Vogue, vogue vers le Nord

Eaque regarda un navire plus s'éloigner la baie d'embarquement.

Il avait du réunir tous les officiers de la flotte. Tous étaient venus... Enfin, tous ceux encore en vie.

En effet, le désastre de la flotte était grand. Tous savait que la grande flotte de Gondor n'avait pas réussit à arrêter la flotte ennemi et que la majeur partie de ses bâtiments étaient coulé dans la rade de Pelargir. Une autre grande partie se trouvais dans la rade de Dol Amroth.

Eaque avait donc sous ses ordres une vingtaine de navire, mais pas tous des plus puissant.

Et Eaque devait aussi composer avec un fait auquel il ne s'attendait pas: pas d'Amiral. Le dernier avait été capturé par Umbar, et aucun ne l'avais remplacé... Tous se souvenait de lui: Corwen...

Un grand homme...

Un homme vient le voir:

"Conseiller, nous avons réussit à trouver un stock de fourrure comme vous nous l'avez demandé."

Il avait insisté la dessus: Le froid pouvait geler ses hommes... Donc des fourrures pour les protéger...

"Bien, bien... Continuez, je reviens..."

Il se devait de passer dans sa demeure pour récupérer des livres sur la marine...

"Départ le plutôt possible" lança-t-il à la ronde...

Les soldats embarquaient tous ceux qu'il fallait pour partir vers le Nord sur le dernier bateau.

Dans dix minutes ils seraient prêt...

Les vingt navires mit à la disposition de ce voyage était la, dans le port ou déjà sur le fleuve. Certains étaient de vrais navires de guerre, d'autre des navires de commerce transformé pour l'occasion.

On s'était préparé aussi à des nombreuses bataille contre les pirates. Il semblait en effet que l'ennemi était allié à Umbar et aucune nouvelle venant infirmer cela était parvenu.

Donc: Balistes, Trébuchets et autres pour protéger tous ce que l'on transportait.

On attendait que le conseiller du Roy maintenant. Il avait fait accélérer l'embarquement, mais était en retard...

Hasharin partit de la Capitale au galop et arriva rapidement au port de la Capitale. On lui indiqua le bateau d'Eaque. Il monta et guida son cheval, il s'adressa aux marins d'un ton autoritaire:
- Mon cheval reste sur le pont et je m'en occuperais personnellement, personne n'y touche. Et il reste sur le pont.

Tous hochèrent la tête; aucun n'avait vu le visage de l'homme qui parlait. Ensuite Hasharin prit son matériel d'équitation et se dirigea vers les cabines, il vit une porte entrouverte, la cabine semblait belle et spacieuse. Il ouvrit la porte du pied, apparement elle était occupé. Surement la cabine de l'officier de bord. L'assassin ferma la porte et ota son capuchon. Il posa ses affaires sur le lit et prit toutes celles qui trainaient dans la chambre et ouvrit la porte pour les poser devant dans le couloir... Puis il deposa ses armes sur un tables. Bouclier, lance et épée contre le mur. Ses quelques tuniques dans l'armoire. Et il était pret pr le voyage.

Un aigle tournoya autour du bateau de Eaque et pénétra dans la cabine.
Dans ses serres, un parchemin enroulé et une feuille papier.

Le volatile lâcha le contenu sur le lit.

Sur la fueille manuscrite, une écriture fine et régulière se laissait apparaitre.

Citation :

Cher Eaque,
Pourras tu remettre ce parchemin à Meneldir, un des mages de la guilde?

Tu le trouveras surement à Dol Amroth avec le chevalier Gebir,lui aussi membre de la guilde.
Si nulle nouvelle d'eux n'est trouvé, brules ce parchemin et envoie moi un message par pigeon.
Tu trouveras dans le nord des alliés et des conseils.

Sur le parchemin, une mission était inscrite pour Meneldir.
Lui le vieil professeur, ancestral membre de la guilde au même rang que Forlong, Belgareth ou d'autres.

Sur le parchemin scellé était écrit ceci :

Spoiler:

Tior suivait Hasharin d'assez près, et ils arrivèrent bientôt au port du Gondor. Là, une vingtaine d'imposants navires attendaient à quai.

Il vit Hasharin échangers quelques paroles aux marins et embarquer dans le bateau d'Eaque. Tior le suivit, et les gardes ne l'arrêtèrent pas, bien qu'il soit étranger ici: le frère d'Eaquem avait dû les avertir de son arrivée. Leurs deux montures furent bientôt mises côtes à côtes sur le pont.

Hasharin avait été dans une des cabines, mais Tior alla aux côtés d'Eaque sur le pont à l'avant du bateau; il se rendrait à l'intérieur plus tard. Les deux Hommes regardaient le vague paisibles de la mer et écoutaient le cri plaintif des mouettes.

"Eh bien, Eaque, compagnon de la Guilde, nous voilà partis pour un long voyage ensemble..."

Il arrivèrent au port. Il vut vingt grand navires spécialement pour aller au nord plein de soldat était déjà sur les bateau, lui aussi monta sur un grand navires , il vut plusieurs personnes. Le pont était immenses pas rapport au petit navire ou il montait avait monté avec ses parents pour aller a Minas Tirith il regardait les autre bateau et aussi était plein dans le port il y avait presque plus personne, il se demandée bien combien de temps allait durer leur voyage bien qu' aimant bien être sur un bateau . La il se demandée si vraiment il aurait du il y aller et non rester dans la ville , mais se n' était pas sa qui l' inquiéter le plus il se demander si il allait survive a la bataille qui allait se dérouler .

[HRp: Fais attention à l'orthographe et à la syntaxe de tes phases, Hector. Merci]

Pendant qu'Eaque et Tior discutaient sur le pont, l'Homme d'Arnor entendit des pas derrière eux. Se retournant, il aperçut un jeune Elfe qui marchait dans leur direction. Il s'agissait là d'Hector, mais le Dunàdan ne l'avais jamais rencontré. Aussi lui adressa-t-il en premier la parole:

"Bien le bonjour, mon bon Elfe. Très peu de gens ne votre race viennent embarquer sur ce navire, le navire du Seigneur Eaque, que voici. Que venez-vous faire ici, et quel est votre nom? Ce navire se rend dans le Nord, bien au delà des côtes du Gondor. Est-ce là votre but? Venez-vous vous battre à nos côtés?"

Dans cette guerre, toutes les races devaient être représentées. Mais Tior était quelque peu surpris de voir un Elfe embarqué sur un navire de la flotte du Gondor.

//HRP// Juste pour vous rapeller que je suis absent jusqu'au 14 mars. Donc laisser mon personnage a bord dans sa chambre il medité //Hrp// SI jamais on arrive a DA avant, dites qu'il est malade. MErci//HPR//

Il s' approcha de l' hommes qui lui avait parler et lui répondit

Bonjours a vous aussi, je le sais malheureusement les elfe ne veut plus trop sortir de leur villes elfique , Je m' appelle Hector je viens de Foncombe et je viens me battre au coté des Hommes du Gondor. Oui cela et mon but vous aider dans cette bataille et si je suis encore vivant je vous aiderai jusqu' a que le Gondor puisse vivre en paix. Et vous vous appeler comment ? Et ce que vous aussi vous aller vous battre au coté des Hommes du Gondor.

Il se demandait bien si ce n' était pas un dunedain mais l' heure n' était pas a ses quetion .
Malheuresement pour lui se qui la dit sujet des elfe est a peu prés vraie il ne s' envat pas plus de quelque Kilométre de leur villes.

[ Désoler les les fautes mais je commence a en faire dd moins en moins et pour la syntaxe desoler je ne comprend pas trop ]

Tior sourit à l'Elfe, mais il ne lui répondit pas tout de suite, trop occuper à réfléchir aux paroles d'Hector:

"Un Elfe de Fondcombe... pensa-t-il. Voilà qui est étrange. Les habitants de la vallée du Rivendell ont-ils un si grand nombre de guerriers pour les envoyer chez les Hommes. Curieux choix, curieux destin... Mais il n'y a pas le temps pour raconter des histoires."

Le messager de l'Arnor parla alors à voix haute au jeune Elfe du Nord:

"Je me nomme Tior Celebdîn, et je viens du Royaume d'Arnor, qui n'est pas si éloigné, après tout, de la Vallée d'Imladris, ou Fondcombe comme vous l'appelez. J'ignore après quelles aventures et pour quelles raisons vous combattez aux côtés des Hommes dans cette guerre qui s'annonce, mais sachez ceci: toute aide est bonne à prendre en ces temps sombres, et votre arme sera la bienvenue dans les dangers que nous affronterons ensemble."

Les marins avaient presque tous gagné le pont du navire; seuls quelques uns couraient encore de ça, de là, s'activant à charger vivres et équipements pour le grand voyage. Tior, tout en regardant ces hommes qui se décarcassaient, continua sa discussion avec Hector:

"Pour répondre à votre question, maître Elfe, je dirai que j'ai en effet l'intention de prêter main forte au Gondor, mais ça n'est pas mon but premier. J'ai été envoyé dans le Sud pour une mission par Halbarad Dunàdan, et je souhaite maintenant retrouver mon pays et mon capitaine. Car nous allons en Arnor, et peut-être, de là, pourrez-vous rejoindre les vôtres à Fondcombe, lorsque la guerre aura cessé. Mais il peut se passer un long moment avant que cela ne se produise..."

Maintenant tout était prêt. Tous les marins étaient sur le pont, les équipement et les vivres dans les cales. Le navire d'Eaque n'allait pas tarder à prendre le large.

"Bien", répondit le conseiller au rapport du Commodore du port de Minas Tirith qui l'accompagnerai dans le voyage.

Il regarda autour de lui. De nombreuses personne était du voyage. Parfait.

"Donnez ordre pour le départ Commodore."

Il se tourna vers l'elfe présent:

"Vous êtes sur de vouloir nous suivre maître elfe. Il n'y a que des humains ici... Vos quelques congénères sont avec l'armée de terre, comme le Seigneur Sombre-chêne, je crois."

Le navire était prêt à larguer les amarres... Eaque regarda la cité blanche une dernière fois...

Qui sait s'il la reverrait...


HRP// Hector, le voyage sera plutôt lent pour nous, étant donné que l'on attend que Dol Amroth tombe avant d'y arriver. Par contre, l'armée a terre, elle, jouera sans arrêt. A toi de décider si tu laisse ton perso faire du Rp avec nous, mais ce sera un Rp qui décrira le voyage, sans grande action... En tout cas, bienvenu parmi nous...//HRP

Il était prêt a partir, et un homme lui dit :

Citation :

"Vous êtes sur de vouloir nous suivre maître elfe. Il n'y a que des humains ici... Vos quelques congénères sont avec l'armée de terre, comme le Seigneur Sombre-chêne, je crois."

Je suis sur je vais rester sur ce navires même si je sais que d' autre elfe sont a terre , je n' est jamais bien aimé les voyage très longs sur des chevaux sauf si j' y suis obliger. Et - en fait je ne connais aucun elfe de la cité j' en est déjà croise mais pas plus.

Lui aussi regarda la cité blanche l' endroit il est resté le plus longtemps de sa vie , ou sont père avait vécu avant lui. Il espérait seulement qu' il pourrait revenir a Foncombe, quand il y pensé sa le rendait un peu triste mais aucun signe n' apparait sur son visage.

"Larguez les amarres, et voguer en direction de l'Ouest, nous nous rendons à Dol Amroth!, s'écria le Commodore."

Lentement, très lentement au début, le navire commença à s'éloigner de son port d'attache.

Des milliers de paillettes ornaient la surface de l'eau, car les rayons du soleil se reflétaient sur l'Anduin. Le temps était clair, mais froid, et un vent de Sud-Ouest soufflait fortement: les voiles ne serviraient de rien avec ce vent de face, et le voyage serait long. Les Hommes ne pouvaient compter que sur le fort débit du Grand Fleuve pour les amener en direction de la cité du Cygne.

Le port de Gondor ne fut bientôt plus qu'un petit point sur la côte. Tior regardait en direction du Nord, se demandant s'il ne reverrait jamais le Royaume d'où il venait. Il n'avait encore jamais navigué, et cette inquiétude venait s'ajouter aux nombreuses autres provoquées par les rumeurs de la guerre. Le bateau gagna ensuite de la vitesse, et Tior se laissa emporter par le cri des mouettes, le bruissement de l'eau sous la proue, et le sifflement du vent sur les mats...

Ses inquiétudes le quittèrent, et il envisagea l'avenir d'un meilleur oeil.

L'après-midi arrivait à son terme quand Tior Celebdîn décida de regagner sa cabine, qui se trouvait non loin de celle de son compagnon de la Guilde, Hasharin. Le Dunàdan, frappant à la porte, demanda à travers le bois sculpté sombre:

"Tout va-t-il bien pour vous, Hasharin?"

Mais ce dernier répondit que non, car il avait, rapidement et pour une raison mystérieuse, attrapé une forte fièvre, et il était en assez mauvaise forme, couché sur son lit de plumes. Il faudrait le signaler au médecin de bord si la situation s'agravait, mais pour l'instant, Hasharin ne souhaitait pas sa visite.

Tior se rendit donc dans sa propre chambre, petite et assez inconfortable, mais dont le hublot donnait sur l'Ouest, et par lequel l'homme pouvait voir le soleil se coucher, là-bas en occident, bien au-delà des Havres Gris et du pays des Valar.

Une fois son équipement déposé sur un petit meuble bas, Tior se coucha sur son lit et sombra dans un sommeil sans rêve jusqu'au matin.

Il faisait nuit , on voyais que les endroit éclairé par de torche et qui aider un peu les homme a voir. Hector lui allas dans une cabine pour se reposer en y arrivant il ne vut rien de spéciale a par un lit un petit meuble et un bureau. Il enlevas tout son équipement et le mis sur le petit meuble et ensuite regarda par hublot il voyais que de la mer a perte de vue, il savait très bien que le voyage allait être longs .

Il s' allongeait sur le lit et s' endormis jusqu 'au matin où soleil avait éclairer la chambre il se leva mis son équipement et sortie presque personne était la il pensa qu' il devait être en train de dormir dans leur chambre.

Cependant, Tior se tenait accoudé aux rebords, à l'arrière du bateau. Le commodore était là lui aussi, bien qu'il ne dit pas grand chose au Dunàdan. Ce matin là, le vent avait cessé, mais à l'horizon, de noirs nuages faisaient leur apparition, signe de mauvais temps, bien que le soleil dut encore rester quelques temps à briller.

Au loin au Sud-Est, on pouvait discerner, à condition d'avoir une bonne vue, un ligne blanche rejoindre le cous de l'Anduin, venant des territoires d'Harondor: c'était le Poros, importante rivière, affluent du Grand feuve. Ce signe montrait que le navire se trouvait à mi-chemin entre Pelargir et l'embouchure de l'Anduin, passage obligé, mais compliqué pour tout bateau. En effet, les multiples ilots rendaient la navigation dangereuse dans ce delta du feuve, avant de contourner l'île de Tolfalas par l'Est ou par l'Ouest. Mais on n'en était pas encore là...

Pour l'instant, l'évolution du navire était aisée, bien que la pluie était finalement venue. Ces intempéries obligèrent Tior à retourner à l'intérieur, où il croisa Hector.

Une fois a bord du bateau,l'assassin c'etait en enferme dans sa cabine en compagnie de son loup. Des que le bateau commenca a voguer, le harqdrim habituer a la terre feröe fut pris de nausees. Il resta donc dans sa cabine durant un jour entier et le lendemain matin, le medecin de bord vint ,mais Hasharin avait trop d'honneur pour que l'on le voit comme cela, donc il renvoya le medecin. Pluss tard Tior demanda a travers la porte si tout aillait bien. Hasharin repondit apres avoir crach2 un peu de bile:
-Un assassin va toujours bien, squf lorsau#il se trouve mort ou empoissone par un assassin plus fort, ce aui ne sera jamais mon cas,Rodeur!!!

Hasharin avait criee a travers la porte. Il avait horreur aue l'on le derange lorsqu'il est seul pr n'importe Quelle raison.



//Petit desole mqis je suis sur un clavier Allemand.Et c'est super dur de taper,Sinon Je reviens ce Week-End//

Une fois le Poros passé, le cours de l'Anduin obliqua de plus en plus vers l'Ouest, alors qu'auparavant la direction du Sud était prédominante. Au Nord, on pouvait apercevoir les falaises et les plages du Lebennin, et, en faisant un demi-tour sur soi-même, admirer les vastes plaines du Harondor, s'étendant à perte de vue.

Le climat était devenu plus chaud et sec à mesure que la flotte du Gondor s'était dirigée vers la Mer méridionale. Les vingt navires avançaient à la même vitesse, le vent en poupe, en un groupe assez compact, bien qu'une certaine distance entre les bâtiments s'imposait: il ne fallait pas prendre le risque de couler deux éléments par inadvertance. On aurait assez d'ennuis sans cela.

Le bateau d'Eaque navigait le plus souvent en tête de cette armada, surtout lorsque le cours de l'Anduin se resserait: il fallait alors former une sorte de colonne, et les risques n'étaient pas négligeables à ces moments là. La navigation deviendrait plus radide et plus fluide quand la flotte aurait atteind l'océan.

Il se tenait sur le pont... Lui, Haut Conseiller du Roy Mephisto, Prince de Brethil et Seigneur de Dor-Lomin...

Et si faible avec ça...

Il venait encore un fois de se faire battre par Ajax. Nestor se tenait contre le bastingage arrière à les regarder combattre... L'Epée Noire était à un mètre de lui...

Et pourtant il devait devenir un combattant... Il devait guider la flotte, et donc ne pas se planter... Mourir bêtement au combat ne serait d'aucun intérêt pour personne, il devait continuer à se former...

Enfin, ce n'était pas se former, mais devenir un des meilleurs. Il avait en effet reçu depuis sa plus tendre enfance une éducation militaire digne des chevaliers de Dol Amroth, étant fils d'un marchant de cette ville. Puis il s'était formé au combat des troupes de Marine, cette technique de combat ou chacun protégeait l'autre...

Enfin, maintenant il devait être aussi fort qu'un souverain à l'épée, même s'il n'en était pas un. Il était un des maitres de la guilde, et cela lui ordonnait moralement de savoir se battre à la perfection... Les chevaliers de Brethil allaient l'aider à avancer. Il avait appris de nombreuses choses depuis le début de ce voyage, mais il n'avais jamais battu Ajax...

Il y arriverai... Peut être pas cette fois, mais la suivante, ou celle encore d'après...

La nuit était maintenant tombée...

Le Lune montait dans le ciel de l'Est, répendant sa lumière froide à travers les pics sombres de l'Ephel Duath. Le fleuve était comme un clignotement argenté, quand Eaque, Tior, et tous les autres, se tenant sur le pont pour pour profiter de la tranquilité du soir, virent se détacher de multiples formes sombres à la surface de l'eau.

Il s'agissait en fait de maintes petits monticules rocheux ou vaseux. On était déjà arrivé à l'embouchure de l'Anduin; cette partie du voyage s'était déroulée plus rapidement qu'on ne s'y attendait. Les hommes criaient, courant en tous sens: passer cet endroit dans l'obcurité était pure folie.

Les navires devaient se serrer les uns aux autres pour éviter les obstacles naturels. Et le bateau d'Eaque ne faisait pas exeption. Par trois fois la collision semblait inévitable... Mais par trois fois on évita le pire.

Finalement, quand le vaisseau où se tenait Tior sortit de cette mauvaise passe, le Dunàdan, regardant en arrière, compta une vingtaine de navire à la lumière de l'astre lunaire: la chance ou l'expérience des commodores avait fait que la totalité de la flotte pouvait maintenant rejoindre la Cité de Dol Amroth dans un ou deux jours.

Il regardait Eaque s' entraîner a l' épée, mais il se fessait toujours battre, soit ses que son adversaire dont il connaissait pas était beaucoup trop fort pour lui ou ses qu' il fatigué mais a son avis c' était que se sont adversaire était trop fort pour lui. Après il en eu un peu mars de le voir perdre donc il regarda le paysage dont on voyais plus que de l' eau a perte de vue , il voulais arriver vite a Dol Amroth pour pouvoir retrouvé la terre ferme.

Il alla un peu plus loin sortie sa lame elfique et fit des mouvement très précis et d' une rapidité que aucun ennemis ne pourrais paré l' attaque et qu' il serrais more sur le coup s' en laisser un bruit il s' entraîner comme sa pour s' occuper le temps du voyage, et non regardant la mer ou rester dans la cabine pour attendre leurs arriva Dol Amroth.

Alors que ses compagnons de voyage s'entraînaient à manier leurs lames, tior restait là à admirer le paysage, en pensant à bon nombres de choses qui le tracassaient. Son épée pendait à sa ceinture, rangée dans son fourreau. Elle ferait ses preuves plus tard, il y aurait assez de travail pour son tranchant aiguisé.

Bientôt, Tior, accoudé en proue du navire, put voir apparaître devant lui l'île de Tolfalas. La flotte avait reçu ordre de la contourner par le Nord, afin de gagner du temps en longeant les côtes de Belfalas. Si l'île était habitée ou non, et par qui... le Dunàdan l'ignorait. En vérité, il lui importait peu de le savoir; son esprit était tourné vers le présent... et l'avenir. Et il souhaitait, tout comme l'Elfe, retrouver la terre ferme et admirer la Cité de Dol Amroth, qu'il n'avait encore jamais vu.

Mais il courait une rumeur comme quoi une bataille s'était livré, se livrait, ou allait se livrer dans cette ville... il faudrait s'attendre à tout en arrivant au port de la cité maritime.

Cependant, on en était pas encore là. Pour l'instant, la flotte de Gondor contournait l'avancée de terre pointue que forme le Belfalas. Une fois passé ce lieu, Dol Amroth aurait presque été en ligne de mire pour quelqu'un qui aurait eu une vue extraordinairement perçante. Mais ni Hector ni aucun homme présent n'avait cette capacité.

Plus qu'une dernière ligne droite et on serait arrivé à destination. Mais en terme de distance, cela représentait le tiers du voyage depuis Pelargir...

Depuis la pointe du Belfalas, le navire d'Eaque vogua, vogua vers le Nord, suivi par les dix-neuf autres navires du Gondor. au temps de la puissance du Royaume, cela ne représentait qu'une petite avant-garde pour leur armada marirtime, mais aujourd'hui, la venue d'une vingtaine de ces grands bâtiments était une chose de plus rare.

Or donc, la flotte, poussée par un vent en poupe, parcouru rapidement les longs milles qui les séparaient de Dol Amroth, longeant toujours les falaises de Belfalas. Les montagnes situées près de la Cité maritime se rapprochaient de plus en plus, peut-être pas à vue d'oeil, mais rapidement néanmoins.

Tior, Eaque, et Hector se trouvaient sur le pont ce jour-là, à s'entretenir de choses et d'autres pour patienter avant de rejoindre la terre ferme. Tout à coup, Tior, qui était le seul à être tourné en direction du Nord, s'écria:

"Regardez! La voici! Regardez cette cité à gauche des montagnes... Nous sommes bientôt arrivés."

Dans cette direction se trouvait en effet Dol Amroth, dont on pouvait apercevoir les hautes tours, bien que ce ne fut encore que de petits traits sombres sortant de la terre. Et le commodore de dire aux marins:

"La cité est en vue, droit devant! Gardez ce cap, et nous pourrons faire escale au port."

[Suite à Dol Amroth]

Après avoir déchargé la cargaison de la flotte au port de Dol Amroth, beaucoup étaient allé dans la Cité, reprise depuis peu par le Gondor et Brethil. Galathor et Tior s'étaient rendus au Sénat, où leurs discours furent écoutés par les 'Robes Grises', les sénateurs. Ces derniers décidèrent que le voyage était digne d'une aide de leur part, et ils promirent d'envoyer des guerriers au Nord.

Ainsi Tior se trouvait sur le Simol, navire amiral de la flotte de Gondor, qu'avait rejoint quatre navires de guerre de Dol Amroth et cinq vaisseaux de marchandise. Gebir et le Dringalph allaient être du voyage également, bien que ceci fut discuté par les Earkano, les Maître des mers.

Tous attendaient l'arrvivée de ces renforts. Le messager d'Halbarad se tenait sur le pond, alors que le soleil couchant illuminait la Cité côtière d'un rouge orangé, et nombreux furent ces qui, voyant cela, repensèrent au sang des hommes vaincus qui avait souillé les rues, mais qui depuis avait été nettoyé.

Le commodore vint vers Eaque:

"Nous pourrons partir dans quelques heures, car toutes les marchandises et tous les équipement ont été chargés par nos marins. Nous n'attendons plus que les Robes Grises et leurs guerriers..."

Eaque s'empressait de rejoindre le Simol, grand bâteau blanc aux voiles magnifiques semblables à de la soie.
Galathor, eut rejoint le Prince de Brethil dans son bâteau suite à son invitation.
Tior monta lui aussi sur le Simol.
La Flotte du Cygne se devait de partir au crépuscule pour arriver à temps au Royaume Exilé du Nord et prouver leur amitié toujours ardente envers le Grand Roi Tar-Aldarion d'Annuminas.
Méphisto, Grand Roy du Gondor, maître incontesté de Minas Tirith est allé au Nord lui aussi.
Sur le pont, le Gouverneur Galathor Periondör demanda à Eaque, Neveu de Berund de Dol Amroth, de s'isoler.
En étant à l'avant du bâtiment, Le Noble de Minas Tirith lui dit:

*Eh bien tout est dit je crois. Les Robes Grises du Cygne nous accompagnerons dans notre voyage. J'espère de tout mon coeur que notre voyage se passera bien. Les Robes Grises ne doivent pas pénétrer sur le Simol si vous vous trouvez sur celui-ci.

Toutefois, il vous verront lors du combat mais qu'importe. Je vais envoyer un messager au Comte de Ringlo qui dois siéger actuellement en la Cité.
Je ne sais où est Monseigneur Méphisto, je compte envoyer un message à Tar-Aldarion pour le prévenir de notre départ.
Je ne suis pas totalement au courant de la situation présente en Arnor, si Annuminas subit un siège ou autre. Nous devrons établir un plan stratégique pour notre attque en fonction des informations que nous aurons reçues. C'est pour cela que nous devons établir une correspondance avec Tar-Aldarion. Je possède un faucon blanc, offert par Isildur au Patriarche de la lignée en ces temps ci. Depuis, nous les entretenons et ils furent déstinés à livrer des messages et missives, comprenant le Quenya, car ils furent originaires de Tirion.
Nous avons aussi les oiseaux qui furent offert à la Dame de Numenor, femme de Tar-Aldarion I fils de Tar-Meneldur.
Des oiseaux qui ne quittent jamais le lieu où je demeure. Toutefois, ils durent rester à distance de moi, pour que je ne sois repéré, des oiseaux de Valinor.
Ainsi que des colombes de Valmar, offertes par les Valar au Premier de notre lignée, Gilwë Ainumirë, un Vanya.
Notre lignée est énorme et nous possédons plusieurs demeures en Arda.
Ce fut un passé que je cacha à tous, hormis à vous, Eaque. Nul ne savait que je possédais des origines Vanyarin, mais là n'est pas la question.
Je vais envoyer un message à Tar-Aldarion sur-le-champ.*
Puis il se tut et resta non loin d'Eaque.