Heinrich Von Zismagen

Nom : Heinrich Von Zimasgen

Race : Gondorien

Age : 63 ans

Emploi : Heinrich est un noble gondorien,héros des guerres contre les orcs. Lorsqu’après une blessure il dû se se retirer dans son domaine où il assura l'ordre et la sécurité,permettant l'essor économique et religieux de son domaine.Il en profita aussi pour écrire des ouvrages pleins de sagesse et de clarté,le tout dans une plume acide et grognarde contre son gouvernement.Ce sont ces écrits qui lui donnèrent le surnom de sage, et qui lui valut l’honneur de devenir le précepteur des fils de la plus haute noblesse,honneur dont Heinrich se serait bien passé,ce qu’il ne cesse de rappeler à ses pupilles.

Description physique : Heinrich est un homme grand et fier, taillé pour le combat. Malgré ses cinquante ans bien passés et les filaments de blancs dans ses cheveux, il se tient encore bien droit et n’a que peu perdu de sa vigueur. Bien que ses muscles se soient séchés avec l’âge, ils sont toujours aussi puissant et s’il y a des jouvenceaux pour se moquer de ce vieil homme,il en est peu pour oser le défier.
Ses yeux sont d’un gris clair qui s’accorde avec sa barbe et le regard qu’il vous jette est particulièrement perçant et un brin moqueur,comme si tout ce que vous allez dire n’a que peu d’intérêt et de crédibilité.Ce regard a su déstabiliser plus d’un orateur.
Son visage sec et dur,légèrement hâlé par le soleil des champs de bataille,montre la force de volonté et la détermination du personnage.Ce visage semble vous dire : « Tu vois gamin,des coups,j’en ai pris,et je suis toujours là pour les raconter.Alors passe ton chemin,je n’ai pas besoin de toi. »
Le seul signe de faiblesse visible est la jambe droite boiteuse,mais pour le reste,tout semble fonctionner parfaitement,même certaines parties sensibles dont la légende dit qu’elles sont encore assez vigoureuses pour casser des noix.


Signes particuliers : En plus de porter une courte barbe grise,Heinrich ne se promène jamais sans sa canne qu’il tient de la main droite.Sa jambe fut en effet brisée lors d’une bataille et depuis,elle refuse de se plier.

Historique : Heinrich est né il y a désormais un bon moment.Sa famille compte parmi les plus anciennes du Gondor,de la création du royaume exactement.Malgré cette ancienneté,les Von Zismagen ont toujours dédaigné les honneurs,ce qui leur a valu leurs armes frappées d’un arbre sans feuilles et d’un ours pour signaler leur isolement.La famille n’est cependant pas sans patrimoine et marier sa fille avec un Von Zismagen est un très grand honneur.Militaire de père en fils,une longue tradition d’habilité aux armes et d’abnégation sur le champ de bataille ont valu à cette famille un statut quasiment à part.Le taux de mortalité élevé de ses membres sur les champs de bataille a aussi fait qu’ils sont très rares,car chez eux,même les femmes combattent.
De ce point de vue là,le père d’Heinrich était conforme en tout point,aussi fort qu’un ours,il était un véritable ermite dans son domaine.Fils unique,il ne se maria que pour assurer sa descendance avec une duchesse qui eut sans doute préféré un autre mari mais du se plier aux volontés de ses parents.Douce et gentille,sa beauté ne résista pas aux nombreuses grossesses qu’elle dû accomplir et mourut en couche pour son treizième enfant.Le père d’Heinrich ne la pleura même pas et reprit son style de vie d’avant son mariage,sa tâche assurée.

Heinrich et ses cinq frères et sœurs survivants furent élevés par les domestiques qui étaient tous des soldats.Autant dire que malgré leur gentillesse,ces enfants n’eurent aucune notion de douceur et de pitié.Elevé à la dure,ces six enfants rejoignirent chacun leur tour le champ de bataille dès leur majorité où bientôt ils excellèrent tous.Deux frères et une sœur moururent sans atteindre les vingt années,mais les survivants ne les pleurèrent pas.Le sentiment de famille n’était développé chez les Von Zimasgen que dans le sens où leur famille était supérieur.Les autres enfants continuèrent le jeu du massacre et aujourd’hui,le seul rescapé est Heinrich,tout les autres étant mort sur le champ de bataille,non sans avoir assuré la descendance de cette famille de guerriers.

Heinrich était le cinquième enfant de sa mère et le second à survivre aux maladies infantiles.Il avait sept ans lorsque sa mère mourut mais ne garde d’elle aucun souvenir.Et quand bien même en aurait-il,que cela ne lui causerait aucune joie.Sa seule famille,c’est le fracas des armes,la poussière des mêlées et sa grande compagne la Mort.
Elevé par des soldats,il apprit très tôt à voler de la nourriture pour se rassasier,à s’endormir dans n’importe quelle situation et sitôt ses yeux fermées,à se battre pour survivre et refuser l’aide d’autrui tout en sachant compter sur la force de ses camarades.De cette éducation,il fut le seul des enfants à en trouver quelque chose d’agréable.Quand bien même il ronchonnait dès qu’on lui donnait un ordre qu’il trouvait idiot,il était le plus doué des enfants et ses tuteurs admiraient en lui cette intelligence vive,cette ténacité et sa capacité à mettre mal à l’aise ses interlocuteurs.
Heinrich avait soif d’apprendre et ce que ses tuteurs ne purent lui fournirent,il alla lui même les chercher.C’est ainsi que dès ses dix ans,il alla à l'Eglise et exigea qu’on lui apprit la rhétorique,le langage ancien et l’histoire.Où avait-il pu savoir que de telles matières existât,nul ne le sait,mais toujours est-il que les lettrés de l'Eglise s’empressèrent d’instruire cet enfant qui assimila rapidement.Sa mémoire était phénoménal et il lui suffisait de lire un texte pour en savoir le contenu par cœur,sans qu’il manquasse une seule idée.
Aussi,quand il fut en âge de partir de chez lui,il était bien mieux préparé et doué que ses frères et sœurs.Il ne tarda pas à montrer tout son potentiel aux chefs de l’armée qui lui assignèrent les missions les plus périlleuses et desquelles il s’en sortait toujours.Très rapidement,il se forma sa renommée qui lui valut l’admiration du peuple qui voyait en lui un véritable dieu guerrier.Mais lui,il s’en fichait comme de sa culotte.Le seul avantage qu’il y trouvât,c’est que les femmes s’abandonnaient à lui plus facilement.Car avec les batailles,Heinrich découvrit les charmes des femmes et s’y abandonna avec délice sans se perdre.Ainsi,il obtenait tout d’elles sans rien donner en échange.S’il trouvait que le viol était une pratique un peu trop extrême,il n’hésitait pas à s’y adonner si jamais il y était contraint.Et loin de lui faire perdre du prestige,cela concourut à lui en donner un peu plus.On se mit à écrire des chansons sur lui qui commençaient de manière épique et finissaient de manière grivoise.il défraya notamment la chronique en enlevant trois filles de duc,réputées les plus jolies femmes du pays et en se mariant avec les trois.S’il refusa de les rendre,il ne s’en montra pas moins courtois et agréable sitôt que les noces furent célébrées et fit en sorte de les honorer comme il se devait,sans brusqueries.Pour cela,il préférait aller bousculer les servantes d’auberge.Autant dire qu’il eut un grand nombre d’enfants qu’il reconnut tous pour sien mais sans leur donner droit à l’héritage,le réservant à ses enfants « légitimes ».
Il pu d’autant mieux se le permettre que ce fut lui qui hérita du domaine paternel.S’il fournit logement et nourriture aux familles de ses frères et sœurs,il fit aussi venir à lui tout ses enfants afin qu’ils ne déméritent pas et soient élevés comme il se doit.A la dure,mais avec récompenses et punitions et intelligence.Même s’il était souvent absent,il chargea ses écuyers de s’en charger.
Heinrich guerroya très longtemps mais un événement tragique se déroula alors qu'il venait à peine de dépasser la quarantaine.Alors que les orcs pressaient le Gondor à ses frontières,utilisant le nombre pour s'emparer de riches cités gondoriennes,Heinrich fut à la pointe des combats,menant à travers les gués de terribles charges pour que pas un orc ne passe en Gondor.Ainsi,lors d’une de ces charges,son cheval fut tué d’une flèche au poitrail.Désarçonné,Heinrich vit sa jambe droite écrasée par sa monture.Hurlant de douleur,il ne s’en dégagea pas moins.Mais,ce qui aurait du être une fracture bégnine devint un véritable handicap,Heinrich refusant de reculer et livrant un terrible combat durant trois jours et trois nuits avant qu’on ne lui annonce que les positions étaient intenables.Même,on dû le retirer de force du champ de bataille.
Auréolé de prestige,sa carrière militaire n’en était pas moins terminée.Avec sa jambe inutilisable,Heinrich n’avait plus qu’à se retirer dans ses domaines,ce qu’il fit.Entouré par ses trois femmes et ses nombreux enfants,il accomplit à bien ses fonctions de seigneur en mettant fin au brigandage des Haradrims ur ses terres et en restaurant de nombreux lieux de cultes.Mais il se mit aussi dans le même temps à écrire des œuvres plein de sagesse et de critiques à l’adresse du gouvernement.Aucun dirigeants ne trouvaient grâce à ses yeux.Mais que nul ne s'avise de remettre sa loyauté en doute car si le seigneur Von Zismagen a un comportement de soudard,il est aussi un féroce défenseur du Gondor et ses actes guerriers parlent pour lui.Aussi,s'il se permet de critiquer les actes du roi,que personne ne s'avise de venir calomnier Sa Majesté car alors,cet imprudent se verra soumis à une véritable tempête verbale et remplie de mépris.

Equipement au début du jeu : En bon noble qu’il est,Heinrich possède une place forte pouvant contenir ses sujets (cent à deux cent paysans,enfants et vieillards compris).Mais c'est oublier la famille importante du sire des lieux.Heinrich a trois femmes et dix enfants légitimes.Mais il a eu de nombreux batards qui travaillent pour lui (quinze),et a récupéré les familles de ses frères et soeurs d'où une autre population de cinquante âmes supplémentaires.Heinrich n'a que trois maîtres d'armes,anciens vétérans ayant refusés de quitter leur chef,mais la défense de son domaine est assuré par tout les membres de sa famille pouvant porter les armes du fait de la culture guerrière de la famille.
Le montant du trésor familial doit être relativement important au vu de l’ancienneté de la famille et du butin de guerre qu’Helmut a amassé.Même si Helmut lui même ne sait à combien il s’élève,il est loin d’être vide.Un grand nombre d’hectares de terres fertiles et d’animaux d’élevage,ainsi que de la forêt pour la chasse vienne compléter le patrimoine de notre noble Heinrich.
Quand au personnage,on ne le voit jamais sans sa canne épée,ses bagues (une à chaque doigts),un vieux collier de famille et une arbalète légère à répétition dans son poignet gauche.Et lors des grands jours,le seigneur Von Zismagen n'aime rien tant qu'enfiler son armure.


Psychologie : Heinrich est par définition un grognard,surtout contre les chefs.Déjà dans sa jeunesse il s’était fait remarqué par son verbe haut à l’encontre de ses précepteurs.S’il est discipliné,c’est plus fort que lui,il râlera sur un n’importe quel détail qui lui semble mal défini.Mais lui faire remarquer peut coûter cher car sans être impulsif,Heinrich est un homme fier qui supporte difficilement la moquerie ou qu’on lui résiste…
Heinrich est un coureur de jupons,mais dans le mauvais sens du terme.C’est à dire que ne considérant la femme que comme un objet reproducteur,il ne fait pas la cour aux femmes qui lui plaisent,il se contente de les embarquer et d’obtenir ce qu’il veut,parfois par la force si cela est nécessaire.
Le chevalier est aussi un raciste profond.Il clame à qui veut l’entendre que les orcs,les elfes et les nains sont sur un même plan.Quand aux hommes,à part les Gondoriens et éventuellement les cousins d'Arnor,c’est à peine s’ils sont dignes de vivre.Ce racisme est tempéré par sa loyauté sans borne qui lui fait voir d’un meilleur œil les serviteurs de l'empire.Toujours est-il qu’ils n’échapperont pas à sa théorie des races !
Mais Heinrich ne serait pas l’homme qu’il est sans aussi quelques qualités.La tactique et la stratégie lui sont connues,mais ce n’est pas cela qui a établit sa renommée.C’est surtout qu’il est un excellent gestionnaire,capable de faire venir vivres et équipements à travers un blocus ou un monde hostile.Sans être véritable meneur d’hommes,il sait se faire obéir,et là où il va,les hommes le suivent,charmés par son ton et son inflexibilité face au danger.
Heinrich est donc un noble de la pire espèce.soldat jusqu'au bout des ongles,il ne tolère aucun manquement à la hiérarchie (tout en grognant à chauqe fois qu'on lui donne un ordre) mais il en adopte aussi le comportement grivois et horrible du soudards d'où un verbe haut et fort,et des comportements parfois déplacés dirons nous.L'homme est un peu paradoxal.

Quelques renseignements HRP:

J'ai surement demandé beaucoup dans mon historique mais je me pense à la hauteur pour incarner de tel personnage (expérience RP sur le forum SDA partenaire en tant qu'administrateur et sur d'autres non fantatisques).
Elève en classe prépa,je manquerais parfois de temps pour répondre mais je me tiens régulièrement informé des avancées du forum sur lequel je joue.
Un dernier petit truc,je suis complètement différent du personnage décrit au dessus.^^

Conscient de l'énormité de ma demande,je suis prêt à jouer un personnage un peu plus classique dirons nous.

Edit: J'ai augmenté l'âge de mon personnage car si c'est un vieillard selon les standards médiévaux, il ne l'est pas selon les standards de ce forum.^

Je n'ai absolument aucune autorité pour valider ta fiche, mais je ne crois pas qu'il existe d'Eglise en terre du milieu... Des temples dédiés aux Valars certainement, mais des Eglises, je n'en ai jamais entendu parler...

Et je ne crois pas non plus que la Polygamie soit acceptée au Gondor...

Mais bon, ce ne sont que deux petits détails...

Cela dit, bienvenue!

Merci de tes commentaires.

En réalité,autorisé ou pas,mon personnage se fiche un peu des règles établies.S'il veut trois femmes,il en a trois et qu'importe ce que le monde dira.En plus,loin dans son castel,qui viendrait l'embêter au nom d'une sacro-sainte morale?^^

Pour l'Eglise,comme j'ai vu moine et évêques dans els métiers,j'ai pensé qu'il y avait un clergé.Mais s'il n'y a pas,alors j'éditerais en fonction.

Je répond tout de suite à Ewandor :
Je ne pense pas qu'on puisse considérer qu'il y ait des temples dédiés aux Valars... Ils ne sont pas vénérés par les elfes qui n'on pas de raison de vénérer ce qui existe et les hommes les ont généralment oubliés... Et pas non plus d'église au sens ou nous l'entendons. Cependant, il existe des religions auxiliaires, principalement parmi les hommes... Donc ça ne devrait pas poser trop de problème...

Sinon, comme tu le dit, ton perso est vraiment très influant pour un début... Mais c'est aux Admin de voir ça...

Bienvenu !!!

Ps : message posté pendant la réponce de Von Zismagen...

Ma foi .. C'est vrai que ton personnage peut avoir de l'influence, mais quand je vois la taille raisonnable de ta fiche, je peux penser que tu es motivé à jouer .. A partir du moment où qualité et motivation se côtoient, je ne peux pas te refuser.

De plus, il serait bête de se faire refuser un personnage inventé (pour autant qu'il respècte l'ethique et les règles, bien entendu). Bref, tu peux commencer le jeu Noble Heinrich !

Juste une remarque: essaye de mettre des espaces après ta ponctuation, ça arrache les yeux

@--+

Votre Majesté! C'eut été un plaisir de m'agenouiller devant vous si ma jambe me l'eut permis. Je m'en vais de ce pas commencer à poster sur vos nobles conseils et continuer à servir le RP sur votre forum.

PNJ: Beregond


race: Humaine, de la nation du Gondor

emploi: lieutenant dans la Seconde flotte du Gondor, à bord de L'Intrépide.

âge: 23 ans

Caractère: Beregond est un jeune gondorien qui porte le nom d'un des héros de la guerre de l'Anneau. Pourtant, on peut dire qu'il n'a pas les même traits de caractère. En effet, plus que discipliné, ultra-rigide, notre Beregond serait bien loin de quitter son poste pour aller sauver son capitaine. Bien au contraire, il a une fois condamné à 15 coups de fouet un marin qui avait quitté son poste pour lui éviter un tir de baliste particulièrement dévastateur. Zélés dans son travail, ses supérieurs l'apprécient mais bien peu l'aiment. Quand à ses hommes, s'ils suivent ses ordres, bien rares sont ceux à l'apprécier. Pourtant, il ne manque pas de talents. Courageux, à la limite de l'inconscience, il est d'un calme imperturbable dans les situations difficiles. Sa carapace de glace, qui emprisonne ses sentiments, se brise seulement devant Hanna, sa fiancée qu'il doit quitter parfois pour de longs mois.

Compétences: Combattant et meneur moyen, il est cependant un excellent marin. Capable de monter dans les gréements pour hisser ou replier la voile, il est surtout spécialisée dans la manoeuvre et le positionnement des navires. De plus, son sens de la discipline lui commande d'accomplir les ordres sans réfléchir et de les faire exécuter avec une incroyable célérité.

Historique:Aussi incroyable que cela puisse paraître, Beregond n'a vu la mer dans son enfance qu'une seule fois, à l'âge de 10 ans. Et depuis, il ne s'est pas passé un jour sans qu'il pense à l'étendue bleue. Aussi, dès qu'il en eut l'âge, il se présenta à l'académie militaire marine où il fut reçu et pu y faire ses classes. Moyen en tout, il avait cependant une telle soif d'apprendre, une telle envie de voir la mer et une telle capacité à éxécuter les ordres, qu'il réussit quand même à obtenir un poste dans la marine militaire du Gondor. Un homme aussi discipliné n'aurait jamais put réussir dans la marine marchande où pots de vin et relâchement sont de mises sitôt le dos des armateurs tournés. Camarade taciturne, il se révéla cependant un marin hors-pair, bien meilleur que le jeune élève qu'il avait été. Aussi, à mesure qu'il prenait du galons (de manière très lente, ses supérieurs l'appréciant modérement), Beregond améliora ses capacités et devint un pilote appréciable, maniant le gouvernail de manière souple et agréable mais surtout, ferme. Ne perdant jamais son calme, même face à la furie des éléments, un capitaine avisé le fait placer soit à la barre, soit au milieu de l'artillerie ou même face au feu de l'ennemi, Beregond se débrouillera pour que les artilleurs jouent pleinement leur rôle...
Homme froid, Beregond n'est pas très aimé. De plus, fils de roturier, ses possibilités d'avancement sont faibles et sa carrière risque de stagner. Aussi voit-il dans ce conflit la possibilité de montrer à nouveau sa fidélité au Gondor mais aussi sa valeur. Car sans être ambitieux, Beregond est un marin et idéalise le poste de capitaine qu'il juge un des plus beau métier au monde. Mais surtout, fiancé à Hanna, une jeune femme Gondorienne de bonne famille, il se doit d'obtenir une place dans le monde suffisante pour que le mariage se fasse. Car si les deux jeunes gens s'aiment, les parents d'Hanna n'ont donné leur accord qu'à contre-coeur. Les enjeux sont donc nombreux pour le jeune Beregond, mais face à la violence de la guerre, saura-t-il préserver sa raison et survivreà un conflit qui s'annonce sanglant?