Artaher

Nom : Elentir
Prénom : Artaher
Age : Vingt quatre ans
Alignement : Bien
L'espèce : Humain
Peuple : Dunedain


Physique :
Artaher était d'une haute stature, il paraissait mince, mais cela est très trompeur. Il est vif et leste, son corps est très robuste malgré le jeune âge qu'il affichait. Tout comme son corps, il avait de longues et fines jambes, ses bras étaient fins et ses doigts l'étaient autant. Artaher avait la peau assez halé, il possèdait des yeux d'une couleur bleu-vert parfois si profond quand pouvait s'y noyer et oublier de respirer. Et d'autres fois d'un clair cristallin que l'on avait du mal à soutenir ce regard déterminé.
Ses cheveux mi-long étaient d'une couleur assez foncé, presque noire, le plus souvent retenu par un bandeau.
On ne pouvait pas le qualifier de particulièrement beau, mais il possédait un certain charme.


Défauts :
Un de ces défauts majeur était qu'il avait la tête dure et il se laissait facilement aller à la colère. Le visage sombre et taciturne, le regard qui lançait des éclaires ( c'est une image hein ), animé d'une rage froide, il combattait ses adversaires avec vigueur et témérité. Mais il oubliait facilement sa rage qui était arrivé subitement et il riait avec ces anciens ennemis ( Rien ne vaut une bonne bagarre pour se faire des amis ! ). Et, comme tout les garçons de son âge, il avait la tête dure et il était insolent. Il déteste par-dessus tout être l'objet d'une mauvaise moquerie, même s'il n'avait rein contre les taquineries...

Qualités :
Altaher était avant tout un Dùnadan, toujours courtois, il ne s'énervait pas souvent. S'il s'avérait qu'il soit un tant soit peu énervé, il restait d'une courtoisie polis, mais certainement glaciale. Sa conversation était très spirituelle, il pouvait passer de l'humour léger au cynisme des plus déplaisants, de l'humour noir à celui de grivois. Très intelligents, il était aussi modeste, son expérience lui avait appris, que mieux valait paraître plus bêtes qu'on ne l'était déjà. Les différentes langues elfes l'intéressaient aussi, surtout leurs Chansons et leurs hsitoires.
Avant tout il suivait certains principes qu'il s'efforçait de suivre, même si quelques fois il y avait des "écarts" : ne jamais mentir ( ou du moins le moins possible^^), ne jamais voler un allié et protéger son honneur avec courage ou avec ingéniosité.
Ce que peu de personnes savaient, c'était qu'il était très ambitieux ( pas dans le sens où il ferait tout pour accéder à ses rêves, mais dans celui où il se voyait comme étant un membre éminent de l'Arnor) bien qu'il fut assez jeune, il aimait penser qu'il serait un grand homme qui servirait l'Arnor et plus généralement la Terre du Milieu. Mais il était réaliste et il savait que cela demanderai des efforts et il était prêt à en fournir.


Caractère :
Artaher voulait être un homme respecter par son habilité aux combats et son intelligence. Et il fallait le dire, il était assez intelligent, même s'il n'en laisse rien paraitre de prime abords. Et aussi, il était assez rusé pour ne pas se faire prendre quand il faisait quelques choses d'un peu répréhensible ( parfois il faut faire des entorses à la règle ). Malgré sa position de Dùnadan, Artaher n'était pas une personne hautaine ou méprisante envers les autres, au contraire, il était d'un naturel très ouvert et se faisait rapidement des amis. Son sourire facile et contagieux faisait de lui quelqu'un de très sociale en qui l'on pouvait compter. Car s'il y avait bien quelques choses dont Artaher était fier, c'était son honnêteté. On pouvait le faire confiance pour une promesse, et s'il disait qu'il ferait quelques choses, c'est qu'il le ferait.

~ Histoire du Personnage ~


Le Nord a toujours était synonyme d'hostilité et de danger. Fornost a toujours été le dernier bastion de la civilisation. Après maintes guerres contre des créatures inhumaines, les orcs et les mauvais hommes, le Forteresse tombait aux mains de l'ennemi et les Dunadain essayaient de la reprendre.

272 du Quatrième Age, Siège de Fornost :

-L'ennemi tente de pénétrer par la tour Sud mon Capitaine.

-Amener un contingent d'archer, mais plaçais en aussi à la Porte Ouest, c'est l'endroit où nous sommes les plus vulnérables et la nuit ne va pas tarder à tomber.

-Bien mon Capitaine.

Le soldat dans la force de l'age aboya les ordres, et un groupe d'un trentaine d'archer allèrent se postaient à la tours Sud. Les flèches pleuvaient, mais l'ennemi continuait à essayer de forcer le passage. Après la quatrième vague, l'ennemi battit en retraite.

-Mon Capitaine, l'ennemi a été repoussé de la tour Sud avec succès, et il n'y avait rien à signaler à la porte Sud.

-Bien l'ennemi nous fait savoir qu'il est toujours là, mais dites aux soldats de gardes de rester vigilent.

-Bien mon Capitaine.

-Combien nous reste-t-il de vivre ?

-Nous en avons pour une trois jours mon Capitaine.

-Peste, et les renforts qui tardent à revenir... Bien dites aux hommes de se reposer, demain une rude journée nous attends.

-Oui mon Capitaine.

La forteresse était à présent silencieuse, on entendait parfois un ronflement un peu trop bruyant, mais tout le monde dormaient. Après le tumulte de la bataille, le silence qui pesait sur la Forteresse paraissait lourd, on se trouvait entre l'aube et la nuit, une heure avant le lever du soleil pour être plus précis. Cette heure était la plus dur quand on était de garde, en temps de paix, les soldats qui se faisaient prendre en train de somnolaient, se prenaient dix coups de fouet. Mais en temps de guerre, c'était encore plus difficile, la fatigue de la bataille et cette impression de ne pas avoir dormi de la nuit était accablante pour le soldat de garde.


Un raclement sur le mur d'enceinte, le garde secoua la tête et sortit de son demi-sommeille. Voyant des petits grappins et des formes humaines habillés en noirs, sans armures qui grimpaient sur le mur d'enceinte, le soldat sortit totalement de sa torpeur et hurla l'alerte.

-Nous sommes attaquer ! Aux armes ! Aux armes !

Ce fut ses derniers mots avant qu'il ne prenait une dague dans la gorge. Mais ce fut suffisant pour réveiller la forteresse et en quelques instants les soldats étaient debout armes aux poings.
La bataille fut rude, les soldats encore mal réveillés furent prit par surprise, et eurent du mal à reprendre en mains la bataille en se ralliant. Adornas le Capitaine, car c'est ainsi qu'il s'appelait était en armure de combat. Depuis deux jours, il dormait avec son équipement de peur de ce genre de chose. Son porte-étendard à ses côtés, il essayait de rallier ses hommes en hurlant des cris de guerre. Son épée d'acier brillait, les rayons de l'aube se reflétaient sur sa lame entaché de sang prenait une lueur orangé.

_Pour l'Arnor ! Hardi Soldat des Terres Libres, tenez bon !

Ralliement ! Ralliement !

Archers !

Les soldat s'approchaient petit à petit du Capitaine et commençaient à repousser les ennemis vers les murs d'enceinte.

_Encore un effort ! Boutez-les hors de notre Cité !

Dans un dernier effort, les soldats de l'Arnor repoussèrent par dessus les murs l'ennemi et s'assirent exténués. A ce moment de la bataille, les brancardiers emmenaient les blessez et les femmes et les enfants amenaient de l'eau et un peu de nourritures.
Le Capitaine était assis à même le sol et reprenait haleine, il s'était nettoyé le visage et les mains et mangeait un petit bout de viande séché avec du pain un peu rassis. Son second vint le voir à ce moment là et lui fit son rapport.

-Mon Capitaine. Nous avons eut beaucoup de pertes, trente hommes sont morts dans le raid, 17 ne vont pas passer la journée ou ne peuvent plus combattre et 18 sont blessés mais peuvent combattre.

-Humm... Merci, organiser les tours de gardes aux soldats pas trop mal en point. Et faites réparés les armes et les armures cassées. Ah oui, faites prévenir les forgerons et les soldats de faire des fléches et de ramassés celle qui ne sont pas cassées.

Le soldat acquiesça et partit effectuer les directives du Capitaine.

* Si les troupes de l'Arnor ne viennent pas aujourd'hui nous sommes finis, je veux revoir ma femme, et mon fils. Le voir grandir et voir mes petits enfants. *

Dans chaque bataille le soldat doutait, mais aujourd'hui Adornas était désespéré, il ne voyait pas d'issues. Fornost ne recevait plus de pigeons depuis une semaine, ils n'avait plus aucune nouvelle depuis qu'il avait reçut pour ordre de tenir jusqu'à l'arrivé du reste de l'armé.
Mais il fallait tenir, pas pour la gloire, pas pour l'Arnor, mais parce que s'était son travail de Capitaine et qu'il fallait à tout pris tenir Fornost. Adornas ne faisait pas ça pour être un héros, il avait vite compris qu'il devait garder ses soldats vivant et non en faire des héros à titre posthume.
Il fallait tenir.

-Il faut tenir...

Ce murmure se perdit dans les cris d'agonies des soldats ennemis. Les soldats de l'Arnor ne faisait pas de prisonniers, il ne pouvait se le permettre. Ils jetaient les corps de leurs ennemis par-dessous le mur. Il n'avait pas besoins en plus de la faim et de la fatigue, d'une épidémie, cela signerai leur fin.

Tombant presque de fatigue, Adornas resta immobile et sombra dans un sommeil agité, les soldats devaient reprendre des forces s'ils voulaient encore tenir un jour. Adornas avait l'impression de tenir depuis toujours, qu'il avait quitté sa famille depuis des années mais il n'en était rien. Il y a encore un moins il tenait son fils Artaher âgé d'à peine de deux printemps, et se trouvait à côté de sa femme qui riait aux éclats.

Le son des trompette se fit entendre, les cris des soldats réveillèrent Adornas mais quelque chose clochait... Les cris étaient joyeux, il entendit un éclat de rire et une jeune femme pleurait non de douleur, mais de joie. Un peu désorienté, le Capitaine Adornas se leva et regarda par dessus les remparts. C'était les soldats du Roi de l'Arnor, de son Roi. Ils étaient enfin arrivaient et fonçaient à présent droit sur l'ennemi. Le Capitaine Adornas pour prendre les soldats ennemis entre le marteau et l'enclume sortit lui aussi ces soldats, les cavaliers de Fornost qui n'avaient pas eut l'occasion de mettre au profit leur science du combat à cheval s'en donnèrent à cœur joie.
La bataille fut de courte duré, les soldats ennemis abandonnèrent le combat et tentèrent de prendre la fuite par la forêt. Mais les archers du Roi veillaient, et une pluie de flèches les reçurent pour leur souhaitaient la bienvenue dans le monde des morts.

La bataille terminée, les soldats commencèrent leurs travail d'après guerre et firent un grand bucher pour les corps ennemis. Le bucher brula pendant tout une semaine, les corps ennemis en étaient le combustible, il y en avait en grande quantité. En parallèle on ramenait le corps des alliés et les enterrèrent dans une fosse commune, tout en prenant bien soins des les recenser pour les familles.

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_Et c'est ainsi que ton père Adornas, le Héros de Fornost fut déclaré comme étant paire du Royaume. Il fait partie de la nouvelle noblesse arnoriennes. Et toi par le sang tu fut déclaré dunadan. Mais ce titre ne vaut pas grand-chose dans la royauté.

_Dis Maman, est ce que moi aussi je serai un grand noble de la cour du Roi comme Papa ?

_Cela dépendra de toi et de tes actes, tu dois faire preuve de courage et d'ingéniosité. Bon allez c'est fini, je t'ai raconté l'histoire de ton père, maintenant il est l'heure d'aller ce coucher.

_Oui maman. Bonne nuit maman.

_Fais de beau rêve Artaher...

Citation :

À suivre...

On entend toujours la suite !!

Même si ce que je l'ai lu pour l'instant est tout à fait convenable. En espérant que tu traines encore un peu ici

Ah désoler j'étais en vacances et j'ai oublié de prévenir. Je vais m'y remettre .