La bague et la lance

Galadril et Hélarof chevauchèrent plusieurs jour dans les contrées du Rohan .S'arrêtant certaines fois pour boire et manger ainsi que nourrir leurs cheveaux .Galadril n'oublia pas ce qui s'était passé à l'intérieur du Gouffre de Helm, il se souvint de l'odeur putride, des cadavres qui recouvraient le sol glaciale et humide mais il se rapella surtout des gobelins .

-Nous arrivons bientôt....près de la forêt de Druàdan !dit-il à l'adresse de Hélarof

Il avait redonné la lance à Hélarof mais il serré toujours l'anneau dans ses mains froides à cause du temps .Hélarof et Galadril finirent par entré dans un village près de la forêt de Druàdan .Ils allèrent s'installés à dans la première auberge qu'ils virent .

-Vas-y sans moi,....j'ai quelque chose à faire avant....dit-il à Hélarof

Il se dirigea alors vers un marchand et lui adressa un brève signe de la main avant de lui dire :

bonjour marchand.....Pourrez-tu m'indiquer si tu connais ce nom

Il montra le nom écrit sur le parchemin et écouta la réponse du marchand .



-Hum..oui je connais personellement les Frénac, il habite dans le premier village dans les montagnes blanches, il suffit de passer par la forêt et de remonter tout le sentier de pierre jusqu'à la limite des montagnes ensuite il faudra ....

L'homme se tut d'un coup en regardant derrière Galadril, celui-ci se retourna et aperçu un homme grand portant une épée regardant le marchand avec fureur .L'homme cligna des yeux et le marchand s'éclipsa sans que Galadril s'en aperçoive .Le regard méfiant l'homme fit demi-tour et entra dans l'auberge .



Galadril retourna rejoindre Hélarof en lui disant :

-Il y'a quelque chose de louche ici mon vieille ami....

[Comme Hadhod a du te le dire, il m'a transmis l'affaire par manque de temps.]


De loin, Hélarof avait apperçu l'étrange manège de ces deux hommes, ainsi il comprit ce que voulait dire son compagnon de route lorsqu'il affirma qu'il se pasait quelque chose d'étrange ici. Il avait remarqué cette étrange attitude, aussi il avait fait comme si de rien n'était lorsque l'homme louche était passé à à peine un mètre de lui pour rentrer dans l'auberge.

Le Rohirrim acquiessa à la déclaration du gondorien, et il lui répondit :

"Essaye de retrouver le marchand, Galadril, et trouve le moyen de le convaincre de nous dire pourquoi il a fui à cause de cet homme. De mon côté, je vais aller voir dans l'auberge à la recherche de ce mystérieux type. Il ne m'a pas vu parler avec le marchand, il se méfiera donc certainement moins que si tu entrais toi-même dans la taverne à sa poursuite."

Les lèvres d'Hélarof dessinèrent une grimace et poussa un petit soupir presque inaudible. C'était une affaire qui commença fort mal, et fort étrangement surtout, avec ces attitudes incompréhensibles.

"Bonne chance, cavalier." fit-il à Galadril avnt de se retourner vers l'auberge.

Galadril se releva et se dirigea vers la porte d'entré, il s'approcha de son cheval Landil en faisant mine de lui donner à boire, il ne voulait pas attirer l'attention sur lui mais il fallait qu'il retrouve le marchand avant qu'il ne disparaîsse à nouveau .Il avait un vague souvenir d'avoir déjà vu l'étrange homme qui avait fait fuir le marchand mais il ne se souvenait plus où .Il se dirigea vers le marché où il sentait plusieurs odeurs raffinaient et entendait les poules gémir. Il s'approcha d'un étale de colliers et trouva un bout d'armure marqué d'un mot "Ondoher" .Il le prit dans sa main et l'acheta, il le rangea soigneusement dans son sac de cuir et continua sa route dans le marché où désormais il sentait une odeur de poissons pourris .Tout un coup il aperçu le marchand essayant de vendre de vieilles babioles poussièreusses à tout les passants


-Et toi le marchand...je voudrai te dire deux mots....

-Mais qui êtes-vous...je ne vous connais même pas...je ne vous ai jamais vu d'ailleur

Galadril empoigna le marchand par le col de sa chemise crasseuse et le fit trainer hors de son étale cassant tout sur son passage .Il regarda le marchand avec des yeux rouges, celui-ci ne savait pas ce qu'il lui arrivait .

-Je sais que tu te souviens de moi....lui murmura t-il à l'oreille

-oui c'est bon....suivez-moi...

Le marchand entraina Galadril derrière son étale et lui donna à boire. Galadril s'asseya avec le marchand sur des tabourets de bois mangés par les mites .

-Qui est cet homme...celui qui vous a fait fuir....

--Pff....lui c'est Argoth...il est venu y'a quelques temps pour prendre ce village avec sa bande, ce sont des barbares..

Galadril se souvint tout d'un coup de cet homme, il ne l'avait jamais vu lui mais son frère jumeau Dégoth oui, c'était les frère babares .Il se redressa tout d'un coup et sortit de l'étale sans dire un mot au marchand. Il se diregea vers l'auberge et alla voir Hélarof, il lui expliqua toute la situation .

-Nous devons rejoindre le village des Frénac

Galdril avait trouvé Hélarof attendant près de son cheval, d'un air dépité. Il n'avait manifestement pas l'air satisfait de ce qu'il avait pu apprendre. Cette impression se confirma quand il commença ainsi :

"Je n'ai pas retrouvé la trace du type louche dans l'auberge. Il devait avoir une chambre à l'étage car il avait disparu. J'ai bien essayé d'avoir quelques informations à son sujet auprès de l'aubergiste, mais sans succès. Dites-moi mon brave, je lui ait dit, pouvez-vous me dire qui est cet homme assez grand portant une épée qui vient de rentrer il y a peu ? Car je pense qu'il a fait tomber sa bourse. J'ai exhibé un petit sac avec quelques pièces sans valeur mais j'ai bien vu que l'aubergiste me regardait d'un drôle d'oeil. Il n'est pas là. Donnez-la moi, qu'il dit, je la lui remettrai, qu'il a répondu. J'ai insisté pour le voir, mais rien n'y fit..."

Lorsque Galadril lui eut expliqué la situation, il grimaça. Cela ne lui disait rien qui vaille.

"Oui, nous devons nous ha^ter. Maintenant, l'autre risque de se méfier doublement, et si c'est un chef barbare, ce n'est pas bon pour nous."

Hélarof monta d'un bond sur sa monture, agita les rênes et déjà il était pre^t à partir. En avant, au galop vers la forêt !

Galadril et Helarof partitrent à double galop vers la forêt de Druàdan, ils devaient s'éloignés le plus vite possible du mystérieux village .Landil étaient rétabli ce qui rendait Galadril moins inquiet pour lui, son cheval pouvai à nouveau galoper .Cette forêt semblait ne pas se terminer, ce qui la rendait de plus en plus mystérieuse .Galadril resta la main sur la poignée de son épée, il voulait être paré à d'éventuelles attaques ,dans son autre main qui devenait de plus en plus moîte il serrait la précieuse bague de Frénac .
Ils finirent par entrer dans la forêt après dix bonne minute de galopage .

Spoiler:

Ils suivirent le conseil du marchand en passant par le sentier de pierre .La forêt devenait très inquiètante notament à cause des divers bruits se faisant entendre par les deux hommes .Galadril parcoura d'un regard inquiet un buisson qui semblait avoir bouger, Il retint son souffle pour mieux écouter les bruits de la forêt .Il entendit soudain un craquement sonore intense derrière un arbre .Il fit signe à Hélarof de s'arrêter et descendit de sa monture, il dégaina silencieusement son épée resté trop longtemps dans son fourreau .Il vit tout un coup sortir de derrière un arbre un homme vêtu d'un vêtement en peau d'ours mal découpé se ruait sur lui hache à la main , puis sortant d'un peu de partour se diriger vers eux armes parés :

-C'est une embuscadecria t-il à Hélarof

Il frappa de son épée le première homme qui s'était rué sur lui puis en tua un autre .Il vit ensuite un homme en armure avec un marteau de guerre lui criait quelque chose .




-Vous ne passerez pas !ha aha ha !!!

Galadril vit une vingtaine de barbares arriver, mais il ne faiblissait pas et il se battait hardament, il en avait même oublié la présence de Hélarof qui devait surêment l'aider .

Hélarof laissa échapper un juron lorsqu'une horde de sauvages mal famés sortit des buissons en poussant des cris rauques. Décidemment, cette mission commençait très mal. L'ennemi qui les avait repéré avait apparemment des moyens importants pour dépêcher une troupe d'une vingtaine d'hommes sur leur chemin aussi vite.
Vingt. Il y avait vingt de ces sauvages, et eux n'étaient que deux. Dix fois moins. La pensée sinistre que leurs chances de survie devaient être proches de zéro vint hanter l'esprit du rohirrim.

Mais lui était encore sur sa monture, et il excellait au combat à cheval, comme tous ceux de son peuple. D'un coup de sa propre lance, il défonça la poitrine du plus proche ennemi et en bouscula un autre avec le manche. Il remarqua alors que le gondorien, qui lui n'était pas resté sur son cheval, se faisaait très facilement encercler par leurs ennemis et que, vu leur nombre, il n'allait certainement pas tarder à recevoir un sale coup dans le dos, en lâche, qui lui ferait passer l'arme à gauche.

Le garde éperonna alors sa monture et, lance en avant, il se précipita sur les ennemis de sorte à rompre le cercle, tout en emportant la vie de l'un ou l'autre au passage avec le fer pointu de son arme qui s'était attardé près de quelques gorges.

"Galadril !" cria t-il. " Ils sont trop nombreux, nous n'avons aucune chance de les vaincre ainsi. Nous devons tenter de nous replier."

Totu en prononçant ces paroles, il eut encore à écarter un barbare qui s'approchait un peu trop, le mençant de sa hache. Un coup bien placé juste au niveau du coeur l'envoya rejoindre ses amis outre-tombe et tout cela sans prendre trop de risques, toujours en position surrélevée sur son cheval.
Cependant Hélarof sentit soudain une pression au niveau de sa jambe. Il se retourna juste asez vite pour voir la paire de mains qu l'avait attrappé et déjà il se sentait basculer de sa monture. Le rohirrim s'étala par terre, à la merci de tous, et il poussa un juron.

Galadril entendit les paroles d'Hélarof mais lui ne voulait certainement pas abandonné surtout face à des chiens de barbares .Il trancha les têtes de certains barbares qui l'avaient encerclé puis soudain il entendit un fracas mettalique, il tourna la tête et vit Hélarof à terre encerclé lui aussi par des barbares .Il s'élança vers lui mais il fut retint par les inombrables combattants qui l'entouraient et le repoussé vers les buissons épais ce trouvant juste derrière lui .Il fut pris d'une rage folle et plaqua le gros qui se tenait en face de lui , il courrut de toute ses forces et sauta sur les adversaire d'Hélarof puis lui cria :

-Tu as raison partons dès maintenant !!!

Il aperçut celui qui semblait être le chef de cette embuscade, il fut prit d'une fureur et mit Hélarof sur le dos de sa monture, il ramassa une lance et tenta de repoussé les autres barbares qui venaient vers lui .Il frappa l'arrière du cheval d'Hélarof qui se mit à galoper et qui disparaissa au loin .Galadril monta lui aussi sur sa monture et s emit à galoper, il aperçut une nouvelle fois celui qui semblait être le chef de l'embuscade, il souleva sa lance, il savait qu'il n'était pas un bon tireur mais il avait 1 chance sur 2 de touché son adversaire .



-Hahaha!!! fuyez misérable pourceaux !!!Hahaha !!! Je vous rattra.....

Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase car Galadril avait tiré de toute ses forces lance qui se stoppa dans la bouche du barbare qui tomba du rocher où il était perché .Galadril alla de plus en plus vite et rattrapa Hélarof,et il tira son cheval jusqu'à un ravin pour qu'il puisse boire avec son propre cheval.Ils finirent par arriver au Village malgré cela, Galadril avait remarqué que Landil était bléssé, il avait besoin de soin ...

Soudain, le néant. Le noir se fit peu à peu lorsque Hélarof sentit un choc sourd contre l'arrière de son crâne lorsqu'il toucha le sol de façon violente. Ses yeux se voilèrent et il sentit qu'ils se fermaient peu à peu pour finir par ne plus être qu'un écran noir vide de toute couleur et toute nuance. Les sons qui parvenaient à ses oreilles commencèrent eux aussi à faibli peu à peu pour ne bientôt plus être qu'un murmure, et puis plus rien.
Néanmois, bien qu'inconscient, il savait qu'il n'était pas mort. Son subconscient le savait, car il lui parvenait des chocs et des sons informes. Il faut croire en effet que même lorsqu'on est inconscient, notre subconscient reste conscient.

Et puis le rohirrim émergea. Il ressentait des chocs qu'il n'expliquait pas. Il sentait des cahots qui secouaient son corps sans qu'il puisse expliquer leur origine. Etait-il en train (attendez la fin de la phrase, je sais bien qu'il ne peut pas être en train même si expliquerait pourquoi il se sent secoué, non mais, comme si ça exsitait déjà, franchement...) de se faire transporter par ses ennemis qui l'aurait capturé ? Au moins il ne serait pas mort, ce serait déjà rassurant. Mais ce n'était pas tout. il se sentait également tomber. Et c'était actuellemetn le sentiment qui prédominait...

Fort heureusement, Hélarof reprit totalement ses esprits assez tôt pour se ratrapper à une courroie et éviter de tomber de son cheval. Habile cavalier, il se remit en selle correctement assez rapidemment et remarqua Galadril qui le ratrappait.

"Merci mon ami, sans toi j'y restais." fit-il d'une voix encore pataude, car il avait compris ce qui avait du se passer.

Il ne leur fallu pas beaucoup de temps pour arriver à nouveau au village. Le garde prit alros la parole.

"Il semble que nous ne pouvons pas continuer notre mission seuls. Ecoute, Galadril. Je te propose de t'occuper de ton cheval, car je m'y connais très bien. Pendant ce temps, tu pourrais essayer de convaincre disctrètement des hommes de l'auberge de nous accompagner. Il doit bien y avoir des te^tes brûlées qui en ont marre d'être sous le joug de ces barbares !"

Galadril était content que Hélarof se sente mieu, il lui confia Landil pour lui procurer des soins, il savait que Hélarof étant un rohirrim devait s'y connaître .Il lui adressa un bref signe de la main et un remerciement et se dirigea vers la batîsse la plus proche, il se tourna et vit seulement les cheveaux disparaître derrière une grande demeure .Il entra dans pas précipité à l'intérieur de la batîsse qui était enfaite une bonne vieille auberge, il aperçut beaucoups de monde mais pas de joie, Galadril s'approcha du comptoir et s'adressa à l'aubergiste .

-Que se passe t-il donc pour que cet auberge ne soit pas chaleureuse ?

L'aubergiste qui était une femme le regarda fébrilement tout en essuyant un verre sale, puis se retourna et le posa .eIle n'avait pas du tout l'air commode d'après Galadril mais il savait que c'était forcément à cause des barbares .L'aubergiste se retourna et ouvrit la bouche, Galadril s'attendait à une voix aigu et douce mais c'était enfaite une voix plutot grave qui en sortit .



-C'est à cause des barbares, ils nous ont coupé les vivres, nous subsistons seulement grâce à mes réserves .D'ailleurs ils se cachent dans la forêt pour nous empêcher de rejoindre l'autre village, mais à ce que l'on dit le chef barbares y habite .Mais au fait comment avez-vous fait pour arriver là.....

-Ne vous inquiètez pas, nous allons mon ami et moi s'occupés de ces maudits barbares, nous avons juste besoin d'hommes forts près à combattre

Galadril monta sur le comptoir,tout les regards s'étaient tournés vers lui, il haussa les épaules puis cria tout en sortant son épée .

-Que tous ceux qui sont près à libérer leur village se lève !!

Galadril ne pensait pas que la tâche serai aussi dur ,car personne n'avait osé se levé,tous le regardaient d'un oeil noir .Puis soudain un jeune homme d'à peu près 16 ans se leva poussant sa chope par terre et se dirigea vers Galadril .Il avait l'air d'être fort mais sa mine ne lui donnait pas raison .Galadril le regarda et se demanda si cet homme allait le suivre .



-Et tu là pour combattre ?

-Oui

-Quel est ton nom ,,,

-On me nomme Rosaldir Frénac

Galadril le regarda d'un air inquiet, il était en face du frère du défunt .Comment allais t-il lui annonçait que son frère était mort .Il descendit du comptoir et s'approcha de Rosaldir .Il devait d'abord attendre le retour de Hélarof pour lui expliquer le problème .Il eut un faible chagrin dans son coeur, il ne pouvait pas faire ça mais il reprit courage en face de la bravoure du jeune homme .

-Petit, faut que je vois ton père....

Hélarof avait fini de s'occuper de sa monture et de celle de son compagnon de route, laquelle avait été davantage infortunée et pour laquelle il avait consacré plus de temps lorsqu'il entendit à l'intérieur de l'auberge des cris qu'il ne povait identifier formellement. Il craignait que que Galadril n'ait pas été assez discret et qu'il soit maintenant sous la menace de quelque sauvage mugissant on ne sait quoi en agitant sa hache pour le découper en morceaux.

Le rohirrim entra derechef dans l'auberge pour constater que ses craintes étaient en fait infondées. Certes, le cavalier gondorien n'avait pas vraiment saisi le sens du mot discrètement, il semblait même avoir fait une annonce publique à en juger par sa position sur le comptoir de la taverne, mais au moins personne ne tentait d le trucider pour son audace. Un jeune garçon se tenait près de lui, semblant être le premier à s'être décidé à suivre son ami.

Maintenant, les cris provenaient d'autres types qui voyant cela avait également décidé de se lever pour pre^ter main forte à cet étranger qui avait pour projet de libérer le village de ces barbares. Evidemment, d'autres cris allaient dans l'autre sens. Ceux là étaient les plus anxieux. Ils vociféraient qu'ils n'avaient aucune chance de vaincre les barbares, eux une poignée de paysans avec des armes de fortune. Et qu'après les avoir tué, les sauvages se vengeraient sur le village. Néanmoins il semblait y avoir assez de volontaires pour mener à bien leur mission.

Cependant, il y avait là un homme qui ne disait rien. Il était assis au fond de la salle, seul, et il portait un capuchon par dessus sa tunique de fourrure. Soudain, il se leva sans même avoir fini sa chope et se dirigea discrètement vers la porte et sortit.

"Hé !" fit Rosaldir Frénac qui avait aperçu l'homme à l'allure suspecte, "Ce n'est pas un villageois !"

[hrp: dsl pour le retard]

Galadril se rua sur l'homme au capuchon, l'empoigna par le col de sa cape et le plaqua contre sa table renversant tout ce qui s'y trouvé .Il regarda l'homme d'un oeil noir, celui semblait choqué de cette attitude de la part du gondorien, il retira son capuchon et fit découvrir son visage devant les yeux ébahient de toutes les personnes se trouvant dans la pièce .L'homme ne semblait pas humain à cause des nombreuses cicatrices qui emplissaient son visage crasseux , il ne cligna pas des yeux et observa Galadril longuement avant de pousser un soupir .



-Vous voyez ce qu'ils m'ont fait.....Je ne sais même plus si j'étais un homme...avant leur passage...

Il se degagea de la prise de Galadril et se releva en prenant soin de prendre une chope qui se balançait sur le rebord de la table .Il en but une gorgée de la chope de bièrre mousseuse, se gratta le nain machinalement et ricanna .Galadril posa sa main précipitament sur son épée et regarda attentivement l'homme qui semblait rire de sa situation .Tout le monde était ébahi dans la salle de voir une telle horreur puis le silence qui régnait dans la salle fut interrompu par la porte de l'auberge qui s'ouvrit à la volé laissant entrait un homme goufflu qui se mit à crier .



-Pourquoi aucun son sort de cette auberge pardi !!!

Il tourna la tête et aperçut Galadril en face de l'homme au visage laid, il e stoppa net et opbserva la scène d'un oeil horrifié .L'homme au visage laid se leva d'un bond, faisant sursauté Galadril , et se dirirgea vers l'homme goufflu les bras ouvert .L'autre homme se mit à reculere quelques pas .

-Gidéondis !!! Gidéondis Frénac !!! Me reconnus-tu...l'homme baissa son affreuse tête en disant ces quelues paroles

-Est-ce bien toi, Esendis !!!rétorqua soudain celui qui devait se nommé Gidéondis

Les deux se regardèrent et se mirent à sauter et à danser provoquant l'hilarité de l'auberge qui était resté trop longtemps silencieuse .

-Connais-tu cette mo...homme... pèredit Rosaldir avec hésitation

-cet homme comme tu dis n'est autre que mon cousin....

Rolsadir se tut, il ne savait plus quoi dire, mais Galadril s eleva à son tour et demanda à Esendis pourquoi il était venu ici et pour quelle raison il voulait se battre à leur coté, Esendis leur expliqua que les barbares avaient décimé son village, et l'avaient défiguré pour prévenir les autres villages que sa serai ce qu'ils leur arriveraient .

-De toute façon, mon fils viendra nous aidés à vaincre ces chiens de barbares grogna Gidéondis, une chope à la main

A ces paroles, le coeur de Galadril tressaillit, il avait oublié la raison de sa venue, il ne savait pas comment le dire à cet homme qui semblait dur à l'extérieur .

-A propos de votre fils....

-Nonnnn!!! pas lui, pas mon fils.....

L'homme tomba par terre à genou, les sur son visage couvert de larmes .

-Ne me dite pas qu quuqu....

-Il est....mort....j'en suis navré pour vous...il m'a demandé de vous donnez cet anneau et sa lance

Il déposa l'anneau dans la main tiède de Gidéondis et donna la lance que lui remit Hélarof à Rosaldir .Il devez se préparer au combat et partir maintenant avant que les barbares bléssés n'aillent rejoindr ele village de leur chef .

-Hélarof...réunis tout les hommes que tu peux et demande leurs de ramener des armes, des fourches... tout ce qui pourraient ...tuer

Galadril ramassa son épée et sortit d'un pas décidé de l'auberge .

Malgré la triste à laquelle il venait d'assister lorsque le vieux Frénac avait appris la mort de son fils, Hélarof ne pouvait s'empêcher de penser que la situation tournait singulièrement à leur avantage. Avec la compassion que cette annonce allait immanquablement provoquer chez les habitants à l'égard du vieil homme allait considérablement les aider. Car le vieux Gidéondis semblait enclin à venger son fils par le sang, et peu importe que ces soient des gobelins responsables de son trépas, les barbares payeraient pour eux. Avec une rage aussi communicative, ils allaient bientôt se retrouver avec une troupe de villageois déterminés à se battre jusqu'au bout, coûte que coûte.

Le garde rohirrim était monté sur une table pour transmettre ces ordres et superviser le tout, mais il ne semblait pas vraiment en avoir besoin. Les habitants se précipitaient dehors et la nouvelle de la révolte se propageait comme une traînée de poudre.

"En avant, rassemblons-nous tous sur la place du village armés jusquaux dents." fit Hélarof, car il n'y avait besoin de rien d'autre.
Bientôt ladite place grouillait d'hommes armés prêts à en découdre avec les opresseurs.

"En avant !"

Ils n'attendaient que ça. immédiatement, le foule se mit en marche, vers la forêt où Hélarof et Galadril avaient échappé à une embuscade quelques heures auparavant.

Galadril était décidé à venger le fils du pauvre Frénac,même si il ne connaissait pas celui-ci,il voulait se battre pour l'honneur du pauvre homme goufflu .Il se dirirgea vers son cheval, et rangea son épée dans son fourreau,il montit sur sa monture qui semblait à nouveau en bonne forme et s'avança vers l'entrée .Il entendit soudain un cliquement métalique puis des hurlement venant de derrière lui ,il comprit très vite qu'ils ne seraient pas seul pour combattre .Il aperçut brèvement Hélarof sur sa monture et lui fit un signe la main, il dégaina son épée et cria aux autres .

-En avant !!!!

-Ouuaaaah !!! scandèrent les autres

Certains villageois avaient des chevaux et s'étaient armés de fourches pour vaincre les barbares, d'autres en revanche n'avaient pas cette chance et devaient courir à pied avec toute sortes d'outils comme des hachettes,des pioches ou des marteaux .Galadril se mit en tête du petit bataillon qui comportait à peu près une vingtaine d'hommes qui n'étaient visiblement pas des soldats .Galadril fut soudain rejoinds par une personne inattendut, Rosaldir vint à sa rencontre chevauchant un magnifique étalon blanc, Galadril remarqua dans sa main la lance de son frère encore taché de sang pourpre .

Galadril s'élança au coeur de la forêt suivit par tous les autres,il n'avait qu'une idée en tête "terminer le travail" .Il entendait enore les hurlement des villageois qui le suivaient de près ainsi que les bruits de sabots frappant le sol terreux .Il se souvint à quel point cela lui donnait un grand plaisir de ce retrouver au coeur d'un bataillon de cavaliers, mais cette joie fut de courte durée car ils aperçurent tous les derniers survivants barbares de l'embuscade essayant toujours d'arriver au village de leur chef .Galadril tourna brièvement la tête pour voir derrière lui, il ne fut pas surpris que les villageois à pied n'étaient pas encore là .Il chargea quand même les derniers barbares .

-Ne laissez aucun survivants !!!!

Tous les cavaliers villageois mirent leurs lances en avant et chargèrent leur ennemi avec rage .On entendait les cris des barbares et les hennissement des chevaux, les corps s'empilaient sur le sol humide, certains villageois étaient à terre et souffraient énormémant face aux terribles barbares .Galadril embrocha deux personnes puis sauta de sa monture sur un barbare qui tentait de tirer une flèche sur l'un des villageois .Malgré qu'ils ne resta que les survants de l'embuscade précédente, les barbares étaient les plus nombreux, ils avaient l'avantage du nombre et de la force mais les villageois étaient les meilleurs cavaliers de la terre du milieu et connaisaient la forêt par coeur .Le combat était rude et dura....

Hélarof, bien qu'il fut lui-même un cavalier, avait pris la tête des nombreux villageois qui n'avaient pas de montures pour se battre et qui se dirigeaient à pied jusque chez les barbares, parfois au pas de course, même s'il fallait faire attention à ne pas arriver exténué sur le lieu du combat, sans quoi on avait très peu de chance de survivre à l'affrontement contre des guerriers habitués à se battre et surtout qui n'avaient pas eu à se déplacer particluoèrement.

Perché sur son étalon, sa lance de cavalerie en main, le garde rohirrim avait l'air d'un seigneur qui menait tranquilement son armée à la bataille. Pourtant, il lui en coûtait d'être ainsi retardé alors que d'autres devaient déjà avoir rejoint le lieu de l'affrontement. Mais il avait bien fallu qu'il s'en occuppe. Le gondorien Galadril était bien trop impétueux pour rester en arrière. Un trait de caractère qui semblait commun à beaucoup de ces gens du sud...

Enfin, ils arrivèrent sur le le lieux du combat, et sous son commandement les piétons défèrlèrent sur l'ennemi pour abattre leurs haches et leurs pioches sur leur corps abhorré.
Hélarof se débrouillait comme on l'attendit du guerrier expérimenté qu'il était. Sa lance trouva le chemin vers plusieurs endroits vitaux chez les barbares et il en mit ainsi à bas un bon nombre. Soudain il remarqua à l'autre bout du champs de bataille un sauvage attrapper la jambe de Rosaldir et le jetter à bas de sa monture. S'en serait trop pour le vieux Frénac si son autre fils venait à mourir alors...

"Galadril !" cria t-il car ce dernier était tout près. "Il faut aider Rosaldir Frénac !"

En entendant ces mots, Galadril retourna sa tête imédiatement en direction de Rosaldir, il tira sa lance du corps d'un cadavre mutillé par les haches des villageois et se mit galopé en drirection de Rosaldir aux prises avec un sauvage armé d'un massue déformé recouvert de pointes .Il sentait le poids de sa lance lui allourdir le bras, il tira de toute ses forces mais la lance facilla, il regarda avec stupeur sa propre lance heurtait le sol boueux à quelques mètres du barbare qui menaçait Rosaldir de sa massue .Galadril resta figé sur place, il voulait que tout recommence, alors il aurait pu mieux viser mais il savait qu'il n'était pas maître du temps .Tout en coup Rosaldir ramassa la lance et la dressa devant lui tandis que le barbare se jetait sur lui, le sauvage fut empalé sur le jeune homme .Galadril descenda de sa monture et se dirigea à tout hâte vers Rosaldir, il souleva le corps du barbare et observa Rosaldir .

-Rosaldir...est-ce que sa va ?

-Oui..oui très bien Galadril...

-Relève toi nous avons un combat à fi....

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il entendit des hurlement de joie, il se retourna et comtempla avec stupéfaction la victoire des villageois .Il observa Hélarof qui achevé un dernier barbare,puis remonta sur Landil tout en ramassant sa lance auparavant .D'autres villageois remontèrent sur leurs chevaux et se préparèrent au prochain combat qui allaient les opossés aux barbares du village .Galadril se mit en avant et dirigea ses troupes; ils galopèrent ainis 10 bonnes minutes avant de pénétrer dans le village qui semblait encore plus silencieux qu'à l'ordinaire. Soudain un homme sortit de l'auberge de ce village et comtempla les cavaliers .

-Une ATTAQUE....UNE ATTAQUEEEE....!!!!!

Une hordes de barbares sortirent en force de l'auberge ou des autres batisse aux alentours .Galadril fit signe de charger, et les villageois obeissèrent

Cette fois-ci, c'était les villageois qui se faisaient prendre par surprise et au dépourvu, se dit Hélarof. Beaucoup d'entre eux étaient fatigués de leurs affrontements récents, et il y avait là des blessures dont ils ne récupérerait pas de si tôt. De plus, ils avaient pour la plupart consumé la rage qu'avait allumé Galdril dans leur coeur lors de la première bataille, et c'était plus las et hésitants qu'ils affrontaient cette nouvelle vague d'ennemis. Bien sûr ils obéirent quand l'ordre de charger fut donner par le cavalier de Gondor, mais ils semblaient moins enclin à la faire qu'auparavan,t on n'entendait plus ces gris de colère qui retentissaient alors...

Le cavalier rohirrim, perché sur son fidèle étalon, avec sa lance, se mettait un point d'honneur à éliminer rapidemment tout ennemi qu'il voyait. Il avait là un certain avantage, par le fait qu'il était soldat de métier et non un simple paysan maniant la fourche. Ainsi, les barbares l'approchaient avec la même nonchalance que les campagnards, s'attendant à un combat facile, mais il pouvait généralement utiliser cela pour les réduire rapidemment au silence sans qu'ils ne se rendent compte de ce qui se passe.

Cependant, les sauvages comprirent vite qu'il était là un adversaire redoutable et bientôt arriva un homme devant lui, et celui-là était le chef de leurs ennemis, le plus féroce et le plus habile avec sa hache. Ainsi le combat commença. Hélarof savait jouer de la lance et de l'épée avec adresse, comme tous les militaires de Rohan, mais l'autre savait simplement mieux jouer de la hache. D'un geste habile qu'Hélarof ne comprendrait jamais, il brisa la hampe de la lance du cavalier qui du alors se contenter de sa lame pour conteir les assauts furieux du barbare. Il tenta l'une ou l'autre contre-attaque, mais sans succès et la seconde fut un désastre. Le chef le prit de court, s'écarta et lui abattit le plat de sa hache sur le crâne. A nouveau Hélarof se sentait sombrer dans l'inconscience...

Galadril se bâtit hardiement contre les sauvages barbares qui balayaient ses hommes, il comprit bien vite qu'il ne suffirait pas d'une poignée d'homme courageux pour vaincre une trentaine de combattants aguérris .A cette seul pensée, il frisonna de out son corps, il esquiva une hachette qui stoppa sa course dans le dos d'un malheureux innocent .En voyant l'affreux spectale qui s'offrait à lui, Galadril fit un pas en arrière et trébucha sur un cadavre .Il ne savait plus quoi faire, il sentait son courage diminué comme la flamme d'une bougie, il se sentait faiblir .Il se releva lentement en regardant autour de lui, les villageois se faisaient ecrasé par leurs ennemis, il ramassa son épée et se rua de toutes ses forces sur les barbares .Il donnait des coups dans tout les sens avec noblesse, fendant l'air de sa lame, Il laissa derrière les traces se sa furie : une multitudes de cadavres mutilaient .
Il traversa la place du village où se déroulait l'affreux combat, et décima une dizaines de barbares, il entendit derrière lui un fracas métallique, il fit volt-face et aperçut Hélarof s'éffondrait sur le sol .Il se dirigea à toutes vitesses vers le Rohirrims et le secoua férocement pour savoir si il était bien en vie, celui-ci grogna faiblement .Galadril se releva et ramassa une lance et l'envoya sur un barbare qui frappait sur un pauvre villageois . Il s'empressa de courrir vers Rosaldir qui était à la merci un barbare faisant trois tête de plus que lui et lui planta sa lame devenu rouge en plein coeur .Il était submergé par le nombre de barbares qui ne cessaient d'augmenter, il se demanda si ils allaient pouvoir les vaincre tous pour libérer le village et vangeait les Frénac .
Il empoigna un barbare et lui fit faire un tour sur lui même avant de lui trancher sa tête ensanglantée . Il sentit soudain un objet lui rentrait dans le ventre, un barbare lui avait enfonçait sa lance dans le ventre, il regarda le barbare avec colère; il attrapa la lance et la tira vers lui faisant en sorte d'avançait le barbare vers lui, il le frappa au visage sans s'arrêtait jusqu'à que son poing fut recouvert de sang .Le barbare s'effondra devant lui, Galadril regarda la lance et essaya de la retirer, en vain .Il comme un poid sur ses épaules meurtries, il avait perdu beaucoups de sang, il s'écroula lentement sur la place du village devenu un vrai champs de bataille , il regarda une derrière fois autour de lui et aperçut Hélarof toujours étendu sur le sol .