La Taverne de Mazarbul

Après son voyage au pays des hommes, Aelita prit le chemin de retour pour retourner à son pays natal, le Rohan et plus précisément à Edoras. Quand elle rentra enfin au pays, elle commença par rendre visite à ses deux maîtres d’armes, Bjorn et Faël qui commençait à se faire vieux sous leur armure de garde de la milice. Elle leur conta ses découvertes, ses voyages et ce qu’elle avait apprit sur l’empire noir. A la suite de quoi, elle leur expliqua que l’ennuie désormais la guettait, que les voyages en solitaire commençaient sérieusement à devenir lassant pour elle et que les nouvelles menaces qui grondaient pour le Rohan devenait insupportable pour elle : Son enfance perturbée mais enrichissante, lui apprit à aimer le pays des seigneurs chevaux et ses citoyens. Désirant plus que tout au monde sauvegarder ces terres fertiles qu’elle a toujours parcourus avec plaisir au dos de son étalon, elle ne pouvait pas imaginer le voir disparaître. Son inquiétude la conduisit à se préoccuper du sort du roi si les monstres maléfiques su seigneur des ténèbres venaient jusqu’à son propre royaume. Elle prit alors une décision, le tournant de sa vie peut-être, le plus important : Elle se rendrait auprès du roi et lui donnerait sa fidélité, son honneur et son arme. Acceptant sa requête, elle fût adoubée en tant que membre de la garde royal du Roi qu’elle appréciait beaucoup. Durant les quelques mois qui suivirent son adoubement, elle servit son roi du mieux qu’elle le pouvait mais regrettait parfois la liberté de pouvoir se rendre à son grés là où bon lui semble. Le roi lui offrit de partir en reconnaissance pour lui, dans les cités et les empires voisins de son pays, afin de lui apporter des informations si elle en obtenait, à propos du monde malfaisant de notre monde. En quelque sorte, il lui donnait un prétexte pour la laisser se reposer, elle était serviable et elle protégeait son roi comme si il s’agissait d’un membre de sa famille avec une grande loyauté. Jugeant qu’il n’avait pour le moment rien à craindre de l’ennemie, il la laissa partir et la rappellerait à l’ordre lorsque le temps viendrait.

Aelita voyagea alors jusque Minas Tirith, l’une des cités qu’elle avait le plus apprécier lors de ses voyages. Elle apprenait à vivre avec les citoyens de la cité blanche, en n’en apprenant chaque jour d’avantage sur son fonctionnement et sur son roi, Méphisto. Depuis quelques jours, elle vivait à la taverne de Mazarbul. Il était l’heure pour elle de descendre boire une bière après avoir travaillé sur des cartes de l’architecture de la ville, afin de se détendre un peut. Ne pouvant plus supporter le comptoir crasseux de cette taverne, elle commanda sa bière et l’emporta avec elle en allant s’asseoir à la table voisine de deux hommes ainsi qu’une femme aux oreilles pointues. Elle ne porta aucune attention à ce trio, lorsqu’elle entendit parler l’un des deux hommes d’une chasse au trésor. Les oreilles aux aguets, elle écouta la conversation de ses voisins attentivement. L’un des deux hommes était un cavalier du Rohan, à en juger par son armure et les paroles de la jeune femme, l’autre elle n’en avait aucune idée, quand à la jeune femme, elle se présenta en tant que chasseuse de trésor. Après avoir discuté quelques instants, ils prirent le chemin de la porte, près à partir ensemble à la recherche de ce Asthrabal. Elle se leva quelques instants plus tard, lorsqu’elle découvrit un homme légèrement assommé devant la porte de la taverne. Au loin, s’éloignait les deux hommes mais la jeune femme n’était pas encore sortit de la taverne. Deux options s’offrait à elle, dire à la jeune femme qu’elle avait surpris leur conversation et que l’offre que l’autre elfe lui avait proposé quelques minutes auparavant l’intéressait elle aussi, où ne rien dire et faire demie tour pour se remettre à ses occupation… elle choisit une option différente.. le cavalier du Rohan, il serait sans doute plus simple de s’intégrer dans leur groupe en commençant par parler au Rohirim en premier. Elle marcha rapidement pour remonter l’allée jusqu’aux deux hommes, et elle s’arrêta à quelques pas derrière eux. Elle interpella le cavalier, d’une voie suffisamment distincte pour qu’il l’entende :

"Cavalier du Rohan !"

N’attendant pas qu’ils s’arrêtent, elle marcha rapidement et passa devant-eux pour les empêcher de continuer leur chemin. Elle ne reconnût pas le cavalier qu’elle aurait peut-être put croiser à Edoras où ailleurs. Elle ne choisit pas de dévoiler son identité, préférant se faire passer comme une simple voyageuse, pour être plus tranquille et pour être considérer comme une simple civil.

"Pardon de vous importuner voyageurs… je suis Aelita Aetil’ilan, tout comme vous je suis en voyage et j’ai surpris votre conversation dans la taverne. Pardonnez mon indiscrétion, mais l’offre que vous avez faite à ce cavalier et la jeune femme, m’a paru plus qu’appétissante… je n’ai aucun argument à vous donner pour me permettre de vous accompagner, sachez seulement que je dispose d’un cheval et d’une arme pour vous accompagner dans votre quête. Je suis originaire d’Edoras, et j’ai reconnu à votre armure, le blason de cette belle province qu’est le Rohan."

[HRP]Caranthir Elensar est un elfe, pas un homme [/HRP]

Alors qu'il se dirigeait vers la grande porte de Minas Tirith, Eodod entendit un appel :

"Cavalier du Rohan !"

Avant qu'il n'ai eu le temps de se retourner, une jeune femme passa devant lui et s'arrêta.

"Pardon de vous importuner voyageurs… je suis Aelita Aetil’ilan, tout comme vous je suis en voyage et j’ai surpris votre conversation dans la taverne. Pardonnez mon indiscrétion, mais l’offre que vous avez faite à ce cavalier et la jeune femme, m’a paru plus qu’appétissante… je n’ai aucun argument à vous donner pour me permettre de vous accompagner, sachez seulement que je dispose d’un cheval et d’une arme pour vous accompagner dans votre quête. Je suis originaire d’Edoras, et j’ai reconnu à votre armure, le blason de cette belle province qu’est le Rohan."

"Je suis bien content de voir une autre personne de notre cher pays qu'est le Rohan. Je me nomme Eodod Seland et voici mon nouveau compagnon de route, l'elfe Caranthir Elensar. La femme elfe qui arrive se nomme Faliaë. En ce qui me concerne, je suis tout à fait d'accord pour que vous nous accompagniez, car il est toujours plus plaisant de faire des voyages en étant nombreux. Qu'en pensez vous, Caranthir Elensar?"

[HRP]Merci d'avoir répondu si vite. Si tu as des questions ou si tu veux un résumé de ce qu'on a fait n'hésite pas par mp.[/HRP]

Les 3 compagnons d'armes étant maintenant sortit de la taverne. Le propriétaire voyant l'elfe assomé l'un des deux ivrognes qui alla gentiment s'endormir sur le bar et ne plus poser de problème, décida d'esquisser un sourire et, voyant le frère grincer des dents, repris en main son arbalète et menaça à nouveau l'ivrogne lui priant de repartir du bar en emportant son frère blottit dans les bras de Morphée. Caranthir avait vite disparu de la taverne et Sinik pu voir devant lui le jeune cavalier du Rohan s'excuser pour "son ami" et repartir à sa poursuite. Eodod était juste sur le seuil de la porte quand il posa sa main sur l'épaule de l'elfe et le réprimanda comme un enfant.Caranthir souriait à ce que disait le cavalier.

"Cher compagnon, j'ignore la raison de votre geste, mais il faudra se montrer moins impulsif par la suite si vous voulez continuer l'aventure avec moi. J'avoue n'apprécier qu'à moitié votre geste, qui ne m'attirera pas la faveur du tenancier si je dois revenir dans cette taverne.

Sur ce, je vous propose d'aller récupérer nos chevaux et de nous mettre en route"

-"Je voulais juste venger mon Luth, cela est tout à fait normal. Si vous voulez en savoir plus, je serais ravis de vous le narrer, mais pour l'instant je vous propose que l'on s'éloigne un peu de cet endroit avant que le frère accro à la bouteille d'eau de vie ne se rende compte que son frère s'est prit un violent coup sur le crâne et s'est endormi doucement sur le comptoir et décide enfin de devenir le frère vengeur de l'humiliation que j'ai faite à l'encontre de son frère peut être de sang mais cela ne nous concerne pas.." lui rétorqua-t-il en souriant.

Puis vint une jeune femme. Une femme totalement étrangère au groupe. Calanthir se retourna, ses yeux grandirent. C'était l'une des rares fois où il put voir cela. La beauté de cette femme était bien supérieure à celle des hommes. Sa beauté était incroyable selon notre ami elfe. Il n'avait vu une telle chose que très rarement malgré son grand âge. Ses cheveux était d'un noir si intense que les ténèbres de Melkor n'étaient rien en comparaison. Ce noir intense avait certainement la capacité de noyer l'esprit de n'importe quel humain. Ses yeux d'un doux violet était comme le reflet d'un champs de fleur de violettes baigné de rayons de soleil matinaux. Caranthir Elensar allait maintenant entendre le son de sa voix.

"Pardon de vous importuner voyageurs… je suis Aelita Aetil’ilan, tout comme vous je suis en voyage et j’ai surpris votre conversation dans la taverne. Pardonnez mon indiscrétion, mais l’offre que vous avez faite à ce cavalier et la jeune femme, m’a paru plus qu’appétissante… je n’ai aucun argument à vous donner pour me permettre de vous accompagner, sachez seulement que je dispose d’un cheval et d’une arme pour vous accompagner dans votre quête. Je suis originaire d’Edoras, et j’ai reconnu à votre armure, le blason de cette belle province qu’est le Rohan."

Eodod lui répondu rapidement et sans hésitation. Etait-il bien un homme? Même Carnathir en tant qu'elfe était très surpris d'une telle femme humaine.

"Je suis bien content de voir une autre personne de notre cher pays qu'est le Rohan. Je me nomme Eodod Seland et voici mon nouveau compagnon de route, l'elfe Caranthir Elensar. La femme elfe qui arrive se nomme Faliaë. En ce qui me concerne, je suis tout à fait d'accord pour que vous nous accompagniez, car il est toujours plus plaisant de faire des voyages en étant nombreux. Qu'en pensez vous, Caranthir Elensar?"

Caranthir le regarda dans les yeux puis posa doucement son regard sur la nouvelle venue.

-"Enchanté de vous rencontrer Aelita, si je peux me permettre de vous nommez comme cela bien entendu.
Je me nomme Carnathir Elensar, disons que je suis également un voyageur tout comme vous, mais en plus d'un cheval et d'une arme je possède en prime un outil fort utile pour le bonheur des oreilles des personnes que je rencontre sur ma route. Par contre j'ai remarqué que vous êtes arrivée par les escaliers du 1er étage de l'auberge. J'espère que vous avait prit le soin de payer d'avance votre chambre. Car sinon à part si vous avez un talent inné pour être oublié des taverniers, celui-ci même viendra certainement vous réclamez son dus.
Ecoutez, venez avec nous. Faites le voyage jusqu'à Lossarnach et faisons connaissance, ainsi je pourrais choisir si oui ou non je vous en direz plus sur cette requête que l'on m'a confié. Vous n'avez rien à perdre, juste peut être gagner une belle journée de voyage dans la plaine sous un soleil doux et chaleureux. Alors? Qu'en dites vous?"

Aelita fut satisfaire de la réponse donnée par le cavalier du Rohan qui acceptait sa demande mais demander l’avis de son compagnon. En même temps qu’il lui parla, il lui présenta son voisin ainsi que la jeune femme, les trois compagnons se nomme donc : Falaë, Caranthir Elensar et Eodod Seland. Comme elle l’avait prévu, elle ne dévoila pas son identité et ne portant pas son armure habituelle de garde royal, Eodod ne put l’identifier. Habillée d’une longue robe de voyageur kaki foncé, elle cachait dessous son armure légère de cuire noir ainsi que sa dague. Seul son visage et ses mains étaient à découvert, son cou était lui aussi caché par son écharpe en lin préféré. Ne portant pas sur elle son arc ainsi que son carquois et ses flèches, qu’elle avait laissé dans sa chambre dans la taverne de Mazarbul. Lorsque l’elfe parla, elle le regarda intensément dans les yeux écoutant attentivement chacune de ses paroles. Il acceptait lui aussi sa demande mais semblait un peut plus perplexe que le cavalier, il n’était pas encore très sur de lui dévoiler l’objet de sa mission. Elle n’en parut pas offensée, elle ne connaissait pas ces personnes, ils ne pouvaient pas avoir confiance en elle en un clin d’œil.
Quand il eu terminé, elle se prononça enfin en déclarant :

«Très bien ! Mais vous comprendrez que je ne garde pas tout mon arsenal sur moi. Je vous rejoindrez à la porte de la cité dans quelques minutes, je n’ai pas besoin de régler ma chambre si nous revenons ici, je vais rester à Minas Tirith quelques jours supplémentaires.. »* Je ferai quand même mieux de prendre des précautions…*

Aelita passa derrière eux, se retrouvant dos à dos avec eux et elle déclara sans les regarder :

«Ne m’attendez pas à l’écurie, mon cheval est déjà prêt je comptais sortir de Minas Tirith avec lui dans une heure.»

Aelita ne comptait pas retourner directement à l'auberge, elle voulait se balader un moment en ville avant de partir. Elle marcha alors rapidement devant les jeunes gens et elle s'engouffra dans les ruelles.

«Très bien ! Mais vous comprendrez que je ne garde pas tout mon arsenal sur moi. Je vous rejoindrez à la porte de la cité dans quelques minutes, je n’ai pas besoin de régler ma chambre si nous revenons ici, je vais rester à Minas Tirith quelques jours supplémentaires.. »

«Ne m’attendez pas à l’écurie, mon cheval est déjà prêt je comptais sortir de Minas Tirith avec lui dans une heure.»

Aelita Aetil'ilan était repartit dans la taverne. La porte de la taverne était entre ouverte, mais Caranthir ne pouvait rien voir excepté les quelques clients qui étaient restés rejoindre leur table, mais étant un elfe notre vagabond avait une ouïe surdéveloppé et il pu ainsi entendre tout ce qui s'y passer dans les moindre détails. La jeune et belle humaine parler à Sinik, le propriétaire qui maintenait dorénavant son arbalète sous le bras puisque le deuxième frère était également entrain de dormir sur le comptoir, on pouvait y voir un long filé de bave dégouliné jusqu'au plancher. Le propriétaire aquiesca et Aelita lui posa quelques pièces sur le comptoir. Le bruit des pièces d'argent et d'or était très familière à notre ami avec les siècles et même les milénaires qu'il foulait Arda de ses pieds. A ce moment là Caranthir sourit.

*Hum très orgueuilleuse cette demoiselle pour m'avoir menti au sujet de sa chambre soit disant payée. Intéressant...*

Puis il remit sa capuche brune en place et s'en alla accompagné de ses deux nouveaux compagnons. Tout en marchant il leur parla d'une voie clair, douce et emplit de sagesse.

-"Je doit allé chercher mon "ami" à l'écurie devant les portes. Si vous avez quelque chose d'autres à faire nous pouvons nous attendre dans une heure devant les portes. Personnellement je n'ai pas grand chose à faire dans cette cité, je m'y était arrêté uniquement pour me restaurer et me reposer quelques heures avant de reprendre la route vers Lossarnarch."

Hrp : D'accord bien retenu et merci !


Faliaë quitta la taverne quelques temps aprés ses compagnons, elle avait vu Caranthir Elensar frapper un des frères ivrognes et partir aussitot pour ne pas avoir à encourir la colère de l'autre frère, le cavalier du Rohan s'excusant de l'acte que l'elfe venait de commettre et restant surpris par la réaction que Caranthir venait d'avoir, Faliaë resta dans la taverne pour s'assurer qu'il n'y ai pas de problème, le tavernier était surpris par le geste de Caranthir mais ne semblait pas trop lui en vouloir. Le troubadour expliquant au soldat la raison de son geste devant la taverne.
Faliaë partit aprés quelques minutes rejoindre ses compagnons qui étaient plus bas dans la ruelle, elle remarqua qu'une femme était en train de leur parler, elle lui était totalement étrangère elle ne réussit pas à reconnaitre les origines de cette femme mais devina, aprés s'être rapprochée, qu'elle était humaine et semblait être une guerrière, peut être était-elle une soldate de Minas Tirith. Caranthir était en train de proposer à la jeune femme de les rejoindre quand Faliaë arriva à leur niveau, elle appris que la jeune femme se nommait Aelita Aetil'ilan et semblait être intéressé par leur quête. Aelita accepta l'offre de l'elfe et décida ensuite de faire un petit tour à la taverne de Mazarbul afin de régler quelques derniers détails, Caranthir, lui, expliqua qu'il devait juste aller chercher son cheval à l'écurie tout comme Eodod mais celui ci devait aussi aller chercher son équipement. Le cavalier du Rohan interrogea Faliaë sur ce qu'elle comptait faire.

-Tout d'abord je dois passer m'acheter quelques objets dans la boutique que j'ai repérer plus bas et ensuite il me faudra moi aussi récupérer mon jeune cheval, je vous propose donc de nous rejoindre dans une heure à la grande porte comme l'avait dit Caranthir Elensar.

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RESYNCHRONISATION
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Le maître assassin poussa la porte suivit de son frère, Marade, Dalamyr et Taltos. Celui-ci referma la porte. L'Auberge etait vide hormis Sinik et une fille de joie qui travaillait ici aussi en tant que serveuse. Le Hîr-Dae salua son partenaire et lui demanda des nouvelles de la Cité. Apparement beaucoup de choses avaient changé depuis l'Exil du Maître. Les Assassins prirent la tables pres de l'âtre et lorsque la jeune femme qui ne devait pas avoir plus de 22 ou 23 étés vint leur demander ce qu'ils prendraient, elle était vêtu d'un corset au décolleté plongeant et d'une robe couleur verte pâle. Hasharin lui repondit:
- Amenes-nous du Sanglier pour tous, accompagné d'un plat de pommes de terre. Et avec ça s'il te plait apporte nous une bouteille de Vin du Harad et une cruche d'eau ainsi que du pain complet et une Tomme du Gondor. Merci. Les amis c'est moi qui offre.

L'assassin se mit au fond du siège et s'adressa à Dalamyr:
- Alors qu'elles sont les nouvelles de la Cité que tu voulais me dire? Racontez moi ce qui s'est passé pendant mon absence. D'ailleurs je n'ai pas d'idées de combien de temps je suis parti, 1 an ou 2?


// 510£ payer par Hasharin qui vont à la Guilde des Ombres//

Dalamyr n'avait pas remis les pieds dans leur établissement depuis des lustres, il faut dire qu'il n'avait pas eut beaucoup de temps pour lui durant ces 5 ans. Il salua son veille ami, Salik, puis s'assit face à son Maître. Il le laissa commander à une des filles de joie de la Taverne, donc des Ombres. L'assassin sourit à la jeune fille, puis lorsqu'elle fut repartie, il entendit la question d'Hasharin et répondit:

-Ha...Tu n'es pas parti seulement 2 ou 1 années, mais bien 5! Et tout te raconter serait impossible, mais ce qui est sûr c'est que tu as manqué pas mal d'évènement.

Il fit une pause pour boire une gorgé de vin.

-Lorsque je suis revenu du Mordor, j'ai du usé des contactes de Salik pour entrer car la ville était fermé à cause d'une épidémie qui sévissait dans les bas quartiers. Un certain Warin voulait tout brûler et le Comte Sora avait pris les armes pour défendre les bas quartiers. Je dois dire que la guerre civil était proche. Un certain Daix, réussit à amener la preuve que Warin était de mèche avec les bandits qu'il tuait par après. En passant, je pense que l'on devrait approcher ce Daix, il possède plusieurs bonnes qualités....Bref, suite à ça, les mercenaires de Sora attaquèrent le manoir de Warin et réussit à mettre bas ce pseudo justicier.... Il fallut encore quelques temps pour que tout revienne dans l'ordre...Et c'est le seul évènement digne de ce nom qui se passa dans la cité blanche.

L'Ombre degustait sa part de sanglier en y ajoutant des tranches de pains avec du bon fromage de Gondor, tout en écoutant les dires de son partenaire. Un assassin dans la cité... ce n'était jamais de tres bonne augure, il valait mieux l'avoir à l'oeil et l'enrôler.
- Je suis parti 5 ans, je tiens à m'excuser pour ma si longue absence les amis. Donc pendant ma période d'absence la cité à été un peu mouvementé. Qu'avez vous fait pendant ce temps?

Alors Danakil pris la parole pour repondre à son frère:
- Nous avons veillons à faire tourner l'Antre, nous nous sommes entraîner avec Marade et je pense meriter que nous meritons de pouvoir passé les tests pour devenir Assassins si vous le voulez bien maîtres. Mais nous verrons ca plus tard, raconte nous ton histoire durant ces 5 dernières années.

Le Maître assassin enregistra la demande de son frère et affirma qu'il allait leur faire passer des tests, il réfléchit un instant, et fini de saucer son assiette. Enfin il appella la serveuse:
- Apportez nous un verre de Rakija pour tous, et une part de Tartes au Pommes aussi chacun.
La prostituée serveuse rapporta la commande et retourna auprès du bar alors Scorpion entama son discours:
- Je suis parti de la Cité blanche jusqu'aux contreforts du Mordor, j'étais habité par un songe qui me semblait si réel qui me conduisait vers Cirith Ungol mais j'ai resisté à l'attrait , qui était excercé par un ancien ami a moi, Morgoth je crois, un elfe noir. Mais arrivé aux contreforts du Mordor donc, j'ai pris la route du Sud et je suis parti vers mon Pays natal, le Harad et dans le désert un peu à l'est de mon Village natale, où notre père a été tué, à une trentaine de lieu environs, je me suis bati une case et avec Umbre et Fitz, et mon cheval, j'ai vécu en autarcie, j'avais creusé un puit et j'arrivais à chasser les gazelles et autres bestioles du coin. Lorsque je croisais une caravane de marchand, j'achetais des epices et des nouvelles du monde. J'ai même du massacrer des marchand d'esclaves qui voulait m'embarquer. Tiens ca me fait penser, pourquoi dans Dîm-Bar j'ai cru sentir une présence feminine? On avait bien dit pas de fille de joie dans notre Antre, je veux des explications.... Quoiqu'il en soit, au Harad, j'ai énormément refléchi et chaque nuit, mon songe revenais et donc je pense que je ne vais pas tarder à aller en Mordor. Et par la suite, la cité qui se trouve non loin de l'endroit où Danakil et moi habitions étant petits, est dans un desordre total, et je pense que nous devrions agir la-bas et peut etre tenté de faire une prise de pouvoir. Ainsi nous aurons une emprise et pourrons nous étendre. Les Ombres rentreront dans l'Histoire. Il nous faudrait beaucoup plus de monde afin de contrôler la Terre du Milieu en aidant tous les dirigeants absolument tous. J'ai deja contacté plusieurs haut placé chez les hommes, les nains et les elfes. Nous allons egalement acheter un navire avec l'argent de la Guilde. pour mieux nous mouvoir en mer. Des questions?

Ce fut logiquement Marade qui prit la parole pour répondre de ce qui était de la présence féminine, vu qu'il en était la cause première:

-Maître, la présence que vous avez sentis est bien celle d'une femme, mais pas celle d'une fille de joie....J'ai recruté à Umbar, une fillette de 10ans, en qui j'ai vu certaine qualité que l'on recherche....De plus personne ne fait attention à une petit fille...Depuis 5ans, la Guilde la forme à devenir un de nos membres actif...Et

Cette fois Dalamyr coupa la parole à son ami:

-Nous avons aussi à comptoir au Harad, c'est lors sa création que Marade a acheté Shannah, la fille. Mais l'on l'appel en général Sha'. Je tiens juste à te dire que cette fille a un certain potentiel...Donc ton idée d'agir au Sud a déjà débuté dans un sens. Pour le navire, je pense que Salik trouvera une bonne occasion pour nous...

Il fit une pause, pour rependre son souffle, puis continua:

-J'avais aussi pensé tenter d'entrer dans les milieux riches de la cité blanche, sous le nom de Sinik. Sa pourrait nous être d'une utilité d'avoir un homme au courant des actions de la bourgeoisie... Qu'en penses-tu?

Hasharin pris le temps d'enregistrer les informations que venait de delivrer Marade et Dalamyr et enfin il leur repondit:
- Ainsi donc nous avons deux nouveaux arrivant chez les Ombres. C'est très bien, et une jeune femme ca apportera un peu de gaieté parmis nous. Je verrais comment elle se debrouille cet après-midi. Salik! Salik vient voir. Je te charge d'aller acheter une jonque au port de Minas Tirith aujourd'hui ou demain. Tu la prendra pas trop grande, juste assez pour qu'on puisse la manoeuvrer, on fera appelle à tes talents de marin. Et pour ce qui est d'infiltrer la haute bourgeoisie, tu as carte blanche Sinik, mais évite juste de tuer trop de monde hein? Je te connais. Et en parlant d'infiltrer, il faudrait qu'on arrive à soudoyer un homme gradé dans l'armée de Minas Tirith qui puisse nous délivrer des informations sur les agissements de l'armée et de la milice dans la capitale. Sinon c'est très bien qu'on est un homme implanté au Harad. Cela falicitera notre prise contrôle. Sinon je voudrais vous proposer l'achat de médaillon où se frapper l'effigie des Ombres. Et ce petit medaillon on le poserais sur le cadavre de nos cibles. Qu'en pensez vous?

Hasharin fit un cul sec avec son verre de Rakija, et mangea sa part de tarte aux pommes. Il sortit sa bourse et appela la serveuse pour regler. Il versa l'argent, mais au final cet argent revenait aux Ombres. L'assassin se dit qu'un de ses quatre il faudrait qu'il passe une nuit avec cette serveuse.

Dalamyr acquiesça rapidement et retenue la plupart des informations dite durant ce long discoure. Il sourit lorsque Hasharin lui intima de ne pas trop tuer de personne. C'était ironique de dire ce genre de chose à un assassin.
Il ne pouvait qu'être d'accord avec le faite de corrompre un gradé, cela pouvait être d'une grande utilisé. Il finit par dire:

-Je vois que les choses bougent. Sa fait plaisir! Nos activités étaient mortes avant ton retour....Pour mon infiltration n'aie crainte, j'essayerai de ne tuer personne.

Il finit à son tour son verre, puis acheva:

-Pour les médaillons, je suis totalement pour, ça ne peut que nous rendre plus fort et plus craint. Mais il faudra faire d'autant plus attention, vu que nous signerons nos assassinats...le risque de représailles sera plus grand....

La soirée était finie, c'était en tout cas le cas de Dalamyr qui avait demain un entraînement à faire. Un entraînement basé sur l'endurance. Il se leva et s'excusa auprès de ses amis de sa rentrée si rapide, mais aucun ne pouvait en vouloir à l'assassin qui voulait être en forme...

Tous les assassins quittèrent l'Auberge vers des destinations différentes, tous hormis Hasharin qui resta assis à table. Il salua ses compagnons et invita Salik a s'assoir. Celui-ci s'exécuta et s'assit en face de son employeur:
- Je t'écoute Scorpion.
- Tout d'abord le repas était délicieux comme toujours. Mais voila, la Guilde aurait besoin d'un navire. Tu t'y connais mieux que nous, et j'aimerais que t'aille acheter un navire au port de Minas Tirith.
-Quel sorte de bateau tu aimerais avoir? Tout depend si tu compte enrôler un équipage. Je pense que je pourrais arriver a le diriger et à etre un bon capitaine mais il faut qu'on soit assez nombreux quand même pour le manœuvrer.
- Un bateau qui puisse remonter le fleuve, leger et résistant qui puisse aller en mer non loin des côtes. J'aimerais qu'avec ce bateau je puisse aller de L'extrême Harad jusqu'aux havres Gris.

- hum... Une jonque? Oui une Jonque. Il y a une grande cale. Elle pourrait se diriger avec seulement 4 hommes en plus de moi même. Et c'est assez resistant. Je pense que ca doit être ca.

- Bien donc voici un peu d'argent pour que t'aille acheter ca. Je veux que tu l'achetes dès aujourd'hui et rapporte le surplus d'argent.

Hasharin se leva et quitta l'auberge en direction de Dîm-Bar apres avoir laissé une bourse à Salik. Il allait voir qui était cette petite recruté recement. Salik partit aussitôt à cheval pour le Port de Minas Tirith.