[Palais]Assault

Les coups de bélier redoublait de puissance.L'agitation était palpables a l'interieur du palais.Le gouverneur s'épongea le front.C'était donc vrai.Une armada de pirate avait débarqué et voulait prendre le pouvoir.Ils était meme,selon les rumeurs,commandés par un homme revenus de parmi les morts.Bien.Ca n'arrangeait pas ses affaires.
Il avait fait barricader sa fille et sa femme dans une pièce caché,installé sous le lit conjugal.

-Courage!Ces barbares n'entreront pas ici!
-Gouverneur!

Un homme s'effondra,essouflé,au pieds du gouverneur.

-Qu'y a -t-il encore?!
-Gouverneur...Ils sont dans le palais...Ils sont derrieres...Ils arrivent.
-Que tout le monde viennent a l'arriere!Nous allons montrer a ces malotrus de quel bois est la garnison d'Umbar!

Le Mort brisa une fenetre avec grand fracas.Ce genre de chose se répétait atour de lui,au fur ert a mesur que les pirtates avait accédés au hauteurs.Il prit son crache feu et tira sur un domestique qui passait.Celui ci s'effondra,repandant de la soupe sur le tapis.
Les pillards avait pénétrés la salle.Ils pillait allègrement en riant comme des phoques.

-Aux melkorites!Ce sont nos cibles!

Le capitaine décapita un garde,puis attrapa un jeune homme qui fuyait.

-Vas dire au gouverneur que nous arrivons...

Puis il lui flanqua un coup de pied.Le jeune homme se releva et partit en courant.

-Suivez le!Il vas nous mener au gouverneur!

"Chiens du Désert, avec moi!" hurla Taorin avant de se jeter à la poursuite du domestique. Tout en courant dans les couloirs, il transmis ses ordres à Abul Al-Rhaer, son lieutenant. "Abul, dis aux hommes qu'on ne viole pas, et on ne pille pas. On est des militaires les gars. Montrons à ces barbares la discipline des armées du Sud!"
Au détour d'un couloir, il virent un homme en train de crier des ordres à une petite troupe de gardes. Il était entouré de deux femmes, une jeune et une vieille. C'était sûrement le gouverneur.
"Capturez leur chef et les femmes! Tuez les autres! Pour le Harad!"
Il se jeta dans la mélée, en première ligne. Les Bleus s'étaient attendus à rencontrer des troupes indisciplinées, mais ils devaient maintenant faire face à une compagnie de vétérans ne voulant que trois prisonniers bien précis.
Le gouverneur n'avait pu ramener que trente gardes, qui se firent vite massacrés par les Chiens. Alors que Taorin s'approchait du gouverneur, il entendit un bruit de course. Une quarantaine de Bleus arrivaient dans le couloir. Très vite, il se précipita sur le gouverneur, l'assoma avec le pommeau de son sabre. Les deux femmes se firent capturer par deux caporaux. Elles se débattirent, griffant les Chiens, mais elles ne pouvaient pas faire grand-mal.
Les Chiens du Désert se replièrent vers les galeries et le Mort sous la pression des Bleus, qui étaient de plus en plus nombreux...

Ohoh...

Un escouade de bleu était arrivés par derriere.Les pirates avait été pris par surprse,vus la facilité de leur combat jusqu'a present,ils ne s'attendait plus a devoir faire face aucune resistance.
Le capitaine tira sur un corsaire avec qui il se battait,puis jeta son arme et degaina son cimeterre.Il ouvrit le ventre d'un homme d'une quarantaine d'anné,dévoilant ses tripes au grand jour.Il esquiva un traitre coup sur le coté en se baissant juste a temp pour que le lame lui passe au dessus de la tete,et faucha de ses jambes l'imprudent.Il lui enfonca ensuite un couteau bien au fond de la gorge.Il frappa un homme au visage avec le pomeau,ce qui l'assoma.Il en transperca un autre,parant,esquivant...Quelque chose de sur,il ne se rendrait pas,autre chose de presque sur,il aurait du mal a survivre si le flot de militaire ne se tarissait pas un peu...

Les Bleus étaient de plus en plus nombreux, déboulant de tous les couloirs. Les Chiens du Désert étaient encerclés.
Taorin, au milieu, demanda une gourde pour réveiller le gouverneur. Après avoir vidé 1 litre d'eau sur son visage, Taorin demanda au chef de ses ennemis:
"Rat, si tu tiens à la vie, ordonne à tes hommes de se rendre. Si tu refuse, nous violerons ta femme et ta fille sous tes yeux. Nous sommes suffisamment nombreux pour résister jusque là... Et sache que nous sommes Haradrim, et tu connais nos méthodes pour faire parler les traîtres...
-Bien, seigneur, mais laissez ma fille et ma femme en vie, je vous en prie. Je dirai ce que vous voudrez...
-Parfait. Levez-vous. Dites à vos hommes de cesser les combats immédiatement et de poser leurs armes.
-Oui, seigneur" lacha le gouverneur avant de hurler les ordres qu'on lui avait transmis à ses hommes.
Les Bleus s'arrêtèrent net, mais ne lachèrent pas leurs armes. Puis, petit à petit, ils reculèrent, certains lachant les sabres qu'ils avaient en main...

Soudain, une voix se fit entendre parmi les ennemis qui hésitaient depuis un court instant.

-Pleutre parjure ! Bâtard au double visage ! La mort sur toi ! Mort, mort, mort ! Inch' Melkorem !

Comment un simple petit homme grassouillet et corrompu pourrait-il avoir le moindre impact sur les fameux bleus d'Umbar, fanatiques dévoués à Melkor et presque indépendants des autres troupes de l'Ombre.
Les membres de la secte de resaisirent simultanément, à nouveau brandirent leurs sabres en breulant de grands cris, auquels se confondaient les clameurs des corsaires encore fidèles à la secte vénérant le Vala corrompu. Et tant pis pour le gouverneur. S'il était aussi faible, c'était bien la preuve que ce n'était pas un véritable partisan de l'Alliance qui avait été contractée. Jamais Umbar ne tomberait !

Fallait pas sous-estimer ces foutus melkorites en bleu, ça c'est sûr. Ces types n'avaient certainement pas imposé leur loi aux redoutables Corsaires sans qu'ils ne soient véritablement redoutables. J'me souvenais encore des récits de l'assassinat du vieux Zorba, dont j'ai ma p'tite idée à propos des responsables, hè...
N'empêche que, si je s'avais plus ou moins à quoi m'en tenir avec ces fous aux motivations obscures, j'm'attendais tout de même à ce qu'ils soient un petit peu moins nombreux à résister comme des lions face à nous, que diable. Peste sur eux...

Nous nous avançâmes au pas de course à travers la brèche créée ainsi dans le palais, nos sabres déjà tachés du sang de ceux qui avaient souillé la définition, à peine définie elle-même, de ce qu'était la libre entreprise, chose primordiale au yeux de bon nombres de gars m'accompagnant, et aux miens, aussi...

Je fis un pas de côté lorsque le premier bleu à m'avoir aperçu m'attaqua, aussi rapidemment que me le permettait ma patte folle. Sans lui laisser le temps de réagir à nouveau, j'esquissai un souple mouvement du poignet, et lorsque le couteau de lancer alla se ficher à hauteur de son estomac, j'eu tout le loisir de lui hôter la tête de ses épaules avec un large revers de mon sabre.

"On dirait qu'on arrive à pic, les gars..." lançais-je à la cantonade. "Une cinquantaine de gens en plus, ça peut servir dans de pareilles situations n'est-ce pas ?"

En effet, avec l'équipage du Requiem qui venait de débarquer avec quelques retardaires d'autres navires, l'encerclement était à moitié brisé, mais il restait bien des choses à faire.

Alors, sabre haut, je me jetai dans les combats.

Le mort érait aculé contre un mur lorsque l'équipage du Requiem arriva.Il sourit sous son masque et eventra le bleu avec qui il se battait.Les forces redevenait égal.Ont allait enfin pouvoir s'amuser.
Il s'élenca contre les bleus,abbatant son cimeterre a tour de bras,fracassant quelque crane,parait,virevoltait,tenat éloigné ses adversaires avec un minimum de blessures.Son équipage avait finalementété massacré,mais peut lui importait.Si ils étaient mort,c'est qu'il n'en valait pas la peine.Qu'ils brulent dans les fosses puantes du monde d'en dessous.
Il fit voler la tete d'un corsaire,puis lui vola son crache-feu.Il tira sur un Melkorite a l'air féroce dont le visage ne tada pas a etre déchiqueté par le plomb.
Un coup lui secoua le bras.Un corsairevenait de lui assener un coup de sabre qui avait glissé sur son épauliere,mais qui avait tout de meme étourdi le capitaine.Il tomba a terre,et,quan le corsaire alai le clouer au sol,lui envoya un coup de pied au visage.Le pirate traitre tomba en arriere,et fut tué sur le champ.Le Mort regarda vite fait autour de lui.Les bleus reprenait malgré tout peu a peu le dessus.Ils étaient bien mieux discipliné que les insurgés,et avait l'avantage de savoir se battre a terre.
L'haradrim finit par rejoindre le gros des troupes pirates,et apercus quelque visages qu'il avait apercus dans les egouts.



Les combats redoublait de violence.La salle n'était plus qu'une marre de sang,et les cadavres jonchait le sol.Un plaisantin avait accroché le cadavre du gouverneur au lustre,sans doute un mousse crétin,et la silouette morbide observait avec des yeux froids les combattants,bavant quelque gouttes de sang encore frais.
L'ancien pillard avait le bras qui fatiguait.Meme a Dur'Zork la bataille avait été moins rude.Peut etre cele de minas tirith avait été plus fatiguante.Enfin.Le tout était que les assaillant avait de plus en plus de mal a garder la vie sauve.Certe,le Joyeux Requiem et Les chiens du desert pouvait faire esperer a une victoire,mais on voyait bien que certain avait perdus espoir.Mais personnes ne se retournait contre son camp.C'est déjà ca...

Héhé...

Le capitaine sourit,et egorgea avec un entrain retrouvé.Si ils avaient des renforts,ils l'emporteraient.Il envoya un homme patr une fenetre,puis monta sur une balustrade et commanca a haranguer la foule.

-On a du renforts!Fils des eaux,battez vous!Ces chiens sont bientots mort!

Il sauta sur un combattant et lui passa le cou au fil de son épée.Il taillada,para,esquiva,se blessa,tua,acheva,ecrasa,mutila et on en passe.Son masque auparavant immaculé se trouvait a present couvert du sang de ses ennemis.Le sang montait a present jusqu'au mollet des combattants et s'écoulait dans les gouttieres,dus au trou dans les fenetre.Un vent glacial ssoufflait dans les pieces,un vent a congeler les os.

Un homme tomba d'un étage en manquant d'écraser Le Mort,et acheva un blessé sous son poids.Un Numénorréen décapita un corsaire qui avait tenté de tuer le maitre de La Marche funèbre par derriere,juste avant qu'une colonne ne lui tombe dessus.Deux tordus a l'étage rigolèrent de leur bonne blague,avant de se faire ejecter par deux autres qui passait par là.



Les combats perdait en intensité.La victoire pirate ne faisait plus de doutes,et les derniers partisans de Melkor s'était regroupés dans un piece qu'ils avaient barricadés.

-Allez,frappez plus fort,on dirait des gobelins!Defoncez moi cette patain de porte!

Quelque homme tentait d'enfoncer la massive porte a l'aide d'une collone tombé,faisant ansin redouter leur futur proche au bleus coincé dans la salles.On estimùait leur nombres a une petite cinquantaine.Ils ne ferait plus long feu.

Bon...Ils peuvent le faire sans moi...

L'homme masqué se dirigea vers un Numenoréen,et lui demanda:

-Salut.Je suis le capitaine Le Mort,et c'est moi qui ai lancé cette opération.Puis-je voir l'homme qui vous dirige?

Le capitaine regarda s'éloigner le garde.Celui ci n'avait clairement pas envie d'etre là.Sans doute un Melkorites.On verrait plus tard.
L'haradrim se dirigea vers la porte et posa sa main sur l'épaule du Vizir.

-Seigneur?Je suis Le Mort,capitaine de l'opération.J'aimerais vous parler.Preferez vous vous battre et en parler a près ou bien nous éloigner afin de parler pendant qu'on massacre les derniers chiens de Melkor?

-Ah,vous etes au ordres de Nimrod...

Les deux hommes s'éloignieret dans un couloir.On entendait les bruits de la bataille qui commencait alors.Le capitaine ferma une porte,se qui assourdis les sons des combats.

-Voila un peu de calme.En fait,je le demandais:Qui etes vous et que faites vous ici?Vous avez été prevenus par un de mes hommes que la bataille avait lieu ce matin?Ou alors est-ce un pur hasard?

Sur les 80 Chiens du Désert du départ, seuls 50 avaient survécu. Trois autres étaient partis escorter les deux femmes, mais ayant reçu l'interdiction de "s'amuser" avec elles.
Taorin mena les rescapés dans la mélée, suivant le gros des troupes pirates, dans une grande salle où une soixantaine de corsaires tentaient de survivre. Le combat fut d'une épouvantable sauvagerie. Des hommes sautaient sur d'autres, se faisant empaler avec des rictus de haine abominables. Le Chien Borgne se jeta sur un corsaire isolé, le décapitant avec son sabre rouge du sang des melkorites. En une dizaine de minutes, plus aucun corsaire ne tenait debout, et tous les survivants pataugeaient dans un mélange de sang et de cadavres.
Tout à coup, un cri retentit, reprit par des dizaines de gorges:
"MUMAKÎL!!! MUMAKÎL A L'EST!!!"
Taorin se précipita, les Chiens à sa suite, vers les vitrines est du palais...

Le Mort suivit des yeux le uménorréens qui sortait sabre au clair,se demandant si il éait vraiment soncere.Enfin,bon,il y avait d'autre préoccupations pour le moment.
Un homme que le capitaine avait reconnu comme un membre des chiens du desert lui attrapa un bras et le retourna.

-Excusez ma brutalité,je suis envoyé par le Chien borgne.Une armée et des Mumakils attaquent la porte,et une flotte inconne attaque le port.Que faisons nous?
-Massacrez les tous.
-Mais,seigneur,ils ont des...
-Massacrez les,soldats.
-B...Bien seigneur Mort.

Et il s'éloigna en courant.Le capitaine courut jusqu'au rempart,observer le désastre...