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Une bataille à l'aube... | |
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Matthew Glandser Capitaine de la flotte du Gondor
Nombre de messages : 66 Age : 35
~ GRIMOIRE ~ -: Humaine -: 23 ans -:
| Ven 27 Juin 2008 - 16:13 | | PNJ Beregond:
La réponse du capitaine claqua, sèche, dans l'air. Beregond n'y prit pas garde et s'empressa d'aller répercuter les ordres. Voilà pourquoi ses supérieurs ne l'appréciaient que modérement. Homme intelligent, Beregond ne pouvait faire preuve d'initiative qu'en passant pour un idiot, posant des questions qui tombaient sous le sens.
"Artilleurs...armez...Feu!"
Beregond avait fait attendre un long moment, histoire que le navire soit dans l'axe de tir optimum mais l'équipage de L'Intrépide était clairement axé sur le corps à corps. Beregond s'en désolait, ayant une grande passion pour les manoeuvres et tirs en pleine mer mais on faisait avec l'équipage qu'on avait et son grade... Comme il fallait s'y attendre, les dégâts furent superficiels. Alors que les artilleurs rechargez précipitament, un tir partit du Chimarea et fit une magnifique parabole. A bord des deux navires, chacun retint son souffle, Beregond le premier. Avec un tel tir, le résultat fut à la hauteur. En un seul coup, le Chimarea venait de faire plus de dégâts que l'ensemble des tirs de L'Intrépide. Le premier mât s'effondra dans un grand craquement tandis que certains hommes en dessous hurlaient. Beregond ne cilla pas et avisant un marin, il lui ordonna:
"Soldat, rapport des dégâts."
L'homme hocha la tête et s'empressa d'aller aux nouvelles. Autour du mât, certains marins dégageaient les blessés et jetaient à la mer ce surplus de bois qui désormais ralentissait le navire. Pendant que le soldat allait se rendre compte sur place, Beregond repensa au tir qu'il venait d'essuyer. L'homme qui commandait le navire adverse méritait de l'admiration. Certes, il commandait un cuirassé, donc plus difficile à couler, mais il tenait suffisamment son équipage pour pouvoir attendre le moment le plus opportun. Profitant que l'ennemi épuise ses précieuses munitions sur le navire, il avait fait calculer un angle précis à son artilleur et lorsque les traits de L'Intrépide avait été tiré, il avait profité du moment de confusion régnant sur le navire pour accomplir son tir, sachant la course du bateau stable. Cet homme était un véritable artilleur. Il alliait le génie à la discipline. Beregond aurait aimé servir un capitaine comme cela. A la place, il servait Volgan, homme de valeur, mais pas assez discipliné et instruit pour se servir à plein de l'artillerie... A ce moment là de ses pensées, Beregond constata que le centre adverse se dérobait! La flotte du Gondor venait de tomber dans un piège, et pas des moindres... Se tournant vers Volgan, Beregond attendit les nouvelles instructions qui ne tarderaient pas à venir. Continuant sur son idée, l'ordre d'abordage fut lancé.
"Barre à tribord toute. Manoeuvre d'abordage. Première compagnie, aux armes!"
A ce moment, le marin revint faire son rapport des dégâts:
"Lieutenant, nous pouvons compenser la perte de vitesse par une augmentation de la vitesse des rameurs. Un mort et trois blessés graves sont à déplorer."
Le capitaine ayant écouté le rapport en même temps que Beregond, il donna ses consignes au lieutenant Aïden qui était en charge des rangs de rame. Continuant sur sa lancée, L'Intrépide continuait à gagner du terrain sur le lourd navire adverse. Constatant cela, les hommes saisirent les armes de tir afin de se préparer à faire le ménage avant l'abordage. L'ordre fut donné rapidement et lorsqu'ils furent à portée, les archers s'en donnèrent à coeur joie... pour un résultat médiocre. Le cuirassé étant un navire de guerre très puissant, son bastinage est beaucoup plus étudié pour se défaire de ce genre de désagrément que celui d'une frégate... Pendant ce temps, Volgan criait ses ordres en vue de l'abordage. Etant dans son domaine, L'Audacieux n'avait nul besoin de Beregond pour répercuter ses ordres. Ce dernier grimaça intérieurement lorsque le capitaine lui ordonna de mener l'abordage avec lui. Très moyen à l'épée, bien qu'ayant déjà combattu plusieurs fois et survécu, il préférait de beaucoup gérer la deuxième à la première compagnie, dans laquelle les hommes étaient des grands vétérans avec lesquels Beregond s'entendaient mal. Mais les ordres sont les ordres et Beregond descendit du pont supérieur pour se mêler à ses troupes.
"Troupes légères à vos grappins. Vétérans, aux boucliers, le reste avec moi à couvert avec les armes de tir."
Défaisant son armure Gondorienne, outil révélant son grade, Beregond enfila prestement une armure de cuir. Lors d'un abordage, la rapidité et la légèreté sont la plus sûre des protections, et si Beregond détestait déroger au code de l'école de marine, il devait avouer que l'armure standard des officiers était plus gênante qu'autre chose... Ses hommes s'étaient disposés autour de lui et attendaient anxieusement le choc des deux navires. C'étaient le moment difficile, celui où l'angoisse de mourrir vous prend, le calme d'avant la tempête et Beregond comme chacun, n'y échappait pas. Tirant le médaillon d'Hanna, il pria la Source de lui permettre de survivre à ce combat et retrouver Hanna. Puis, sentant que le combat était proche, il tira l'épée. Cependant, ce calme d'avant la tempête avait quelque chose de différent, mais Beregond ne savait à quoi lui attribuer. Soudain, il entendit Feu! et tout ce fit clair en lui. Le capitaine adverse avait simplement fait donner ses balistes avant, réservant celle de flanc pour le dernier moment, pour le meilleur angle de tir! Effectivement, alors que les hommes rejetaient les boucliers et lançaient les grappins, des impacts importants secouèrent le navire, renversant les hommes. Cette compréhension du problème permit à Beregond de résister un peu mieux que certaines aux secousses mais le spectacle autour de lui lui retourna les tripes. Ce cimple tir avait accompli un véritable carnage, et comble de malheur, le capitaine s'élançait à l'assault d'un cuirasser, donc contenant probablement plus d'hommes que L'Intrépide. Mais, L'Audacieux en tête, tout les soldats chargèrent, hurlant leur haine et leur peur au visage de leurs ennemis, vidant leurs arbalètes et tirant les armes de corps à corps. Le combat s'engagea, violent et intense. Beregond ne pouvait y comprendre grand chose dans cet amas de corps et de bras agités du seul objectif de tuer, d'autant qu'à son tour, le lieutenant venait de poser le pied sur le navire advserse. Déjà certains de ses hommes avaient engagés le combat ou se retrouvaient au sols, le regard vide et le capitaine était pris par la frénésie du combat, ne facilitant pas les échanges d'ordres. Ses hommes arrivant toujours plus nombreux, Beregond ne rencontra pas d'aversaires pendant qu'il étudiait brièvement le navire. A ce moment là, Volgan tenta de lui dire quelque chose mais il ne le comprit pas. Toujours était-il que Beregond devait bouger ses hommes de cette pagaille afin de se rendre maître du navire. Les deux cibles prioritaires étaient la cale où devaient se trouver encore un certain nombre d'hommes en armes, où le pont supérieur. Constatant que Volgan se dirigeait vers ce dernier, Beregond se tourna vers ses homems et leur dit:
"Soldats, suivez moi. A la cale!"
Et, s'engageant dans la masse, Beregond tenta tant bien que mal de se frayer un passage. Son habilité aux armes n'était pas très importante, mais Beregond réussit cependant à survivre jusqu'à l'entrée de la cale d'où une nuée de nouveaux soldats sortaient.
"Repoussez moi cette vermine. Il faut bloquer les portes!"
Et ses hommes de s'engager dans le coeur du navire afin de repousser cette nuée. Pendant ce temps, Beregond étudia rapidement les portes qui en bloqueraient l'accès et il en déduisit qu'il pouvait faire gagner au pont cinq minutes sans renforts. Mais pour cela, soit il devait sacrifier ses hommes engagés à l'intérieur, soit repousser les adversaires qui se pressaient face à eux. Etouffant un juron, Beregond s'engagea à la suite de ses soldats. Avec eux, il devrait atteindre le bout du couloir afin d'avoir une chance de pouvoir faire marche arrière et bloquer les portes avec une chance de succès. Et au vu du nombre d'adversaires, ce plan était plus que compromis... |
| | | Berund, fils de Berunda Citoyen
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~ GRIMOIRE ~ -: Homme de noble lignée, descendant de Turin Turambar -: 83 ans -:
| Sam 28 Juin 2008 - 15:25 | | L'Empire Astral battait les flots... Le Mort-rapide avait finalement réussit à prendre le contrôle de la frégate adverse. Il fallait maintenant se trouver une nouvelle cible... A première vu, à par celles qui se trouvait derrière lui, c'est à dire une frégate et le son frère jumeau, tous les vaisseaux étaient engagé... Corwen se décida donc pour apporter du soutient là ou il y en avait besoin. C'est à dire, contre les vaisseaux de Dol Amroth. En effet, Eaque avait décidé de répondre plus fortement que ce à quoi l'Amiral s'attendait. L'empire Astral fit donc voile vers les navires des Earkano, ces chevaliers des mers, ces capitaines de la marine de Gondor ne l'avais pas toujours aimé... Il allait bien le leurs rendre aujourd'hui... « Commandant, nous allons aborder le cuirassé du Cygne... » |
| | | Radamanthe Emir de Harondor - Prince d'Ithilien
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~ GRIMOIRE ~ -: Homme de Gondor -: 53 ans -:
| Sam 28 Juin 2008 - 18:11 | | [ Ey les gars... je rappelle que j'ai lancé en premier un abordage sur l'Intrépide... Lancez un contre-abordage si vous voulez mais j'ai l'impression que vous ignorez complètement ce que j'ai dit...] Le Chimaera contenait assez d'hommes pour tenir un sacré moment face à n'importe quel attaque au corps à corps, même avec une partie de ses hommes à l'assaut sur l'autre bâtiment. Le Capitaine Arshavin, lui, laissa un souvenir amer aux rares assaillants qui parvinrent traverser ses subordonnés qui faisait écran devant lui. Enfin, un souvenir, c'est beaucoup dire, étant que ses victimes n'eurent plus tellement de temps pour se souvenir de quoi que ce soit, la réflexion étant beaucoup moins aisée avec la tête en moins. Il se battait avec calme, méthode et précision, et gardait un oeil sur l'ensemble du tableau pour coordonner le tout entre les coups de sabres distribués à l'ennemi, occasionnant toujours de sérieuses blessures. Dans les cales, les pirates avait saisi la table de chêne massif autour de laquelle le capitaine tenait parfois ses réunions, et, s'en servant tel un bélier, s'occupaient à défoncer la porte retenue avec de plus en plus de mal par les hommes de Beregond. Derrière eux, il y avait plusieurs dizaines d'hommes en arme qui pourraient faire passer un sale quart d'heure aux responsables de leur emprisonnement relatif, une fois que la porte aurait cédé. Et ça, c'était une nouvelle peu réjouissante pour le lieutenant de l'Intrépide. Bah, après tout, s'il ne trouvait pas de solution, son sacrifice aurait tout de même servi à quelque chose sur le pont. Sur le navire Gondorien, c'était la débandade... Avec une fut-ce qu'un nombre d'hommes réduit, les pirates faisaient relativement mal, et il ne leur faudrait plus guère de temps et d'ennemis à éliminer pour arriver aux postes de commande de l'intrépide.... |
| | | Ewandor Aubergiste
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~ GRIMOIRE ~ -: Homme -: 65 ans -:
| Sam 28 Juin 2008 - 20:53 | | Le feu... maudis soit-il! Ce chien de pirate était parvenu à bouter le feu au château du fier Arbre Blanc... Fait plutôt amusant, le majorité des navires de guerres coulaient à cause d'un incendie... Ironique pour ces bâtiments défiant les eaux de mourir sous le coup des flammes...
Pern courut le long de la coursive arrière. A première vue, le feu n'avait touché que les cales arrières, juste au dessus de la ligne de flottaison, mais mieu valait s'en assurer...
Le marin poussa la porte de la cale, et fut repoussé par la chaleur. A l'intérieur de la petite pièce régnait une fournaise digne des enfers!
"Nom d'un cormoran! Qui à entreposé les barils d'huiles ici!"
Derrière la fumée, l'on pouvait discerné plusieurs tonneau en flamme, et la plupart d'entre eux n'étaient pas remplis d'eau!
"Eteignez moi ce Bordel de feu, et réparer les fuites s'il y en a! Mardo, tu t'occupe de ça, je veux que tout soit nikel! Et que ca saute!"
De sa forte poigne, Pern poussa les 4 marins qui l'accompagnaient au sein de la fournaise, ils n'en seraient que plus motivé à l'éteindre... Heureusement, ce genre d'incident était monnaie courante, et le feu fut maitrisé avant que le barils n'explosent...
Pern regagna rapidement le poste de pilotage, énervé et agité, et fit son rapport.
"Le feu est maitrisé mon Capitaine, la coque est quelques peu endommagée, mais au dessus de la ligne de flottaison. Les hommes la répare en ce moment même et nous pouvons reprendre la bataille dés a présent!" |
| | | Laurelin Seigneur des Havres Gris - Maître d'Elostirion
Nombre de messages : 1299 Localisation : dans la lune, comme d'hab ... Rôle : Seigneur d'Elostirion, gardien des trois tours Blanches d'Emyn Beraid.
~ GRIMOIRE ~ -: Elfe -: Fin 1er age -:
| Dim 29 Juin 2008 - 12:00 | | Le capitaine Darian attendait le rapport sur les éventuels dégâts avec impatience. Pern finit par revenir le visage noircit par la fumée mais heureux d'annoncer que l'incendie ne s'était pas propagé. Darian poussa un ouf de soulagement et remercia son maitre d'équipage. Il ordonna immédiatement que l'on recharge les balistes et que l'on reprenne la poursuite en direction de Fame's revenge. Profitant du vent arrière, l'Arbre Blanc filait pour prêter main forte au capitaine Blood. Le capitaine du navire gondoréen replia sa longue vue et indiqua à son lieutenant et au maître d'équipage : - Le prédateur est touché à l'avant. Sa figure de proue est partiellement détruite ! ... Il nous faut aller plus vite. Une fois sur place, nous manoeuvrerons pour nous placer du côté opposé au capitaine Blood et ainsi, le navire pirate sera pris entre deux feux.Les remous fouettaient la coque de l'Arbre Blanc qui progressait vers le théâtre des opérations. Les balistes étaient prête à cracher leurs pierres sur le navire ennemi qui se profilait, immobile, profitant de sa position stable pour arroser le prédateur de ses projectiles mais le navire du Gondor rendait coup pour coup. - Allons-y, c'est à nous !! Le Fame's est fort occupé avec la réplique de Blood, cela nous laisse un peu de temps pour effectuer notre déplacement. Lieutenant Warren, commandez la manoeuvre ! On ne fait qu' un passage rapide dans un premier temps !! Stern, que tout le monde se tienne prêt ! Dès que nous serons au niveau du navire ennemi, faites feu à volonté !! On garde notre vitesse, on lâche la salve, et on effectue un demi tour un peu plus loin pour revenir les balistes chargées à nouveau.Le capitaine Darian comptait sur la justesse des tirs pour infliger un maximum de dégâts au Frame's revenge qui n'était plus très loin à présent. Dans quelques minutes, la salve mortelle serait lâchée ... |
| | | Hadhod Croix-de-Fer Ancien seigneur de la Moria
Nombre de messages : 3220 Age : 33
~ GRIMOIRE ~ -: Nain de la Maison des Longues-Barbes. -: 190 ans. -:
| Dim 29 Juin 2008 - 14:25 | | Audace? Intrépidité? Folie? A peine le navire de Volgan s'était-il fait aborder que le Capitaine avait ordonné un contre-abordage, chose risquée mais pas inconsidérée étant donnée la présence des phalanges de vétérans et leurs larges boucliers restés à bord. Occupé par la fureur du combat près du bastinguage de la Chimaera, acculé, Volgan ne pouvait toujours pas superviser la situation et voir que sa trop grande confiance lui jouait des tours. Car sous-estimer des pirates aurait été une grande erreur, et la détermination de ses derniers avait répandu le sang de bon nombre de défenseurs d'Aïden sur le pont de l'Intrépide... Une tête... un bras... une autre tête... un éventré... l'Audacieux tentait tant bien que mal de sortir de cette mauvaise passe. Une lame courbe vint lui labourer l'épaule gauche. Pourtant, il ne fallait pas discontinuer dans les combats, car une demi-seconde de perdue... et c'était votre tête qui tombait. * Pirate... Que ne montre-t-il pas un brin de bravoure... *En effet, entre les silouhettes ennemies dont le nombre diminuait très lentement, Volgan pouvait apercevoir Arshavin, nullement déconcerté, qui fendait quelque crâne ou soulageait sereinement un corps ou deux de leur tête, avec la même expression et le même calme que s'il fendait du bois pour la cheminée. Il faut dire que rares étaient les Gondoriens qui passaient le "blocus" imposé par les sbires du Capitaine pirate... mais les choses allaient en s'améliorant, grâce, nottement, à l'action héroïque de Beregond. Cependant, qui sait combien de temps le lieutenant pourrait tenir à distance les renforts ennemis emprisonnés dans les cales? "LES CONCHES D'ULMO !!! hurla Volgan."Pour les adversaires, ces trois mots ne voulaient absolument rien dire, mais il semblait que pour les assaillants du Gondor, c'eut été un code, préparé à l'avance. Car l'Audacieux se permettait de faire retenir à ses hommes diverses phrases courtes et frappantes en vue d'un abordage, action qui faisait la renommé du Capitaine. Tous les soldats encore vivants - et ils formaient encore un groupe conséquant quoique diminué - envoyèrent un furieux revers de leurs lames sans se préoccupper de la parade, si bien que plusieurs pirates tombèrent, en même temps que quelques hommes de l'Intrépide. Fort de cela, tous firent mouvement vers la proue alors que quelques braves s'interposaient devant les hommes d'Arshavin, de leur corps plus que de leurs armes. Le gros des troupes put ainsi se libérer et se regrouper un peu plus loin, ayant percé le cercle de malfrats qui les acculaient depuis tout à l'heure. Le combat était plus aisé ainsi... et Volgan de s'avancer sans trembler, libre à présent, tailladant les unités qui venaient lui barer la route une par une... en direction du Maître de la Chimaera. The Half Cop |
| | | Dalamyr Assassin
Nombre de messages : 378 Localisation : Dim-Bar Rôle : Maître assassin au sein des Ombres
~ GRIMOIRE ~ -: Homme du harad -: 37 ans -:
| Dim 29 Juin 2008 - 14:54 | | Cyr était descendit dans la cal pour bloquer des renforts pirates de revenir, mais bientôt le combat devenait dur, très dur, les coups devenaient de plus en plus fort et déterminer. le combat était hardu et ces maudits pirates ne savaient pas frapper donc leur coup blessaient, mutilaient des hommes bons et justes. tout cela énervait profondément Cyr qui commençait à ce laisser allez dans la folie meurtrière. ces coups étaient puissants mais ils ouvraient sa garde, un coup de sabre ricocha contre son armure, il se retourna et asséna un magistral coup qui coupa net la tête qui alla rouler au pied d'un pirate qui se fit à son tour tuer par l'épée d'un autre marin de l'Intrépide. Il entendit le signal de regroupement et ,étant déjà moitié dehors de la cale car ses combats l'avait fait sortit de la cale, il se précipita vers Volgan pour faire une unité compacte, avec ses camarades encore vivants, qui avait beaucoup plus de chance de vaincre les pirates.
Il rejoignit le groupe et se mit dans les premiers, il vit un ami à lui rester en arrière pour retarder l'arrivée des pirates et permettre aux marins de l'Intrépide de se reformer. Il eut des larmes sur le coin de l'oeil quant il le vit tomber sous les sabres des pirates, mais Cyr se ressaisit rapidement et suivit son capitaine. il approchait rapidement de leur cible, le capitaine ennemi mais il fallait d'abord tuer pour les pirates qui venaient à leur rencontre. mais que cela ne tient, les gentils gagnent toujours, ou presque. Il tua trois pirates aider par ses voisins qui étaient eux aussi porter par une envie de vaincre ces maudis corsaires qui ne méritent que la mort. c'est là que Cyr se rendit compte que pour une fois les pirates montraient du courage. Il se dit que "C'était bien sa chance c'est la première fois dans l'histoire de la piraterie que des pirates font preuve de courage et évidement ça tombait sur lui, fallait toujours qu'il se chope les cas unique." |
| | | Matthew Glandser Capitaine de la flotte du Gondor
Nombre de messages : 66 Age : 35
~ GRIMOIRE ~ -: Humaine -: 23 ans -:
| Dim 29 Juin 2008 - 22:50 | | PNJ: Beregond
L'idée de Beregond s'était trouvé payante, du moins, pour un temps. En réalité, elle était bonne jusqu'au moment où elle se révéla devenir un sacrifice. A vrai dire, le lieutenant de L'Intrépide ne tenait pas vraiment à mourrir mais son sens aigu et particulier du devoir venait de le mettre dans une situation profondément inconfortable, d'autant plus que même sans savoir comment se déroulait la bataille au dessus de lui, il n'était guère difficile de savoir qu'il n'aurait aucune aide. Aborder un cuirassé avec si peu d'hommes était une folie que Beregond peinait encore à comprendre...
Revenant à l'instant présent, Beregond observa ses hommes. Une simple dizaine dont la plupart était blessé. Beregond lui même avait une entaille au biceps gauche et une éraflure à la cuisse droite. Il y avait aussi avec lui le jeune marin qu'il avait sermonné quelques heures auparavant. Apparemment, ce dernier n'aimait pas trop cette situation, comme tout les autres marins. Les portes fermées leur procuraient une certaine sécurité mais elle n'était que temporaire. D'autant que les bruits venant du pont indiquaient qu'une troupe hostile était en approche. Regardant le déliciux visage d'Hanna, Beregond prit le temps de réfléchir, pendant que ses hommes commençaient à échanger des coups avec les arrivants. Il lui fallait une idée sinon lui et ses soldats seraient pris entre deux feux. Et soudain, la Source répondant à ses prières, il sut quoi faire.
"Conac, passez moi votre gourde!"
"Quoi?"
"Ne me faîtes pas répéter soldat, je veux votre whisky et maintenant."
Le soldat regarda interloqué son officier, puis, jurant, il lui jeta sa gourde avant de se retourner juste à temps pour parer un coup de sabre. Derrière Beregond, un gond venait de céder et les premiers visages adverses se faisaient apercevoir. Gardant une apparence de calme et tranquillité, mais étant proche d'uriner sur place, Beregond aspergea le bois d'alcool contenu dans la gourde de son soldat et de lui même, puis, il alluma son briquet et le lança sur l'alcool ainsi répandu. Se tournant alors vers ses hommes, il dit:
"Soldats, en avant, vers le pont!"
Plus facile à dire qu'à faire, mais comme s'il n'attendait que cela, les hommes du lieutenant frappèrent avec plus de force et de d'énergie les pirates et un léger passage se fit. Le jeune marin Cyr réussit à s'y engager et à disparaître sur le pont. Mais quelques uns de ses camarades n'eurent pas cette chance et périrent en ouvrant le passage. Beregond n'avait désormais avec lui plus que cinq hommes. Ils étaient donc encore six blessés face à trois pirates indemnes et quatre blessés. Mais contrairement aux pirates, Beregond et ses hommes n'avaient plus le temps. Car le lieutenant ne se faisait aucune illusion, le faible foyer qu'il avait crée serait prestement étouffé et une meute effrayante d'adversaires leur tomberait dessus. Effectuant un salut réglementaire, Beregond se dirigea droit sur ses ennemis en disant:
"Messieurs, je vous salue bien bas."
Suivit de ses hommes, il tenta de se frayer un passage mais son adresse à l'épée était trop faible pour que ce soit réellement efficace. En deux passes d'armes, il fut désarmé et aurait été tué sans l'intervention de Conac qui décapita le pirate avant d'hoqueter de douleur, une lame dans le ventre. Laissant à son agonie son brave soldat, Beregond courut de toutes ses jambes vers le pont, profitant de l'ouverture. Mais alors qu'il débouchait sur le pont, les poumons en feu, il constata qu'il était face à une multitude d'ennemis alors qu'en dessous résonnaient les hurlements de ses hommes qui étaient mort en laissant sa chance au lieutenant qu'il détestait. Beregond était coincé, si la charge accomplie par Volgan occupait pour le moment toute l'attention, on ne tarderait guère à s'apercevoir de la présence de ce soldat gondorien désarmé... Entendant des pas dans l'escalier, Beregond courut au bastinage alors que des cris dans son dos indiquaient qu'il était repéré. Arrivé au bastinage, la hauteur qui lséparait le lieutenant de la surface des flots le déstabilisa un petit peu. Jamais encore il n'avait plongé d'aussi haut, et surement pas avec une armure de cuir bouilli. Alors qu'il tentait de franchir l'obstacle de bois, tout à ses doutes, une lance vint siffler à son oreille en l'évitant de peu. Cela eut raison des dernières répugnances de Beregond qui se laissa tomber à l'eau... |
| | | Radamanthe Emir de Harondor - Prince d'Ithilien
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~ GRIMOIRE ~ -: Homme de Gondor -: 53 ans -:
| Lun 30 Juin 2008 - 15:22 | | Sitôt le projectile enflammé jeté dans la cale dont les pirates tentaient tant bien que mal de sortir, ce fut la débandade dans leurs rangs. Tous ceux qui portaient leur table-bélier la lachèrent simultanément, alors que déjà les flammes se propageaient aux alentours, leur léchant le visage et le dos de leur chaleur maligne. Ils se rétractèrent un instant, le temps de reprendre leurs esprits, mais remarquèrent bien vite qu'il n'y avait pas là de quoi faire flamber le navire, et que c'était un feu qu'ils éteindraient facilement. Saisissant quelques hamacs suspendus là, les forbans s'empressèrent d'étouffer les flammes, non sans se brûler quelque peu les mains, mais après tout, ce n'était sans doute ni la première fois, ni la dernière que ces hommes habitués aux pillages ne se blesseraient à cause du feu. Pendant ce temps, ceux dont l'abandon précipité du meuble de chêne massif n'avait pas écrasé les pieds reprirent la table pour se remettre à défoncer la porte. N'étant plus soutenue par les hommes de Beregond, cette dernière céda rapidemment, déversant des flots de pirates furieux sur les derniers retardaires qui, pris entre le marteau et l'enclume, ne tardèrent pas à succomber... Réagissant à la manoeuvre de Volgan, Arshavin pointa du doigt ses arbalétriers : "Sur les hunages, ils sont regroupés !"Les pirates grimpèrent rapidemment au cordage, ce qui leur offrait une jolie ligne de vue sur tout le navire, et principalement sur les marins de l'Intrépide qui, rassemblés, formaient une cible assez intéressante, sans risque de toucher de congénère et avec l'assurance de faire un plaisant carnage. Ils déchargèrent leurs armes, et dans un sifflement, la dizaine de carreaux frappèrent les gondoriens, entraînant dans la mort ceux ayant perdu leurs boucliers... "Eh bien..." raillait le capitaine. "On dirait que vous êtes toujours mal en point messieurs..."Avec son sourire moqueur, on eût dit qu'il exhortait ses ennemis à chercher à l'attaquer lui. Les forbands massés entre lui et les ennemis se faisaient plus rares, comme une invitation. Et lui, calme, derrière sa barbe mal rasée, souriait en coin... *** Par chance pour lui, le plongeon du lieutenant de l'Intrépide passa inaperçu, bonne fortune : dans le cas contraire, il aurait facilement fini criblé de flèches ! Sur le pont de son navire à lui, la situation semblait plus mauvaise que le Chimaera. Les assaillants tentaient de se rendre maîtres des postes de commandes, et les défenseurs se faisaient trop peu nombreux. Pire encore, face à cette situation imprévue et en l'absence d'un chef, ils étaient particulièrement désorganisé, et certains allaient même jusqu'à fuir sans demander leur reste, se jettant parfois sutupidement à la mer, et laissant de ce fait le fier vaisseau Gondorien à la merci de l'ennemi... |
| | | Sombre-Chêne Seigneur de Fondcombe - Sage Elfe
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~ GRIMOIRE ~ -: Elfe de la Forêt Noire -: Plus de 250 ans -:
| Lun 30 Juin 2008 - 17:47 | | Décidément, le Faucon avan[s]ait lentment. Trop lentement pour représenter une quelconque menace. Sa neutralité jusqu'alors lui faisait également perdre une certaine crédibilité. Son capitaine avait-il peur de se joindre au combat? Cela aurait été mal le connaître... Mais jsutement : parmis tous les capitaines et matelots de la flotte du Gondor, personne ne la connaissait. Bolotnikov avait toujours aimé l'anonymat. Bien aue lentement, le navire de Forochel tentait de se rapprocher du Fame's revenge et de ses deux poursuivants, balistes et trébuchets armés, prêts à tirer. Devant lui, l' Arbre Blanc se rapprochait dangeureusement du navire de Spooky. Seul contre les deux frégates, son expérience ne lui serait pas suffisante. L'ordre retentit. Un cri bref: Et soudain, le Faucon sembla revivre, fut gagné par une énergie innatendue quelques secondes plus tôt. Une trappe s'ouvrit dans la coque, et une vingtaine de tonneau tombèrent dans l'eau: L'un d'eux se brisa et libéra son contenu : de la terre. Libéré de ce poids, le bâtiment accéléra brutalement, fendant les vagues qu'il ne fait qu'écarter tantôt. Soudain, il était devenu beaucoup plus mena[s]ant. mais trop tard pour manoeuvrer en conséquence. Dans moins d'une minute, l' Arbre Blanc serait sous le feu des barbares du Nord. Bolot exaltait. La surprise était réussie. A nouveau, il vociféra quelques ordres. La minute s'écoula. Le Faucon arriva derrière l'Arbre Blanc, légèrement de biais par babord. Feu!Les traits partirent et percèrent en plusieurs endroits la coque de la frégate. Deux boulets s'élvèrent avant aue les artilleurs de Darian ne puissent réagir. L'un pércuta l'arrière du navire de l'infortuné capitaine, dévastant ses appartements personnels. Le second traversa la coque au niveau de la soute de munitions. Plusieurs barils de poudre se perdirent dans les flots. Les balistes de Bolot avaient en outre réussi à détruire lúne des balistes de babord. En outre, une vingtaines de flèches enflammées quittèrent le Faucon. Plusieurs finirent leur cours dans la voilure, d'autres dans la chair de matelots, et d'autres, enfin, dans le trou béant laissé par le deuxième boulet, dans la réserve de munitions. Quelques secondes plus tard, des flammes sortaient par ce même trou et venaient lécher la coque. Les tirs se poursuivirent ainsi, profitant de l'effet de surprise. Le timonier manoeuvra pour venir placer le Faucon côte à côte avec sa proie. Quelques bombes incendiaires furent lancées sur le pont adverse. L'abordage ne saurait désormais tarder... |
| | | Hadhod Croix-de-Fer Ancien seigneur de la Moria
Nombre de messages : 3220 Age : 33
~ GRIMOIRE ~ -: Nain de la Maison des Longues-Barbes. -: 190 ans. -:
| Lun 30 Juin 2008 - 18:33 | | A bord du vaisseau Gondorien, l'ultime résistance du lieutenant aîden et de ses vétérans ne passerait jamais en chanson, bien qu'en étant digne. Ils mourraient dans l'ombre, loin de leur Capitaine, loin des leurs. L'intrépide deviendrait sans doute un bateau pirate, désormais. *** *** Les quelques braves du lieutenant Beregond - ou tout du moins ceux qui n'avaient pas trop traîné - avaient pu éviter d'être pris à partie par des pirates trop longtemps tenus prisonniers. A la clameurs que firent les forbans ainsi libérés, tout le monde aurait pu croire qu'une armée de dragons étaient venus à bout des portes des Enfers pour déchaîner leur furie sur le monde des vivants. "Merde..."Volgan ne put s'empêcher de jurer: la situatuion lui échappait. Le court répit qu'avait offert "les conches d'Ulmo" lui permit de jeter un oeil sur son navire, sur l' Intrépide; la situation ne paraissait pas être des meilleures. Du côté opposé et du coin de l'oeil, l'audacieux eut la vision fugitive d'un marin - quoique pleutre aurait sans doute été plus approprié - sautant le bastinguage pour plonger à la mer. Ce ne pouvait être qu'un Gondorien, mais Volgan n'avait pas eu le temps de prendre connaissance de son identité. * Que les fureurs d'Ossë t'avalent, couard! *Ainsi pensait le Capitaine, que l'humeur aurait presque poussé à montrer aux pirates cette fuite soudaine afin que l'autre finisse au fond de l'océan avec des trous dans la carcasse. Mais la situation n'était pas à cela. Ainsi finit donc la relative inimitié entre le capitaine et son lieutenant. Les combats ne reprirent pas, remplacés par des volées de carreaux décochés de distance sûre sous les railleries d'Arshavin. "Au corps à corps! Dans la mélée! Pour Gondor!!!"Les combattants de son camp, quoique toujours groupés, seraient ainsi protégés des tirs - ou bien les arbalétriers pirates devraient prendre le risque de toucher les leurs. La situation était désespérée, le navire ennemi était perdu; les soldats qui n'avaient pas été transpercés par les traits ennemis l'étaient par les sabres. Seul un ultime groupement de braves, une dernière résistance, subsistait. Volgan, dans la fureur dévorante des combats, jeta un rapide coup d'oeil à son homologue, dont les moqueries n'avaient pas réussi à attirer à lui ses adversaires frustrés. A cette vue, Volgan pensa à l'ultime stratégie, celle qu'il n'avait jamais eu à utiliser et qui demeurait réservée aux débacles comme celles-ci. Et pour cause: nul ne devait s'en sortir, mais à situation désespérée, solution désepérée, dit-on... Les conches d'Ulmo avaient échoué, le Chant des Sirènes allait pour la première fois être tenté... The Half Cop |
| | | Dalamyr Assassin
Nombre de messages : 378 Localisation : Dim-Bar Rôle : Maître assassin au sein des Ombres
~ GRIMOIRE ~ -: Homme du harad -: 37 ans -:
| Lun 30 Juin 2008 - 20:28 | | Cyr évita de justesse un carreau qui alla se planté dans le gorge d'u de ses camarade de derrière qui s'écroula dans un gargouillis. Il ne se retourna pas même s'il aurait bien voulu mais la situation ne lui permettait pas de regarder les morts, sauf s'il voulait aller les retrouver. Son sabre frappait avec vigueur est force. Il savait que la bataille serait dur à prendre mais d'un autre côté, il avait le capitaine le plus fou de toute la flotte. Et ho..combien de fois les plans les plus dangereux, les plus fous firent gagner la victoire au peuple libre.
Il se rappela de ses débuts sur ce bateau, il n'était encore que mousse, mais il arriva bientôt à l'âge ou l'on peut tenir une épée ou un sabre et il monta au rang de marin. ce jour là, il s'en rappellerait toute sa vie, tout le bateau était là et lui serrèrent la main après que le capitaine l'aille élever au rang de marin. Et c'est pourquoi il battrai jusqu'à ce que son corps aille rejoindre les poissons, mais avant envoyer le plus de pirates par le font. Il tua un homme d'un rapide coup ventral puis un autre.
Un de ses camarades s'écroula sous le coup de plusieurs attaque de sabre. Certain arbalétriers, les plus précit tirèrent des carreaux prenant le risque de toucher des leur.
Cyr entendit son capitaine crier:
"Au corps à corps! Dans la mélée! Pour Gondor!!!"
Et le marin Cyr cria à son tour pour se donner du courage:
-Pour le Gondor!
Plusieurs autres marins crièrent ça, ces cris résonnèrent sur tout l'Intrépide et s'amplifiait à mesure que les troupes de Volgan approchait du combat. Cyr se demanda comment ça ce passait sur les autres navires, avaient-ils plus ou moins de chance? Est-ce que lui, petit marin de l'Intrépide verra l'aube se lever? |
| | | Lórindol Noble du Gondor
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~ GRIMOIRE ~ -: Elfe de la Lorien (Moitié Sindar/Moitié Noldor! -: 1057 ans -:
| Mar 1 Juil 2008 - 0:04 | | Le Lieutenant Aïden continuait à se combattre, les soldats sous ses ordres combattaient avec furie pour sauver leur bateau adoré qui les avait tant porté sur les mers! On voyait les ennemis partout il était beaucoup plus nombreux mais ce la n'empêcha pas à Aïden et les soldats de les tuer. Puis Aïden ordonna aux soldats sous ses ordres: -Soldats du Gondor, resserrez-vous comme ça l'ennemi ne trouvera pas de fente pour vous tuez plus facilement Et faites tout pour sauver l'Intrépide pour l'Honneur du Gondor!Sur ces mots Aïden fonça sur l'ennemi et tua le premier qui se trouva sur son chemin en lui faisant un coup de taille puis il rencontra un autre pirate et le décapita mais un pirate le prit de côté et le blessa à la hanche ce qui lui provoqua des souffrances atroces. Pour répondre à cette blessure il fit un coup d'estoc qui ouvrit le ventre au pirate qui mourra dans d'atroce souffrances! -Voila ce qui ce passe quand on attaque un soldat du Gondor qui ne te vois pas! Puis Aïden partit à la recherche d'ennemi ce qui fut facile vu le nombre d'ennemi sur le navire. Pendant ce temps l'infanterie à boucliers sous les ordres du Lieutenant Aïden continuaient à tuer tout les ennemis qui s'approchait d'eux mais aussi qui se faisait tuer. Heureusement seul des pirates qui faisait du corps à corps pouvaient les tuer car leur boucliers leur donnait un protection suffisante pour éviter de se faire tuer par des flèches. |
| | | Matthew Glandser Capitaine de la flotte du Gondor
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~ GRIMOIRE ~ -: Humaine -: 23 ans -:
| Mar 1 Juil 2008 - 9:52 | | PNJ Beregond:
La chute sembla durer une éternité au lieutenant mais en réalité, elle n'excéda pas quelques secondes. Il prit soin cependant de prendre une position de plongée afin de ne pas trop souffrir du choc à l'arrivée. Bien lui en prit car sitôt entré en contact avec l'eau, l'air s'échappa de ses poumons sous la violence du choc. S'obligeant à garder son calme sérieusement menacé par la douleur et la panique qui montait en lui, il remonta à l'air libre en quelques puissants coups de pieds. Il inspira un grand coup avant qu'une vague ne le pousse vers la coque du bateau et que son armure de cuir le tire vers le fond, gonflée d'eau qu'elle était. D'un nouveau coup de talon, Beregond sortit sa tête à l'air libre et s'empressa de tirer sa dague pour couper les attaches de l'armure qui s'enfonça dans l'eau avant de flotter quelques mètres plus loin. Débarrassé d'un grand poids, Beregond prit tout de même soin de pratiquer quelques coupures dans ses vêtements afin de pouvoir nager plus facilement. Par chance pour lui, aucune flèche ou javelot ne vint du navire adverse, ce qui laissait supposer que sa disparition était passée inaperçue. Rangeant sa dague dans le fourreau, en prenant garde de remettre la lanière de cuir qui l'empêchait de glisser, il convenait désormais de continuer sur la lancée du plan de Beregond. Courageux, mais non suicidaire, le lieutenant avait plongé dans l'eau pour sauver sa vie et espérait pouvoir rejoindre L'Intrépide et convaincre son capitaine de renoncer à l'abordage et de faire retraite. Naïvement, il croyait que les pirates n'avaient pas lancé de contre-abordage dans le même temps...
En quelques brasses puissantes, Beregond rejoignit la poupe du cuirassé. Contournant le gouvernail du navire, il continua sa lancée et mit quelques longues minutes à dépasser la poupe du Chimarea puis de L'Intrépide. Enfin, il se trouva sur le flanc bâbord de son navire. Là, il se dirigea droit sur la proue où il espérait pour la première fois de sa vie que ses hommes aient fait acte d'indiscipline...La fatigue commençait à se faire sentir, d'autant que le sel sur ses plaies à vifs provoquaient une douleur lancinante, le lieutenant s'obligea à rester concentrer sur l'objectif qu'il s'était fixé, écartant toute pensée pessimiste quand à son avenir qui était plus qu'incertain... Soudain, il la vit et remercia la Source. La corde de mesure des fonds était bien là. Comme l'avait prévu, ou plutôt espéré Beregond, ses hommes n'avaient pas rangé le matériel sitôt l'abordage commençait et ils avaient laissé dans l'eau cette précieuse corde qui assurerait le salut au lieutenant. La saisissant à pleine main, il constata qu'elle était bien attachée, mais supporterait-elle son poids? S'obligeant à ne pas y penser, Commençant à grimper la corde humide, il bénit son inventeur qui avait eu la bonne idée d'y mettre des noeuds, permettant de prendre appui avec les jambes. Beregond se hissa lentement mais alors qu'il allait atteindre le bastingage, la corde se brisa et il faillit retomber à l'eau. Heureusement, sa main droite réussit à accrocher la saillie du bord provoquant une grande douleur dans l'épaule. Probablement qu'elle était luxée. Le visage en sieur, Beregond s'efforça de l'ignorer et lança sa main gauche qui attrapa à son tout la saillie. Il était désormais les deux pieds au dessus du vide, dans une position pour le moins précaire, son organisme criant à la fatigue. Mais tout marin qui se respecte possède une grande force de volonté, car sans cela, il ne supporterait pas de passer tant de temps loin du sol. Aussi, Beregond s'obligea-t-il à se hisser et il put s'asseoir contre le bastingage. Reprenant son souffle, il ne pouvait désormais se tromper sur le bruit qu'il entendait jusque là. On se battait sur L'Intrépide! Jurant tant et plus, mais en silence, Beregond reprit son souffle avant de se déplacer doucement. Il lui fallut de longues minutes avant d'atteindre çà nouveau la poupe. Jetant un coup d'oeil discret, il vit que les pirates n'avaient pas encore atteint cet objectif, les Gondoriens se battant comme des lions pour la défendre. Passant souplement le bastingage, Beregond se trouva dans le dos des Godoriens. Ramassant une arbalète qui trainait sur le corps d'un pirate, il s'empressa de la recharger et vint au secours de ses camarades. Prenant le temps de viser, il abattit d'un carreau en pleine tête un pirate trop entreprenant qui avait tenté de prendre les Gondoriens par le haut à travers les huniers.
"Soldats du Gondor, que trois archers viennent autour de moi et nettoye cette racaille!"
Reconnaissant la voie du lieutenant, se demandant par que miracle, ou cauchemar, il était là, les soldats obéirent cependant. Peu disciplinés, ils savaient tout de même où étaient leur intérêt et dans l'heure du combat, chaque homme se remet entre les mains de son supérieur, lui donnant une intelligence et une force qu'il n'a pas toujours. Aussitôt, trois hommes se détachèrent des combats et vinrent rejoindre Beregond. Saisissant des armes de tirs, ils commencèrent à abattre les pirates qui tentaient de contourner l'échelle menant au pont supérieur. Pendant ce temps, Beregond avait récupéré de nouveaux deux hommes dans la mêlée, diminuant à dix les braves qui enrayaient la vague de pirates tentant de prendre la poupe.
"Passez par le bastingage et allez mettre à l'eau notre chaloupe accrochée à la proue bâbord. Vous vous occuperez de nous récupérez lorsque la situation sera intenable."
Les ordres paraissaient incompréhensibles aux marins qui demandèrent une explication que Beregond leur donna rapidement et ayant compris, ils s'empressèrent d'y aller. Réarmant son arbalète, eregond reprit son poste avec les archers. Désormais, il n'y avait plus que deux archers et huit hommes pour endiguer les pirates qui tentaient de submerger le pont supérieur... Jetant un coup d'oeil sur le bateau ennemi, Beregond vit que la situation n'était guère plus reluisante là bas. La cloche du navire obsédait le lieutenant mais il décida d'atteindre encore quelques isntants avant de l'utiliser... |
| | | Laurelin Seigneur des Havres Gris - Maître d'Elostirion
Nombre de messages : 1299 Localisation : dans la lune, comme d'hab ... Rôle : Seigneur d'Elostirion, gardien des trois tours Blanches d'Emyn Beraid.
~ GRIMOIRE ~ -: Elfe -: Fin 1er age -:
| Mar 1 Juil 2008 - 16:31 | | L' Arbre Blanc, arrivait inexorablement au niveau de sa proie : Le Fame's Revenge qui, statique, vomissait son feu destructeur sur le navire du capitaine Blood. Il était sur le point de faire feux sur le navire pirate, tout était prêt ... C'était maintenant ou jamais ...
- ALERTE !! ALERTE !! Un autre navire pirate arrive par l'arrière, il progresse sur nous rapidement, il manoeuvre par babord !!
Un rapide regard fut échangé entre le capitaine Darian, le lieutenant Warren et Pern le maitre d'équipage. Puis l'espace de quelques secondes, les trois hommes avaient regardés vers le navire pirate qui déboulait sur eux afin d'évaluer leurs chances ... Aucun mots ne fut échangés mais les trois hommes s'étaient compris. Le navire pirate était lancé à pleine vitesse et arrivait beaucoup trop rapidement ... Tenter une quelconque manoeuvre pour l'éviter ne servirait de rien, les marins de l'Arbre blanc voyaient déjà le nouvel agresseur se rapprocher et sur sa proue, le nom du navire se dessiner '' Le Faucon '' ... Le silence fut soudain romput sur le navire gondoréen, l'ordre était donné :
- Feux à volonté !!
D' un coup, les cables des balistes de l'Arbre Blanc claquèrent et les projectiles filèrent en direction du Fame's Revenge et plusieurs arrivèrent au but remplissant parfaitement leur mission de destruction...
Au même instant, le navire Gondoréen fut ébranlé ...
Le Faucon s'était suffisament rapproché et avait attaqué lui aussi, provoquant des dégâts important au navire du capitaine Darian. Plusieurs incendies se déclarèrent sous une pluie de flèches enflammées. Des marins du gondor couraient en tout sens, leurs vêtements en flammes et certains se jetèrent dans l'océan. D'autres, morts, étaient étalés en différents endroits du navire. La voilure était déchirée en plusieurs endroits et plusieurs impacts se firent entendre, des craquements sinistres ... L'arrière était durement touchée ...
Difficilement manoeuvrable, devenu pratiquement incontrôlable, l'Arbre Blanc dérivait dangereusement en direction du Fame's Revenge, sa figure de proue et son long éperon en avant ...
Si Le faucon avait dans un premier temps réussi sa manoeuvre d'attaque et son effet de surprise, cela se retournait à présent contre celui qu'il pensait aider. Le Fame's Revenge voyait la frégate Gondoréenne lui arriver dessus à grande vitesse. L'impact était inévitable, le choc rude !! ...
Le capitaine Darian quitta le pont superieur du navire pour rejoindre ses hommes.
- Au centre du navire !! Tout le monde au centre du navire !! Accrochez vous à ce que vous pouvez !! Préparez vous à l'abordage !!!
cinquante mètres, trente ....
Dans les cales plus bas, quelques marins étaient restés pour tenter de stopper l'incendie qui se propagait prés des munitions et des barils de poudres. S'ils échouaient, se serait alors une véritable bombe que le faucon aurait lancé sur le Fame's Revenge ...
Vingt mètres ...
Solidement accroché à une pièce de son bateau, le capitaine Darian levait son sabre vers le ciel et regardait ses deux amis, Pern et Warren ...
Dix mètres ...
Il s'écria :
Cinq mètres ...
- Mes amis, pour le Gondor !!! |
| | | Berund, fils de Berunda Citoyen
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~ GRIMOIRE ~ -: Homme de noble lignée, descendant de Turin Turambar -: 83 ans -:
| Mar 1 Juil 2008 - 16:40 | | "Amiral, le cuirassé de Dol Amroth à abordé Nârcissa. Je pense que...
-Intéressant. Regardez cela commandant. Le Simol nous suit. Il désire en découdre avec nous. Pensez vous que nous avons les moyens de gagner si l'on aborde?
-Je ne sait. Mais Nârcissa a surement besoin de soutient. Nous devrions peut être...
-Les deux navires ont eut les même plans. Deux vaisseau d'exception dont l'auteur des est bêtement mort. Deux fleurons des chantiers navales de Dol Amroth. L'un bas pavillons Impérial, l'autre bas pavillons Allié. Un abordage serait presque un pari. Qui gagnerai d'après vous commandant?
-Mais... Soit..."Il se résigna. Nârcissa pouvait bien se débrouiller quelque minutes sans eux. Il réfléchit lentement à la question. Les autres abordage, principalement celui du Chimaera, se déroulait parfaitement pour eux. Comme si les troupes de Gondor étaient moins entrainaient... Mais bien sur que non. C'était à chaque fois des cuirassés de l'Empire contre des frégates, donc cette Alliance était en infériorité numérique flagrante... Entre deux cuirassé, aucun moyen de savoir... "Je ne sait Amiral.
-Commandant. Vous étudiez la situation trop terre à terre. Ce ne sont pas des vaisseaux qui se battent, mais bel est bien des hommes. Regardez les équipages...
-Et? Les troupes de Gondor contre les nôtres... Et... Mais oui, bien sur. Ce sont les chevaliers de Brethil. Nos soldats on donc peu de chance.
-Voila. De même pour Nârcissa qui affronte ceux de Dol Amroth. Malgré cela, nous avons un avantage: les chevaliers ne frapperont jamais les femmes qui accompagne Nârcissa. Mais bon. Pas de risque, nous allons leur porter assistance. Demandez à Nârcissa son accord."Une flèche enflammé partit vers le navire de la belle dame des Mers. On allait pas l'aider si elle ne le voulait pas... |
| | | Nârwel Rusk-Iâr Agent de l'Arbre Blanc
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~ GRIMOIRE ~ -: Homme de Gondor -: 57 ans Grisonnant -:
| Mar 1 Juil 2008 - 17:23 | | [HRP: j'abandonne mon idée de chair à canon, c'est trop long à mettre en place et je manque de temps. Dsl. Pour Forlong si tu a besoin de moi n'hésite pas, mais je me concentre sur le Lieutenant Warren: HRP]
Le choc fut des plus violents de la bataille et beaucoup de soldat de l'Arbre Blanc furent éjecté sur le Fames'Revenge plus qu'ils ne s'y jetèrent. Solidement arrimé à un bout, le Lieutenant Warren fit un signe de tête à Pern. Il était temps d'abandonner le navire. Car dans cet état là l'Arbre Blanc sombrerait bientôt. Alors qu'il allait s'élancer avec les soldats de Gondor, la main du Lieutenant Chesterfield le retint.
"Warren, continue la bataille. Je rejoins mes hommes dans les cales. Nous allons finir le travail du Faucon, et ce sera pour lui déplaire."
Warren ne sut que dire, il posa la main sur l'épaule de son frère d'arme. Après un adieu muet, il hocha la tête. Chesterfield disparu vers les boyaux éventrés du navire.
Après un regard vers son capitaine et ami, le lieutenant Warren sauta sur le Fame's Revenge abbatant le fer de Gondor sur le crâne d'un artilleur qui était bêtement resté à sa place.
Ils avaient envahi le navire du Capitaine Spooky. Désormais ils devaient en prendre le controle. Sinon c'était la fin pour tout l'équipage de l'Arbre Blanc, qui lui ne tarderai pas à la voir venir. |
| | | Eaque, frère d'Eaquem Haut Conseiller du Roi
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~ GRIMOIRE ~ -: Gondorien -: 23 ans -:
| Mer 2 Juil 2008 - 10:54 | | Eaque se tenait sur la hune de son navire... Il était monté pour voir le déroulement de la bataille de ses propres yeux. Les elfes avec le soutient qu'il leur avait envoyé s'en sortait bien. Ils avait lancé l'abordage du cuirassé de tout les coté. Étant nombreux, ça ne posait pas trop de problème: trois a bâbord, deux a tribord, un par l'arrière... Le vent fouettait son visage, faisant voler ses cheveux blond... Et encore une fois il crus entendre une voix grave lui parler. Qu'entendait-il? Au fond de son cœur il le savait: Il se devait de tenir sa promesse et protéger l'Océan de l'homme qui voulait le contrôler... Il devait tuer Corwen, et de sa main... Un bruit de métal attira son attention: le poignard Mort-Bleu, le poignard des Océan, qu'il portait à sa ceinture bougeait dans le vent... Le message était clair... Il descendit rapidement pour se retrouver prêt du responsable des manoeuvres: "Pourchassez l'Empire. Et tentez un abordage."Puis il réunit les chevaliers de Brethil autour de lui: Nestor dit le vieux, Ajax, dit à la main lourde, Diomede, dit le dompteur de chevaux, Ajax, dit bon pour le cri de guerre, Thonin, dit l’ingénieux, Ordile, dit le beau, Sen,dit le fourbe, "Nous devons tuer Corwen. Pas le capturer, pas l'arrêter, mais bel et bien le tuer. Nous sommes des chevaliers,e t si l'ennemi demande grâce, nous devrons la lui accorder. Et Corwen le sait. Nous devons donc nous approcher suffisamment prêt et le tuer sans qu'il ait le temps de nous demander le constituer prisonnier. Voila mon idée, si jamais elle est réalisable: Ajax, vous prendrez mes armes. Ordile, vous lèverez la bannière de Brethil. Faites exactement comme si Ajax était le Prince. Durant ce temps Sen et moi devrons nous glisser par l'arrière du navire et tomber sur Corwen dans le dos. L'empereur mort, ils abandonneront le combat...."Tous acquiésserent... S'étant libéré de ses armes et de son armure, Eaque regarda le Simol se rapprochez de l' Empire Astral, qui lui même se rapprochait des navires de Dol Amroth... Jouant avec Mort-Bleue, il se savait prêt... Il tuerai, mais ne regretterai pas... Nan... Il ne le regretterai pas... Ses pensés allèrent vers son frère. Comme il aurait aimé sa présence en cet instant... Mais Eaquem était dans le Nord, en train de servir Radamanthe... Ils auraient tellement de chose à ce raconter... Si jamais il survivait à ce qu'il allait entreprendre...
Dernière édition par Eaque, frère d'Eaquem le Ven 4 Juil 2008 - 18:02, édité 1 fois |
| | | Hadhod Croix-de-Fer Ancien seigneur de la Moria
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~ GRIMOIRE ~ -: Nain de la Maison des Longues-Barbes. -: 190 ans. -:
| Jeu 3 Juil 2008 - 10:49 | | Cela n'allait pas bien du tout pour le Capitaine Volgan et ses derniers combattants sur la Chimaera: Cyr et les quelques marins restant bataillaient dur, mais un à un, ils périssaient. Les pertes que ces braves infligeaient aux pirates étaient respectables, mais, en surnombre, les forbans ne risquaient plus rien. L'Audacieux ne pouvait même plus tenter le Chant des Sirènes; il aurait fallu quelques têtes de plus encore en vie pour espérer. Il assena un furieux coup de sabre sur son vis-à-vis et l'occit, se dégageant un peu. Profitant de ce très léger répit, il courut, courut... une seule idée en tête, tuer le capitaine, une seule vision, celle d'Arshavin et de ses joues barbues fixant le nouvel arrivant, ce petit prétentieux qui pensait pouvoir l'attaquer sur son propre navire, sur sa Chimaera. Malheureusement pour Volgan, l'attachement des pirates à leur chef, par compassion ou par crainte, semblait grand. Nombreux furent ceux qui se précipitèrent à sa suite somme des chiens de chasse suivant un gibier. Le Capitaine de l'intrépide leva la main, paume en l'air: "Toi, capitaine! fit-il en direction d'Arshavin. Je te pose la question: les chefs pirates ont-ils assez d'honneur pour combattre leur ennemi seul à seul, épée contre épée?" Les sbires poursuivants, surpris, s'étaient arrêtés nets, mais qui sait s'ils n'allaient pas oublier l'honneur et le réduire au néant? Volgan savait que la piraterie répondait à certains codes, mais l'Escadre Impériale les respectait-elle. Rien n'était moins sûr. Pendant ce temps qui parut interminable, l'Audacieux crut entendre, là-bas sur son propre navire, une voix qui lui était familière, criant des ordres. Ce n'était pas Aïden pourtant... Il ne réfléchit pas mieux à l'énigme, son esprit étant tout à fait à autre chose. The Half Cop |
| | | Radamanthe Emir de Harondor - Prince d'Ithilien
Nombre de messages : 3587 Localisation : Minas Tirith
~ GRIMOIRE ~ -: Homme de Gondor -: 53 ans -:
| Jeu 3 Juil 2008 - 18:34 | | Dominant la mêlée, le capitaine Arshavin éclata d'un ricanement. Il fixa un moment ce Volgan, dans le silence interminable des cris d'agonie, des sifflements de balistes, du fracas de l'acier, mais pas sur son navire. Son visage sévère encadré de favoris fauve, ses yeux noirs plissés dans une expression sinistre, nul ne pouvait dire ce qu'allait répondre le capitaine du Chimaera, une réponse attendue par tous... Finalement, il parla. Sa voix pleine de dédain résonna sur tout le pont du deuxième navire de l'Escadre Impériale, narguant l'ensemble des marins gondoriens... "M'avez-vous seulement vu avoir besoin de plus d'une main pour occire un des vôtres ? Si vous cherchez la mort mais sans être capable de vaincre mes hommes, je crains que vous ne soyiez digne de chercher à me vaincre..."Mais, un sourire plein d'arrogance aux lèvres, on vit Arshavin lever haut son sabre finement ouvragé, et de continuer à l'égard de l'Audacieux : "Je vous ferez cependant cet honneur..."Et à ses hommes qui séparaient encore les deux capitaines d'un sanglant duel qui mènerait immanquablement l'un des deux à la mort : "Ecartez-vous, massacrez donc plutôt le reste de ses pleurnichards de marins gondoriens..."Et le maître du Chimaera s'avança à la rencontre de celui de l'Intrépide... *** Sur le navire au pavillon de l'Arbre lui-même, la réorganisation soudaine se faisait sentir. Les pirates, menés par leur seul instinct de dépravation et plus par un véritable chef, ce dernier étant à présent coupé d'eux, se faisaient plus hésitants. Tentant de rendre inutile les manoeuvres de Beregond, y parvidnraient-ils ? Il semblait que l'espoir était permi... |
| | | Hadhod Croix-de-Fer Ancien seigneur de la Moria
Nombre de messages : 3220 Age : 33
~ GRIMOIRE ~ -: Nain de la Maison des Longues-Barbes. -: 190 ans. -:
| Ven 4 Juil 2008 - 9:22 | | Qu'importe les railleries! Qu'importe les insultes de la part de ce gros rat barbu! Il fallait, pour Volgan, passer outre tout cela... Déjà, l'autre s'avançait vers lui, preuve que le capitaine de la Chimaera n'était pas tout à fait dépourvu de courage, mais possédait-il une habileté suffisante, quoique en puisse dire sa vantardise? On verrait bien... L'Audacieux avait depuis longtemps dégainé son sabre - depuis le début du combat, et bien avant même. Mais jusque là il n'avait touché que du bois et du sang impur des marins de bas étage. Cette fois l'occasion lui était donné d'assouvir sa soif, de percer le corps du second officer de l' Escadre. Il s'avança à la rencontre de son ennemi, brandissant la lame des officier Gondoriens dont l'Arbre finement gravé resplendit pendant un instant fugace dans le soleil du matin. Les deux armes se rencontrèrent en un cliquetis. Volgan entreprit alors de lancer quelques rapides estocades, fulgurantes et millimétrées, afin de de surprendre son adversaire dès le début et de voir ses capacités. Et pour les voir, il les vit... Chaque coup était paré avec talent... chaque attaque avortait. Le Capitaine de l' Intrépide avançait en silence tandis que le forban reculait, mais nul ne prenait l'avantage sur l'autre dans les échanges des coups de fer. Mais l'homme du Gondor avait l'esprit bien trop occuper par le combat pour entendre les cris derrière lui. Ses derniers marins succombaient peu à peu, tandis que les pirates en surnombre se permettaient, pour quelques-uns, à tourner la tête vers le duel, espérant la fin prochaine de ce petit prétentieux qui osait défier leur commandant. The Half Cop |
| | | Erco Skaline Ambassadeur du Rohan à Dale
Nombre de messages : 1112 Age : 31 Rôle : Seigneur d'Esgaroth
~ GRIMOIRE ~ -: Rohirrim, descendant d'Eaden -: 31 ans -:
| Ven 4 Juil 2008 - 11:29 | | Sigil commandait l’assaut de front, il criant des ordres à tord à travers, la plus par était bien exécuté mais certain pas. Mais bon c n’était pas vraiment le moment à réprimander un marin, il y avait d’autre chat à fouetter. Le lieutenant du Dringalph cria à ses hommes qui portaient les filets : -Lancer, merde quoi, je vais pas tout vous dire !Il abaissa une nouvelle fois son sabre qui causa la mort d’un corsaire. Et un de plus pensa Sigil. Il était maintenant à bord du Jour du destin. Le combat faisait rage, le pont devenait glissant, à cause du sang qui coulait à flot. C’était assez horrible, mais pour Sigil ce n’était qu’habitude(et oui ce n’est pas sa première bataille). Il aperçu brièvement Nârcissa en train de se battre et beugler des ordres à ses corsaires. Le lieutenant du Dringalph voyant que le combat était assez inégal dit à un de ses marins qui se trouvait à ses côtés : -Retourne sur notre navire et trouve moi de la poix ou tout liquide inflammable. Met les dans des bouteilles, puis débrouille toi pour y mettre une mèche et balance ces projectifs sur le Jour du destin.Le soldat répondit entre deux coups d’épée : -mais ça risque pas de vous touchez ? -Exécution ! beugla Sigil qui était nerveux, comme à la plus par des combats qu’il commande, car si ça foire, c’est tout lui qui ramasse. Et il continua à crier sur le pauvre marin : -A mes yeux les risques sont acceptables. De plus je t’ai pas demander ton avis. Alors t’y va, maintenant !Il se tut et reporta toute son attention sur le combat et se dit avec un petit sourire vivace : On ne peut pas faire d’omelette sans casser des œufs. |
| | | Berund, fils de Berunda Citoyen
Nombre de messages : 322 Age : 34
~ GRIMOIRE ~ -: Homme de noble lignée, descendant de Turin Turambar -: 83 ans -:
| Ven 4 Juil 2008 - 14:21 | | Mais le marin n'eut jamais le temps d'aller chercher ses bouteilles. En effet, Nârcissa venait d'autoriser le soutient. L'Empire se portait donc sur le deuxième flanc du navire. Les arbalétriers se faisaient une joie de tirer sur des cibles aussi simple. L'abordage commença du deuxième coté. Les troupes de choc impérial du vaisseau Amiral n'avaient strictement rien à craindre des marins de Dol Amroth. Par contre les chevaliers embarqués, eux, étaient une plaie pour l'élite de Corwen. Les troupes avançaient méthodiquement en chaque point du navire, sauf au niveau de ces chevaliers. Corwen ordonna un soutient immédiat d'une dizaine d'hommes face à cette menace... Puis il porta son regard sur la Mer... Le Simol le suivait... « Batterie tribord, en position prêt à ouvrir le feu », cria Pelleaon. Corwen pensa rapidement aux moyens de vaincre ce navire... Car il ne pourrait éviter l'abordage. « Commandant. Donnez ordre au Chimaera de nous rejoindre le plus vite possible... »Pendant qu'il parlait, la garde d'honneur, toute vêtue de rouge, se mis prés des balustrades du pont arrière pour protéger Corwen de toutes attaques... |
| | | Matthew Glandser Capitaine de la flotte du Gondor
Nombre de messages : 66 Age : 35
~ GRIMOIRE ~ -: Humaine -: 23 ans -:
| Sam 5 Juil 2008 - 19:51 | | PNJ Beregond:Beregond se tenait toujours aussi calme sur le pont supérieur qui était devenu un cahmp de bataille aux proportions héroîque. Alors qu'une flèche lui érafla la joue, Beregond continua à viser, puis, une fois sûr d'atteindre sa cible, il pressa la détente et le carreau alla se loger dans le ventre du pirate qui tomba à la mer. Rechargeant son arme alors qu'autour de lui continuait à s'agiter les pirates grimpant dans les haubans, Beregond analysa froidement la situation. Il était clair qu'elle n'était guère reluisante, le seul espoir des derniers survivants reposant sur deux marins blessés qui devaient mettre discrètement une chaloupe à la mer pour permettre de faire retraite. Il était d'ailleurs amusant de constater qu'alors que les hommes vénéraient véritablement l'Audacieux et haissait viscéralement son second, pour autant, au sein du combat, c'était le capitaine qui avait mené ses hommes dans un combat perdu d'avance et refusant de voir la réalité en face et que Beregond, surnommé péjorativement le CoeurFroid, ou le DurBête, s'attachait à sauver ce qui pouvait l'être... Etrange situation... Toujours était-il que les chances de s'en sortir, que ce soit pour l'Audacieux ou Beregond étaient des plus faibles. Sur L'Intrépide , les forces réduites de la deuxième compagnie ne combattait plus que sur trois fronts: au centre, les rameurs menés par Aïden combattaient farouchement pour empêcher l'accès aux richesses du navire, le major Grim tenait la proue de manière toujours plus difficile et Beregond à la poupe. Mais chacun des trois groupes voyaient le nombre de ses défenseurs diminuer de manière drastique, car si les pirates n'avaient plus de chef de manière temporaire, ils bénéficiaient de l'avantage du nombre et du moral, les marins gondoriens se battant pour survivre et non pour vaincre... Ne laissant rien apparaître sur son visage, le lieutenant claudiqua vers la rambarde du pont supérieur ( il avait reçu une flèche dans le mollet en rechargeant son arme) et cria en direction d'Aïden et du major Grim, mais de sa voix toujours égale: "Lieutenant, veuillez appliquer les procédures du Manuel dans les situations présentes. Major Grim, débarassez moi de ces tireurs dans les Haubans."Beregond était un lieutenant ultradiscipliné comme nous l'avons dit, et dans sa rigide morale, savoir par coeur le Manuel de la Marine Impériale était un devoir des plus sacrés. Or, face à un ennemi supérieur en nombre, qui bat pavillon pirate, le Manuel précisait de saborder le navire plutôt que de le voir tomber aux mains de pirates. Car dans une guerre entre nations, on peut toujours espérer récupérer les navires volés, mais face à un pirate, cet espoir n'existe pas... Sans s'illusionner, Beregond espérait cependant que Aïden connaisse cette partie du Manuel. Retournant à son poste de tir, ou plutôt se traînant vers son ancienne position, Beregond pria la Source qu'elle permette aux deux marins de mener leur mission à bout. Désormais, autour de lui sur le pont supérieur, il n'y avait plus qu'un archer mais blessé au bras gauche et que Beregond renvoya au corps à corps, et cinq autres marins blessés de toute part sur lesquel il en préleva un pour reprendre la place de l'archer. Son arbalète rechargée, Beregond choisit une nouvelle cible et tira, faisant mouche mais sans réussir à tuer son adversaire. Rechargeant à nouveau son arme sous les coups ennemis, Beregond put constater que le Major Grim faisait grimper ses hommes aux haubans avec des armes de tirs pour se débarasser des tireurs en hauteur, mais au prix de la perte de la proue du navire. C'était un choc dur pour tout marin mais qui était hélas inévitable dans les situations présentes. Si les deux marins ne se dépéchaient pas ou qu'un autre navire ne venait à leur aide, il en serait fait des braves gondoriens...*** Beregond n'avait pu les voir, mais les deux marins venaient d'atteindre plus ou moins facilement la chaloupe tandis que les hommes du Major Grim laissaient le terrain à l'ennemi. Les deux braves tentèrent alors de se glisser discrètement sous les bâches de protection afin de mener à bien leur mission... |
| | | Radamanthe Emir de Harondor - Prince d'Ithilien
Nombre de messages : 3587 Localisation : Minas Tirith
~ GRIMOIRE ~ -: Homme de Gondor -: 53 ans -:
| Sam 5 Juil 2008 - 22:05 | | Le capitaine Arshavin semblait se battre exactement de la même façon qu'il avait dirigé l'affrontement global contre le navire gondorien. Avec calme, et méthode. C'étaient sans doute des traits de caractère propres à cet homme au visage concentré et au regard sévère. Il se distinguait dès lors de la plupart des autres pirates, et son armement le différençiait lui aussi de ses subordonnés. En effet, le maître du Chimaera ne portait pas de ces larges cimeterres émoussés, ni de ces coutelas et poignards distordus. Non, la lame qu'il tenait dans sa main droite était un véritable sabre à l'équilibre parfait, fin, léger et tranchant. Un ouvrage elfique, à n'en pas douter. Il avait du s'en accaparer lors d'un pillage, et il avait certainement montré de grandes prouesses martiales pour l'ôter des mains de son précédent propriétaire... ou bien de subtilité.. En tout cas, l'arme ne s'était jamais esquintée, et elle croisait maintenant le fer du capitaine de l'Intrépide... Arshavin s'était contenté jusqu'à présent de parer les attaques adverses en simplicité et avec élégance. Les contres qu'il avait porté avaient été esquivé avec tout autant de facilité. Le commencement de ce duel ne voyait que deux adversaires qui se testaient, avant de se lancer dans le véritable et éprouvant affrontement. Soudain, il sembla que le temps des formalités soit révolu. Le rythme saccéléra brusquement sous l'impulsion de deux feintes suivies du pirate, forçant son adversaire à se stopper net alors que le début du combat avait vu un gondorien forçant sans cesse son ennemi à reculer. Les attaques, parades et contres s'enchâinèrent alors à une vitesse remarquble. Si le commencemant avait vu quelques tentatives isolées entrecoupées de brefs moments de contemplation, il semblait maintenant qu'il n'y ai plus de répit entre les capitaines. Brusquement, Arshavin sembla partir vers un coup peu honorable dans les jambes de l'ennemi, mais, d'un geste désinvolte quoi que trop précipité, il remonta brusquement sa lame, effleurant la joue de Volgan. "Le premier sang est pour moi, capitaine..."La coupure, bien que superficielle, avait en effet fait apparaître une trace rouge sur le visage du défenseur de l'arbre blanc. Et, sans laisser de répit, Arshavin réattaqua... *** Sur l'Intrépide, les pirates semblaient se délecter de la facilité des combats à l'avant du bateau. Assouvissant leur soif de combats, de violence et de sang, ils se concentraient particulièrement sur la proue du navire, dont la faible résistance serait vite balayée par les pillards au comportement tranchant de celui de leur meneur. Néanmoins, les archers et arbalétriers placés en hauteur au détriment des défenseurs du pont sembalient porter leurs fruits. Les flèches et carreaux habilement tirées arrachèrent la vie de nombreux forbans, soulageant quelque peu les guerriers survivants... Mais serait-ce assez ? Un navire allait-il secourir l'Intrépide, ou faudrait-il recourir aux stratagèmes du leituenant pour survivre ? Ou faillir quand même...
Dernière édition par Radamanthe le Dim 6 Juil 2008 - 12:24, édité 1 fois |
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