Kerin Taneros Veru Feürl

Eh ouais, encore un de la famille ^^

Nom : Kerin Taneros veru Feürl

Vrai nom : yavë (fruit) melessë (amour) >> Yavëmelessë (fruit de l’amour)

Race : mi-homme mi-elfe Nandor

Description physique : Kerin est grand, c’est normal c’est un elfe, mais il est aussi petit, c’est normal c’est un humain. Disons que sa taille est relative à votre propre origine. Pour rester objectif ; il mesure 1m89.6. Il a les cheveux noirs aile-de-corbeau, en ce moment relativement courts, et des yeux d’un vert pur, perçant. Son visage est un mélange étonnement séduisant entre les traits fins des elfes et la beauté plus dure et sauvage des humains. Fin et élancé, il a la musculature endurante plutôt que forte. Plus loup que ours.

Description mentale : Cynique et désabusé. Il a déjà tout vu, tout fait, et la vie ne lui apporte plus que peu de surprises. Alors il prend des risques insensés. Il a des fonds placés un peu partout et n’a donc pas besoin d’argent, mais il emprunte la rue du monte-en-l’air plus souvent qu’à son tour, pour s’amuser. De même qu’il se fait un plaisir de séduire les femmes mariées « pour le sport »

Talents, connaissances, savoirs :
Barde de profession ; il connaît la plupart des chants et légendes sur le bout des doigts, meilleur que beaucoup d’hommes a l’escrime, il possède une demi-douzaine de poignards dissimulés sur lui. Il a beaucoup vécu seul, en pleine nature, il connaît donc les bases pour se débrouiller. Il a vécu 3487 printemps et 3488 hivers, alors il a eu le temps d’apprendre un paquet de choses, mais la seule chose dans laquelle il excelle vraiment, c’est le dessin. Il porte toujours sur lui un calepin et un fusain, au cas où. Il ne garde que très rarement ses dessins, ce qui fait que beaucoup de gens peuvent se vanter de posséder une de ses esquisses, quoi qu’aucun n’en connaisse la valeur.

Histoire
Kerin parle peu de son histoire. Tout ce qu’il accepte de dire c’est que ses parents s’aiment. Et l’aimaient. Un amour pur, fort, un amour puissant que rien n’arrête ! Mais qu’est-ce qu’il raconte, lui ? Ses parents étaient une elfe et un humain qui se sont rencontrés par hasard et sont aimés, d’un amour niais et ridicule. Ils l’ont appelés a l’image de leurs sentiments : « fruit de l’amour » vous connaissez un nom plus niais que ça, vous?
Et a l’image de leur niaiserie, ils l’ont encouragés dans la voie de barde… enfin, sa mère l’a encouragé, vu que son père est mort de vieillesse bien avant la fin de son enfance.
Manque de bol, il a fait preuve de talent et de cœur pour cet art, qui lui est maintenant gravé au fin fond…même s’il préfère les chansons paillardes et à boire aux longues balades romantiques. Il a également découvert très tôt l’usage que l’on pouvait faire d’un fusain et d’un bout de parchemin, et s’est bientôt mis a croquer tout ce qu’il voyait : un arbre, un chat en train de manger un joli petit pinson, le soleil… vous n’imaginez pas la difficulté que l’on a à tenter de regarder longtemps cet astre pour en reporter les moindres éclats… il a bien failli finir aveugle.
Mais voilà. A force de dessiner tout ce qu’il voyait dans sa foret d’adoption, il finit par découvrir l’ennui. Une étrange sensation qu’il côtoierait toute sa vie, et c’est ainsi qu’il quitta sa famille, soulagée de ne plus avoir a supporter ses soupirs blasés, et partit découvrir le monde, vivre d’amour, d’eau fraîche et de musique…
Il déchanta bientôt lorsqu’il découvrit la réalité de ce monde : au bout d’une semaine, une femme dont il était «tombé amoureux » le jeta dans une embuscade où il perdit tout ce qu’il possédait : ses croquis, ses instruments, ses vêtements, sa niaiserie et son innocence.
Il entreprit alors d’apprendre a se servir de dagues, armes discrètes qu’il préfèreraient toute sa vie aux épées, trop longues, impossibles a cacher sous sa botte.
Des années qui suivirent, ou plutôt des décennies, voire des siècles, il considère qu’il n’y a rien a raconter ; sinon qu’il n’en devint que plus cynique et blasé. Il fit le tour des femmes et des villes de la Terre du Milieu, et ne trouva rien d’intéressant. (Il eu bien des compagnons de route, des compagnes… mais jamais il n’arrivait a rester assez longtemps avec les mêmes personnes pour se faire des amis : elles l’ennuyaient trop.) A part la mer qui l’apaisait toujours et les dés, une paire de dés en corne qui ne le quittent plus depuis des siècles, et qui en de très nombreuses occasions lui indiquèrent la route à suivre… le hasard étant la seule chose qui lui prodiguât quelques surprises.
C’est ainsi qu’un jour il se retrouva dans les Monts de Fer. Il avait espéré sortir du monde quelques temps, il ne voulait voir personne… quitte à s’ennuyer, autant s’ennuyer seul.
Manque de chance, Il rencontra un peuple issu des lointains beornides : la famille des Feürls. Le premier membre de cette famille qu’il rencontra était une jeune et jolie humaine du nom de Kenara. Ne pouvant résister a l’appel de la chair, Il séduisit la jeune femme et fut emmené dans leur maison. Il resta un an avec elle puis, avant de s’ennuyer, il décida de partir…en douce.
Malheureusement, les humains apprennent vite, et la jeune femme, amoureuse, avait cerné le personnage et l’interrompit alors qu’il prenait des provisions dans la cuisine.
Elle parvint à le convaincre de jouer son départ aux dés : s’il perdait, il resterait dix ans de plus : que sont dix petites années pour un être vivant aussi longtemps que lui ? Il réussit a négocier cinq années. Après tout il appréciait beaucoup cette humaine, et cette famille. Et puis… il ne s’ennuyait pas encore.
Au bout de quelques mois, il s’aperçut que la femme qui était devenue son épouse (et qui par là même avait rajouté un suffixe a son nom : il était devenu « veru »: « époux » Feürl) était enceinte. D’un fils : Meras. Elle parvint encore une fois à le convaincre de rester, pour s’occuper de l’enfant : celui là connaîtrait son père jusqu'à ce qu’il devienne adulte.
Et c’est comme cela qu’il est resté près de 40 ans dans la famille Feürl, près de cette femme qu’il n’avouerait jamais avoir aimé, et qu’il vit grandir ses enfants et ses petits enfants, à qui il donna le nom de nar et narë : le feu et la flamme, a cause de leurs cheveux… et de leur caractère impulsif, changeant.
Il avait bien sûr vu, et de loin le futur mariage de sa petite-fille, mais n’était pas intervenu, il y aurait de quoi s’amuser… Alors quand ils partirent, tous les 4, il ne pût s’empêcher de les suivre. Avec ces deux casse-cou d’elfe, il risquerait d’y avoir de l’animation. Il fit ainsi ses adieux à sa belle défraichie, et repartit à l’aventure.

Oh non, encore un Feürl...

Bienvenue Kerin, ta fiche est bonne, rien à dire de plus là-dessus.

Je t'invite à demander un métier, et tu pourras commencer le Rp avec toute ta petite bande.

Bon jeu et bonne continuation!

[quote="Hadhod Croix-de-Fer"]Oh non, encore un Feürl...
[quote]
Eh si... encore un muarf muarf muarf
mais seulement par l'anneau au doigt de mon épouse ^^

et merci ^^
j'attend qu'on accepte mon métier, que j'aie le feu vert, et je roleplayise ^^