Unirann

Le Nom: Unirann

Critères Physiques :

Unirann homme d'1m74 aux larges épaules, est une personne charismatique, aux longs cheveux noirs. Ses yeux sont un océan de glace où nombreuses sont les femmes qui s’y sont plongées, et peu souhaitaient ressortir des ses yeux bleus tirant sur le gris. Même si dans le font de ses yeux, chaque femmes peuvent voir l'homme froid qu'il est devenu. Après avoir pleuré sur sa femme tant de mois.
Or il a un visage assez ordinaire. Il ne porte pas la barbe, qu'il rase tous les jours. Tout son corps est entaillé par de multitude cicatrices plus ou moins visible. Il en a une seule sur le visage, qui descend du dessous de l'œil pour finir un pouce sous son oreille droite.

Il porte sur lui une chemise blanche sans manche, qu'il porte sous une tunique en tissu aux différentes teintes de marrons également sans manche. Il la met le plus souvent pendant des entrevues avec ses différents employeurs, ou quand il na pas de missions à exécuter. Au cour de ses différentes missions il porte une tunique en cuir qui recouvre que son buste.
Unirann porte son épée le plus souvent dans le dos, poignée du côté gauche.


Votre Habitation:

Tout ce qu'il a il le porte sur lui. Quand il a besoin d'avoir un toit sur sa tête il loue une chambre d'auberge, ou il va rendre visite à une de ses connaissances. Mais le plus souvent il couche sous le ciel étoilé. N'ayant pas peur des coupes gorges. Et comme il dit « Si je dois mourir aujourd'hui ce n'est pas un peu plus de vigilance qui me sauvera. »

Votre histoire:

Un homme torse nu était étendu au pied d'un lit, avec une vilaine bosse sur sa nuque et de multiple entailles ensanglanté sur tout son corps. La plus importante sur le visage avait laissé couler du sang maintenant noirci, sur toute sa joue et dans son oreille. La chambre était jonchée de meubles tous cassés, et une fumée grise rentrée par le dessous la porte. La pièce commençait à être complètement remplie de cette fumée. Contrairement à ce qu'un homme aurait pu voir par la fenêtre pleine de buée, il n'était pas encore mort, son torse bougeant encore à l'allure d'une respiration lente. Mais même si il était encore vivant s'il ne se réveillait pas dans les instants qui suivraient il ne vivrait pas longtemps.
Il ouvrit lentement ses yeux gris, pas encore conscient de ce qui l'entourai.
Des images se remettaient en place dans son esprit:

-Tilith!

Il se releva plus rapidement qu'il ne l’avait jamais fait. Des dizaines d'émotions se manifestant en même temps dans son esprit embué. Prenant la poignet de la porte, il cria un son rauque, et la lâcha, la peau arraché de sa paume était collé à la poignet. Elle était brulante. Sans réfléchir un instant de plus il se drapa d'une couverture sur le sol, et défonça la porte avec son épaule gauche. Il tomba dans une véritable fournaise où tout était en feu, les rideaux, les chaises, la table et les meubles, tout! Mettant la main devant la bouche il se fraya un passage dans cet enfer. Une toise, deux toises, trois toises, quatre toises. Enfin sortit et tout ce qu'il avait vu précédemment n'était rien à ses yeux. Une maison ça se reconstruit, les meubles aussi, le tissu se rachète... Mais la... Une femme comme elle ça ne se fabrique pas ni ne s'achète. La femme de sa vie était étendue là, les habits déchirés, la jupe remontée aux hanches, la gorge écorchée comme si elle n'avait était qu'un vulgaire animal. Il s'approcha d'elle en boitant lentement, les yeux en feu, les larmes dégoulinant de ses joue:

-Non! Non! Non! Noooooon! Pas elle! Tout mais pas ma femme!

Jamais il n'avait encore ressenti de tels sentiments. De la tristesse bien sûr, mêlé à la honte, la honte de ne pas avoir sauvé sa femme, son amour, sa vie. Comment pourra-t-il vivre après ça. Il fini les derniers pas à quatre pattes, regardant cette femme qu'il avait tant aimé, une femme bafoué, et tué dans la moindre indifférence de son meurtriers. Son visage était crispé dans un hurlement vint pour qu'on vienne l'aider. Elle était recouverte de poussière de la tête aux pieds, ses larmes avaient creusé des sillons dans la poussière de son visage. Ses yeux vert était encore ouvert, mais il ne verront plus jamais rien. Il la prit doucement dans ses bras, la berçant, et pleurant:

-Excuse moi, pitié excuse moi. Pitié, mon amour.

Après une, ou deux, ou encore trois heures, peut-être une demie journée à se lamenter. Il lava sa femme, la recouvrit de la couverture qu'il avait revêtu il lui sembla des années, creusa une tombe à main nue, et le plus délicatement possible il y allongea sa femme. Après un dernier regard sur son visage il recouvra sa tête de la couverture dont il l’avait drapé. Il reboucha la tombe avec quelques larmes. Il s'accroupit au prêt de la tombe, laissa couler encore quelques larmes. Enfin il se leva se dirigea vers la maison maintenant éteinte, prit un morceau de boit par terre. Et avec une fureur dans les yeux il se dirigea vers la ville la plus proche, ou il trouvera ces être aussi abominable qu'un orque, et ou il les tuera.

Caractère:

Unirann est un homme d'un calme rarement touchable. Homme d'action, il est toujours prompt aux combats dans lesquels il s'est engagé. Il a rarement échoué un de ses contrats, menant ses quêtes jusqu'au bout. Il montre rarement ses sentiments aux autres. Il reste un homme très mystérieux, qui reste évasif sur son passé, dont on devine a dû être très mouvementé.

J'attends maintenant qu'un modo accepte :P

Fiche très spéciale en tout cas, puisque l'histoire ne couvre que très peu de temps dans sa vie, mais puisque tu dis à la fin que Unirann reste évasif sur son passé et mystérieux, je pense que ta fiche est à l'image de ton personnage, et ça ne me déplaît pas. Puisque les 25 lignes y sont largement, c'est bon!

Bonne continuation, Unirann alias Bargonno!

Je pense que maintenant je peux commencer.

Oui tu peut commencer!
Bon jeu!