Le Nom: Soupir
Critères Physiques :
Soupir n'a pas une carrure tape-a-l'œil, plutôt un physique passe-partout. Il a les cheveux noir, très sombre, les yeux verts, un nez retre un tatouage qui par de l'arrière de la gorge et
descend dans le dos, celui-ci cache la cicatrice d'une flèche extrait il y a plusieurs années qu'il a reçu. il s'affaisse légèrement mais il n'en reste pas moins impressionnant par son regard. celui-ci est froid et calculateur. D'une tenue simple, il n'est vêtue que d'une veste de cuir uni, une armure de cuir, une ceinture et d'un bas simple en cuir également. il porte une amulette autour du cou symbolisant "un bouclier". Il transporte un livre retraçant sa vie qu'il tiens avec la plus grande délicatesse.
Il est de nature taciturne, n'appréciant pas pas toujours la compagnie (sauf celle des maitres). Il ne vie que pour servir, il a été éduqué ainsi. Il ne pose que peut de question,évite les détours dans les discutions mais sait parfaitement jouer des mots quand la situation l'exige. Il a un profond respect de l'autorité et connait nombres de protocole. Il ne s'attarde pas a divers signe de gentillesse ce qui pourrait être pris pour de la brusquerie. Le fait est que Soupir n'en vois pas l'intérêt. Pour lui, le monde se divise en deux. Ceux qui lui seront utile pour ses missions et les autres... et
les demandeur de missions bien sur.
Votre Habitation : guilde des ombres (si possible)
Votre histoire :
Extrait de "l'echos d'un assassin" chapitre 1, paragraphe 3:
ma vie a été résumer rapidement par mon maitre:
-tu vivra pour ton maitre.
Je ne savais pas encore la signification de ces mots mais pourtant, il me
marqua de ces mots comme au fer rouge. Les années qui suivirent ne
furent que des successions d'entrainement toujours plus difficile les uns des autres. Ces long mois d'hivers, attache presque nu dans une cave
gelé par les violentes rafales de vent, les nombreux entrainements dans
les temples, a affronter des adversaires de trois fois plus forte
taille, eux même ne m'accorde qu'un regarde de méfiance et de jalousie .
Comment un gamin comme lui pouvait affronter un homme comme moi. me croit-il si faible?
Leurs pensées étaient limpides, tout comme leurs gestes. Les nombreux amochage ou je n'en sortait que grâce a l'interposition du sergent qui me réveillait d'un puissant coup de sabot m'ont appris a forger un caractère indépendant et méfiant.
Ces long êtes a chasser pour survivre dans une montagne ,seul ,terriblement seul. devoir affronter les danger de la nature sans rien d'autre que mon esprit pour voler un maigre butin a des hommes qui me chassaient en me voyant arriver est une expérience qui ne s'oublie que difficilement. Les cours semblaient plus reposant. j'y appris l'anatomie, le protocole ou la médecine. tous ce qui me serait utile pour former un bon assassin. on m'enseigna le vol a la tire ou encore les acrobaties ,les combat en armes et sans, l'indépendance et la volonté. mon apprentissage dura une vingtaine d'années. durant ce labse de temps, j'ai pu me perfectionner a l'arc et au combat au couteau.
Extrait de "l'echos d'un assassin" chapitre 16, paragraphe 9:
Cet mission devait être simple, et bien elle ne l'était pas. Un assassinat était le B.A.BA pour quelqu'un comme moi mais attaquer un camps ou patrouillaient une trentaine d'homme ne l'était pas. Les hommes étaient méfiants et se plaignaient du mauvais temps, en jurant sur le sergent qui les y avait ici. je m'était rapprocher du feu. Caché derrière une tente, j'écoutai et étudiait mes probable adversaires. Il y avait six hommes au centre du feu, et trois patrouille de deux qui faisait le tour en neuf minutes. La prudence m'aurait dit d'attendre et de partir si la situation devenait complexe mais je refrénait ce sentiment loin dans ma tête. Je vit qu'il y avait une patrouille de jeune adulte d'une vingtaine d'années, s'il fallait commencer quelques part, ce serait ici.
Extrait de "l'echos d'un assassin" chapitre 16, paragraphe 11:
Si je le voulais, il ne sentirait pas le coup. mais je tourne la lame, il la sent. Ma main sur sa bouche étouffe ses sursaut d'agonie. Il tente de portait ses mains a son cou pour retirer cet objet qui l'empêche de remplir ses poumons d'air mais je l'ai bien maitriser avant de frapper. Ses mains et ses pieds tremblent à le faire chuter mais je le remets debout d'un coup du bassin. Encore quelques secondes et je pourrait retirer la lame.
C'est terminer. Ses mains cessent de s'agiter et tombent mollement le long de son corps. Je le dépose silencieusement sur le sol avant de rengainer. Le sol est couvert de son sang la mare qui grossit sous lui ne me fait plus aucun effet.
Extrait de "l'echos d'un assassin" chapitre 17, paragraphe 1:
Je me réveille dans un lit de taverne que j'ai trouver a la hâte l'autre nuit. Un médecin se penche vers moi. "vous êtes réveillé ? Vous m'avait fait peur, encore un jour de plus et je vous croyait mort. La flèche a traverser l'omoplate, c'est un coup de chance qu'elle n'ai pas touché le cœur."
Le médecin se leva et commença a partir: "Je ne vous demanderai pas ce que vous faites mais cette blessures vous laissera des marque, soyez-en-sur."
--- ainsi commence mon histoire et finira-t-elle peut-être bientôt.---
Caractère, talent, signes particuliers ? les talents de base d'un assassin, un blessure qui affecte parfois mes performances
Comment as-tu découvert le forum? en farfouillant sur le net mais le theme, l'aide au nouveau (ce n'est pas mon premier mais bon) et le coté gestion d'inventaire m'ont beaucoup plus.
