'homme lui donnait une envie plus forte que tout de réussir. La nuit allait bientôt tomber. Aphal se mit en selle et partit droit devant lui dans cette forêt sombre et mystérieuse. Il chercha durant une heure. Plus le temps passait, plus le jeune elfe avait envie d'abandonner. Mais il se rappelait de ce qu'il lui avait dit, il voulait réussir. Lorsqu'il entama sa troisième heure de recherche, il décida de faire une pause. La Lune était bien visible, elle éclairait quelques parties du bois, mais d'une fine lumière. Lorsque les pieds d'Aphal touchèrent le sol, le buisson qui se trouvait juste devant lui remua. L'étalon prit peur et prit la fuite! - Hey! Revient ici! Ha!Peine perdue, le cheval était déjà loin. Le jeune se retourna, et ici, là, devant lui, à ses pieds, il découvrit la bête qu'il cherchait. C'était une grande panthère noire. Une femelle aux yeux d'or. Elle avait les mêmes yeux que celui du seigneur des ténèbres. Il l'avait trouvé! La féline avait l'air de savoir ce qu'elle devait faire. Elle fit un campo équin devant son nouveau propriétaire puis se redressa. Elle était plus que grande. Aussi haute qu'un Connemara. Aphal s'installa sur son dos et se laissa porter à toute allure. Les arbres devinrent de moins en moins nombreux. Enfin ils arrivèrent au village du vieillard. Une centaine d'orcs se tenaient à l'entrée. L'animal noir rugit et des Ents qui sortaient de nulle part vinrent accompagner la marche de la créature. Cette nuit la fut rouge. Aphal tua une majorité d'orcs. ___ Il ne restait plus qu'une demi-heure avant que minuit sonne. Tous les orcs étaient à terre. Le peu de lumière pouvait laisser voir la silhouette de l'homme qui approchait. Une fois à bonne distance, il leva sa main droite et leva sa cane. - Tu viens de sauver ce village!Les habitants sortirent tous en même temps de leur cachette et vinrent acclamer la créature et le jeune guerrier elfe. Aphal passa la nuit dans l'auberge de ce village. L'homme allait enfin lui révéler son destin. - Tu as réussis à demander à cette panthère de t'obéir, tu lui as demandé avec respect. Tu n'as rien sentit, mais si elle ne t'aurais pas écoutait, qu'aurais-tu fais? - Je l'aurais abattu. - Oui, tu aimes le combat désormais, tu pourrais être plus heureux à tuer qu'à rester dans ce château sans rien faire. Tel est ton destin. Tu as le droit de choisir. Si tu désir quitter ce petit coin du monde, n'hésite pas. Tu as Tous ce dont il te faut. Dans nos écuries, il y a plus que de simples chevaux de neige. Il y à des chevaux de Dol Amroth, du rohan mais aussi un étalon elfique. Oui, un noir qui irait particulièrement avec un aussi bon dresseur, si tu le dresses, il est à toi. Arrivés au corral, cheval et cavalier furent face à face. Aphal fixa l'animal droit dans les yeux. Il désirait monter sur la créature. Celle ci fit un une révérence et se tourna pour laisser le jeune guerrier monter sur son dos. Une fois dessus, le cavalier demanda plusieurs figures de défense, l'équidé obéit. Il était temps de partir combattre. Le vieil homme s'approcha du guerrier elfe. - Si tu souhaites la liberté, il te faudra d'abord prouver ton courage. Elimine ce qui te retiens, élimine ceux qui t'ont tend retenus ici dans ce bout du monde et une fois cette tache, va réaliser ton destin. La folie gagna Aphal. Il rentra chez lui, tua ses parents dans leur sommeil puis partit en direction de la terre du milieu. Là, il domptera toutes sortes de créatures de guerre et tuera tous ceux qui s'installeront en travers de son chemin. Il devint le plus redoutable de tous. Il ne laisser aucun survivant. Il pouvait à lui seul, combattre n'importe qui, n'importe quoi, il devint le plus fort, hanté par cette envie de tuer. Il su qu'il ne pouvait plus faire marche arrière lorsqu'il tua ses parents. Quelques années plutard il assassina même le village du vieillard et le vieillard lui-même… Nom : Aphal. Âge : 330 années. Race : Elfe noir. Physique : Il est vêtu d'une armure fine, mais puissante, d'une sape verte à capuche, de bottes souple et legère, ses cheveux et ses yeux sont agrent. Armes: Il se bat avec deux lames très éguisés. Sa manière de combat et plus que cruel. Il ne tue pas directement ses adversaire. Il les blaissent à mort pour les laisser souffrir. Origines : Il est né du sang d'Ouranos et de Gaïa, eux même elfes noirs. Qualités : Aphal sait dresser les animaux peut importe leur taille ( clin d'oeil à Galathor qui adore les grosse bêbêttes^^ ). Il leur offre confiance et vitalité, mais celles ci lui doivent obéissance. Si elles refusent elles se voient soit flagilé ou alors tué par un coup cruel et qui la fera souffrir. Défauts : Aphal n'a aucune pitié. Il ne connait ni l'amour ni l'amitié, il n'a confiance que en ses bêtes. En particulier à son étalon elfique. Habitat : Aphal habitte un vieux château au plus profond de la forêt noire. Il a jeté les cadavres de ses parents dans le fleuves et s'est aproprié le château. Il y a installé la plupart de ses créature. Il n'a pas craind que les Ents se retournent contre lui et a laisser pousser la végétation sur les murs, la terre y est venu ensuite. Depuis ce château est souterrain. Merci à keelerleah d'un site de créations graphiques pour ces magnifiques colorisations ( c'est dans le dico ). |
| | | Radamanthe Emir de Harondor - Prince d'Ithilien
Nombre de messages : 3587 Localisation : Minas Tirith
~ GRIMOIRE ~ -: Homme de Gondor -: 53 ans -:
| Sam 19 Jan 2008 - 16:08 | | Après une attente de deux semaines véritablement interminables, durant lesquelles nous avons attendu le dernier du jury qui devait voté et qui ne l'avait pas fait... Après qu'on ai décidé que le vote de cette dont nous tairons le nom, qui n'est toujours pas arrivée, ne changerait rien...
Voilà, enfin, les résultats de ce concours exclusif...
Le gagnant...qui aura le privilège de voir son PNJ inséré à l'intrigue du staff, et qui aura droit à une image de rang spéciale designée par Aldarion...
Ce gagnant est...
Eaque !
Avec Corwen, l'Empereur Astral, il remporte le concours avec plus de trois points d'avances sur son dauphin.
Suivent, dans l'ordre : Eorlund, Laurelin, Forlong, Halbarad, Nidnama, Galthor et Hermès.
Félicitations à tous, et merci de votre participation !
Dernière édition par le Sam 19 Jan 2008 - 17:13, édité 1 fois |
| | | Eorlund Ambassadeur du Rohan
Nombre de messages : 124 Age : 37
~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim -: 25 ans -:
| Sam 19 Jan 2008 - 16:57 | | Merci et félicitation au vainqueur... un nouveau méchant à combattre... |
| | | Hadhod Croix-de-Fer Ancien seigneur de la Moria
Nombre de messages : 3220 Age : 33
~ GRIMOIRE ~ -: Nain de la Maison des Longues-Barbes. -: 190 ans. -:
| Sam 19 Jan 2008 - 17:09 | | Bravo à toi Eaque! Et bravo à tous les participants! Ce concours était vraiment sympa, même si je n'ai pas gagné^^. J'espère qu'il y en aura d'autres dans les temps à venir . The Half Cop |
| | | Laurelin Seigneur des Havres Gris - Maître d'Elostirion
Nombre de messages : 1299 Localisation : dans la lune, comme d'hab ... Rôle : Seigneur d'Elostirion, gardien des trois tours Blanches d'Emyn Beraid.
~ GRIMOIRE ~ -: Elfe -: Fin 1er age -:
| Sam 19 Jan 2008 - 18:36 | | Un grand bravo à toi Eaque J' espere que j' aurais l' occas de croiser l' Empereur Astral en RP, compte sur moi pour lui botter les fesses |
| | | Forlong Tribun Militaire d'Arnor
Nombre de messages : 3430 Age : 33 Localisation : En Arnor Rôle : Vieux loup au service du Royaume du Nord
~ GRIMOIRE ~ -: Dunadan d'Arnor -: Quarante Ans -:
| Sam 19 Jan 2008 - 18:46 | | Bravo a tous les participants, aux staffeux qui ont organises ce concours, et surtout au gagnant, Eaque! J'avais deja vu que Eaque etait le gagnant avant que les resultats ne soient donnes, car Radamanthe a parle de l'empereur astral dans le RP du Mort, dans les egouts du Umbar Membre des Orange Brothers aka The Good Cop |
| | | Eaque, frère d'Eaquem Haut Conseiller du Roi
Nombre de messages : 407 Age : 34
~ GRIMOIRE ~ -: Gondorien -: 23 ans -:
| Dim 20 Jan 2008 - 14:07 | | Youpi... J'ai gagné
Merci à tous... Effectivement Forlong... Bon je dois faire quoi maintenant???
(nan parce que c'est bien beau de gagner, mais ça ce qu'il parait je vais devoir faire du Rp pour deux... la vache, j'aurais du réfléchir avant de jouer lol...) |
| | | Galathor Informateur de l'Arbre Blanc
Nombre de messages : 271 Age : 30 Localisation : A Minas Tirith, avec Tior Celebdîn Rôle : Collégien en classe de 3°
~ GRIMOIRE ~ -: Homme du Gondor -: 26 ans -:
| Dim 20 Jan 2008 - 23:30 | | Félicitations Eaque, franchement j'avoue que ton histoire est superbe, comme celle des autres d'ailleurs. |
| | | Le Mort Capitaine Pirate
Nombre de messages : 327 Age : 30 Localisation : Dans mon trous a rat Rôle : Glandeur professionel
~ GRIMOIRE ~ -: Haradrim -: 21 -:
| Lun 21 Jan 2008 - 12:01 | | Félicitations,en esperant pouvoir avoir affaire a lui...Voir qui est le plus machiavèlique... |
| | | Nidnama Intendant de Lothlórien - Maître Guérisseur
Nombre de messages : 803 Age : 34 Localisation : Ailleurs sans doute puisque tu ne me vois pas... Rôle : Guérisseur, Elnaith de la maison de la harpe (et accessoirement Elaïne)
~ GRIMOIRE ~ -: Elfe -: 172 ans -:
| Mer 23 Jan 2008 - 13:02 | | Toutes mes félicitation... |
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